La Fabuleuse Tante Gina (1er Épisode)
Fasciné par l'apparition de sa nouvelle tante, un adolescent de 18 ans la retrouve lors d'un mariage et découvre sa première aventure érotique non aboutie avec elle.
Fabien était, à 18 ans encore, un jeune puceau en pleine crise d'adolescence, fils unique d'une famille aristocratique très catholique où le père était toujours absent et la mère beaucoup trop présente. C'était dans les années cinquante et les occasions de s'émanciper étaient rarissimes et pour tout dire inaccessibles pour un jeune garçon avide de découvertes féminines. Après avoir été pensionnaire dans un lycée privé de garçons il n'avait aucune petite amie pour la simple raison que son entourage se limitait à ses copains de lycée, ses professeurs, tous religieux, et sa famille. Sa solitude lui pesait encore maintenant et chaque infime ouverture sur la féminité des femmes qu'il croisait dans l'entourage de ses parents étaient pour lui l'occasion de masturbations intenses en cachette et dans la honte.
Cet univers restreint, où sa curiosité frustrée ne trouvait que trop peu d'exutoires, était peuplé de fantasmes où les amies de sa mère passaient comme des chimères baignant dans le crissement du nylon, le froissement des étoffes, les effluves de parfums et les rires sarcastiques et stupides de femmes oisives et indifférentes à ce mal profond qui le rongeait.
Son seul moment de plaisir venait le soir quand seul dans sa chambre il chevauchait son polochon qui, selon les visites du jour, prenait la forme de femmes différentes : la couturière avec ses attentions maniérées; la femme du banquier au chignon impeccable et glacial ; la grosse pâtissière aux formes remplissant sa blouse rose à la faire craquer; la rousse bouchère aux seins paraissant vouloir à chaque instant gicler de ses décolletés vulgaires; la coiffeuse au corps mou le frôlant tout en jacassant des banalités
Celle qui revenait le plus souvent, celle qui au moment fatidique prenait la place de toutes les autres, c'était sa tante Gina.
Cinq ans s'étaient écoulés depuis cette seule fois où il l'avait vue. Il pensait la revoir l'année dernière, lorsque l'oncle Charles était décédé, mais ses parents avaient refusé qu'il les accompagne car il passait son bac à cette époque.
Le jour du mariage, Fabien se sentait bien seul quand sur le parvis de l'église son coeur se mit à battre violemment. Une superbe Bentley grise, immatriculée dans le Calvados, se gara et un chauffeur en livrée en sortit pour ouvrir la portière arrière. Il eut un choc quand il aperçut un pied chaussé d'escarpin rouge se poser sur le bitume, suivi d'une jambe gainée de soie légèrement fumée à la forme parfaite. Cet instant lui parut interminablement délicieux et son regard resta prisonnier de cette apparition si sensuelle qu'il en oublia de lever son regard vers la superbe brune qui s'ébrouait en sortant de la limousine et qui tomba dans les bras d'Eléonore sa mère. Il s'indignait un peu du spectacle ridicule des deux femmes qui s'étreignaient en échangeant de ridicules "ma chérie", puis quand son père lui fit un baise-main solennel. Soudain, alors que ses parents allèrent accueillir d'autres invités, Fabien se sentit foudroyé par le regard de tante Gina qui s'exclama :
- Que vois-je ? mais c'est toi mon petit Fabien !
Et tante Gina monta vite les marches du parvis de l'église. Coiffée d'un petit chapeau rouge avec un voile léger qui lui couvrait le front, sa lourde chevelure brune s'échappant sur ses épaules, elle s'approchait en souriant. Le jeune garçon était captivé par ses lourdes mamelles qui secouaient la veste d'un tailleur blanc très moulant. La jupe étroite remontait a chaque pas sur ses cuisses glissant sur les bas. Arriva enfin cet instant où, sans retenue, elle entoura de ses bras le jeune homme le serrant contre sa poitrine, d'une façon qui se voulait maternelle et pleine d'une volubilité toute italienne.
- Mais que tu as grandi Fabien ! tu es devenu un vrai petit homme.
Puis elle éclata de rire en voyant qu'elle avait laissé une trace de rouge à lèvres sur sa joue. Elle porta son pouce à sa bouche et le posa, humidifié de sa salive, sur le visage du garçon qui rougit. Cela accentua son rire et elle effaça le rouge tout en se retournant aussitôt pour entrer dans l'église. Cela laissa pantois le garçon qui était resté silencieux comme pétrifié par l'aisance et l'assurance de sa tante. Il porta sa main à l'endroit où elle avait déposé la marque de sa bouche et sentit l'humidité résiduelle après le passage de son pouce. Il pensa ne plus jamais se laver le visage pour ne rien effacer de cette sensation vertigineuse.
Enfin, il entra dans l'église, l'orgue entamait la marche nuptiale et sa cousine en mariée arriva au bras de son père. Il vint s'installer vers les derniers rangs et aperçut le tailleur immaculé de sa tante et vite se plaça juste derrière elle. Ses narines s'emplissaient de son parfum à chacun de ses mouvements, notamment lorsqu'à une fréquence régulière elle passait sa main dans sa chevelure en la soulevant lascivement, tout en se cambrant. Fabien se croyait dans un rêve et, oubliant la solennité de l'instant, il ne se préoccupait plus que de voler des images de sa tante qui allaient s'inscrire à jamais dans sa mémoire. Il se délectait des mouvements répétés de son cul majestueux à chaque fois que le prêtre demandait de s'asseoir. Les plis de la jupe roulaient sur les rondeurs qui lui paraissaient encore plus grosses ainsi. La petite fente sous les fesses qui laissait le regard de Fabien remonter vers les cuisses larges, brillantes sous le nylon, et le filet noir qui marquait le mollet musclé en remontant là-haut sous la jupe suggestive, comme s'il invitait le regard à prolonger plus loin dans des abysses mystérieuses et pleines de secrets pour le jeune puceau bien qu'il soit devenu majeur depuis quelques mois.
C'est la première fois que Fabien trouva une messe trop courte ! La suite, entre cocktails et repas interminables et ennuyeux, fut un supplice pour lui. Surtout, oui surtout, le spectacle de sa tante qui passait de groupes en groupes, s'amusant et virevoltant d'aise au milieu des invités le rendait jaloux de la terre entière. Ce fut encore pire quand l'orchestre joua des danses de circonstances. Tante Gina n'en manqua pas une, passant d'homme en homme qui se précipitaient pour pouvoir serrer dans leurs bras cette femme aussi fabuleusement désirable qu'inaccessible.
La soirée touchait à sa fin. Fabien s'était réfugié derrière un bosquet de plantes vertes et il l'épiait sans cesse, en souffrant le martyr de la voir aussi à l'aise avec tous les hommes. Beaucoup de convives s'étaient éclipsés et il ne restait que des couples ravis que l'orchestre abandonne les danses traditionnellement festives pour un répertoire de blues de plus en plus langoureux.
Tante Gina quitta la piste de danse pour boire du champagne. Elle en avait déjà bu beaucoup et sa démarche était parfois hésitante. Fabien ne le remarquait pas aveuglé par son admiration sans bornes. Ses parents étaient en train de dire au revoir et il restait seul, ayant sa chambre dans le château que la famille avait loué pour les noces. Il vit Gina les saluer de loin. Se retournant celle-ci aperçut son neveu tout triste sur la terrasse derrière les fleurs et elle lui sourit. Il prit un air boudeur qui la toucha et elle éclata encore de rire. Elle s'approcha non sans avoir bousculé une chaise dans sa démarche peu sure de femme grisée par le champagne.
- Alors Fabien tu es encore là ? je te croyais couché à cette heure.
- Mais tante Gina j'ai 18 ans !
- C'est vrai dit-elle en souriant et tu es devenu un beau jeune homme qui doit avoir du succès avec les autres jeunes filles ?
- Euh oui, oui, dit-il avec une gêne qui trahissait le gros mensonge.
Gina sourit indulgente et touchée par cette timidité qui devait être un grave problème pour son épanouissement personnel. Elle sentit en elle un élan généreux et apitoyant pour ce garçon bien trop introverti pour pouvoir s'épanouir.
- Je ne t'ai pas vu danser ce soir, Fabien, tu es fatigué?
- Oh non ma tante ! mais c'est que
c'est que je ne sais pas trop bien danser.
Gina éclata encore de ce rire qui ne la quittait que rarement.
- Tu veux que je t'apprenne ?
Et sans attendre la réponse elle saisit la main de Fabien qui se leva, penaud et tremblant.
- Viens nous allons rester sur la terrasse car il faut trop chaud à l'intérieur.
Alors le couple hétéroclite se dirigea vers une partie plus sombre à l'abri des regards et Gina se retourna face à son neveu et posa ses mains sur ses épaules. Il restait les bras ballants ne sachant comment mettre les siennes alors, en éclatant de rire à nouveau, elle lui prit les mains pour les poser sur ses hanches.
Fabien en fut électrisé. Il sentait sous ses mains la souplesse de la taille de sa tante dont les hanches ondulaient au rythme du slow. Ils étaient encore a quelques centimètres l'un de l'autre, quand elle lui dit :
- Comme tu as grandi, si je n'avais pas d'aussi hauts talons tu serais aussi grand que moi.
Cela le détendit un peu et leurs corps se frôlèrent. Celui du neveu était tremblant et surexcité et il sentait une érection bien plus prenante que lorsqu'il se soulageait sur son polochon en pensant à celle qu'il tenait maintenant dans ses bras, dans ce moment inespéré.
Quant à Gina, l'alcool aidant, elle se sentait prise à ce jeu dans les bras de ce garçon si touchant et si beau avec ses boucles blondes et son regard craintif bleu pastel. Elle se surprit à sentir dans le nid douillet aux creux de ses cuisses le liquide visqueux qui commençait à sourdre sans pouvoir éteindre le feu qui lui consommait doucement mais surement le ventre. Elle n'avait pas la force de lutter contre cette emprise ne sachant si la raison en était due au champagne ou à l'abstinence qu'elle s'était imposée depuis la mort de son cher Charles.
Ce fut elle qui passa ses bras dans le dos de Fabien pour coller son jeune corps fin et juvénile
au sien épanoui et généreux. Fabien n'en revenait pas et il était encouragé par l'attitude de Gina qu'il n'aurait jamais osé imaginer même dans ses rêves les plus fous. Une longue étreinte plutôt qu'une véritable danse unit la jeunesse maladroite du neveu à la maturité sensuelle de la tante. Si bien que le garçon était collé contre la poitrine molle et envahissante de la femme tandis que ses hanches remuaient comme lorsqu'il s'affairait sur son polochon. Là, à cet instant ce n'était plus un tas de plume qu'il avait contre ses cuisses mais Gina sa vraie tante, son rêve, son égérie. Il poussait écartant sans s'en rendre compte les cuisses pulpeuses de la femme qui ne pouvait que le laisser s'abandonner ainsi contre elle sans réagir. Il perdait tout contrôle de lui, sa jeune queue dressée roulait contre la jupe de Gina. Il poussait comme un jeune taureau, tandis que la femme à son tour était prise par la fougue aveugle et désordonnée de son neveu, éprouvait à son tour un plaisir aussi intense que surprenant. Sous le frêle rideau de dentelle recouvrant sa motte brune elle sentait son liquide poisseux se répandre et imbiber l'élégante petite culotte.
Soudain Gina tressaillit quand une chaude sensation traversa sa jupe tendue et tortillée sur ses cuisses. Elle réalisa alors que son neveu venait d'éjaculer dans son pantalon. Stupéfaite elle poussa un cri qui effraya Fabien. Alors celui-ci réalisa ce qu'il venait de faire. Ses grands yeux bleus s'écarquillèrent d'effroi et il disparut dans la nuit du parc de l'hôtel, le slip et le pantalon pleins de sperme.
Gina se reprit très vite et sourit en pensant à l'ardeur affolante de son neveu à qui elle venait, spontanément et presque inconsciemment, donner sa première leçon réelle de sexualité.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!