La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 456)

L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°453 -

L'histoire de Thaïs et du Maître Vénéré - Chapitre N°54 -

Le Marquis d’Evans vient de tendre sa main droite à son esclave-soumise Thaïs MDE pour qu’elle puisse déposer sur ses doigts plusieurs humbles baisers qui tiendront lieu de remerciements pour les 13 premiers coups de cravache qui ont commencé à décorer ses fesses de petits aplats rouges caractéristiques. IL vient également de lui annoncer qu’en Sa qualité de Maître d’une part, et de Président Directeur Général d’autre part, IL ne pouvait pas laisser impunies les imperfections dans les réponses de Son esclave-associée données le matin, car IL exigeait un comportement exemplaire et sans la moindre défaillance de tous Ses collaborateurs, et ce, à fortiori lorsque ces derniers lui appartenaient corps et âme par un engagement d’allégeance D/s librement consenti. Avant de lui administrer ce qu’IL a appelé la suite plus conséquente de la punition pour les 20 questions-réponses erronées restantes dont elle n’a pu se souvenir, même à postériori, il a laissé volontaire planer un doute sur la nature du châtiment que va devoir endurer Thaïs MDE. La chienne en chaleur est pourtant bien loin à cet instant de songer à se tourmenter sur les 20 autres coups cinglants car elle est encore très excitée d’avoir pu être autorisée à sucer la Divine Queue du Maître et de sentir l’odeur caractéristique persistante du sperme qui est resté collé sur tout son visage. C’est donc à bon escient que le Châtelain a annoncé sans terminer sa phrase avant un long moment :

- Alors, voyons maintenant, ces 20 ………… ( long silence ) …………….… réponses suivantes ! Puisqu’il semble que ta mémoire défaillante, tant ce matin que juste à l’instant, ne puisse pas t’être d’une grande utilité. Je vais donc devoir t’interroger à nouveau. Mais je suppose que tu comprendras aisément que cela va se payer plus lourdement, car si je suis Maître D/s assurément, je n’ai pas encore l’intention d’endosser la casquette de maître d’école ou pire de répétiteur particulier de « madame l’ex-chef d’entreprise » bien ignorante et peu savante, car elle a des trous dans la cervelle à la place des cases mémoires.



Thaïs MDE est une fois encore piquée au vif dans son égo de dirigeante professionnelle mais elle ne bronche pas, au risque de mécontenter le Maître Vénéré, ce que la soumise dévouée profondément ancrée en elle ne souhaite pas le moins du monde, reconnaissant de surcroît qu’effectivement le matin, elle n’a pas été excellente dans la démonstration de ses capacités professionnelles, compte-tenu de la situation qui lui avait été imposée par le Maître Vénéré et qui s’était avérée à la fois excitante mais aussi déstabilisante. Le Marquis d’Evans poursuit avec un air des plus malicieux, qui démontre bien à quel point il prend plaisir à jouer avec les ressentis qu’il titille de celle qui est devenu son associée sur le plan professionnel, mais qui reste avant tout Son esclave-soumise qui lui a fait don de sa vie toute entière et de son corps qui frémit dès qu’elle pense à Celui qui emplit désormais son esprit, son cœur, et son âme à chaque instant. D’un ton posé, le Président Directeur Général qui ne bouge pas d’un iota, planté droit au-dessus de Sa soumise, à l’allure imposante dans son costume sombre au tombé impeccable dont il vient de refermer la braguette et la ceinture en cuir, poursuit.

- Pour la suite, le jeu des questions/réponses va être très simple, ce sera blanc ou noir ! Je ne joue pas, quant à moi, dans les nuances de gris que je laisse à d’autres. Ou bien tu connais parfaitement la réponse à la question posée, ou bien tu l’ignores totalement ou même encore partiellement. Comme je suis un Maître qui sait rester magnanime et mesuré dans le choix de Ses sanctions, reconnaissant que ton interrogatoire de ce matin fut une tâche ardue à laquelle tu n’avais pas été préparée, je suis prêt à tempérer cette punition pour toutes les bonnes réponses que tu voudras bien m’indiquer sans bafouiller et sans tourner autour du pot. Pour toutes celles-là, tu recevras un « simple » coup de canne anglaise. D’ailleurs, si tu as pris soin de bien écouter ce qui t’a été précisé un peu plus tôt par Mes sous-directeurs après chaque coup de gong, ce te sera très simple de me répondre convenablement.
Tu vois comme je suis généreux avec toi….. Et pourtant je ne devrais pas faire preuve d’autant de clémence, car tu sais bien que je n’aime pas être obligé de punir le moindre de mes esclaves, mais que je suis bien contraint de le faire si l’un ou l’une d’entre vous m’y oblige du fait de sa désobéissance, de ses manquements aux règles édictées, ou de ses imperfections, car je tiens à pouvoir vous apporter le meilleur dressage qui soit.

Le Marquis d’Evans att le collier de métal qui est au cou de Son esclave et il tire dessus l’anneau qui y pend pour obliger à Thaïs MDE toujours allongée sur la table à redresser la tête et à lever les yeux, ce que la soumise fait par habitude lorsqu’il la maintient dans cette position e sans même qu’un seul mot de plus soit prononcé dans un silence parfait où seuls les yeux ont la parole pendant un court instant. Le regard du Maître Directif et puissant, mais malgré tout tendre et protecteur, croise pendant quelques secondes celui de son esclave intimidée, empourprée, avec des larmes d’émotions qui perlent sur ses joues chaque fois que leurs quatre yeux bleus se rencontrent profondément, laissant parler leur moi intérieur dans le reflet de leurs pupilles. Le Châtelain met fin à cet échange visuel d’un geste brusque comme pour faire revenir son esclave dans une autre réalité D/s. Et du plat de la main posée sur la nuque, il oblige Thaïs MDE à courber la tête totalement dans l’autre sens, la face vers le bas, pour lui rappeler qu’elle ne doit jamais oublier sa condition humble et inférieure, qui sait que sa place est aux pieds du Maître Vénéré.

- Je tiens à faire de toi, une chienne-esclave parfaitement dressée et une soumise-associée performante et obéissante prête à tout faire pour servir Mes intérêts. C’est ce que tu souhaites également, n’est-ce pas, Ma chienne ? Réponds-moi franchement.
- Oui, Maître Vénéré, je souhaite profondément être celle que Vous désirez que je sois pour Vous et je Vous remercie de tout ce que Vous faites pour me dresser et me permettre de m’améliorer pour que je puisse mieux Vous servir et être encore plus à Vous, toute à Vous, rien qu’à Vous.

- Alors, c’est parfait ! Le Maître Vénéré et son esclave dévouée sont bien sur la même longueur d’ondes, c’est ce qui justifie que tu as encore la possibilité d’avoir une petite place à mes pieds, même si ton dressage et ton perfectionnement sont loin d’être achevés.

Le Marquis d’Evans pour la suite exige que Sa chienne se lève de la table où elle avait été allongée pour recevoir les 13 premiers coups de cravache et pour qu’elle vienne sans tarder s’agenouiller à Ses pieds, tandis qu’IL s’est assis dans un grand fauteuil en cuir avec accoudoir, prenant entre ses mains la feuille préparée par sa secrétaire soumise Emeline MDE avec la liste des erreurs commises par Thaïs MDE le matin même lorsqu’elle avait été interrogée pour présenter la société qu’elle dirigeait, avant qu’elle ne soit reprise par la Holding financière du Noble Hommes d’Affaires. Le Châtelain a aussi attrapé avant de s’asseoir une longue et fine canne souple en rotin. Pendant tout le temps que Thaïs MDE se déplace à quatre pattes pour faire le tour du bureau et rejoindre la place qui vient de lui être assignée, le Châtelain s’amuse à faire siffler dans l’air la canne, histoire de mettre un peu la pression sur ce qui va suivre.

- A genoux !... Tiens-toi droite !... Ecarte les cuisses !... Les mains sur la tête !... Et bien évidemment le regard baissé. Tes magnifiques yeux bleus attendrissants ne te seront d’aucune utilité car tu es là pour subir la suite de ta punition méritée. Ne l’oublie pas et surtout que cela te soit profitable pour l’avenir ! Exécution !!!

Sans perdre une seule seconde, Thaïs MDE s’installe dans la position exigée par Le Maître, un peu inquiète à l’idée de devoir subir un nouvel interrogatoire et de risquer de décevoir à chaque nouvelle mauvaise réponse le Marquis d’Evans. Elle essaye de se concentrer mentalement sur son activité professionnelle et sur la réunion de travail du début de la matinée, mais une fois de plus ses pensées lubriques et son corps de chienne en chaleur risquent de la trahir, car elle est très excitée et particulièrement humide de se trouver ainsi, totalement dénudée, à genoux, les seins saillants comme elle a mis les mains sur la tête, les cuisses ouvertes, le corps frémissant chaque fois que Le Châtelain s’amuse à promener le bout de la canne anglaise sur son corps offerts, ses mamelles généreuses, ses tétons durcis, son entrecuisse sensible, sa chatte humide, tout en même temps qu’il continue par intermittence de faire siffler dans l’air la même canne qui risque par la suite de se révéler beaucoup moins caressante et bien plus cinglante que ces premières caresses qui la font saliver de désirs.


- Ma belle chienne-esclave, tu vas voir comme tes fesses vont se couvrir de belles zébrures ravissantes avec une canne toute à fait adaptée à venir estampiller ton postérieur plantureux encore bien trop pâlot, car il est évident que les coups donnés dans le cadre d’une punition sont toujours plus forts et plus marquants que ceux qui sont juste là pour faire monter la température de ton corps sensuel en ébullition. D’ailleurs, tout cela est parfait pour ce que je veux faire de toi par la suite. Ton corps m’appartient, j’aurais donc pu t’imposer pour mon seul plaisir et dans mon seul intérêt de le marquer de la même manière pour l’orner de quelques traces visibles que tu pourras arborer lorsque je l’exigerai. Mais je sais que, puisqu’il s’agit d’une punition, tu en ressentiras plus fortement l’impact sur ta croupe et dans ta tête que si le même geste t’avait été imposé juste par le seul fait de ma volonté et la force de ton désir d’obéissance au moindre de mes désirs qui reste une source de plaisirs pour la soumise dévouée que tu es, malgré toutes tes imperfections à corriger et ton manque de mémoire évident que je suis en passe de sanctionner.

Le Marquis d’Evans att sa liste de questions qu’il pose calmement une à une. Les six premières sont simples et Thaïs MDE répond sans hésiter, reprenant un peu d’assurance, malgré le fait qu’elle regrette de n’avoir pas su se rappeler spontanément desdites questions un peu plus tôt ce qui lui aurait valu des coups de cravache moins mordants au lieu de coups de canne. Mais la septième est une vraie « colle » qui la laisse muette et penseuse.

- Explique-moi quelque chose ! Tu prétends que tu étais une chef d’entreprise et que tu dirigeais la société que tu avais créée toute seule au fil des ans. Tu ne peux même pas me ressortir de tête le montant de ton chiffre d’affaires d’il y a deux ans. Tu devais aller au travail en dilettante tous les matins, ce n’est pas possible ! Il va me falloir mettre bon ordre à tout ce dysfonctionnement bien peu rigoureux.

Thaïs MDE est peinée des remarques de Celui qui est devenu autant son Patron que son associé. Elle n’avait jamais songé à apprendre par cœur les chiffres figurant dans ses bilans qu’elle pouvait lire chaque fois qu’elle avait besoin d’examiner les comptes financiers de sa société avec son banquier ou son expert-comptable, ou encore en interne avec son équipe de collaborateurs. Elle ne comprend pas pourquoi Le Président Directeur Général qui ne doit pas pouvoir connaître chacun des chiffres de multiples sociétés peut lui faire reproche de ne pas savoir de tête ce type d’élément chiffré qui n’apporte rien en soi. Elle se hasarde toutefois à répondre.

- Le chiffre d’affaires de l’année N-2 était inférieur à celui de l’année précédente en raison de deux gros dossiers sur lesquels je misais et qui s’étaient révélés infructueux ; le premier à cause d’une société qui s’est retrouvée mise en liquidation judiciaire ce qui fait que notre créance est à ce jour presque irrécouvrable et le deuxième du fait d’un concurrent qui m’a enlevé le marché in-extrémis. Mais depuis, la barre a été redressée comme cela est attesté dans les comptes.

Le Noble Businessman l’a laissé continuer son explication jusqu’au bout avant de sortir relativement excédé.

- Si tu crois que j’ai aussi peu de mémoire que toi, tu te trompes. Je te fais remarquer que tu as dis mot à mot exactement la même chose ce matin devant mes collaborateurs. Je n’aime pas me répéter, mais je n’aime pas plus avoir à me farcir deux fois le même topo, que j’enregistre normalement dès la première écoute. Alors que cela soit clair, pour la suite, il te sera préférable de te taire, si tu n’as pas plus d’éléments précis à m’apporter en réponse, sans quoi, je doublerai la sanction à chaque fois.

L’esclave attristée baisse la tête un peu plus, comprenant que ses explications ont été vaines, et qu’il lui faudra sans cesse dans le cadre de cette nouvelle association professionnelle s’adapter aux exigences du Président Directeur Général, devenu propriétaire tant de Thaïs MDE qui lui appartient désormais corps et âme dans un contexte D/s, que de son ancienne société qui lui appartient également directement et indirectement via les parts qu’il a daigné laisser officiellement au nom de sa soumise-associée pour des raisons administratives et juridiques. C’est une situation nouvelle que sa part en elle de femme d’affaires indépendante qui n’avait aucun compte à rendre à qui que ce soit a un peu de mal à assimiler, mais que son autre part d’elle plus soumise dans l’âme trouve très agréable à vivre, car cela lui donne un réel sentiment d’Appartenance totale qui va bien au-delà de ce qu’elle pouvait imaginer lorsqu’elle est devenue l’une des esclaves-soumises du cheptel MDE, car outre le fait d’être la chienne du Maître Vénéré dans le cadre de leur relation D/s, elle est aussi devenue sa propriété intégrale dans sa vie vanille personnelle et professionnelle, ce qui ne pouvait que ravir celle qui est entière par nature et qui voulait vivre et ressentir au plus profond de son âme le don de soi que représente pour elle la soumission…

(A suivre …)

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