Les Fantasmes D'Ados Se Réalisent

- Amina ? tu m’écoute ? que regardes-tu avec autant d’insistance ?? mon beau père ?
- Avoue tout de même Léa qu’il est craquant !
- Tu as l’air d’oublier qu’il a quarante ans et que toi comme moi avons juste la majorité sexuelle ?
- Et alors ? dis-moi que jamais tu n’as eu envie de le toucher ? ou de le sentir poser les mains sur toi ?
- Non … enfin …. Une fois….
- Raconte vite !
- C’est un jour où j’avais eue des mauvaises notes au lycée, ma mère m’avait pourrie et je chialais dans mon coin, une fois ma mère partie Armand est venu me consoler, si tu savais comme j’étais bien entre ses bras puissants
- C’est exactement ce que j’imaginais quand tu m’as tirée de mes rêves ! continue vite !
- Au début j’ai posé ma tête sur son torse, il n’osait pas m’enserrer, puis voyant que je m’alanguissais il a accentué la pression en me caressant avec ses larges mains
- Où ça ?
- Sur mon dos d’abord et ensuite sur ma fesse en me forçant à m’appuyer contre lui
- Non ? !!
- Si ! et là j’ai sentis la bosse qui venait de se former entre ses jambes, je me suis débrouillée pour passer ma main sur son érection pour vérifier son ampleur
- Et alors ?
- Alors quoi ?
- C’était gros ?
- Gros et dur, voyant ma docilité il s’est mis à pétrir ma fesse en remontant ma robe, j’ai bien cru que j’allais y passer mais d’un coup il s’est repris et ma repoussée, il s’est enfuit en bougonnant, ma culotte était à tordre
- Zut ! quel dommage
- Tu te le ferais toi mon beau père ?
- Plutôt deux fois qu’une !
- Et si je te disais qu’il louche sur ta peau de black, il m’a demandé si j’avais le même âge que toi sans doute par rapport a ta poitrine plus volumineuse et ton p’tit cul rebondi, à demi-mots il voulait savoir si nous nous caressions toutes les deux
- Qu’est-ce qu’ont attend pour nous faire baiser ? à deux ce serait plus facile de le convaincre
- Tout de même c’est mon beau père, remarque après tout ce serait bien fait pour ma mère, je n’ai pas digéré qu’elle fasse cocu papa !
- Ah ? avec Armand ? c’est le dernier de la liste, le premier était son gynéco, elle racontait a papa qu’il la visitait sans mettre de gants et qu’il insistait jusqu'à la faire jouir, mais elle ne précisait pas avec quoi !
- En même temps c’est le fantasme de beaucoup de femme de se faire sauter par son gynéco
- Et elle recommence avec Armand, elle retourne le voir car elle a décidé de se faire faire un moutard avant sa ménopause, rien que pour ça j’ai envie de me faire baiser par son mec, ça lui fera les pieds !
- Alors il ne reste plus qu’a échafauder un plan
- Attend Amina ….

.
- Tu enlève ta petite culotte ?
- Ben oui car je commence à mouiller comme l’autre jour, a tel point qu’en faisant la lessive le lendemain maman m’a demandé si j’avais souvent des pertes et si ma vulve me brulait en faisant pipi, rouge comme une pivoine j’ai bafouillé je ne sais quoi, c’est pour ça que depuis je prends des précautions
- Tu es une vraie blonde dit donc !
- Au fait, toi tes poils ? comment sont-ils ?
- Une horreur, ça fait des petites touffes crépues, regarde ….
- Hooouuuuuuuuuua ! effectivement ce n’est pas beau, mais tu mouille autant que moi ma belle ! c’est plus clairsemé que les miens, j’en ai marre de cette touffe ça arrive jusque sur mes cuisses
- Et si ont se rasait ?
- Tu veux dire … tout ?
- Oui, comme maman, l’autre jour elle râlait parce qu’elle devait de nouveau aller chez l’esthéticienne pour le maillot, mon beau père lui a demandé de faire tout raser, mais comme elle avait honte de demander ça c’est lui qui lui a fait, c’est mémorable !
- Tu as assisté ?
- Bien sûr que non mais j’ai des oreilles ! ça riait, ça gémissais dans cette salle de bain ! elle lui donnait des conseils et un moment après j’ai entendu des coups
- Des coups ?
- Oui mais des coups de reins accompagnés de hurlements de bonheur !
- Tu m’étonne, ils étaient excités, ça doit faire drôle sans poils ! tu peux chiper un rasoir à ta mère ? demain ont se le fait ?
- Je veux bien mais où ?
- Dans ton cabanon de jardin ?
- Bonne idée, y’a des transats sur lesquels nous pourrons nous allonger a tour de rôle

Nous ignorions que notre ‘projet’ allait prendre une toute autre tournure …cela a pourtant bien commencé, une fois la porte du cabanon refermée, sans dire un mot, troublée de nous mettre le bas a nu, une fois les petites culottes déposée sur un établit ….

- Qui commence ?
- Moi si tu veux Léa, soit attentive, ne me taillade pas la minette !
- Je vais faire attention, d’abord passer la mousse à raser …allonge toi et écarte les cuisses… ça fait drôle cette chatte quasiment violette ! je vois un peu de rose à l’intérieur, quel contraste... et ça commence à suinter !
- Je mouille pardi !
- Rassure-toi, moi aussi, allez, ne bouge plus je me lance …ça fait mal ?
- Non ça glisse tout seul …
- Après nous nous passerons de la crème pour ôter le feu du rasoir
- Avec toute notre mouille ça suffira !
- Je dois t’attr une lèvre pour l’étirer
- Mmmmmmuuuuuuummmmmmmmm …
- Quoi ?
- Tu me fais des choses !
- Ne jouis pas dans mes doigts cochonne !
- Et après ? nous pouvons bien prendre un peu de plaisir en même temps non ? ! effleure mon clito pour voir ??? aahhhhhoooouuuuii !
- Je n’ai pas eu de peine à le trouver, il est sorti de sa cachette ! quelle belle chattoune, ce mélange de violet, de noir de rose, pas étonnant que ça fasse fantasmer Armand ! a mon tour, pas question de te faire jouir avant que je ne sois rasée
- Ingrate ! prend ma place… huuuuummmm y’a du foin à tondre dit donc !
- Dégrossit au ciseau si tu veux
- Ils sont tous amalgamés au centre, collés par ta mouille
- Fais gaffe à mes petites lèvres
- Tu as l’air étroite du vestibule !
- J’espère bien faire agrandir l’entrée bientôt !
- Il doit être un sacré bon amant ce mec pour que ta mère l’ai choisi entre tout ses soupirants
- Elle va devoir le partager !
- Tu crois qu’il va accepter sans rechigner ?
- C’est à nous de le faire craquer, tu as bientôt fini ?
- Encore un coup de rasoir entre la chatte et l’anus et c’est fait
- N’oublie pas d’étaler ma mouille pour atténuer le feu, on se caresse mutuellement après ? ça m’as émoustillée de me faire toucher
- Moi aussi ! si tu veux, on enlève le haut aussi à y être
- Je vais téter tes gros nichons de black
- Et moi ta chatte toute blanche et lisse

Les deux filles se positionnent pour que chacune d’elle accède à ses désirs, bientôt dans le cabanon ce n’est que gémissements, soupirs et cris du plaisir qui monte jusqu'à l’explosion finale dans un déferlement de jus intime, elles sont encore enlacées, ou plutôt emboitées têtes bêches lorsque la porte en bois s’ouvre, une silhouette d’homme envahit l’encadrement , un juron jaillit de sa bouche

- MERDE ALORS !!! Qu’est-ce c’est que ces deux petites goudous
- ARMAND ??? que fais-tu là ?
- C’est à moi de vous poser la question ! je viens simplement chercher un outil ? rhabillez vous et vite sinon ….

L’homme maugrée mais il ne quitte pas des yeux ces deux nymphettes et particulièrement la jeune noire qui une fois l’effet de surprise passé, par bravade ne fait rien pour dissimuler ses charmes, au contraire elle soutient le regard d’Armand en gonflant au maximum sa poitrine qui se soulève d’une façon qui ne peux laisser indifférent le mâle le plus blasé, il referme la porte derrière lui ….

- Je t’en supplie Armand ne dit rien à maman, nous allons nous rhabiller et sortir
- Attendez !… il n’y a pas le feu asseyez vous et discutons…je rêve ? vous êtes rasées ?
- Mais non ?
- Ouvrez les cuisses que je m’en assure … OBÉISSEZ OU BIEN ? !!!

Le ton ne permet pas de tergiverser, Amina s’exécute la première suivie par Léa

- Je ne m’étais pas trompé ! Qu’avez vous fait pour avoir les lèvres aussi gonflées et rougies ?
- Sans doute le feu du rasoir ??
- Mon œil ! tu ne va pas apprendre à un vieux singe à faire la grimace ! quand une chatte est aussi ouverte couleur corail c’est qu’elle a été sollicitée, et dans votre cas ce ne peut- être que des doigts et des langues qui ont provoqué ça, je me trompe ??
- Armand soit gentil et compréhensif …
- Gentil ? compréhensif ? mais tu ne vois pas qu’il en profite ? regarde son entrejambe ma pauvre Léa, IL BANDE COMME UN PORC !!
- Calmez vous les filles je ne vous veux pas de mal
- J’espère bien, nous espérons même que tu ne nous veux que du bien !
- Vous êtes très belles la nudité vous va à merveille
- Vous vous demandiez si ma copine et moi nous ‘amusions’ ensemble ?
- Heeeeeuuuu
- Eh bien c’est fait, depuis peu, vous avez tout deviné en voyant nos chattes
- J’aimerais les revoir de plus prés si vous me le permettiez mesdemoiselles
- Qu’en dit tu Léa ?

Pour toute réponse la jeune fille s’allonge nonchalamment sur le transat et ouvre largement son compas intime faisant craquer la ‘cicatrice’ pas encore remise des caresses précédentes

- Ça te va ainsi ? Vient prés de moi Naomi et montre ton bijou exotique à monsieur
- Fait moi une petite place … je passe ma jambe par-dessus la tienne ?

Sans chercher a se dissimuler l’homme masse énergiquement son érection désormais incontestable, il fait les deux pas qui les séparaient et s’assied au bout de la chaise longue, sa respiration devient saccadée et ses yeux passent d’un entrecuisse a l’autre a une vitesse qui donne le vertige, il pose une main sur la cheville brune, sournoisement Naomi vient poser son pied sur la cuisse de l’homme qui fait en sorte qu’elle vienne en contact avec sa verge, la plante frotte la bite pliée en deux dans son slip
Voyant la détermination de la gamine il fait progresser sa main entre les jambes qui ne se referment pas, son buste bascule vers l’avant, son nez hume les effluves épicées évacuées par la vulve en chaleur, la langue sort de la bouche et se pose sur la motte rasée arrachant un cri de surprise à sa propriétaire qui lance son ventre a la rencontre de son lécheur excité par le nacre de la chatte entrebâillée
Léa ne se contente pas de contempler la scène, elle se lève pour aller déboucler, non sans mal, la ceinture du pantalon d’Armand qui se contorsionne pour qu’elle puisse le baisser aux genoux, la queue raide toujours prisonnière du boxer a fait une large auréole a celui-ci, la fille s’amuse a passer son doigt sur cette partie lubrifiée et dessine les contour du gland quasiment de la grosseur d’un œuf de poule, poussé a bout l’homme dégage sa queue de sa prison de tissu, a présent la fille l’att a pleine main et manipule la peau fine, une main plus imposante pèse sur sa tête pour l’obliger a venir sentir le cylindre de chair
C’est partit, tandis qu’il lèche consciencieusement la vulve black l’autre fille léchouille l’énorme bout suintant avant d’essayer d’en faire entrer une partie dans son palais, Armand pousse un grognement de satisfaction et mime le coït pour faire comprendre les gestes à faire a l’apprentie suceuse
Deux minutes plus tard Amina pousse un cri libérateur, tandis que l’homme satisfait se lâche dans la gorge qui n’arrive pas à déglutir assez vite et qui ne désirait même pas absorber cette substance épaisse !

- ARMAND !!! T’es dégueulasse ! Tu as faillit m’ avec ton jus
- Encore quelques fois et saura faire ! , bon les filles je vous laisse ?
- Tu vas nous laisser dans cet état ? tu ne vois pas la chatte de Naomi qui attend ton passage ?
- C’est vrai, j’ai envie …
- Ce ne serait pas raisonnable …pense a ta mère …
- Mon pauvre si ça se trouve tu es cocu, alors pourquoi hésiter ? elle ne te plait pas ?
- Si elle me plait ? regarde ma bite comme elle se redresse

Pour finir de le décider Amina écarte et relève ses cuisses, on ne voit que sa petite fente qui fait des bulles, Armand finit d’ôter ses vêtements et la queue a la main approche du calice, un genou sur le transat il attire la fille face a son zob, il ne lui reste plus qu’a fléchir en avant, pour faciliter l’intromission la fille écarte ses lèvres du bout des doigts, Léa intervient …

- Laisse-moi tenir et guider ta verge Armand, après ce sera mon tour ?
- Vous allez me mettre sur les rotules les gamines, j’espère que ta mère ne me demandera pas de la sauter ce soir
- Tu n’auras qu’à repenser à nous et tu banderas gros salaud ! pousse tu es face a l’entrée de la moule … regarde ta bite blanche disparaitre dans ce volcan noir ….
- AAAAAAAAHHHH !!
- Ça fait mal Naomi ?
- Non ça surprend !
- Ne me dites pas que vous êtes pucelles ?
- Eh si ! trop tard c’est fait, enfonce toute ta queue maintenant
- Petites pestes … mais c’est tellement bon…. Ooooooooooooohhhhhhhhhhhhhh… Tien-Tien-Tien-Tien !!!!
- Ah-ah-ah-ah-ah-aaaaaaahhhhhooooooouuuuuuuuiiiiiiiii

En se retirant la verge fait ressortir des chairs roses aussitôt refoulées dans le vagin qui peu à peu s’adapte au membre, par curiosité Léa soulève le paquet de couilles, elle reste admirative et envieuse devant ce piston qui va-et-vient dans cette gaine étroite, l’amant souffle comme un phoque en contrôlant ses coups de reins, coincée sous ce monceau humain elle se tortille comme un ver, elle griffe , mord, piaille rit , pleure ! Trois orgasmes finissent par la terrasser avant que l’homme ne se vide dans son mini réceptacle qui recrache le trop plein, Armand se retire lentement pour ne pas créer un vide trop brutal, la vulve se vide dans un gargouillis immonde entre les fesses noires, Léa est déjà en place sur le deuxième transat, elle n’aura pas le soutient de sa copine qui s’est endormie avec un sourire béat sur les lèvres

- A nous deux perverse petite belle-fille !
- Vient Armand chéri … n’essuie pas ta queue, laisse les sécrétions de Naomi lubrifier ma vaginette

Cette fois l’homme ne perd pas une miette de ses gestes, il frotte longuement son gland cramoisi et rendu sensible par la précédente pénétration, il sait qu’il ne tiendra pas longtemps avant de se vider à nouveau, mais il sait aussi qu’il pourra jouir de ces deux jeunes chattes autant qu’il le voudra dans le futur
Le membre est progressivement absorbé par le vagin, il pousse par petites touches jusqu’à ce que ses testicules soient en contact avec le trou inférieur, a ce moment là il se demande comment il les décidera à se laisser sodomiser ….