Lesbienne Soumise

J'aimerais bien savoir si un mec du campus local aurait du temps libre à m'accorder. Ça va bientôt faire un mois que je me suis pas faite prendre par derrière. Mais aujourd'hui, j'aurais envie d'une fille. D'une bonne chiennasse qui m'obéirai. Je sais ce que je vais faire aujourd'hui...
Je composai le numéro de Victoria, une bonne fille que je connais bien. Hum, je sens que je vais me faire plaisir en léchant ses tétons bruns et sa chatte toute humide, spécialement ouverte pour moi.

- Allô ?
- Salut Vic, c'est Rebecca.
- Ah salut ma chérie. Qu'est-ce que tu veux ?
- Une bonne baise ce soir. Rendez-vous à 20 heures chez moi.
- Entendu.

Je raccrochais. Décidément elle devait être en manque, elle aussi...

Le soir venu, j'enfilai mon uniforme de salope : body suit en cuir noir avec chatte et seins apparents; bottes à talons aiguilles et une cravache courte pour dompter ma victime de ce soir.
Victoria sonna. J'ouvris et la découvris en manteau épais alors que nous étions en juillet.
Mais, vu son sourire carnassier, elle cachait quelque chose.
Son manteau tomba au sol lustré de ma villa et je vis un corps bandant. Elle était nue et déjà couverte de mouille partout sur la chatte et ses cuisses.

- Tu t'es fait plaisir avant de venir ?
- Oui... Mon voisin m'a baisée. Et j'ai un cadeau pour toi : du foutre...

Pour illustrer son propos, elle s'allongea sur le sofa gris près d'elle et écarta ses jambes. Du sperme blanc immaculé coulait de sa fente.
Sans chercher à résister, je me suis accroupie et j'ai léché tout le sperme en aspirant, suçant et donnant des coups de langue. Ma partenaire gémissait bruyamment et j'ai plaqué ma main contre sa bouche.
J'ai pris ma cravache et je l'ai pénétrée brutalement avec de manche. Elle semblait aimer ça. Je lui i cravaché le cul et je l'ai aussi pénétrée dedans. Satisfaite, je lui ai ordonné de suçer mes tétons : ce que j'adorais le plus au monde.

Pendant qu'elle les astiquait, je la doigtait sensuellement. Cette chienne était une femme fontaine, je n'ai pas tardé à être couverte de sa mouille. Mais, avec mes bons réflèxes, le jet qu'elle expulsa atterit dans ma bouche. Je me déléctais de cette saveur salée et exquise.
Victoria, en esclave parfaite, me fit un cunni divin. J'ai presque déversé autant de fluide que cette salope ! Je n'allais pas la retenir plus longtemps : je savais qu'elle voulait se faire fister.
J'ai donc lubrifié son trou du cul pour y introduire mon avant-bras. Elle jouis directement. Je fis de même avec sa fente.
Après des heures entières de sexe brutal et de domination, elle est enfin partie. J'ai regardé mon salon : le parquet luisait du fluide corporel de nos deux corps. Magnifique, je n'avais plus qu'à nettoyer...