34.1 Jérém Se Lâche Après Le Bac Philo.
Précédemment, dans « 50 nuances de Jérémie » : La philo terminée. Sortie de salle dexamen. Son souffle chaud dans mon cou, ses mots fermes dans mon oreille, lâchés sur un ton autoritaire et excité
« Chez moi, maintenant
».
Un trajet de quelques minutes dans un silence total entre la Daurade et rue de la Colombette, un silence lourd, épais, chargé dérotisme brut, de sensualité palpable, comme une bulle autour de nous
et pour cause
après lavoir chauffé à blanc pendant toute la durée de lépreuve, Jérém est brûlant comme la braise
Il sarrête prendre des sandwichs. Lanimal a faim. Il men tend un. Mignon.
On arrive devant le dortoir, on monte les escaliers, on rentre dans sa chambre. Il referme la porte derrière nous. Je suis seul avec lui
putain de Jérém
Sans un mot, sans transition, il me saisit par les épaules, fermement, brutalement ; il me retourne, me plaque contre le mur ; son geste dégage une virulence qui nest pas sans me rappeler celle avec laquelle il avait balancé le mec qui me cherchait des noises dans les chiottes de lEsmé le samedi précédent. Comme lui, jai failli cogner le nez contre la paroi, ce nest pas passé bien loin
Ça mapprendra à faire mon malin
Jérém est chaud bouillant, je ne lai jamais vu dans cet état là, cest impressionnant, déroutant
mais au final, de le voir si débridé, si tendu vers sa jouissance, ça me fait un effet de dingue
cest la première que je le vois autant enflammé, cest la première fois de ma vie que je vois un garçon si brûlant
jai limpression quil est excité au point quil pourrait me faire nimporte quoi
tout ce que je vois cest quil a envie de jouir, et de jouir très fort
peut-on imaginer plus belle image, plus belle expérience quun beau mec hyper excité, un mec qui a envie de se vider les couilles et pour qui on représente à un instant précis le seul et unique moyen de le faire, la seule et unique cible de sa fixation de male en rut?
Avoir chatouillé sa virilité, lavoir défiée, avoir tout fait pour attirer lattention sur soi, pour attiser ses envies sur moi, et jouir en voyant que le mec a mordu à lhameçon de toute cette parade quon a mise en uvre pour enflammer ses sens, pour réveiller sa queue
Ses gestes sont rapides, brusques, puissants, je le sens respirer dans mon dos, très fort et profondément, il dégage de la testostérone à plein nez, je sens son bassin exerçant une pression insistante contre mes fesses, son érection puissante arrivant à se faire sentir à travers le double tissu de son short et de mon jean
Son attitude est emportée, limite violente
jai limpression que si je me refusais à lui, il me prendrait par la force
ou même quil pourrait me cogner
on ne chatouille pas un mâle en rut, au risque de se faire attaquer
je lai cherché, je lai trouvé, son cerveau reptilien est aux commandes de la bête et il ne lui inspire que des désirs
voire des instincts primitifs
jaime imaginer que sa raison nest plus quun lointain souvenir
que le mec est sans barrières
Certes, je ne veux pas en arriver jusquà là, je ne veux pas le rendre réellement violent, mais lidée que ça puisse être possible, lidée de ne pas avoir le choix, ça mexcite au plus haut point
bien sûr, au fond de moi jaime à imaginer quil ne pourrait pas en arriver là
pas avec moi
je lai vu semporter
je sais quil en est capable
capable den arriver aux mains
mais pas avec moi
je sais quil peut être sauvage et violent dans la baise, humiliant, mais pas violent au sens propre
et si je mamusais à le contrarier, je pense quil nirait pas à me faire mal physiquement, car je pense quune ultime barrière se dresserait en lui pour empêcher ça
Dautre part, je suis bien placé pour savoir que la violence nexiste pas quau format physique
alors, pour ce qui est de la violence verbale, ça cest une autre histoire
je sais à quel point il sait être sans limites sur ce plan là
et la pire violence quil pourrait me faire, cest encore celle de me balancer des horreurs ou de
me priver de lui
Je me suis sciemment coincé dans une situation dans laquelle je sais que, pour maintenir son excitation en deçà du seuil où il perdrait tout contrôle, où il pourrait définitivement me jeter, je nai pas le choix, je dois me plier à ses envies, à toutes ses envies
Je me suis mis tout seul dans le pétrin, je suis dans une impasse
et quelle belle impasse celle qui amène à se faire coincer par un si beau mâle pour le soulager jusquà que la queue lui en tombe
oui, je me suis engagé dans une voie sans issue, et lidée de me retrouver à sa merci me met dans tous mes états
non, je nai plus le choix, je dois perdre le contrôle, me laisser faire, il va se servir de moi pour évacuer toute cette puissance sexuelle que jai réveillée, il va me baiser autant quil voudra, comme il le voudra, je lai mis dans un tel état que la jouissance est son seul but, plus rien dautre nexiste
Et, encore mieux, sa jouissance de ce jour là est autant un soulagement pour sa queue quune punition pour mon effronterie
ce jour là Jérém na quune envie, cest de me baiser
non pas de me faire lamour, ni même de baiser « avec » moi
ce jour là, il a juste envie de me baiser
, mais me baiser moi, rien que moi
le sale petit con qui a osé défier son pouvoir viril
Sacré petit con
il me garde plaqué contre le mur pendant un bon moment
sa bouche est toute proche de mon cou, son souffle caresse me nuque, son parfum menvahit, lodeur de sa bouche sy mélange, je suis fou
jai envie de me retourner pour lembrasser, mais il me tient si fermement collé au mur que même si je le voulais, je ne pourrais pas me dégager
et puis, ses lèvres me sont toujours interdites
je crois que si je tentais un truc de ce genre à ce moment là, il serait capable de me frapper
Son corps me domine, mentrave, il est sur moi, je sens toute sa puissance sur mon dos, dans mes jambes, dans mes fesses, entre mes fesses
jai envie de lui, je bande, je mouille, je sens ma rondelle réclamer sa présence en moi
Il fait chaud sans sa petite chambre, la porte fenêtre est fermé et jai limpression dêtre dans un four
jai chaud, je commence à transpirer, je ne vais pas tarder à être en nage, lambiance est moite, jai envie de son jus sur moi, dans moi
Jai envie de lui crier : Prends moi, baise moi, défonce moi
Jen crève denvie et je ne sais pas ce qui me retient de le faire
rien en effet
on est là pour baiser
je suis là pour être sa salope
alors je sens toutes les dernières barrières souvrir dans ma tête, enfoncées par un désir plus fort que tout
jouvre mes lèvres, je me sens perdre pied, je vais lui crier de me défoncer, de décharger son jus en moi
je vais me soumettre définitivement à sa virilité, je vais perdre toute dignité
quimporte à ce moment là, devant le plaisir qui mattend
Sa respiration saccélère encore, il bande comme un taureau, je vais prendre une sacrée cartouche.
Jen peux plus
je vais lui crier de me sauter, vite
jinspire, la première lettre du premier mot de ma phrase prend naissance dans ma gorge quand mes oreilles se retrouvent percutées de plein fouet par la vibration de sa voix. Elle est sacrement tendue, le mec est chaud comme la braise :
« Tu la sens ma queue, espèce de pute ? »
(Ca fait trop bizarre de lentendre prononcer ces mots là à ce moment là
où est donc passé le mec tendre de samedi soir ? Celui qui ma sourit en me faisant lamour ? Celui qui a voulu que je reste dormir avec lui ? Qui a voulu que je lenlace ? Est-ce vraiment le même mec, ce type qui me plaque sauvagement contre le mur avant de me baiser
ou a-t-il été remplacé par un autre, sans que je men rende compte ? Mais bon, en attendant, faute de mieux, oui, jai envie de ça, être ta pute, mon beau Jérém
tu las cherché, maintenant il faut assumer, mon Nico
pour la tendresse, on repassera
ce nest pas aujourdhui, ni jamais dailleurs, que je retenterai quoique ce soit dans ce style là
)
« Oui, je la sens, elle est trop bonne
»
« Quest ce qui tas pris de me chauffer tout à lheure ? »
(Quel culot le mec, cest lui qui a commencé à me faire craquer avec son sourire infernal
)
« Javais trop envie de toi
»
(Jai tout le temps envie de toi, espèce didiot !)
« Tavais envie de ma queue dit-t-il en me bousculant dis le ! »
(Jai juste envie de te faire jouir, mec)
« Oui, javais envie de tavoir dans la bouche
»
« Tes vraiment une sale chienne en chaleur
»
« Cest toi qui me rends comme ça
cest toi qui me rends dingue
ta queue
»
« Tu veux encore que je te remplisse la bouche de mon jus ? »
« Oui, Jérém, fais moi ce cadeau, gicle-moi dans la bouche
»
Il relâche à peine sa prise et il revient en mettant un bon coup de bassin dans mes reins, cest plutôt violent, je sens toute sa puissance sur moi.
« Jai vu que tas faim de ma queue, oui
»
« Sil te plait, laisse moi te sucer
»
« Tu me suceras quand jen aurais envie
»
« Tu en as pas envie là
»
« Non, pas vraiment
»
« Et tas envie de quoi
? »
Là, tous de suite, jai envie de te défoncer le cul
»
C'est clair, c'est direct, c'est ce dont j'ai envie. Cest bon de savoir quon est pile sur la même longueur donde
et ce qui est encore meilleur cest que cest lui à annoncer la couleur
il a vraiment envie, envie de moi, envie de mon cul
Cest bon comme jamais, cette attente ne fait quaccroître mon désir, cette soumission amène mon envie de lui à son paroxysme
son parfum et sa transpiration, lodeur de sa peau me rendent dingue, lair est saturé par une claire odeur de mâle
Décidemment Jérém nest pas un, mais plusieurs, 50 nuances de Jérémie défilent devant mes yeux au fil des jours
et là, le mec il a juste envie de me défoncer tout de suite
de toute façon, je naurais jamais mieux de lui
des bons coups de baise, mais pas son cur
la nuit de samedi cétait une fausse note dans la partition de notre relation
Jérém est le mec qui baise, mais qui ne fait pas de câlins
je tâcherai de men souvenir
en attendant, vas-y mon beau, baise-moi
« Vas-y, ne ten prive pas
»
Je le sens souffler très fort, il nen peut plus
lui non plus
jai presque limpression quil essaie de résister à sa propre excitation
quelque chose me dit que le fait que jarrive à lallumer à ce point ça doit lui faire peur
ça doit le faire chier que jaie ce pouvoir sur lui
certes cest lui qui a commencé à me chercher ce matin, mais à partir du moment où je lai défié, cest là quil est monté en pression
son excitation a grimpé tour après tour, elle a fini par lui échapper des mains
il a du essayer de se reprendre, de reprendre le contrôle
il ny arrive pas, il sait que pour se calmer il na dautre choix que me baiser
tout ce dont jai envie aussi
il est pris au piège, autant que je le suis
On est condamnés à baiser pour retrouver nos esprits
ça me plait comme idée
Il relâche enfin sa pression, il se décolle de moi
et à linstant même où le contact cesse, il me manque déjà
je reprends ma respiration, je décolle légèrement ma poitrine et mon nez du mur
jentends un bruit de cuir glissant très rapidement sur le même cuir, suivi dun léger cliquetis métallique
quest-ce quil est chargé dérotisme masculin, pour moi, ce bruit, depuis ce jour là
happé par ces petits bruits, attiré par des mouvements que je capte avec le coin de lil, je tourne illico la tête
dun geste rapide et automatique Jérém a défait sa ceinture
ça ne dure quune fraction de seconde : pendant que, sans même se baisser, il enlève ses baskets, mes yeux sont aimantés par sa braguette ouverte, laissant entrevoir une portion assez vaste de son boxer déformée par une sacrée bosse
et la vision de ce bout de cuir baillant sur le côté, de cette ceinture défaite avant la baise, est pour moi une vision dune intensité érotique absolue
Ca y est le short et le boxer tombent, sa queue en lair, pointant le zénith, il ne reste que le t-shirt sur son torse
je croise ses yeux de fauve enragé
il sarrête un instant, immobile, son regard est noir, il fulmine
putain de mec
il inspire un bon coup, dun geste rapide et assuré il ôte enfin son t-shirt, je vois ce bout de tissu bleu ciel voler par terre
et cest à mourir de désir toute la beauté et toutes les odeurs qui se dégagent de ce torse nu
sa chaînette sexy, son tatouage à tomber
je suis en transe
baise moi, Jérém
Je sais que je serai vite exaucé, je sens que Jérém est en mode mâle directif
le bonheur, quoi
alors, devant lempressement et lardeur du mâle, je décide de me laisser faire, de mabandonner totalement à ses actes, à ses initiatives, à être sa chose
il défait ma ceinture rageusement, il ouvre ma braguette à laveugle, presque en larrachant, je sens ses mains se saisir de mon jean, de mon boxer, les descendre à hauteur de mes genoux
je sens la fraîcheur sur mes fesses nouvellement découvertes
cest si agréable et excitant
Je le sens revenir à la charge, virulent
sa queue est désormais fermement calée entre mes fesses
il saisit le bas de mon t-shirt et dun geste puissant et précipité le soulève
jai tout juste le temps de soulever mes bras, il le fait glisser et le balance par terre sans regarder, il atterrit à coté du sien
Il me plaque à nouveau contre le mur, encore plus brutalement, violemment
quest ce que jai pu le chauffer pendant lépreuve, et cest exactement à cela que je mattendais sans même pouvoir limaginer
cest de ce genre de réaction, presque enragée, très virile, sauvage, instinctivement sexuelle dont javais envie
Il me maintient solidement plaqué au mur, ses mains saisissent fermement mes bras, mes hanches
sa queue est entre mes jambes, je sens sa raideur et sa douceur frotter ma raie et ma rondelle
je frissonne comme un fiévreux
je sens la chaleur et la fermeté de ses pectoraux au contact de la peau de mon dos
je vais disjoncter
cest pas possible dendurer autant dexcitation et de bonheur sensuel
« Tu vas la sentir passer, cest moi qui te le dis
»
« Tu es super bien monté
»
« Et toi tes une pute, un trou à bite
»
« Je suis le trou pour ta bite
personne ne pourrait me faire ce que tu me fais
»
« Je te fais quoi ? »
« Tu me fais jouir
»
« Jouir du cul ? »
« Oui, jouir du cul
»
« Tes une vraie salope
»
« Cest ta queue qui me rends comme ça
»
« Non, tes une salope qui a tout le temps chaud au cul
je pourrai te rincer le fion dix fois dans la journée que tu laurais toujours en feu
»
« Jai juste envie de toi
»
« Arrête
tu mériterais quune équipe de rugby au complet te défonce le cul
»
(Saleté de petit con, où il est-ce quil a été la chercher celle là ?)
« Je nai envie que de toi
»
« Je suis sur que tu aimerais te faire fourrer jusquà en déborder
»
« Jérém
»
« Quoi ? »
« Jai envie de toi
»
« Tas envie de quoi ? »
« Que tu me prennes
»
« Tas envie que je te casse le cul, cest ça ? »
« Viens jouir comme un mec et me faire jouir comme ta pute
»
« Dis-le que tas envie que je te démonte le cul
»
« Oui, jen ai envie
»
« Dis-le ! »
« Jai envie que tu me démonte le cul, oui
»
Je sens sa main glisser sur mes couilles, les attr, les serrer
« Ten as rien à faire de ça
elles te servent à rien
il ny a que ton cul pour te faire jouir
»
« Oui, Jérém
«
Il nest pas satisfait de ma réponse, il serre un peu plus sa main
jai un peu mal mais ce jeu de soumission, dhumiliation de ma sexualité est super excitant
« Non, elles me servent à rien
il ny a que ta queue pour me faire jouir
»
Il serre encore plus
jai vraiment mal, mais je suis excité à un point que je ne peux pas décrire
sa queue calée dans mon entre jambes
ses poils pubiens chatouillant le bas de mes fesses
Et puis, sans prévenir, il me lâche
je le sens cracher dans sa main, je sais quil est en train de préparer sa queue pour lassaut de mon ti trou
je le sens recracher et ses doigts passer sur ma rondelle pour étaler sa salive
cest rapide, cest excitant, un instant plus tard ses mains passent sous mes aisselles et trouvent appui à hauteur de mes tétons
je me demande sil se rend compte que cette région de mon corps est hypersensible ou alors sil prend juste appui pour aider son bassin dans la pénétration et dans les coups de reins qui vont suivre
Je sens son gland se présenter pile devant lentrée de mon intimité, gonflé à bloc, brûlant : sous la pression de son bassin, rapidement ma rondelle abandonne toute résistance, elle se laisse aller avec délectation à linvasion du mâle, cette invasion quelle sait lui être si plaisante
son gland glisse lentement et je sens son gourdin senfoncer entièrement en moi
la défense de mon anus vaincue, sa queue ne rencontre aucune autre résistance à son passage
ça y est, il est au plus profond de moi, ses couilles chatouillent mes fesses et ses pectoraux caressent mon dos
lorsque sa queue arrive à la garde, je sens Jérémie se livrer à une profonde inspiration traduisant son plaisir
ses pectoraux et ses abdos semblent se contracter, le contact se perd pendant un instant avec la peau de mon dos mais il revient presque aussitôt, encore plus agréable
Avec ses mains puissantes et ses doigts bien écartés pour augmenter la surface de prise, il mattire à lui, le contact de la paume de sa main contre mes tétons est une sensation purement et simplement délirante, il pourrait faire de moi ce quil veut, comme dhabitude, 100 fois plus que dhabitude
Il pourrait
et il le fait
un instant plus tard, il est en train de me sauter avec une rage de dingue
quelque chose me dit que dans létat quil est, Jérém ne sera pas long à venir
ses couilles sont bien pleines et son excitation extrême
je le sens très impatient, pressé de se lâcher, de précipiter sa jouissance
et putain comme il prend dassaut mon cul avec ses coups de reins claquant sur mes fesses, son visage collé dans le creux de mon épaule
ses lèvres posées dans le creux entre la base de mon cou et mon épaule, je le sens mordiller ma peau, nerveusement
mouvement enragé de mâle hyper allumé
Quest-ce que cest bon que de me faire tringler par ce mec, et qui plus est dans cet état là
jai juste pas envie quil vienne trop vite
jai envie quil me défonce pendant longtemps
je sais quil est trop en pression pour se retenir, pour rechercher autre chose que le chemin le plus court vers son plaisir
il faut quil calme sa queue avec un premier orgasme rapide et bestial, ensuite il reviendra à la charge, plus endurant
Et alors je le laisse faire, goûtant à chaque moindre bribe de ce plaisir extrême
et même si je sais quil viendra trop tôt à on goût, je sais que je serai content quand il jouira, quand son jus viendra en moi, quand lorgasme secouera ce beau corps et quil sentira son esprit sévaporer quelques instants sous la vague du plaisir
car son plaisir sera mon plaisir, le plaisir de le sentir jouir
Quelques foulées bien amples, sa queue senfonce en moi avec puissance, ses couilles frappent mes fesses violemment, son bassin écrase le mien sans ménagement
quelques coups de reins bien profonds et le mec rencontre cet orgasme quil ne peut contenir plus longtemps, tellement son jeune corps le lui réclame ; et pendant que Jérém jouit très fort en moi, comme un animal, sans réussir à contenir ses râles de plaisir, pendant que je sens le souffle bouillant sur mon cou, pendant que son nectar de mec quitte ses couilles pour aller se loger bien au fond de moi, je sens cette chaleur monter dans mon ventre
jétais tellement pris à mon plaisir anal, à ma jouissance passive que je ne lai pas senti venir
je jouis à mon tour
mes giclées vont sabattre sur la cloison et sur le carrelage
Oui, sans se soucier minimalement de mon plaisir à moi, Jérém sest vidé les couilles en moi.
Il est toujours en moi, la queue raide
je me sais rempli de son jus copieux et dense, ses mains sur mes tétons, son souffle chaud dans le cou
il fait vraiment chaud sans le petit espace de sa chambre
et après cet effort de dingue quil vient de produire, Jérém est carrément en nage
je le sens appuyer son front sur mon épaule et ly frotter pour sessuyer de sa transpiration abondante
putain que jaime la transpiration masculine, et la sienne tout particulièrement
Un instant plus tard il se dégage de moi ; il me saisit par les épaules, il me décolle du mur et il appuie lourdement sur mes épaules pour me faire mettre à genoux, la tête appuyée contre le mur. Pendant un court instant je suis déçu de le voir séloigner alors que je mattendais à quil me fourre directement sa bite dans la bouche
sans réfléchir sur le fait quil est nu, la queue tendue et quon est en pleine journée, je me dis quil va partir en terrasse fumer sa cigarette
non, je me trompe, le bogoss ne partira pas fumer, il ira juste ouvrir un peu la porte fenêtre pour laisser entrer de lair. Il doit se sentir , le pauvre, sa respiration demeure profonde et excitée
Je le regarde revenir vers moi avec sa démarche assurée, tellement à laise dans sa nudité, la queue toujours tendue, luisante du jus quil vient de fourrer dans mon petit cul
il sarrête à quelque centimètres de ma bouche, les mains sur sa bite pour la ramener pile à hauteur de mes lèvres
Mon esprit est happé par la vision de ce corps dapollon en sueur se tenant débout devant moi, me dominant de toute sa taille, me soumettant à sa queue, un apollon ayant joui en moi et dont le passage bien viril pulse encore dans ma rondelle
je me dis que nos envies, nos sexualités sont si compatibles
quon est vraiment fait lun pour lautre, que nos corps sont fait lun pour lautre
et dans ma tête, cest le bonheur
Mais la vue ce nest pas le seul sens à en prendre pour son argent
mes narines sont ravies par lodeur fort et intense de sa sueur, de sa transpiration pubienne, lodeur de ce petit jus qui continue de suinter de sa peau et qui sévapore petit à petit saturant lair de cette odeur de mec
cette odeur de plus en plus forte et qui est en train de faire glisser le parfum de son déo à larrière plan olfactif
dans mon nez, mille odeurs délicieuses, les odeur dun homme, un véritable bouquet doù lune dentre elles se détache nette, forte, prégnante, entêtante
cest une odeur reconnaissable entre mille, celle de son sperme
celle de son plaisir de mec
Devant mon hésitation, devant ma contemplation, cette véritable jouissance des yeux, cette attitude dun instant qui nest pour Jérém quune attente intolérable quon soccupe de sa bite, le beau mâle avance le bassin, tout en portant une main sur ma nuque
son gland touche mes lèvres, elles souvrent petit à petit, sa queue glisse entre, lentement, dans cette fente qui lui fait comme un haie dhonneur
son gland avance encore, il rencontre ma langue
et ma langue rencontre son goût quelle savoure avec gourmandise, ce mélange de nectar de mec et jus salé produit par sa peau
il avance jusquà rencontrer le fond de mon palais
et là la pression de sa main sur ma nuque se fait encore plus forte, il essaie denfoncer son gland dans ma gorge
je le sens avancer, m
je le sens progresser encore, menvahir
jai un peu mal mais ma douleur est vite compensée par la sensation de lavoir complètement en bouche, jusquà la garde
ou presque
je sais quil aime ça
me remplir la bouche avec sa queue, avec toute sa queue
et voir que quoiquil fasse, quoi que je fasse, elle ne rentre pas entièrement
putain de petit con trop fier de sa queue !
« Tu la sens bien là ma queue, petite pute en chaleur ? »
Franchement Jérémie, tas limpression que je suis en position de te faire la causette ? Sil voulait une réponse à sa question à ce moment là, cétait mal barré.
« Je le sais que tu adores ça
tenir ma queue bien au fond de ta gorge
»
« Hummmmmmmmm
»
« Tu vas lavoir pendant un moment
je suis bien dans ton autre trou à bite
»
Une partie de moi a toujours envie de le gifler pour ce quil est en train de faire, cette façon de faire de moi sa pute, de mhumilier, de me réduire à un ensemble de trous pour son plaisir exclusif (je ne sais même pas sil sest rendu compte que jai joui sur son mur)
je trouve quil pousse le bouchon un peu loin
jai envie dautre chose avec lui
mais il faut bien admettre que, dans labsolu, cette séance de soumission domination me rend dingue
oui, dans labsolu, jadore ça
Mais dans les faits, je me rends compte que cette situation me remet dans la position dil y a quelques jours, je me conforme à être pour lui quun objet de baise et jaccepte implicitement que ce qui sest passé samedi soir ne soit quune erreur de scénario
Sa deuxième main vient se coller sur ma tête et sa pression se maintient, puissante. Je sens ses couilles collées à mon menton, de ses poils pubiens chatouiller mon nez et dégager cette odeur si délicieuse de gel douche et de petits-poils-de-sexe-de-mec que jadore
ils sont si doux ces petits poils, en plus il les entretient à une longueur raisonnable
cest beau, propre et soigné, ça donne envie de les lécher, de les caresser, de plonger son nez dedans
Et puis, en levant à peine les yeux, japerçois une vision de rêve
cet alignement de poils fins qui descend direct de son nombril
ah, ça cest beau, cest à mourir tellement cest beau
entre le nombril et le sexe dun beau garçon, un seul chemin, ce chemin du bonheur que pour nos amis anglo-saxons est carrément un « treasure trail »
Tout son torse est en nage et la sueur glisse petit à petit sur sa peau lisse, chaude, mate
je me rends compte que ma lèvre supérieure est trempée de sa sueur. Lodeur de sa transpiration est de plus en plus forte, le liquide chaud est chargé de sa testostérone
je suis fou
le bout de mon nez trempe presque dans le jus
ce jus qui dégouline autour de sa queue et de ses couilles et qui vient tremper mes lèvres
jai envie de goûter à ça, à sa transpi
jouvre à peine les lèvres serrées autour de son mat puissant et je sens le jus sinfiltrer et envahir mon palais dun arome fort et salé qui me ravit
je me rends compte que jai envie de le lécher partout
de cueillir jusquà la moindre goutte de cette humeur de mec
Soudainement, je sens la pression de ses mains se relâcher
son bassin recule, et sa queue avec, elle sen va de ma bouche, je me sens vide, sa présence débordante me manque, sa chaleur, sa douceur, sa puissance
je suis déçu
jétais si bien, la bouche remplie par sa queue, mon nez en train dhumer tous ces bonnes odeurs de mâle et ma bouche en train de goûter à sa transpi
je me dis que cest là quil va se rhabiller et partir en terrasse, après sêtre fait nettoyer la queue
Je me trompe une nouvelle fois car, après sêtre dégagé de moi, Jérém se tient toujours debout devant moi, il doit être encore terriblement excité si lappel de la cigarette ne sest pas encore fait sentir
je ne sais pas ce quil veut exactement, jai plutôt limpression quil veut être surpris
Eh bien, sil attend à que je lui fasse un truc de dingue, cest aujourdhui que je vais lui donner
dans létat où je suis, après le truc de malade quil vient de me faire, en me disant de surcroît que cest certainement la dernière fois que je vois ce corps de ouf à poil et que jai accès à cette queue délirante, je vais tout donner
Je me déchausse, je me libère enfin de mon jean et de mon boxer qui entravent mes mouvements
javance mon buste vers lui, ma tête vers son bassin
je commence à lui lécher les couilles
elles sont moites de sa sueur, je les lèche comme un fou, délicatement mais inlassablement, je suis affamé, ma langue, mes lèvres, ma bouche ne savent plus où donner en premier tant sont nombreux les endroits quelles ont envie de visiter
Je reviens à ses boules, je les gobe, je les tiens dans ma bouche, je les masse avec mes lèvres
je fais une halte obligé dans ce petit creux à la naissance des bourses juste en dessous de la queue, ce petit creux qui mexcite tant, je le titille, je lagace du bout de la langue
il frissonne, ses abdos se contractent dans un mouvement rapide et soudain
je sais désormais que cette réaction signifie dans son langage corporel « putain que cest bon, ça ma surpris tellement cest bon »
jai limpression de commencer à vraiment bien maîtriser une langue nouvelle, une langue qui na pas de mots, mais uniquement des signes, comme la langue des non voyants, cette nouvelle langue est la langue du plaisir masculin dune bête assez spéciale et rare, le « Jérém à poil noir »
Je suis avide de son anatomie chaude, excitée, trempée de sueur
je recommence à lui lécher les bourses, à jouer avec ses couilles
jenvoie ma langue partout ou il y a du jus à collecter, dans son entrejambe ; je mengouffre dans les creux entre les bourses et lintérieur de la cuisse : avec mes doigts je décale délicatement son service trois pièces pour permettre à ma langue daller jusquau bout, à la rencontre du filet de liquide qui se cache tout au fond du joli canyon
je moccupe dun côté et ensuite de lautre, avec la même cure, la même attention du travail bien fait, avec la même envie inlassable
Je remonte ensuite vers cette petite parcelle poilue située juste au dessus de sa bite, ce petit triangle de poils si doux est dune beauté à faire chavirer
cest trempé là aussi et je mattarde à tout pomper, à tout éponger, ma langue et mes lèvres sen donnent à cur joie
ma bouche est envahie par ce goût salé qui me rend dingue
et ce qui me rend encore plus dingue ce sont les mouvements inattendus et brusques de ses abdos, sa respiration saccadée
ces râles à peine étouffés qui traduisent le bonheur que ma bouche est en train de lui procurer
Mais par-dessus tout, ce qui me rend vraiment fou cest ce gland pulpeux, gonflé à bloc, cette queue quil a brutalement fait claquer sur ma gueule à plusieurs reprises pendant que jépongeais sa transpiration, cette queue désormais lourdement appuyé sur ma joue et qui semble prête à jouir à nouveau quelques minutes à peine après mavoir rempli le cul
Je suis tellement excité que jai envie de le prendre en bouche et de le pomper pour recevoir des bonnes giclées au fond de la gorge
jai envie de sentir sa queue entre mes lèvres, envie de la sentir coulisser propulsée par de grands bons coups de bassin, sentir son goût se répandre dans mon palais
Jai envie de tellement de choses avec ce mec
jai envie de tout et jai envie de lavoir tout à la fois
I want it all and I want it now
il faut choisir et je me dis que la pipe ça peut bien attendre un peu
jai envie de continuer dans ce voyage au pays non pas des terres chaudes, mais des peaux chaudes, mates et transpirantes
dautant plus que je sens que ce que je suis en train de lui faire ça le ravit autant que cela me ravit moi
autant profiter de sa peau mate et moite, je le sucerai après, quand il me lordonnera
Je termine déponger la petite parcelle de poils bruns au dessus de sa queue et je décide de remonter contre courant
je me sens attiré de façon de plus en plus irrésistible vers la source de sa transpiration
cest une magnifique petite rivière qui part de son front, dégouline sur son visage, se charge un peu plus au creux de son cou
elle perle sur ses pectoraux, sur ses épaules, contourne ses tétons, semble se ressembler dans la ligne médiane qui, du haut en bas de son torse, dessine la symétrie parfaite de son anatomie ; elle continue ainsi sa course pour arriver à traverser la région humide et vallonnée de ses abdos, elle passe par la craquante dépression de son nombril, elle sinfiltre par capillarité au travers cette ligne de poils fins qui agissent comme un canal de drainage dont la fonction est de convoyer le liquide chaud vers son pubis
Explorateur avisé de son anatomie, je pose le bout de ma langue tout en bas du chemin, et je sens le liquide couler, glisser, suinter, exciter mes papilles
je ne men lasse pas, je pourrais rester dans cette position, à genoux devant lui, ma langue posée juste au dessus de son pubis, sa queue appuyée sur ma joue pendant des heures
les odeurs qui envahissent mon nez et ma tête môtent toute notion de temps, de réalité, de bac philo ou autre, de futur, de passé
je ne suis que dans le bonheur absolu de linstant présent, devant cet apollon à qui je suis en train de donner tout le plaisir que je peux
voilà le seul but de ma vie à ce moment là
Et puis ma langue gourmande décide daller encore plus loin
elles sort complètement de ma bouche, elle sappuie de toute sa surface sur la peau de son bas ventre et dun seul coup elle remonte lentement tout lalignement de poils jusquau nombril, rencontrant pour la toute première fois la douceur humide de ces petits poils qui me font délirer, drainant dun seul coup le débit de ce bon liquide quelle rencontre sur son passage
A partir du moment où il est atteint, le nombril nest plus quune étape vers de nouveaux territoires
ses abdos à peine traversés, ma langue veut suivre la ligne médiane de son torse, continuer vers le haut, vers le cou quelle devine si chaud, si humide lui aussi
Comme létoile polaire attire les marins, le petit grain de beauté en bas de son cou attire mon regard, happe ma raison, force mon voyage
mes genoux sont déjà en train de se déplier pour permettre à mon buste de remonter et à ma langue de continue plus loin dans son voyage de rêve ; quand, de façon soudaine, Jérém se dégage, se déplace à coté de moi, sappuie contre le mur, les jambes écartées, les reins légèrement cambrés, le galbe de ses jolies fesses bien en vue
je sais ce quil attend
je veux lui donner aussi
jen ai envie depuis que je lai suivi en montant les escaliers du dortoir quelques minutes plus tôt
Jai dit quaujourdhui je lui donnerai tout, tout pour notre dernière fois. Tout. Je me déplace et je magenouille derrière lui
japproche ma tête de ses fesses et un instant plus tard je trempe mon nez et mes lèvres dans sa raie
je mattarde un court instant à humer la chaleur moite de cet endroit
mes mains écartent délicatement ses fesses, juste avant que je me décide à lâcher ma langue à ses instincts, à ses envies
Elle sort de ma bouche, impatiente, frémissante, elle part à la recherche de sa rondelle quelle trouve du premier coup
elle commence à lagacer par des petits coups
la bête frissonne de plaisir
ça me rend dingue
je continue avec mes petits coups, je le fais un peu languir
cest moi qui le fais languir ce coup-ci
je sais à quel point il adore ça ce petit con
je vais lui donner, mais je le chauffe un peu plus
je lèche ses boules bien lourdes par larrière, je plonge mon nez dedans
jinspire tous ces odeurs de mec
jadore
Et puis je ne peux plus me retenir
jai envie de le voir vibrer de plaisir, alors je lèche copieusement sa rondelle
jy vais franco et je sens que ça le rend dingue
encouragée, ma langue senroule, elle se raidit pour pouvoir sintroduire le plus loin possible dans son intimité
pour la fouiller sans ménagement
et quand elle sinsinue entre les parois de son petit trou, je le sens carrément trembler de plaisir
je lentends souffler très fort, râler en frissonnant
Putain de salope, tu aimes ça
La partie deux de lépisode très chaud demain matin.
Qui veut dessiner Jérémie et Nico ? Des épisodes en avant première à la clé.
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