Pour Son Plaisir (6)
6 la clinique
Voilà maintenant quelques mois que Jacques et moi vivons ensemble. Il me laisse aller étudier et, à la suite de la signature dun contrat, je suis à son service particulier. Il ma initié, moi, puceau, à des pratiques sexuelles que je nimaginais même pas. Je reçois maintenant sa queue en moi, que ce soit dans ma bouche ou dans mon cul. Chaque jour, ou presque jai droit à une correction, quel que soit le prétexte. Mais Jacques est mon maître, mon amant, mon guide. Je lui suis entièrement dévoué. Certes il a des amis plutôt brutaux dont un certain Jean-Marc qui ma un jour fessé. Jai conservé pendant plusieurs jours les marques de la soirée.
Il reste un point du contrat que Jacques na pas oublié : me faire circoncire. Dès le début de notre rencontre, il avait insisté sur ce point. Il estimait que cest un cadeau et un acte de soumission totale que je pourrai lui offrir. Il avait déjà pris rendez-vous dans une clinique dont il connaissait le chirurgien. Dès notre retour de stage en Espagne, il ma rappelé ce point du contrat.
Le premier samedi des vacances davril, Jacques me donna des vêtements plutôt corrects, alors quhabituellement le samedi je reste en jock strap. Comble du luxe, Jacques me retira la cage qui memprisonnait la queue durant la journée ainsi que lanneau qui sert à la retenir. Nous prenons sa BMW pour nous rendre à la clinique. Elle se trouve à une quarantaine de kilomètres de Bordeaux. Durant le trajet, il me parle un peu de lui. Jai enfin appris son véritable âge. Moi qui lui donnais une trentaine dannées, il en avait en fait plus de 40. Il était lhéritier unique dune riche famille et dirigeait plusieurs entreprises en métropole, mais aussi des filiales à létranger : Benelux et pays méditerranéens.
Nous arrivons à la clinique. Lhôtesse daccueil nous dirige vers le bureau du chirurgien. Nous avons attendu quelques instants, puis nous sommes entrés dans le bureau.
- Tu continues à le faire épiler, ça nous évitera de le raser ! et puis cest tellement plus beau !
- Bien sûr, je le veux totalement nu ! tu me connais !
Puis le chirurgien sadresse à moi et mexplique ce quil va faire :
- Cest très simple, je tenlève le prépuce autour de ton sexe. Tu arrives le matin, tu repars le soir. Quelques petits soins, maximum un mois pour te remettre. As-tu des questions ?
- Oui. Ça fait mal ? je pourrai bander après ? est-ce quil y a des risques ?
- Mal ? non ! ce sera un peu sensible
tu garderas toutes tes fonctions actuelles, tu pourras bander même si au début ce sera un peu douloureux. Enfin pour ta dernière question, il y a toujours des risques dans une opération, mais on essaie de les limiter. Rassuré ?
Rassuré ? je létais plus ou moins Le chirurgien passa un coup de fil. Il sagissait de lanesthésiste qui devait également me voir. Pendant ce temps, je restais nu, à moitié bandant, sur la table. Le chirurgien revint vers moi et commença à mexaminer plus en détail, commentant ces observations :
- Bien, les dents saines ! pas de boutons, plutôt belle peau
Des muscles bien dessinés
Tu as plutôt bon goût mon Jacques !
Lanesthésiste entra dans le bureau et nous rejoint.
- Je nai jamais été opéré et je nai aucune allergie connue à ce jour. Jai été quelquefois malade mais comme tout le monde.
Une infirmière entre à son tour. Elle me fait une prise de sang. Là encore, je suis très gêné. Jessaie de cacher mon sexe sans poil, mais elle me prend le bras pour faire la prise de sang.
- Serrez le poing, regardez ailleurs
Elle me pique la seringue
ce qui me fait débander dun coup ! je regarde quand même le sang couler dans les petites fioles. Elle me fait ensuite plier le bras. Elle a posé quelques instruments sur mon ventre et lorsquelle les reprend, elle frôle ma queue. Leffet ne se fait pas attendre ce qui a lair détonner Jacques.
Linfirmière et lanesthésiste sortis, le chirurgien me dit que je peux me rhabiller. Il dit à Jacques que les résultats seront connus dici deux jours et fixe le rendez-vous pour lintervention en juin.
- Si tard ? tu ne peux pas lui faire dans 3 jours ?
- Tu es si pressé ?
- Oui, jai dautres projets pour lui, en juin !
Jécoute dune oreille pendant que je me rhabille. Le chirurgien consulte son agenda et fixe le rendez-vous pour le jeudi suivant. Jacques le remercie. Nous nous saluons et nous quittons la clinique.
Nous reprenons la voiture. Je pensais que nous retournions à Bordeaux, mais Jacques prend un autre chemin et nous arrivons dans le parc dune superbe villa. Il me dit que cest sa résidence pour les vacances, quil y vient rarement, mais que nous allons nous installer là le temps quil faudra pour lopération et ses suites. Il me fait visiter les lieux : une grande villa avec piscine, 4 chambres, un grand espace à vivre, une cuisine avec un coin repas. La villa est bien meublée.
Nous sommes dans la deuxième quinzaine davril. Le temps est plutôt beau le jour, mais le soir, le froid domine encore. La villa est chauffée et jai donc pour ordre de vivre à poil dans la villa. Dès la visite terminée, je dois donc me déshabiller. Jacques me prend alors et membrasse.
- Je suis content ! tu vas être à moi, vraiment, dès que ton petit bout de viande sera parti. Tu me donnes une vraie preuve damour. Je taime beaucoup Cédric.
Il me caresse, ce qui était plutôt inhabituel chez lui puis memmène dans sa chambre. Nous faisons lamour normalement, sans brutalité. Il me pénètre doucement sans forcer tout en me branlant. Comme à son habitude il me fait nettoyer mon sperme sur ses mains. Et puis, la domination prend le dessus, cette nuit je dormirai aux pieds de son lit. Il maccorde une couverture mais cest tout ! Durant la nuit, je lentends se retourner plusieurs fois. Jai beaucoup de mal à dormir. Le lendemain, je suis plutôt fatigué, mais je dois mactiver aux tâches ménagères. Je casse un bol et une assiette, ce qui me vaut une correction. Jai reçu 15 coups de cravache sur les fesses. Il ma administré les coups progressivement, par série de cinq. Je devais compter les coups. Les cinq premiers furent légers, les cinq suivants furent plus soutenus. Les cinq derniers furent violents. Je gardais les fesses nues le reste de la journée, et javais beaucoup de mal à massoir. Ce jour-là, jai également découvert une nouvelle façon de manger. Jacques me demanda de ne plus manger en face de lui, à table, mais à ses pieds. Je devais me mettre à genoux, près de lui et il menvoyait la nourriture. Si je ne lattrapais pas, je devais la ramasser sans y mettre les mains.
- Chauffeur ? mais je nai même pas le permis !
- Tu lauras pour septembre !
Il me parla également dune école dans laquelle il souhaitait minscrire à partir de juin.
- Tu verras, tu auras des cours qui te seront utiles pour ta vie professionnelle et pour ta vie tout court ! mais surtout pour ta vie avec moi
- Cest quoi comme école ?
- La surprise sera plus grande si je ne te dis rien ! Mais sache que je ne ty mettrais pas si je nétais pas certain que rien ne pourra tarriver !
Le jeudi matin, je devais rester à jeun. Jacques me donne un short assez large et un tee-shirt ainsi quune veste de survêtement.
- Tiens, mets juste ça ! tu verras, en sortant, tu seras plus à laise.
En sortant de la villa, jai un peu froid aux jambes, mais sans plus. Je monte dans la voiture, direction la clinique.
A la clinique nous sommes accueillis par une infirmière qui me prend en charge. Jacques nous suit dans la chambre. Elle mexplique que je dois me doucher avec de la bétadine et ensuite rester nu sous une chemise prête sur le lit. Jacques soccupe de me laver, ce quil navait jamais fait puis jenfile la chemise qui marrive au milieu des cuisses et qui laisse le dos apparent. Je mallonge sur le lit et attend. Un garçon de salle vient pour me donner un cachet et me dit quil va me raser. Jacques rit doucement. Quand il soulève la chemise, il saperçoit que je suis épilé.
- Je vois que tout est net ! parfait !
Un petit clin dil et il disparaît. Moins dune heure après je suis pris en charge. Je suis à moitié dans les vaps. On memmène au bloc. Je reconnais Michel qui est accompagné de lanesthésiste. Je respire dans un casque en comptant à rebours. Je mendors !
Quand je me réveille, je suis encore dans les vaps. Je reconnais Jacques près de moi et Michel qui me parle. A peine une heure sest écoulée pour lopération. Ça y est, je suis circoncis.
Je passe la matinée dans la chambre. Un infirmier vient me voir régulièrement pour prendre la tension et regarder le pansement. Il touche de deux doigts mon membre. A chaque fois Jacques le surveille. Puis en fin de matinée, il mannonce quil change le pansement et quensuite je pourrai sortir. Il me change effectivement le pansement. Je ne sens pas grand-chose, sans doute des anti douleurs dans la perf. Michel entre à son tour, regarde létat de ma bite et confirme que je pourrai sortir très vite. Il me conseille de rester nu la nuit et de porter des pantalons amples pendant quelques jours. Jacques lui confirme que je ferai ce quil dit.
Pour le retour à la villa, le short ample ma très bien convenu. Les frottements étaient parfois douloureux mais sans plus.
Les trois semaines suivantes, je les ai vécues totalement à poil. Le temps se radoucissait même sil y avait des jours moins chauds. La première fois que je me suis regardé dans la glace, jétais à la fois surpris et plutôt content. Javais limpression davoir une autre bite avec un gland plus gros
Je continuais les quelques tâches ménagères, même si Jacques ne me corrigeait plus. Chaque jour, il soccupait de vérifier létat de ma bite. Je mhabituais progressivement à ma nouvelle queue, sans prépuce. Le plus difficile, au début, cétait la nuit, quand je bandais, je me réveillais. Puis la douleur sest atténuée. Jai pissé normalement. Durant ces semaines, jaimais sucer Jacques et lui lécher le cul, mais jévitais de me coller à lui. Il a compris que cétait un peu douloureux. Quand je fus remis, Jacques me suça longuement. Il semblait apprécier la nouvelle forme de ma bite et quand jéjaculais abondamment dans sa bouche, il en avala une partie avant de me rendre le surplus. Puis il décida que je devais porter un anneau à son nom. Il me fit donc percer loreille pour y poser lanneau.
Je nai pas repris les cours. De toute façon, Jacques ma annoncé que je passerai mes examens dune autre manière. Il tenait à ce que japprenne une langue supplémentaire. Lécole à laquelle il mavait inscrit menseignerait ce qui me manquait.
Au cours du mois de mai, jai dû compléter mon enseignement en arabe. Les coups de fouet, de martinet et de cravache ont repris. Je dormais le plus souvent dans son lit, mais quelquefois, en pleine nuit, il me balançait à terre et je devais finir la nuit, tout nu sur le sol. Un soir il a décidé que je ne devais plus me servir de mes mains. Il ma menotté les mains dans le dos et jai passé la soirée sans pouvoir utiliser mes mains. Durant cette période à la villa, il na reçu aucun de ses amis. Il a beaucoup travaillé par téléphone et par informatique.
Fin mai, le 31 exactement, jour de mes 20 ans, il mannonça mon départ pour lécole. Mais ce jour là, nous sommes allés au restaurant et jai passé une journée de rêve, sans correction et avec plein damour.
1er juin, 6 heures :
- Debout mon gaillard.
Jacques attend que je me lève, membrasse et me remet la cage.
- Pourquoi ? je pourrai pas tenir si longtemps !
- Voilà ton costume de collégien. Départ dans une heure ! Ne sois pas en retard.
Une petite bise pour ponc tout cela et je me prépare. Je passe à la salle de bain. Cette cage mobsède. En plus elle me semble différente de la première, jai limpression que ma bite est plus recourbée quavant. Si je dois me mettre nu devant dautres gars je ne vais pas avoir lair très malin ! Je suis obligé de pisser assis ou accroupi. Pour le nettoyage, je passe le pommeau de douche. En plus maintenant mon gland frotte directement sur cet engin et ça me démange un peu. Je mets les vêtements préparés par Jacques : le slip kangourou, un bermuda bleu marine jusquaux genoux, une chemise à courtes manches, blanche avec une cravate bleu marine, des chaussettes qui montent jusquaux genoux, souliers, blazer avec un écusson représentant une bite en érection. Jacques à lair satisfait. Une petite claque sur les fesses en atteste !
- En route. On ne va pas se voir pendant 3 mois, mais tu verras, quand tu reviendras tu seras un véritable homme sur lequel je pourrai compter.
Jacques est très beau dans son costume avec cravate, très soigné. Pas de petit déjeuner ce matin. Je monte dans la voiture et nous partons. Nous mettons un peu plus de deux heures avant darriver à « lécole ».
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!