Leslie Rf15

Leslie RF15 - Rêves et fantasmes
Il était une fois… Le loup, la meute et la fin du petit bois

« Durant tout ce temps, les hommes nous avaient maté en se branlant, certainement étonnés, mais heureux, de me voir enculée par un inconnu au sexe monstrueux et peut-être, tels les loups d’une horde, espéraient-ils maintenant avoir leur part du festin, de la curée…
Le bois n’étant pas bien grand, ces prédateurs occultes savaient où et comment se dissimuler pour ne pas être vus, et c’est derrière des buissons épais où de gros arbres qu’ils avaient pris position, mais leur curiosité leur faisait parfois se dévoiler, pour mieux voir.
Mon inconnu, conscient de ces présences, continua diverses caresses assis sur le tronc de l’arbre, avant de me dire :
- T’es quand même une sacrée coquine !
Puis il m’embrasse en me demandant :
- Tu vas te pencher vers moi et me sucer en te tenant bien cambrée et offerte !
- Me pencher, m’offrir ? Comment cela ?
- Oui, tu as compris et pendant que tu vas me sucer, un homme viendra...
- Euh… Oui… Mais…
- Allons, tu en as envie et tu es là pour cela, alors profites-en !
Sans trop résister, je m’exécute et me penche pour le sucer, le cul cambré et offert.
- Ainsi, ils peuvent admirer ton mignon petit cul !
- Je…
- Suces et laisses-toi faire !

Alors que je suis en train de le sucer depuis deux, voir trois minutes, je sens une présence derrière moi, alors que je veux me retourner, mon inconnu m’en empêche en me maintenant la tête de ses deux mains sur son sexe.
Et- soudain, la présence commence à jouer de la langue sur mon postérieur et s’aventure posément entre mes fesses, dans mon sillon. Instinctivement et sans réfléchir, pour lui faciliter la tâche, je me penche un peu plus et j’écarte encore plus les jambes.
Tandis qu’il caresse mes fesses, sa langue commence à titiller ma petite rosette…
Ohhh, comme j’aime cette douce caresse, pensais-je au fond de moi.

Il continue et insiste de plus en plus, suivant la bordure de mon œillet et allant parfois forcer un peu l’entrée, je subis cette caresse avec délectation, tout en suçant la grosse queue de mon inconnu.
Le plaisir m’envahit petit à petit tandis que la langue agile et inquisitrice s’évertue à s’immiscer dans ma sombre caverne.

Alors que je le suce de plus en plus profondément, en sentant mon œillet s’ouvrir à nouveau sous la langue inquisitrice, mon inconnu dit :
- Faites-vous plaisir cher ami, profiter et r de cette petite coquine !
Et j’entends une voix dans mos dos, qui répond :
- Avec le plus grand des plaisirs, mon ami.
Peu après, plaqué ventre contre mon dos, le deuxième homme est en train de me masser fermement les seins tandis qu’une certaine chose dure appuie fortement entre mes fesses.
Je me cambre le plus possible et de doux frissons parcours mon quand il m’embrasse dans le cou, alors je me laisse aller contre lui, pour profiter de l’instant et jouir de ces sexes…
Et je suis de nouveau sodomisée par une queue moins épaisse, mais non moins vaillante que celle de mon inconnu.
Je vais être enculée pensant de longues minutes, puis soudain le corps derrière moi se cambre, les mains qui tiennent mes hanches se crispent et le sexe au fond de moi envoie ses salves de jouissance au fond de mes entrailles…
Puis plus rien que le bruit de pas qui s’éloignent et le silence du petit pois nous enveloppe à nouveau.

A nouveau seuls, mon inconnu toujours assis sur le tronc d’arbre, queue bien raide et dressée, je me demande à cet instant si à un moment il faiblira…
M’attirant vers lui, il me dit :
- Tu vas te retourner et me présenter ton beau petit cul et tu Puis tu viendras t’asseoir en t’enculant sur ma queue ! Une fois qu’elle sera complètement en toi, tu te laisseras aller contre moi pour que je puisse m’occuper de tes adorables seins et te masturber en même temps. Je veux que tu jouisses de la sorte, ma bite dans ton cul !
- Tu veux encore m’enculer, profiter de mon petit trou que tu as écartelé tout à l’heure ?
- Oui je vais te prendre comme une petite chienne !
- Ohhh, j’adore être enculée par une belle queue comme la vôtre.
- J’aime quand tu parles comme ça ! Continue petite salope !
- Bien, la petite salope que je suis va t’offrir son cul.

Je me positionne entre ses jambes, lui tournant le dos, puis, lentement, je m’assois tandis qu’il guide son sexe vers mon œillet. Je descends un peu et soudain, je sens son gland appuyer sur ma cuvette, et il me dit :
- Vas-y lentement, pour que tu sentes bien ma queue entrer en toi et aussi pour que je sente bien ma bite glisser dans ton trou du cul, ma belle coquine.
Petit à petit, la verge de mon inconnu disparaît dans mes profondeurs intimes. Je sens distinctement coulisser la barre en moi.
Enfin, il est arrivé tout en fond de moi, bien au fond. J’adore être bien envahie par cette grosse chose de chair qui appartient à mon inconnu et amant de passage.
Puis je me couche comme convenu contre lui, je sens sa poitrine velue dans mon dos.
- Comme ceci ? Dis-je.
- Oui, parfait petite coquine…
C’est alors qu’il capture mes seins, les caressant doucement, délicatement. Je me laisse aller contre lui, cajolée par ces deux mains agiles et habiles tandis qu’il m’embrasse dans le cou. C’est très bon, très agréable, très sensuel. Puis une main descend doucement vers mon ventre qu’elle câline longuement et tendrement. Je ronronne comme une petite chatte.
Enfin elle descend encore plus bas, s’arrêtant un peu sur mon pubis glabre, puis ses doigts emprisonnent mon sexe raide et tendu, qui n’attendait que d’être branlé pour me procurer encore plus de jouissance…

Puis, mon inconnu donne des coups de reins pour me pistonner et c’est par grands coups que sa bite increvable coulisse jusqu’au plus profond de moi, parfois, elle est à la limite de sortir, amis l’instant d’après, elle replonge au plus profond de mes entrailles !
- On dirait que tu adores avoir le cul défoncé, ma salope !
- Oh oui, avec toi… C’est génial !
- Et pourquoi donc ?
- Parce que j’adore me faire défoncer comme la dernière des putes par un inconnu dans les bois sous le regards de voyeurs vicieux, m’offrir totalement et être enculée par ta bonne et grosse bite, et pouvoir jouir comme une salpe…
Et je continue :
- De me sentir… Ohhh… Oh non ! Pas… Pas maintenant ! Non ! Ohhh, oui !
La jouissance arrive et déferle dans mon corps exacerbé de jouissance, elle me submerge et je hurle ma jouissance comme une folle.

Exténuée, je vois mon inconnu disparaitre dans le sous bois après m’avoir claqué la fesse en disant ;
Reviens quand tu veux !
Puis, l’esprit et le corps encore dans le plaisir que je viens d’avoir, je ne pense même pas à remettre ma robe et, c’est donc nue et souillée que je vais vers le parking, regagner ma voiture, là à l’aide de lingette intime, je me nettoie sommairement en pensant au bain que je vais prendre dès arrivée à la maison. Je monte dans ma voiture et c’est au moment où je tourne la clé de contact pour démarrer »

Cet à cet instant que je me réveille.

A suivre…