Après Midi Crapuleuse

C’est le début de l’été: il fait très chaud dans mon midi. Nous déjeunons: ma femme me fait un clin d’œil, sans rien dire: les s sont encore à la maison. Ma femme passe derrière moi pour me dire que la chaleur l’a ne garder sur elle que ce vieux peignoir que je n’aime pas du tout: elle n’a pas d’autre vêtement. Pour que je soit convaincu, elle s’arrête contre moi, Je peux passer le main furtivement et je suis excité: j’ai pu toucher une fesse. L’heure avance et les s partent à l’école. Nous voilà enfin seuls. Je suis encore assis quand elle vient en face de moi, de l’autre coté de la table. Lentement elle enlève ce sacré peignoir. Je peux la voir nue comme jamais. Je crois bien que c’est la première fois qu’elle se met nue si vite. Elle se caresse les seins, descend une main sur son bas ventre et la loge entre ses cuisses qu’elle écarte: je vois qu’elle pose ses deux doigts préféré sur son bouton. Je commence à me lever pour la rejoindre: elle m’interdit de venir. Et pourtant je bande, j’ai envie d’elle. Aujourd’hui elle veut se donner du plaisir sans que je la touche. Habituellement elle se masturbe souvent devant moi, souvent aussi sans moi. Elle l’a d’ailleurs fait ce matin en revêtant de seul vêtement
Cette fois elle joue un scénario de fil porno. Pour se caresser mieux, elle se baisse un peu pour arriver n’importa où dans sa fente: elle commence par ce qu’elle aime: le clitoris. Elle le fait ressortir encore un peu. Ces deus doigts se posent sur le bouton que je vois fort bien, elle les agite de plus en plus vite. Elle penche sa tête en arrière: je sais qu’elle va jouir. Elle pousse le même soupir que quand je la suce. Sa main passe sur ses lèvres intimes avant d’aller très loin, sur son anus. Elle le caresse lentement comme elle le ferait avec un chaton. En guise de chaton, si elle le flatte, elle y enfonce ces doigts. Les allers et venues la font encore jouir.
Cette fois je n‘en peux plus: où je vais avec elle ou je me branle.

Je lui tends ma main qu’elle accepte. Je voudrai aller dans le chambre; elle refuse: tout doit se passe ici. Nous allons nous assoir sur le divan où je peux enfin l’embrasser. Elle ouvre sa bouche pour accueillir ma langue. Si je l’enlace, elle commence à enlever ma chemise et défait la boucle de ma ceinture. Je bande tellement qu’elle n’arrive pas à sortir ma queue. Je me lève, juste le temps de me mettre nu. Je reviens vers elle: cette fois elle me tend les bras. J’oublie sa bouche pour me concentrer sur ses seins. Ils sont plus que durs: ma bouche les embrasse l’un après l’autre. Je prend un téton que je suce comme un bébé. Elle pose une main sur ma tête.
Quelque chose me dit que nous n’allons pas souvent jouir comme maintenant.
Son autre main vient prendre ma pine: elle ne fait que la caresser très lentement: elle ne me branle pas, pourtant elle sait si bien le faire. Elle prend mes couilles comme pour les soupeser. Elle le caresse très doucement en faisant bien attention de ne pas me faire mal.
Si ma bouche est toujours sur son téton, ma main va entre ses jambes. Elle les écarte en pensant certainement que je vais la branler. C’est mon intention, mais pas comme elle croit. J’essaye pour la première fois une autre méthode: je vais directement vers son anus. Elle se trompe si elle croit que je vais entrer un ou deux doigts dans son cul. Je pose un doigt contre son trou: j’en fait très lentement le tour. Je cesse de l’embrasser pour voir son visage: elle ferme les yeux. Elle apprécie ce que je lui fais. Tant mieux. Je lui demande si elle va jouir ainsi. Sa réponse positive m’emmène à lui demander si en jouissant elle veut que mon doigt entre dans son cul. C’est encore oui. Il faut croire qu’elle prend un réel plaisir avec mon doigt: elle a lâché ma bite.
Au fond ce n’est pas grave: je suis tellement absorbé à la faire jouir que je ne bande pas totalement. J’arrête un instant pour reposer mon doigt: sa réponse est « continu à ma faire du bien au cul ».
Je reprends, oh, pas pour longtemps: elle est sur le point de jouir: elle me demande d’entrer mon doigt dans son anus. J’entre lentement et au moment où j’allais commencer les allers et venues, je sens les spasmes sur son anus. Je garde donc mon doigt immobile pour ne le sortir qu’après son orgasme; Sa bouche recherche la mienne et sa langues est à nouveau dans ma bouche. Je ne veux pas qu’elle arrête de jouir. Je me met à ses pied, pour mettre ma langue sur son con. Je bande encore, bien sur: je veux qu’elle me demande d’arrêter avant de la baiser.
Je ne cherche même pas où je suis: je trouve ses lèvres intimes. Elles suffisent pour le moment; je les lèche lentement avant d’entrer dans sa vagin. Il est très doux et son goût est délectable. Ce n’est pas un cunnilingus, c’est une dégustation. Je vais et viens: ma langue ne s’arrête qu’à deux ou trois centimètres de l’entrée. Là ma langue de respecte plus la douceur: je lui lèche avec force cet endroit que j’ai trouvé un jour par hasard. Ses cuisses se resserrent contre ma tête: elle jouit. Je poursuit mes caresses par ma langue sur son anus. Ayant expérimenté la façon de faite avec mes doigts, je fais pareil avec ma langue: j’en fait le tour. Elle jouit encore. Je reviens dans son vagin pour encore entrer ma langue le plus loin possible. Mon nez est sur son clitoris: j’en profite pour le lui caresser. Elle se laisse aller complètement. Je me relève pour poser ma bouche sur la sienne surtout pour partager avec elle le goût de sa cyprine. Elle me tient par le cou, en part me prendre la pine. Cette fois elle me branle pour que je prenne mon plaisir. Elle sait parfaitement me masturber. Je pourrais la laisse me donner ce plaisir qui, avec elle est plus qu‘un plaisir: c‘est le nirvana. Mai voilà, je veux jouir en elle.
Je reviens en adoration devant elle, ma bite à l’entrée de sa grotte pleine de plaisir. Je n’ai pas à forcer pour la baiser, d’abord elle le veut et ensuite elle est très mouillée, à tel point que je pourrai l’enculer.
J’entre a fond en elle. Je commence les allers et venues, accompagnés par ses mouvements: elle jouit encore. Je sort de son con: je me couche sur le dos, lui demande de venir me sucer. Elle m’enjambe. J’ai tout son sexe sur ma bouche, je lèche son clitoris et elle me prend la bite dans sa bouche, au moins en partir: sa main tient la base de ma bite pendant que le gland est entièrement dans sa bouche. C’est sa langue qui lèche. Elle lèche tellement bien que je suis sur le point de jouir. Je le lui dit, parce qu’elle n’aime pas le goût du sperme: c’est-ce qu’elle pense puisqu’elle ne l’a jamais goûté. Pour la première fois, elle n’arrête pas la fellation. Elle enfonce encore plus ma queue dans sa bouche et prend tout ma semence dans la bouche. Elle me garde tout le temps de mon orgasme, elle garde tout dans sa bouche, avant de l’avaler. Nous nous relevons: je la remercie de ce qu’elle m’a donné. C’est elle qui me remercie de tout ce que je lui ai fait et surtout elle s’excuse de m’avoir refusé depuis le temps de prendre mon sperme. Elle m’embrasse pour que je le goutte dans sa bouche. Nos deux goûts se trouvent ainsi mêlés.
Elle est prête à recommencer avant que les entrent de l’école. Nous avons le temps.
Cette fois elle s’attaque à moi. Elle veux me faire bander pour continuer notre après midi crapuleuse. Elle reprend la pine dans le bouche, n’arrive à rien, la prend dans les mains pour que je bande encore. Toujours pas de succès. Elle va chercher une serviette de toilette, revient vers moi, ouvre bien ses cuisses, entre un peu de la serviette dans son vagin, et petit à petit arrive à en mettre plus de la moitié dans son vagin. Son anus et son clitoris sont entrainés par la serviette. Elle ne fait qu’appuyer sur ce qui est à l’entrée de son con pour se faire jouir de partout, du con, du cul et du bouton.
Je recommence à bander en regardant bien de qui se passe: elle a les yeux dans le vague, les seins qui durcissent encore et surtout ces petits mouvements de sa main.
Elle se masturbe rarement ainsi: ça arrive quand elle est très excitée, par exemple quand elle lit certains livres qui ne se lisent que de la main gauche, ou en me voyant me baigner dans une eau chaude et que ma main entourant ma queue va et vient sur elle. Elle aime me voir me donner du plaisir et s’en donner ainsi.
Bref nous terminons notre partie par une baise en bonne est du forme: ma pine dans son con, deux doigts dans son cul et dans le mien.
Le soirée devait être calme. Ce devait être notre journée d’amour physique la plus intense: elle voulait me sucer encore; Je voulais la sucer aussi. Nous avons commencé un 69 vers 22 heures pour finir de jouir vers heures le lendemain. Nous avons réalisé aussi ce qui nus manquait l’après midi; je l’ai sodomisé quand elle avant une jambe sous la mienne, deux doigts sur son clitoris et ma pine dans le cul. Nous aimons particulièrement cette position, je peux la voir se donner du plaisir et elle peux me toucher la pine quand elle est dans ses boyaux.
Il lui arrive quand nous sommes en voiture qu’elle se penche sur ma pine pour le sucer et arrêter quand j’ai fini de jouir: elle ratt le temps perdu et c’est agréable pour moi se sentir sa langue sur mon gland.

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