La Dette De Stéphane
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je mappelle Marion, jai 21 ans, je suis brune, 1m60, mince avec des petits seins Je vis dans une cité avec Stéphane mon petit copain depuis 1 an. Nous vivons des aides sociales et Stéphane arrondi nos fins de mois en revendant différents objets tombés du camion que Fati, un jeune de la cité lui fournit. Fati est un métis de 25 ans, 1m80, musclé et qui sait se faire respecter, bref un chef de cité.
Fati nous laisse la marchandise, nous la stockons dans notre cave et Stéphane le paye dès que celle-ci est écoulée. Le business fonctionnait très bien jusquà ce matin, où Stéphane remonte de la cave lair catastrophé en me disant : « On sest fait cabrioler, il ne reste plus rien dans la cave ».
La cave était remplie de matériel informatique, il y en avait pour 10 000 à la revente. Je suis très inquiète, car notre fournisseur nest pas du genre à plaisanter.
Stéphane appelle Fati et lui explique ce qui vient de se passer. Ce dernier ne veut rien entendre est prévient Stéphane quil a 48 heures pour le rembourser. Stéphane est bouleversé, il ne voit pas comment il va trouver une telle somme dargent dans un délai aussi cours.
48 heures viennent de sécouler sans que lon ait pu réunir la somme, quand la sonnette de la porte retentie. Stéphane va ouvrir, est là, cest Fati qui comme prévu vient chercher son argent.
Fati entre, sinstalle dans le canapé, un peu comme sil était chez lui. Stéphane lui explique quil va falloir lui laisser un délai, que dix mille euros, cest une grosse somme et quil ne peut pas la trouver dans un délai aussi cours.
Fati ne répond rien, il regarde dans ma direction avec un petit sourire et dit à Stéphane : « Jai peut-être une solution ».
A la façon que Fati avait de me regarder, je craignais le pire. Fati se retourna vers Stéphane et lui dit : « Elle est vraiment bonne ta meuf, je la trouve bien bandante.
Mon sang ne fit quun tour. Je connais la loi des cités, et je sais que lon peut se faire pour une dette de quelques centaines deuros. Stéphane me regarda, dun air de dire on na pas le choix.
Fati matt la main et se dirige vers la chambre en disant à Stéphane : « Viens avec nous, comme ça tu vas voir ce que cest un homme, un vrai ».
Stéphane nous suivit sans broncher et Fati mordonne de me mettre à poil et de mallonger sur le lit. Pétrifié par la situation, je mexécute sans broncher. Je suis maintenant nue allongé sur le lit, Fati me regarde avec un air pervers en se caressant le sexe à travers son jeans. Stéphane fait les cents pas dans la chambre, il a les larmes aux yeux, mais il nose rien faire ou dire.
Fati commence à se déshabiller, il enlevé son t-shirt pour laisser paraitre un torse musclé et un ventre en forme de tablette de chocolat. Dans dautres circonstances, jaurais sans doute apprécié le spectacle. Puis il enlève son pantalon et son caleçon pour dévoiler un sexe en érection dun bon 25 centimètres et dun diamètre imposant.
Il sassoit à côté de moi, mécarte délicatement les cuisses et introduit deux de ses doigts dans ma chatte toute rasée, puis commence des mouvements de masturbation à lintérieur de celle-ci, dabord lent puis de plus en plus rapide. Il dit à Stéphane : « prend une chaise et viens tasseoir à côté du lit au lieu de faire des allés retour dans la pièce, tu commences à ménerver ». Stéphane sexécute, il a le teint blafard, mais nose rien dire.
Au bout de quelques minutes, Fati me regarde est dit : « Bon, fini de jouer, maintenant on va passer aux choses sérieuses, jespère que tu prends la pilule parce que je nai pas de capote sur moi ».
Stéphane était toujours assis à côté de moi, il se tenait maintenant la tête entre les deux mains. La première minute fut douloureuse, mais bizarrement celle-ci passé, je commençais à prendre du plaisir. Il faut dire que Fati savait y faire, cétait un remarquable amant, mais je me refusais à jouir, cela lui aurait trop fait plaisir, mais aussi par respect pour Stéphane qui était à côté de moi.
Les minutes sécoulaient sur le radio réveil qui projetait lheure au plafond de la chambre. Déjà 10 minutes est toujours la même position et surtout la même intensité. Javais bon me retenir, ça devenait de plus en plus difficile, je serrai les dents et surtout les barreaux du lit, quand tout à coup je ne pus me retenir et je poussai un crie jouissif suivit dun cest bon, vas-y, continue, qui surpris à la fois mon amant et Stéphane qui devait se demander quelle mouche mavait piqué.
Au bout de 15 minutes, Fati retira son pénis de mon petit abricot tous dilaté et dans un crie de plaisir extrême, il éjacula de gros flots de sperme sur mon vente, ma poitrine et en projeta jusque sur mon visage. Il était heureux, il regarda Stéphane et lui dit tous en se rhabillant : « A dans 2 jours, jespère que tu mettras beaucoup de temps à réunir la somme, je me suis bien amusé avec ta nana et jai limpression quelle va attendre notre prochain rendez-vous avec impatience, et qui sait peut-être que je vais ramener des amis, plus on est de fou plus on rit ».
Fati quitta la pièce en rigolant, quant à moi, javais tellement honte que je ne pouvais même pas regarder Stéphane qui était prostré sur sa chaise. Une chose était sûr, cest quils nous étaient impossible de réunir la somme en 48 heures et que nous allions devoir nous plier de nouveau aux exigences de Fati.
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