Le Dépucelage De Mon Grand-Père Pendant La Guerre 39/45. Suite
Le dépucelage de mon grand-père pendant la guerre 39/45.
Au décès de mon grand-père, jai retrouvé des carnets remplis dune écriture serrée. Ils racontaient sa vie dado pendant la seconde guerre mondiale. Ce que je vais vous raconter est tiré de ce quil a vécu avec un rajout hot pour égayer lhistoire avec un grand H.
-Ninon avait raison, le maïs a bien poussé et lépi est dur et ferme. Le coquelet est devenu le roi de la basse-cour. Aaahhh ! Ooouuuiii !
Elle aussi ne partit pas avant davoir reçu son obole. Je retombai aussitôt dans les bras de Morphée après une nouvelle toilette du pinceau toujours dressé, mais par pour longtemps. Cette fois, ce fut le tour de Louisa. Elle avait de magnifiques seins et une toute petite chatte. Mon engin était comme pris dans un étau dans son vagin et elle se poignardait avec prudence sur ma pine.
-Aaahhh Bernard ! Mon Dieu que tes gros, pourtant tu nas que la peau sur les os. Je ne croyais pas que tu aurais tenu le coup jusquà moi mais tu as lair dêtre un bon coup !
Une fois son affaire faite, et un dernier nettoyage, je pus enfin dormir, la queue toujours raide. Mais que mavaient-elles fait boire ? Ce nest que le lendemain que je réalisais au petit-déjeuner que trois des femelles sur quatre autour de la table avaient trouvé lorgasme en faisant du rodéo sur ma pine
Et pourtant, elles faisaient comme si je nexistais pas, les salopes !
Suite :
Le lendemain matin au petit déjeuner une fois quAline se fut absentée, leur comportement changea et elles furent toutes au petit soin pour moi, commentant cette nuit de débauche comme si je nexistais pas.
-Notre coq à la queue plus verte que Juan, lui na jamais tenu les trois rounds, expliquait Lina.
-Et il était encore « en forme » quand je lai quitté. Confirmait Luisa. Et quel gourdin !
-Eh ! Je veux bien le partager avec vous ! Sexclama Ninon. Mais vous allez le dépraver et le rendre malade si vous lui donnez trop souvent votre potion.
-Eh ! Je suis là ! Je memportais. Jai peut-être mon mot à dire !
Chaque jour jusquau retour de mes parents, que ce soit la nuit ou dans les « conches », Il fallait que je contente lune ou lautre. Heureusement que jétais jeune et en pleine possession de mes moyens au niveau sexuel car il fallait que je donne de ma personne.
Le feu dartifice eut lieu la veille du retour de mes parents où, mayant fait à nouveau boire de la « potion magique », ces trois bacchantes se déchainèrent ensemble sur le « pôvre gosse » que jétais. Mais jétais fier comme un coq avec toutes ces « poules ».
Le drame, même plusieurs, eurent lieu lannée suivante. Lors du bombardement de la base sous-marine par les alliés, des bombes détruisirent des maisons dont celle de mon copain Pierre, il y perdit la vie ainsi que sa mère. Je perdis alors mon insouciance et se fut encore pire quand mon père se fit arrêter par la Gestapo. Je ne le revus jamais. Nous ne quittions plus la minuscule ferme où mes cousines de Dieppe, Virginie et Colette nous avaient rejoints. Il ne faisait pas bon de vivre dans ces coins là à cette époque
Pour oublier mon chagrin, je navais pas trouvé mieux que de me noyer dans la luxure, dans ces courts moments de bonheur où joubliais tout. La bicoque était si petite que Lina avait prêté une dépendance pour en faire un dortoir pour mes cousines, ma sur et moi. Elle avait récupéré des lits superposés, dun coté, moi et ma sur, de lautre mes cousines. La nuit, il était interdit dallumer et la minuscule fenêtre qui donnait sur locéan était obturée par une couverture épaisse car si une lumière était aperçue par les marins de leurs vedettes ou des boches qui faisaient des rondes, ils nhésitaient pas à lâcher une rafale de mitrailleuse ou des coups de fusil.
Mais cétait sans compter linsatiable Ninon. Elle se coulait subrepticement dans la pièce en pleine nuit, se suspendait des mains aux lattes du lit supérieur et me chevauchait comme une amazone déchainée, serrant les lèvres pour ne pas réveiller les filles endormies.
-Tu étais bizarre cette nuit, on aurait dit que tu ne savais pas comment faire et jai ressenti comme de la résistance quand mon sexe sest enfoncé dans le tien.
Sa réaction fût étonnante.
-Ah la petite pute ! Elle a osée !
-Osé quoi ? Et qui ?
-Ma sur pardi ! Jai dû passer la nuit à létable car la « Rousse » était malade. Cette salope dAline en a profitée pour allez se faire dépuceler sur ton gourdin ! Et tu nas rien remarqué ?
-Eh bien, euuuhhh, je dois dire que
jai bien remarqué que létui avait lair plus serré que dhabitude et que tu/quelle na pas tenu longtemps avant de geindre, jai même dû la bâillonner des mes mains pour quelle ne réveille pas les autres.
Mais le mal était fait, et les poulettes dessalées. Dans les semaines qui suivirent, deux fois encore, des taches de sang tachèrent mes draps. Jétais devenu le coq de la basse-cour, le seul et unique
Et toutes les poules caquetaient entre elles pour comparer leurs impressions, ce quelles avaient fait ou non, en voulant encore plus de ma part. Un vrai défilé je vous dis !!! Il manquait une tache de sang, ce qui voulait dire que : Où lune delle sabstenait, ou elle était déjà dépucelée, mais laquelle ???
Le pire, cest que je ne savais jamais quelle poulette montait sur le coq tellement la pièce était dans le noir complet. Et à part Ninon, sa mère ou sa tante qui demandaient elles aussi leur dû quand je partais avec elles aux travaux des champs, je ne savais laquelle jétais en train de troncher
Je nai jamais su laquelle, quand elle arrivait à lorgasme, minondait comme si elle me pissait dessus que mes draps en étaient à tordre. Par accord tacite dailleurs, mes draps étaient changés chaque jour sans quun seul commentaire de lune ou de lautre ne trahisse lauteure de cette performance. Mais je suis sûr quentre elles, elles se disaient tout.
Des années plus tard, un jour un compagnon de cellule me raconta dans une longue lettre les derniers jours de mon père qui fut fusillé par les boches un matin sans avoir trahi son réseau. Heureusement pour Lina et tous ceux qui vivaient sous son toit.
Pendant plusieurs années, sans que ma mère le sache, jétais souvent invité de droite et de gauche car les poulettes, devenues de belles poules, attendaient avec impatiences de revoir leur « coq », se déplumant le cou à coup de bec entre elles pour avoir la meilleure place du poulailler qui sétoffa dautres cousines qui voulaient tester « le coq ». Je ne sais pas si un jour quelquun lira ces lignes. Mais je lui demande dêtre discret car sil est de ma famille, il est bien possible que son cousin ou sa cousine soit son demi-frère ou sa demi-sur.
Bordel de merde !!! Quelle révélation !!! A part faire des recherches génétiques, je ne saurai jamais si sa prédiction est devenue réalité. Mais il a raison, à part semer la merde ça napportera rien de bon.
Je vais brûler ces cahiers mais après en avoir écrit un livre « édulcoré de certains passages ».
NB : Ce livre existe vraiment. Je men suis inspiré après lavoir lu pour la trame de ce texte et les malheurs arrivés dans cette histoire sont aussi bien réels. Tous les prénoms ont été changés, sauf un.
Mlkjhg39
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