La Chef De Chantier
Depuis des lustres je nai plus de nouvelle de la chef de chantier.
Elle était arrivée toute trempée au bistro pour boire un café. Jignorais mon mari, les clients pour lui donner des vêtements secs. Lessayage a fini de la meilleur des façons : nous avons longuement fait lamour. Cétait une découverte pour moi, pour elle je ne sais pas, malgré ce quelle men disait. Quand jen ai parlé à mon mari, il ma presque sauté dessus. Il aurait voulu me voir jouir avec une autre. Il sest bien rattrapé quand je lui ai ouvert mon cul pour la première fois. Il ma donné ainsi loccasion dapprécier sa bite dans lanus. Il a une façon de menculer qui en vaut la peine. Sa queue est longue, même si elle nest pas grosse.
Il ne pousse pas quand il est sur lanus. Il my entraine malgré moi. Je sens la bite sur le cul, elle mattire. Jai envie quil entre, alors je recule à peine pour le faire entrer. Je sens le gland senfoncer lentement. Il doit bien mettre deux minutes avant dêtre à lintérieur. Mes chairs sécartent lentement puis souvrent totalement. Je pousse sur les fesses encore jusquà ce quil soit entièrement en moi. Ma jouissance est sans équivalence. Jen bénis encore la chef de chantier.
On dit que seules les montagnes ne se rencontrent pas : cest vrai. De nouveaux travaux dans la commune ramènent la même entreprise et donc la même chef de chantier. Si les ouvriers viennent après leur casse croute boire qui une bière, qui un verre de rouge, elle vient boire un café. Même si mon mari est là, elle membrasse sur les joues.
Un vendredi après midi, je suis seule quand elle vient. Ce nest plus sur la joue, cest sur ma bouche que sa bouche se pose. Tant pis pour le commerce, je ferme boutique. Elle connait le chemin. Je la précède dans les escaliers. Elle montre sa féminité. Elle bifurque vers la pièce où nous nous sommes égarées. Cette fois le baiser cest plus une surprise. Une main cherche à passer sous ma robe.
Jai envie quelle me fasse jouir. Je la veux contre moi, nue et contre moi. Elle me veut, elle me caresse, me fait mouiller. Cette fois une main sur la chatte, sans y entrer et une autre sur les fesses en les caressant font que je fonds totalement. Je pensais avoir le dessus, je reste sa servante. Sans trop le vouloir je me trouve sur le dos, les jambes pendantes du lit. Sa tête est juste entre mes cuisses. Je sens sa respiration rauque venir sur moi. Ses mains caressent les bords de cuisses, puis le dessous. Je lève les jambes sous sa pression pendant que sa langue commence à fouiller. Je la sens sur le bouton, rapidement puis la rosace et enfin sur lanus.
Elle y insiste. Je ne pense pas quelle y aille. Cest réservé à la queue de mon mari. Elle écarte mes fesses avec ses mains, elle insiste un peu et entre le bout de la langue. Je fais un petit bon en avant. Sans le vouloir je me fais presque enculée. Sa langue ne sent plus dobstacle, entre facilement. Son nez se plante juste dans le vagin ; il sert de pine de rechange. Je mentends geindre. Je me laisse faire. Seules mes mains sur sa tête font office de défense, plutôt dencouragement.
Que de plaisir elle me donne. Je jouis deux fois, je lève sa tête vers moi. Elle vient sur moi comme un homme, le pubis contre le mien. Elle na pas de queue pour me la mettre. Alors
.Elle passe sa main entre nous, la retourne pour la mettre sur la chatte. Ses doigts pliés entrent en moi. Elle me donne encore se divin plaisir.
Enfin elle se tourne complètement, me donnant ainsi tout son sexe. A mon tour dagir. Ma bouche mordille tout ce qui dépasse. Elle aussi gémit. Jaspire le clitoris, le lèche à lintérieur de la bouche. Ma salve se mélange à sa cyprine. Cest bon, je la sens jouir son tour. Elle me donne une dose de son liquide. Jen veux encore.
Son visage est sur moi, sur la chatte. Elle recommence à me faire jouir.
Tant mieux que mon mari soit absent. Cest certainement meilleur uniquement entre femmes. Nous sommes toute barbouillées de nos liquides. Une douche est obligatoire, même si ces odeurs ne me dérangent pas du tout.
Leau chaude nous donne envie de jouir encore une fois. Elle est derrière moi, une main caressant un sein, lautre en tenant la poire fait couler leau sur moi, juste sur le bouton. Ma main droite, derrière moi passe sans cesse sur sa fente, lui donnant ce quelle attend.
Nous nous rhabillons lentement, comme à regret, dans lattente dun prochain câlin.
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