Mon Petit Jardinier 05.
« La biroute est droite mais lattente est forte » dirait Raffarin, jai hâte de lui faire un gros câlin mais je ne me presse pas, faisons preuve de « bravitude « ajouterais Ségolène. Néanmoins « travailleuses travailleurs « il est temps de se mettre au turbin, nest-ce pas Arlette. Pour ne pas que la fête tourne à la « chienlit « ( De Gaulle, mais ici il ny en a quune mais elle en vaut deux ), mes gestes sont mesurés, mes mains caressent doucement son torse et descendent petit à petit sans jamais frôler la bébête qui monte qui monte, pourtant, je suis obligée à un moment de faire preuve dun soupçon de « dégagisme « ( à vous de retrouver le personnage politique qui a utiliser les expressions ) afin de déporter temporairement la massue qui camoufle son anfractuosité maternelle.
Écartant la poutre de la main, ma langue navigue au bord de sa trouée de naissance avant de dévaler au fond et de la trifouiller au cur. Quel avant-goût des possibilités infinies de ma lécheuse ! Sans compter les multiples bisous de mes babines enflammées. Ce nest pas de la poudre de perlimpinpin !
Enfin je relâche la tringle, elle oscille sur son axe avant de se stabiliser horizontalement, je visite avec ma bouche chaque côté de son ventre, je prospecte lélégant relief de ses abdos. Je monte et je descends ma langue sur ses monts raffinés fermes et prometteurs.
En me penchant un peu sur le côté, dans une position abracadabrantesque, jai une magnifique vue sur ma future sucette, elle tremble au rythme effréné des battements de son cur emballé. La peau lustrée et satinée de ce cierge fuligineux menvoûte, vu de près ce gratte-ciel me paraît encore plus immense, une perle de rosée sépanche du petit sillon qui culmine à son sommet.
Oh que jai soif de mabreuver à ce monument ! Une pipe, vite une pipe, je résiste de toutes mes forces à cette dernière tentation qui nest pas celle du Christ mais bien de votre Marion.
Une pipe : quel beau mot de la langue française ! Et je trouve quil est encore plus sublime prononcée par une jeune fille qui met tout son cur et sa tendresse quand elle demande à un garçon : « aimerais-tu que je te fasse une pipe «. Écoutezla voix chaude et sensuelle qui vous propose cette douceur. Au contraire dune voix grave et impatiente dun garçon qui formule maladroitement un « tu me fais une pipe » comme si cétait un truc banal, vite expédié, un ordre lourdaud et empoté.
Quand jentends « pipe » cest comme un bonbon piquant qui explose dans ma bouche, une sucrerie tendre qui me fait saliver, mon cerveau séchauffe et me met en effervescence comme un comprimé d UPSA plongé dans leau. Mais il ne faut pas sauter du train en marche, une pipe, une pipe une vraie de vraie, il faut la savourer jusquau bout, recevoir dans sa bouche jusquà lultime soubresaut du plaisir du garçon, et le laisser nous lemplir de sa semence divine, comme nous recevons une ostie en la dégustant jusquà la fin. A-t-on vu une bonne chrétienne recracher le corps de Christ, non !
Mais là, mon damoiseau est paralysé par lémotion qui l'étreint, cela a pour effet de me bouleverser et de mattendrir, mais contrairement à lui, nétant pas timide, je ne suis pas tétanisée. Je ne suis pas non plus chagrinée de diriger les opérations, en bon capitaine jessaye de mener notre barque à bon port. La communication entre nous est essentielle, dans ces moments de tension, que ce soit dans sa tête ou pour sa bite. Et pour cela je lui demande gentiment et précautionneusement :
- Ai-je ta permission de passer ma langue sur ta queue sans que tout de suite tu arrives au septième ciel ?
- Oh jen seai très honoé et je pense que je peux me etenir un peu plus que tout à lheue.
- Détend toi entièrement, sauf pour ta bite bien entendu !
Mais je ne suis pas trop inquiète car cela fait plus dune heure que je le vois triquer à donf.
- Attention, jarrive, fais-je en passant un tout petit coup au milieu de cette tige, tu me préviens si je suis brutale.
Je surveille ses réactions, mais cela a lair daller, et je pense que sa bite supporte ma caresse buccale impudique, il émet juste un petit cri de plaisir qui me réconforte. Je peux y aller enfin, cette fois je fais toute la longueur et le soupir que jauditionne me tranquillise sur la satisfaction de mon petit esclave. Maintenant je peux et je veux tout explorer sans être interrompue en cours de route et devoir abandonner ma promenade orale.
En tenant sa bite et la branlant en leffleurant juste pour faire coulisser doucement sa membrane protectrice, je goûte ses grosses couilles, elles sont bien fermes et ma langue les laboure en tous sens, elle ne laisse aucun recoin inviolé. Ses gémissements lascifs me rassurent : il adore mes caresses.
Encouragée et surtout impatiente de mattaquer aux plus gros morceau, je remonte la pente imperceptiblement, ma langue glissant le long jusquà atteindre le sommet ou grâce a ma main habile ( confidence : je crois que je descends directement dHomo habilis et lui dHomo érectus ) japerçois la merveille des merveilles le décalottant à fond, une peau écarlate fine et cirée comme les souliers de mon frère le jour de sa communion recouvre son gland ainsi mise à nu.
Je ne résiste pas une seconde à chatouiller de ma langue ce champignon délicieux en insistant sur cette petite interstice qui culmine tout en haut et doù sépanche un filet de liquide transparent précédent généralement une éruption plus importante de lave blanche.
Mais notre ami semble bien mieux maîtriser la situation, il résiste de son mieux et je crois que lapprentissage porte ses fruits, certes, sa première éjac est encore très proche et cela laide ment mais il me paraît serein et appliqué à ne pas rater la deuxième.
Me voilà prête à lui tailler une plume et vu la taille de loiseau, cest un coup à se démonter la mâchoire.
Ma bouche recouvre lextrémité de sa bite tel un étouffoir à bougie mais dans lattente de leffet inverse : la rallumer et non léteindre. Mes mains débridées cette fois sactivent sur le fût du canon, les lèvres plaquées, je fais coulisser lengin entre le plus loin que je peux, ma langue accélère aussi à lintérieur pour intensifier les patouilles, ce supplice dure plusieurs minutes avant que je ne prenne une petite pause, mes lèvres écartées au maximum commencent à fatiguer.
- Ça va, je vous fais bien la pipe ?
- Oh oui, cest top bon comme vous faites !
- Et cette fois vous résistez bien pour que le plaisir dure plus longtemps, le complimenté-je.
- Oui koko a bien compis la leçon et ´etarde la ´emonté de la sève.
Je souris à cette allégorie bucolique de mon Arboriste. Et je lui dis :
- Suivez le conseil de France Gall : » résiste« cela nen sera que meilleur et je reprends avec application mon activité favorite,le goût et lodeur de sa bite menthousiasment et cest avec encore plus dardeur que je remmanche sa prise mâle dans ma bouche. Toi mon petit coco, je vais bien arriver à faire juter ton Koko.
Mais encore plusieurs minutes passent sans que rien ne se produise, pourtant là je me donne à fond, ce petit puceau apprend vite, il va pouvoir en régaler les filles avec sa folichonne. Pourtant ces plaintes sont de plus en plus rapprochées et sonores, je sens que ça vient et je mactive encore plus fort.
Brutalement, il mannonce la mise à feu du pétard.
- Ça pat madseille.
Je me prépare à le recevoir dans ma bouche, la bite contre ma joue car je me doute de la violence des jets après sêtre retenu comme il vient de le faire et compte-tenu quil soit vierge.
Je lâche prise pour me retourner et lui montrer le reste dans ma bouche que javale dun seul coup et la rouvre pour lui prouver que je ne fais pas les choses à moitié. Nous avons tous les 2 un air de satisfaction et je replonge pour finir en douceur, ma bouche récupère les traces blanchâtres sur sa queue et ses couilles et je resuce sa bite avec: cest mon péché mignon.
Je reproduits lopération «récupération » plusieurs fois et javale tout en lui nettoyant bien la queue. Cest tous les deux fourbus que nous tombons dans les bras lun de lautre et échangeons un sublime baiser. Le goût de son sperme doit encore être dans ma bouche.
Pour reprendre haleine je lui propose de boire un café ensemble tout en restant nus, il accepte et je prépare et lui verse une tasse assis lun en face de lautre, sa queue magnifique me fait face et mon regard espiègle la maintient en position de tir.
Nous discutons calmement de choses et dautres en dégustant notre breuvage réconfortant quand on frappe à ma porte, pourtant je nattends personne!
À suivre.
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