De Retour Du Travail 2

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

//Il s'agit du même couple mais il n'est pas nécessaire d'avoir lu le premier texte pour apprécier celui-ci.
Très bonne lecture, en espérant que vous apprécierez.//

Elle avait passé une journée horrible. Bien plus qu'une journée qu'on pouvait qualifier des cinq lettres, une journée de m****. Les pieds meurtris par ses talons, étouffée par le tailleur bleu marine qu'elle portait, elle n'avait qu'une hâte, rentrer chez elle et LE retrouver. En plus il était tard, quasiment 19h30. Pour un vendredi, elle qui aimait s'assurer de finir tôt en programmant ses rendez-vous jusqu'à 17h maximum n'était pas gâtée ce jour-là. Sa déception se fit plus grande quand elle découvrit l'appartement vide. Visiblement lui aussi aura eu une journée compliquée. Elle commença par enlever ses chaussures puis bifurqua directement dans la chambre. Elle alluma la lumière et eu un mouvement de stupeur. Un ballon rouge en forme de cœur flottait au-dessus du lit avec un mot accroché à la ficelle. Elle ne pu s'empêcher de sourire.
"J'ai essayé de t'appeler trois fois aujourd'hui et ta secrétaire bien qu' adorable m'a certifié que tu étais débordée... Je n'aime pas qu'on me dise non, encore moins ne pas arriver à mes fins. Je suppose aussi que tu as eu une journée difficile donc voici un petit cadeau pour toi. Je t'attends pour 20h30 à cette adresse, met la tenue que je t'ai préparée sur le lit. J'ai pris la robe en deux tailles différentes, tu me connais, je ne suis pas doué pour ces trucs de filles. Mais si j'ai un seul commentaire à ce sujet tes fesses t'en cuiront. Je voulais être certain de te voir arriver avec, j'irai rendre l'autre. Ne sois pas en retard. Je n'ai pas besoin de préciser ce qui pourrait t'arriver dans ce cas et mes mains se réjouissent du fait que tu sois incapable d'être à l'heure quand tu te prépares, encore plus quand tu réagis à cette provocation. J'ai hâte. Je t'aime.

"

L'excitation et l'exaspération se mêlèrent dans le cœur de la jeune femme. C'était bien son homme, tout craché. Elle jeta un coup d'œil à sa montre avant de foncer sous la douche en poussant un juron.

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Dix minutes de retard. Il ne supportait ni d'attendre, ni le manque de ponctualité. Devant l'hôtel, il rongeait son frein puis se décida à rentrer pour décaler l'horaire de leur passage à table. Elle allait l'entendre, parfois même il se demandait si elle ne cherchait pas à le provoquer pour être punie plus souvent... Il se dirigea nonchalamment vers le bar, contrarié, occupé par ses pensées. Puis soudain il la vit, resplendissante bien qu'on pût lire des traces de fatigues sur son visage. Elle était assise sur un tabouret, sa robe remontant dangereusement à la vue de tous. Il prit tout son temps pour la détailler. Il avait bien choisit la robe, elle avait bien choisit la taille. La couleur pâle et laiteuse de sa peau contrastait à la perfection avec le noir de sa robe. Il sentit son érection forcer son pantalon. Pourquoi ne l'avait-il pas vu rentrer? Son besoin de contrôle, de la contrôler revenait au galop. Surtout, dans cette tenue.
- Tu as quinze minutes de retard. Lança-t-elle d'une voix suave.
Il en resta un instant sans voix. C’était à lui de dire ça ! Ainsi voulait-elle jouer. Il allait jouer et qu'elle le veuille ou non, il allait gagner.
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- Je nous ai commandé du champagne, j'ai commencé en t'attendant. J'espère que tu ne m'en veux pas.
Elle lui tendit une coupe, non sans trembler légèrement. Elle savait qu'il serait furieux, surtout qu'il avait un plan soigneusement préparé dans sa tête. Son cœur battait la chamade, surtout qu'il ne disait rien. Absolument rien. Il s'assit en face d'elle et fit un geste pour trinquer.
- A la plus dure nuit que tu vas passer. Souffla-t-il.
Elle s'agita sur son siège, n'étant pas certaine d'avoir bien entendu.
- Tu es magnifique ce soir.
Tu m'as donc laissé 15 minutes, voir certainement plus, pendant que d'autres hommes et femmes t’admiraient sans que j'y consente. Tu me rends tellement fou dans cette robe que je suis hors de moi!
Il la toisa d’un regard froid, montrant qu’il ne plaisantait pas.
- Je...
- Arrête de parler. Crois-moi je ne veux pas entendre un mot de plus. Je veux te regarder ainsi, je veux que tu réalises ce que tu viens de faire et que tu mesures, imagine seulement, les conséquences… Ce qui va t'arriver ce soir.
La jeune femme se mit à trembler, à la fois de honte, de peur et d'excitation. Elle sera ses cuisses encore plus fort pour ne pas montrer son trouble.
Il continua:
- Écarte tes jambes, vers moi. Voilà. Tu ne crois tout de même pas que je ne vais pas m'apercevoir de cela! Ainsi donc la situation t'excite... C'est ce que tu cherchais n'est-ce pas?
Elle entreprit de répondre mais son regard l’en dissuada.
- Bois ta coupe, ne me quitte pas des yeux. Je vais te regarder, de la façon dont je veux en pensant à toi de telles manières que je ne peux pas en parler ici. Je suis en colère et tu vas vite le comprendre.
Il avait appuyé sur sa dernière phrase. Ce qui fit paniquer la jeune femme, le champagne avait un goût acide au fond de sa gorge. Elle ne l'appréciait pas.
- J'espère que tu ne passes pas un bon moment, je te rends les quinze minutes que je viens de passer et crois moi tu vas te souvenir de la suite.
Il prit tout son temps pour la détailler. Ravi de l'effet qu'il lui faisait. Il voyait sa fébrilité dans ses gestes, le rose sur ses joues dû à l'alcool et sans doute aussi à la situation. Sa poitrine qui se soulevait à chaque respiration dans ce décolleté pigeonnant. Il eut une furieuse envie de sortir ces seins de cette robe et de tirer sur les mamelons jusqu'à plus soif. S'amuser de son jouet préféré, juste pour l'entendre gémir de plaisir. Il était fier, fier d'aimer une si jolie femme et qu'elle soit aussi réceptive à ses attentions.
Elle l’avait délibérément provoqué, il devait agir dans ce sens, et vite. Dans sa tête il se mit à réfléchir à toute vitesse, et sur un coup de tête, il changea radicalement les plans de la soirée.
Une fois leurs coupes finies, il s'approcha d'elle, jusqu'à n'être qu'à quelques centimètres de son visage et il lui dit dans un souffle.
- Tu vas me répondre cette fois à ce que je vais dire: tu m'appartiens. Est-ce clair?
- Oui. Répondit-elle d'une toute petite voix.
- Tu le crieras plus fort tout à l'heure crois-moi. Maintenant tu ne vas pas bouger de ce siège jusqu'à ce que l'on t'invite à le faire. Est-ce compris?
- Oui.
Elle pu lire dans ses yeux une grande détermination. Elle ne comprenait pas ce qu'il se passait et pourquoi il lui avait demandé cela. Elle eu un mouvement de panique quand il se leva et s'en alla sans demander son reste. Elle resta assise seule, mesurant amèrement ce qu'elle venait de faire. L’idée d’arriver très en avance et de passer par l’autre entrée avait germé sur la route, elle pensait que ce serait une bonne surprise mais elle n’avait pas envisagé qu’il le prenne mal. Seule sa confiance en lui faisait qu’elle restait assise, comme vissée à ce tabouret. Les minutes passèrent… Fatiguée et déroutée par tout cela, elle eu les larmes aux yeux mais c'était sans compter le barman qui se rappela à ses bons souvenirs en lui tendant une nouvelle coupe de champagne. Elle avait été tellement obnubilée par Sa présence puis Son départ, qu’elle en avait oublié le monde autour.
- Offerte, avec les autres, par le monsieur avec lequel vous étiez assise il y a quelques instants.
Elle remercia le barman du bout des lèvres. Encore choquée par ce qui venait d'arriver. Elle en bu une longue gorgée, incapable de réaliser qu'il venait de la laisser en plan. Au final elle était pour l’instant incapable de bouger non plus, qu'il lui ait dit de rester ou pas. Elle voulait rentrer chez eux et pleurer un grand coup. Le choc l'empêchait de faire tout cela, elle se retrouvait comme une poupée de chiffon qu'on manipule au grès de ses envies.
Elle bu la coupe de champagne jusqu'à la dernière goutte puis rassembla ses affaires. La tête lui tournait un peu, elle ne pouvait pas rester assise plus longtemps. Au moment où elle allait se lever, quelqu'un du personnel de l'hôtel s'adressa à elle. Il tenait un petit plateau en argent.
- Madame, on m'a demandé de vous faire parvenir ceci. C'est la clef de votre chambre, la 238. C'est au deuxième étage, au bout du couloir. Souhaitez-vous que je vous y accompagne?
Devant son air ahuri, le majordome se sentit mal à l'aise. Mais elle se reprit très vite en se saisissant de la clef. Elle n’avait vraiment pas envie de rester un instant de plus avec quelqu’un d’autre que lui alors elle déclina poliment l’invitation.
- Merci monsieur, c'est très aimable à vous mais je pense trouver toute seule.
- Bien madame, nous vous souhaitons un agréable séjour parmi nous.
Fébrile, elle se dépêcha d'emprunter l'ascenseur. Un frisson la parcouru lorsqu'elle reconnu qu'il l'a possédait totalement. Une chambre d’hôtel, carrément ! Se dit-elle. Elle avait complètement perdu le contrôle pour cette soirée et elle commençait à envisager qu'elle allait payer cher son petit effet de surprise.
La porte se déverrouilla d'un clic et elle pénétra dans la chambre envahie par la pénombre. La lumière s'activa quand elle inséra sa carte dans le boîtier prévu à cet effet. Elle eut un hoquet de stupeur.
- Ce n'est pas une chambre ça! C'est une suite! S’exclama-t-elle.
La vue était magnifique sur la ville et le crépuscule commençait à poindre. La suite bénéficiait d'un grand balcon terrasse où des bougies étaient allumées. Le salon et le lit étaient très beaux mais la jeune femme ne pu s'empêcher de pousser un cri de joie en entrant dans la salle de bain. Une grande baignoire ronde jacuzzi l'attendait. Il avait dû débourser une fortune... Était-ce prévu avant? Elle en doutait. Ils habitaient à peine à 20 minutes d'ici... En revanche, pas de trace de lui. Elle ne comprenait pas. En revenant dans la chambre elle aperçut un nouveau mot sur le lit. Encore un, pensa-t-elle,
" Déshabille-toi entièrement. Puis passe aux toilettes. Dépêche-toi."
Qu'elle passe aux toilettes? Quelle drôle d'idée d'écrire cela! Était-il caché dans les toilettes? Par curiosité elle alla voir en traversant la salle de bain. Rien. Mais son idée lui parue bête, il allait sans doute arriver en la voulant nue.
Elle entreprit donc de se déshabiller entièrement, enlevant par la même occasion le peu de sous-vêtements qu'elle avait. Puis retourna dans la salle de bain comme convenu. A son retour elle entendit frapper à la porte:
- Room Service.
Ce n'était pas sa voix à lui. Elle chercha du regard sa robe pour l'enfiler en catastrophe. Elle avait disparue! Ainsi que tout le reste. Elle se précipita dans la salle de bain dans l'espoir de trouver un peignoir ou même une serviette mais elle n'y trouva rien du tout. Rien non plus. La panique la submergea quand elle entendit le clic de la porte. Deux voix d'hommes qu'elle ne connaissait pas se firent entendre, ainsi que le bruit d'un chariot. Tentant le tout pour le tout en espérant y trouver une couverture ou un drap elle se faufila dans la grande penderie qu'elle referma derrière elle. Une main se plaqua contre sa bouche, ramenant son corps en arrière.
- Chut... Tu ne voudrais tout de même pas qu'ils te découvrent ainsi. Murmura-t-il.
Elle reconnu instantanément sa voix et par le trait de lumière qui filtrait elle trouva ses vêtements à ses pieds. Ainsi donc il avait manigancé tout cela. Elle n'eut pas le temps de lui poser la question. Il la retourna contre lui et la fit mettre à genoux.
- Suce. En silence. Dit-il en chuchotant.
Il déboutonna son pantalon avant de lui enfoncer son membre dans la bouche.
Prise de court elle manqua de s', il secoua sévèrement l'épaule de la jeune femme dans une remontrance silencieuse. Elle se détendît instantanément, rendant ses gestes plus fluides. Comme à son habitude il imprimait la cadence. Elle devint folle de désir, elle pouvait sentir son bas ventre devenir de plus en plus humide puis trempé. Qu’il la veille, qu’il la possède la soulageait énormément. Dehors les deux majordomes s'affairaient, elle pouvaient les entendre échanger des blagues sur un film en même temps qu'ils finissaient de préparer ce pourquoi ils étaient venus. Elle n'arrivait pas à savoir quoi ni même à vraiment le réaliser, seule la queue dure et gonflée dans sa bouche comptait pour le moment. Et la peur d'être découverte ainsi. Cela l'excitait et la paralysait à la fois. Pour une fois elle réalisa qu'il était bon de ne rien contrôler, il contrôlait pour elle, il l'a contrôlait. Elle y prenait un plaisir immense, surtout dans cette penderie. Elle voulait lui montrer combien il comptait pour elle et combien elle l'aimait avec sa bouche. Elle ne tarda pas à arriver à ses fins lorsqu'il éjacula férocement au fond de sa gorge tandis que la porte de la suite claquait derrière les deux messieurs. Il resta longtemps ainsi, la queue dans sa bouche baignée de sperme, juste pour le plaisir de la voir comme ça. Il essuya les derniers restes sur son visage en lui ordonnant de tout avaler. Ce qu'elle fit avant de le nettoyer avec sa langue comme à chaque fois.
Il rouvrit la porte de la penderie en la tenant par la tête. Elle suivit à quatre pattes la bouche toujours prise par son pénis. Il prit le temps de défaire son chignon avant de l'attr par les cheveux en décollant la bouche de la jeune femme de son entrejambe. Il la releva ainsi. Par les cheveux.
- Les mains derrière le dos.
Elle obtempéra. Elle était dans un état d'excitation extrême. Le rouge aux joues, elle sentait que ça coulait contre ses cuisses. Elle voulait de tout son cœur et de tout son corps qu'il la prenne. Elle se mit à gémir sans pouvoir se retenir.
- Regarde-toi... Regarde à quoi tu ressembles!
Il l'emmena jusqu'au miroir du couloir.
- Qu'est-ce que tu es?
- Une chienne... Murmura-t-elle en tremblant.
Il frappa sa poitrine qui se ballota.
- Je n'ai rien entendu.
- Une chienne! Dit-elle plus fort.
- Et quoi d'autre? Pour moi tu n'es que ma possession. Je pense que tu ne l'as pas encore très bien compris. Je te possède. Entièrement. Tu es à moi. Vu comment ta chatte ruisselle actuellement je pensais que ça devrait te suffire! Mais non! Il a fallut que tu me provoques. Que tu offres ce corps à la vue de tous. Je viens de te montrer ce que ça fait à l'instant, comment aurais-tu réagis si ils t'avaient vu nue? Tu aurais aimé ça je suis sûre sale chienne que tu es... Mais à qui tu appartiens ? A qui ?
- A toi...
Le corps de la jeune femme s'affaissa, il relâcha la pression dans ses cheveux et elle tomba à genoux au sol. Il lui caressa la tête. Le contraste entre sa nudité et le costume cravate le subjuguait.
- J'aime mieux cela. Ceci est ta place. A mes pieds. Maintenant allons manger, tu vas remettre ta robe car nous allons sur le balcon. Ta robe seulement et tu vas t'asseoir sur la chaise là. Je voulais un repas au départ, t'offrir un excellent dîner et passer une bonne soirée. Finalement tu as le don pour m'exaspérer et me provoquer. Le dîner sera un peu différent pour toi.
Elle fit ce qu'il avait demandé sans un mot. Une fois assise elle le vit arriver avec une corde noire. D'où sortait-elle? Il lui écarta les jambes et les accrocha aux pieds de la chaise. Ce qui releva sa robe qui ne cachait quasiment rien. Il entreprit de sortir ses seins de son décolleté et les serra avec la corde accrochée à la chaise. Il prit soin cependant de laisser ses bras libres.
- Ne t'avise pas de mouiller cette chaise sinon il t'en cuira.
Elle était absolument obscène dans cette position, elle se demanda même pourquoi elle avait remis sa robe elle ne cachait rien sauf son ventre.
- Bien. Profitons de ce dîner. Nous bavarderons tranquillement avant de te punir.
Il dit cela avec un grand sourire serein. Et il attaqua son plat.

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Le repas avait été délicieux. Le coucher de soleil magnifique. Finalement le petit tour qu'elle lui avait joué n'avait rendu la soirée que plus belle. Elle allait être encore plus parfaite par la suite. Il avait été difficile pour lui de faire le pari sur le timing du room service et du fait qu'elle aurait pu simplement s'enfermer dans la salle de bain. Au final cela avait été parfait. Il n'aurait pas pu supporter que d'autres hommes la voit ainsi. Sa jalousie légendaire revenait au galop, elle le savait et elle en jouait. Il était fier de son programme de dernière minute et il l'observait du coin de l'œil tandis qu'il avait déplacé la chaise face au miroir. Elle était obligée de se regarder ainsi, il savait que celait lui faisait honte, il l'a connaissait par cœur, elle était à lui. Il avait pensé à faire cela à la maison ce soir de toute manières, les nouveaux jouets et instruments qu'il avait acheté trônaient dans le coffre de sa voiture. Il avait juste eu le temps de prendre la corde en la dissimulant sous sa veste. La soirée se passerait finalement ici, et il ne le regrettait pas. Il l'a sentait perdue, à sa merci. Il était temps de passer à la suite.
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Détachée de sa chaise, elle était maintenant basculée la tête en avant sur le lit, entièrement nue, les mains attachées dans le dos. Ses cheveux tombaient en cascade sur ses épaules tandis qu'il avait une vue imprenable sur ses fesses. Il la bâillonna avec une des serviettes pour les mains qu'il avait trouvé. Encore propre et sèche, elle ne tarderait pas à supporter un mélange de morsures et de salive.
- Bien. Je vais te frapper. J'aime utiliser ce mot à la fois si fort et adapté à la situation tout en ne l'étant pas. Je veux que tes fesses soient tellement rouges que tu t'en souviennes demain en t'asseyant. La seule chose qui m'arrêtera sera la fatigue de ma main. Et crois-moi je suis très en forme.
La jeune femme frissonna d'anticipation.
- C'est clair?
Elle hocha la tête puis se prépara mentalement, s'attendant à recevoir la première claque. Rien ne vint.
Il commença à caresser son corps tendrement, doucement, de manière très sensuelle. Il évita soigneusement son intimité malgré l'agitation de la jeune femme. Les caresses à l'intérieur de ses cuisses étaient un supplice. Pourquoi faisait-il cela?
- Tu voudrais que j'arrête ce supplice n'est-ce pas?
Il embrassa les fesses de la jeune femme avant de se relever.
- Tu as mouillé, que dis-je, trempé cette chaise... Alors que je ne t'ai même pas touchée! Cela mérite bien une petite...punition!
Sa main claqua. Sans prévenir. Ce qui provoqua un hoquet de surprise chez la jeune femme. Sa fesse gauche commença à chauffer. Un frisson mêlant plaisir et douleur remontant le long de son échine. Elle se détendit totalement, le provoquant encore plus en lui tendant ses fesses.
- Tu aimes ça en plus! Dis le moi que tu aimes ça, je veux l'entendre. Dis-moi que tu aimes ça et que tu en veux encore plus!
Elle étouffa une réponse inaudible à travers son bâillon.
- J'oubliais que nous ne sommes pas à la maison... J'ai pris mes précautions car avec toi...
Il frappa de plus belle.
- Je n'ai pas envie d'être dérangé par quelqu'un suite à tes cris de chienne en chaleur. Non pas que je n'aime pas ça...
Il alterna caresses et claques tout en augmentant la puissance et la cadence. Une fine pellicule de sueur recouvrait maintenant leur deux corps. A chaque fois, elle pensait que c'était trop et dès que ça s'arrêtait elle en voulait encore. Dans un état second elle se sentait toute proche de la jouissance. Les fesses de la jeune femmes avaient changées de couleur, ce qu’il l’excitait au plus haut point. Quand à lui, n'y tenant plus il retira le bâillon et le jeta sur le lit avant de la prendre violemment. Son sexe était pourtant dur comme du roc, il rentra si facilement qu'il se noya presque dans sa chatte brûlante.
- Maintenant dis-moi. A qui tu appartiens?
- Toi.
- Qui te possède?
- Toi. Toi... Je t'en supplie ne reste pas comme ça, bouge c'est insupportable... Gémit-elle.
- Ah oui c'est insupportable?
Au prix d'un effort surhumain et d'une grimace qu'elle ne vit pas, il se retira. Elle ne put retenir un cri de frustration. Elle en eu les larmes aux yeux.
- Et là c'est comment?
- Je...
Incapable de parler, seuls ses gémissements traduisaient son état de manque et de frustration.
- Supplie-moi. Supplie-moi de te baiser comme la pute que tu es, tu es en chaleur, tu me provoques et il faut que je vienne éteindre le feu après n'est-ce pas?
- Putain arrête tes conneries baise-moi!
- Oh madame devient grossière? Toi qui me reproche le moindre de mes écarts de mots... Tu sais quoi? Je n'ai pas entendu...
Elle cria de frustration. Lui, par provocation passa sa bite à l'entrée de sa chatte, doucement, en prenant son temps. Elle manqua de jouir, agitée par de violents soubresauts.
- Ok très bien. J'ai compris la leçon je ne te ferais plus ce coup-là. Pardon.
- Oh mais si, refais-le, encore et encore, je pourrai te montrer à quel point plus tu essaieras, car je te connais tu le feras à nouveau, plus tu sentiras combien tu es mienne. Alors? Je n'ai toujours pas entendu!
Il rentra deux doigts dans sa chatte en les agitant légèrement. Elle rua dessus comme si sa vie en dépendait.
- Tu es magnifique comme cela ma chérie, tu le sais j'espère? Totalement à ma merci, totalement obnubilée par ma queue et ce que je vais bien pouvoir en faire. Peut-être la mettrai-je dans ta bouche si je ne suis pas satisfait de tes réponses?
Elle cria de désespoir. S’agitant encore plus. Il la maintenait fermement.
- Défonce-moi! Je t'en supplie défonce mon trou. Je n'en peux plus, je t'en supplie. Dit-elle d'une voix étranglée.
- Enfin! Tes désirs sont des ordres!
Sur ce, il rentra violemment en elle, abandonnant toute notion de douceur et de pudeur. Il plaqua sa main sur sa bouche en connaissance de cause et fit exactement ce qu'elle avait demandé. Elle eu l'impression d'être dans un autre monde, la sensation de plénitude quand elle fut remplie lui donna un premier orgasme intense qu'elle réalisa à peine. Déjà, la sensation dans ses chairs laissa présager un second.
Quand à lui, il était très difficile de se retenir tellement il l'avait fait toute la soirée. Il sentit qu'elle explosait dans un orgasme fulgurant tandis qu'il plaquait encore plus fort sa main sur sa bouche alors qu'elle ne pouvait s'empêcher de crier.
- Tu. Es. A. Moi. Parvint-il à dire avant de maculer de sperme les fesses extrêmement rouges de la femme qu'il aimait plus que tout.
C'était cette dernière vision, celle de son œuvre, le petit cul devant lui qui prenait une teinte entre le rose et le rouge vif, l'idée de le sodomiser aussi, qui avait eu raison de lui.
Il sentit qu'elle s'effondrait sous lui, et d'un geste expert il dénoua la corde qui nouait jusque-là ses mains dans le dos et massa les articulations endolories de la jeune femme. Puis il se leva d'un bond, arracha plusieurs mouchoirs au paquet dans la salle de bain avant de revenir essuyer son sperme sur elle. Il jeta négligemment le tout dans la poubelle près de lui et déposa la couverture sur elle avant de s'enrouler dedans la prenant dans ses bras. Il avait peur d'y être allé un peu fort, aussi bien dans ses gestes dominants que dans le fait de l'avoir laissée seule. Pour le moment, un large sourire baignait son visage et elle cherchait sa bouche avec ardeur.
- Merci... Lui dit-elle dans un souffle. Après un moment de surprise il afficha un sourire à son tour. Entre deux baisers il lui répondit.
- Merci à toi surtout. Tu as été parfaite. Vraiment. Tu mérites bien qu'on s'occupe de toi un peu.
Il se détacha doucement de son étreinte, avec difficulté car elle n'était pas décidée à le laisser partir.
- Je reviens. Promis.
Il se dirigea dans la salle de bain et commença à faire couler l'eau dans le jacuzzi. Il régla la température puis alla replacer les serviettes qu'il avait précipitamment rangé dans le placard auparavant. A son retour, quand le jacuzzi fut prêt, il la retrouva somnolente. Il prit donc l'initiative de la soulever dans ses bras et la porta jusqu'au jacuzzi. La chaleur de l'eau acheva de la réveiller. Elle s'immisça dans l'eau tourbillonnante. Un jacuzzi... Dès qu'elle l'avait vu elle avait sauté de joie, s'imaginant de nombreux scénarios inventifs avec lui dedans. Pourtant à cet instant, la chape de fatigue qui s'abattait sur elle ne lui permettait plus d'y penser. Elle savourait qu'il se glisse près d'elle et la câline de ses mains douces et expertes. Il entreprit de la laver, du savon plein le gant et les mains il alternait entre les deux sur le corps de la jeune femme. Il insista sur les épaules et le dos pour commencer, endoloris par la position difficile qu'elle avait tenue. Avant de passer doucement sur ses fesses et le reste de son corps.
La porte de la salle de bain fermée, il faisait une chaleur très enveloppante à l'intérieur. Il récupéra un élastique de la coiffure dénouée auparavant pour faire une rapide queue de cheval à la jeune femme. C'était mieux ainsi. Il prit tout son temps pour la laver, elle ne s'en rendait pas compte mais sa docilité l'excitait. Il n'avait même pas besoin de parler ou presque, un geste du doigt ou un geste de sa main pour écarter, soulever, retourner semblait d'un naturel déconcertant pour elle. Sans vraiment réaliser que son excitation remontait il lâcha:
- Tu es vraiment mon objet...
Il n'y avait pas de domination ni de dévalorisation dans ses paroles, seulement une constatation pleine d'affection. Pourtant la réponse de la jeune femme le surprit:
- Oui, bien sûr pourquoi?
- Non, je veux dire tu es si docile, même quand je veux faire quelque chose pour toi tu t'arranges pour...être à moi...
Une lueur bestiale secoua son regard. Le visage de la jeune femme s'empourpra.
- C'est que... Enfin en ta présence je n'arrive pas à être autrement, ta seule présence suffit à exercer sur moi un besoin, enfin je ne sais pas, ce n'est pas un besoin c'est plutôt comme ça... C'est comme ça que je dois être.
- Ma présence te fait mouiller ma chienne c'est cela?
- Oui...
Il se reprit soudain.
- Excuse-moi je m'emporte, le moment est à la détente.
Elle se mît à rire en l'embrassant.
- Tu sais bien combien je peux être cérébrale, mon comportement le montre. Et la détente c'est aussi ce qu'on vient de faire. A ce propos ne me refais plus jamais ça! Me laisser toute seule comme ça... J'ai tellement paniqué!
Une grimace s'empara de son visage quand il lui répondit:
- Excuse-moi, j'ai agis sur un coup de tête. J'aurais dû dire une phrase pour te rassurer...
Sa main s'arrêta sur les seins de la jeune femme, il commença à les frotter. N'y tenant plus il commença à les pincer. Docile, elle bomba le torse en se rapprochant afin de lui laisser l'accès libre. Fasciné par sa nouvelle découverte, il entreprit de faire mettre la jeune femme dans diverses positions sans lui dire un seul mot, au fur et à mesure ses gestes devinrent brusques mais mesurés, uniquement dictés par une envie de domination de plus en plus poussée. Il put constater l'émoi de la jeune femme en caressant son intimité. Il serra les dents.
- J'ai des pulsions violentes et très perverses qui me traversent l'esprit, tu as besoin de repos pour le moment, ce n'est pas...
- Violentes comment?
Elle avait sa voix, la voix qu'elle prenait quand elle voulait jouer…
- Tourne toi et montre moi ton cul. Je veux voir mon œuvre.
Docilement, elle s'exécuta.
- Sors du jacuzzi et met toi à quatre pattes sur le sol les fesses vers moi.
La vision était paradisiaque, il ne pouvait s'empêcher de caresser son sexe devenu turgescent.
- Maintenant marche à quatre pattes en ondulant ton cul de chienne, donne moi envie.
Elle se fit extrêmement sensuelle, provocante jusqu'à écarter ses fesses avec ses mains. Elle put le voir grogner de plaisir.
- Avec toi j'ai l'impression d'être un prédateur, je ne me contrôle plus. Viens-là.
Elle le rejoignit dans le jacuzzi et vint sur ses genoux. Elle l'embrassa de toutes ses forces pendant qu'elle sentait ses mains à lui, empoigner ses fesses.
- Plus je te domine, plus je t'aime, plus ça me rend dingue, plus j'ai envie de plus. Je veux plus, je voudrais toujours plus…
Elle s'arrêta net, le regarda intensément pendant de longues secondes. Il commença à comprendre ce qu'elle voulait, sa bite tressauta violemment lorsque des images s'imposèrent à lui. Il avait peur de ne pas réussir à se contrôler tellement il en avait envie. Il ne voulait pas la blesser, il ne voulait pas lui faire mal, il ne pouvait pas s'empêcher d'espérer qu'elle le dise, il était incapable de lui demander.
- Chérie, mon amour, ne me le demande pas... Ça sera trop pour toi aujourd'hui...
Il ne pouvait pas détacher ses yeux de ceux de la jeune femme, si elle disait oui, après ce serait encore plus... Il essaya de se calmer...
Sur un ton mêlant inquiétude, excitation et surtout provocation elle lui dit:
- Fais-moi pleurer.
Ces trois mots avaient un effet aphrodisiaque très violent sur lui.
- Bordel de... Tu es sûre?
- Certaine.
- Pousse en arrière sur ma main je te libérerai.
- Bien sûr. Je te fais confiance.
Il s'assit sur le rebord du jacuzzi, elle se plaça à genoux entre ses jambes. Seule sa tête sortait de l'eau.
D'une main experte, il prit la tête de la jeune femme et empala sa queue au fond de sa gorge. Elle se détendit au maximum, contrôlant habilement sa respiration. La sensation de contrôle l'excitait follement. Il s'enfonça encore, le réflexe arriva, il relâcha sa prise. Pas un seul instant ils ne se quittèrent du regard. Il replongea en elle, commença à bouger. Plusieurs réflexes de rejet arrivèrent, il se retira. Absolument subjugué par les larmes qu'elle avait aux yeux.
- Bon Dieu je t'aime... Tu es sûre que...
- Encore!
Ce mot le fit disjoncter. C'était ce qu'elle attendait. Bien qu'éprouvant pour elle, elle savait qu'il perdait pied quand il faisait cela, son plaisir et son amour pour elle étaient tellement flagrants qu'elle y prenait énormément de plaisir aussi. Bien sûr c'était inavouable pour eux, bien qu'ils le savaient pourtant.
Il possédait entièrement sa bouche, il la baisait pendant dix violentes secondes avant de la relâcher et de lui caresser le visage. Les larmes qui coulaient de ses yeux étaient comme des trophées pour lui. L'excitation devenait terrible au fur et à mesure qu'il les voyait. Il sentait sa jouissance arriver et la prévint d'un léger tapotement sur l'épaule. Elle acquiesça d'un mouvement volontaire enfonçant d'elle même plus profondément la queue qu'elle avait dans la gorge. Pour lui, il n’en fallut pas plus. C'était le moment le plus difficile pour elle car il ne s'arrêterait pas avant d’avoir fini et le plus beau car elle adorait le voir jouir ainsi. Si il y avait eu un spectateur, il aurait pu voir que la tête de la jeune femme avait remplacé le sexe de l'homme, qu'ils ne faisaient plus qu'un, et c'est dans un râle de jouissance que le sperme coula dans la gorge de la jeune femme. Sans pouvoir se retenir, il lui dit combien il l'aimait et combien il la chérissait. Ses derniers râles furent ponctués de nombreux "merci" avant de la relâcher le plus rapidement possible.
Elle peina à retrouver son souffle. Il revint avec un verre d'eau qu'il lui tendit. Son soulagement fut palpable quand elle pu enfin boire le verre d'un trait. Elle lui souriait. Son mascara avait coulé, il essuya chaque trace et embrassa chaque larme qu'il avait vu. Elle frissonnait dans ses bras. Il l'a conduisit sous la douche, termina de la doucher puis l'installa dans le lit.
-Ca va? Demanda-t-il.
- Non...
Son visage se décomposa en une seconde.
- J'y suis allé trop fort c'est ça? Je te jure que j'ai fais attention et...
- Non.
- Non quoi?
Elle leva les yeux au ciel.
- Les mecs... Soupira-t-elle.
- Quoi? Dis-moi!
- Tu n'as pas oublié quelque chose?
- Euh...
Il pensa à toutes vitesses, cherchant dans ses souvenirs ce qu'il aurait pu oublier. Sans succès. Il vit qu'elle était tendue, qu'elle se frottait légèrement contre lui...
- Oh!! Je suis vraiment...
- Ne le dis pas tu vas encore dire des gros mots...
- Excuse-moi, je vais me rattr. Pourquoi tu ne me l'as pas dit sous la douche?
- Parce que je n'aurai pas eu la force de me doucher après!
- Je te promets chérie que je vais te faire jouir comme jamais, viens-là. Mets-toi sur le ventre et ferme les yeux.
Il bascula à cheval au-dessus d'elle et enfonça ses doigts au fond de son intimité. Elle eu un soupir de soulagement. Sachant très bien ce qui pourrait la faire partir vite, il appuya sa main sur sa nuque en exerçant une pression assez forte sans être douloureuse.
- Écarte tes jambes. Montre moi ton cul. Il s'agirait que je profite du spectacle pendant que je te possède une nouvelle fois.
Il continua de bouger ses doigts faisant monter la pression.
- Tu as aimé que je te force à avaler mon sperme n'est-ce pas? Dans ta bouche de salope que j'ai avec ma bite.
Elle se mît à gémir de manière incontrôlée. Finalement elle était très proche.
- Tu voudrais que je recommence?
- Oui.
- Tu es sûre? Tu veux encore pleurer comme une pute?
Elle se mît à trembler et à hoqueter. Satisfait, il ne lui restait plus qu'à lui donner le coup de grâce. Tout en accélérant il lui dit simplement:
- Tu mouilles tellement que tu es incapable de te retenir, tu n'as pas honte, regarde-toi quand tu jouis!
Elle cria dans un orgasme violent et il enfonça sa tête dans l'oreiller. Agitée de soubresauts pendant un long moment, son corps se calma enfin.
Puis elle vint se blottir contre lui, le remerciant tendrement avant de s'endormir dans ses bras quelques minutes après.
Il resta là, un bras coincé autour d'elle, l'autre main suspendue en l'air, couverte de sa jouissance, à la regarder, le sourire aux lèvres. Puis il l'embrassa sur le front avant de lui dire "je t'aime".

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