25 Ans De Mariage - Chapitre 1 - Notre Rencontre
Aujourdhui cela fait 25 ans jour pour jour que j'ai rencontré mon épouse Sylvie. Javais 23 ans et je venais de décrocher mon premier job. Pendant les 3 mois de la période d'essais mon entreprise avait prévue de me loger à lhôtel.
Un petit hôtel restaurant bar en centre-ville
rien de merveilleux mais cétait à 5mn de mon travail et on y mangeait pas mal. Le matin il y avait un peu danimation, situé pas loin dun terminal de BUS il y avait pas mal de gens qui venait prendre le café avant daller travailler, des ouvriers, des pêcheurs et parmi ces gens-là, une jolie blonde, la trentaine, toujours très élégante, environ 1m70, fine, élancée... toujours perchée sur des talons qui accentuait la longueur et le galbe de ses jolies jambes.
Assis à la table de mon petit déjeuner je me régalais lorsque jentendais le claquement de ses talons sur le trottoir et que je la voyais entrer dans le bar pour aller sassoir sur un tabouret. Discutant avec la patronne elle buvait son café sans se rendre compte (enfin cest ce que je croyais) que le jeune homme assis au fond de la salle se rinçait lil avec délice lorsque ses jupes droites se tendait sur ses cuisses découvrant un peu ses belles jambes...
AU fil des jours et des semaines nous avons échangé quelques mots... La patronne du bar mappelait mon petit jeune de la 12... parfois elle demandait à la jolie blonde de mapporter mon café ou des croisant à la table Tiens Sylvie... Tu peux emmener des croissants au petit jeune de la 12 sil te plais ? et moi jobservais avec bonheur cette jolie blonde traverser la pièce et venir vers moi, souriante.... Javais parfois limpression quelle jouait de sa démarche, mais je me faisais surement des idées, pourquoi une jolie femme comme elle sintéresserait un jeunot comme moi...
Un soir au moment de descendre diner jai eu la surprise de voir la jolie blonde faire le service à la place de la serveuse habituelle.
Bonsoir, je ne mattendais pas à vous voir ici ce soir lui dis-je en allant massoir à ma place habituelle, Elle ma souri.
Pendant tout le repas je ne lai pas quittée des yeux, elle passait de table en table, toujours souriante, élégante... (ça changeait de la serveuse habituelle). Avec sa jupe noire au-dessus des genoux et son chemisier blanc je ne pouvais mempêcher de penser à toutes les magnifiques soubrettes qui mavaient si souvent fait fantasmer dans les films porno du samedi soir lorsque javais 16-17 ans....
A la fin du service, la patronne Mme DURAND nous a proposé de nous offrir un digestif pour remercier Sylvie du coup de main. Elle est venue sassoir à ma table pour trinquer, nous avons discuté un peu... je lui ai expliqué ce que je faisais dans cet hôtel, mon nouveau job, cette ville ou je ne connaissais personne... elle ma parlé un peu delle, elle travaillait juste à coté, elle vivait seule, et elle serait ravi de me servir de guide pour découvrir la région...
Ce soir-là je me suis endormis avec des images et des idées plein la tête. Cétait la première fois quune vraie femme sintéressait à moi... pas une gamine de 20 ans. Non, une femme... La trentaine... élégante, raffinée, féminine... tout ce que jaimais... je me suis longuement masturbé en pensant à Sylvie ce soir-là...
À la fin de la semaine Sylvie arriva un matin au café avec une très jolie petite robe assez moulante, juste assez pour mettre en valeur sa jolie silhouette tout en restant très classe. Je ne pu mempêcher de la complimenter ce qui la fit sourire.
« Ils annoncent du beau temps ce WE, ca te dirait qu'on aille visiter un peu le coin
enfin si ça ne t'ennuie pas de te promener avec une vieille »
« oh oui bien sûr, ce serait très sympa oui » j'étais aux anges.
Toute la journée du vendredi et du samedi je pensais à Sylvie, je m'imaginais notre WE, notre première balade en copain, copine. Samedi matin jétais debout à l'aube impatient d'aller la chercher en bas de chez elle. À peine garé je la vit sortir de son immeuble, jean moulant, talons aiguilles, petit pull en laine légèrement décolté, perfecto en cuir
j'étais sous le charme. Lui tenant la portière mon regard s'attarda sur son joli decolté laissant apercevoir un soutien gorge de dentelle blanche. Nous sommes aller déjeuner en bord de mer. Nous avons beaucoup discuté, je me sentais bien avec elle et elle semblait m'apprecier aussi. Parfois elle souriait en voyant mon regard sur elle
« Dites donc jeune homme, ca ne se fait pas de regarder les femmes ainsi »
« pardonne, moi
c'est que tu es si
jolie
»
« allez viens on va prendre lair » dit elle en riant, alors qu'elle se levait de table pour quitter le restaurant. En marchant sur le bord de mer je lui ai pris le bras , marchant ainsi collé l'un à lautre je sentais sa hanche contre moi, on riait, on plaisantait.
« veux tu une glace, Sylvie ? » Elle se tourna devant moi et me fixa dans les yeux.
« Quand vas-tu enfin te décider à m'embrasser grand nigot me dit elle en se collant contre moi
je tassure que je suis bien meilleur qu'une glace à la vanille ». À peine avait elle fini sa phrase que mes lèvres se collèrent aux sienne, jétais comme dans un rêve, je sentais ses seins contre moi, son ventre
mes mains sur le bas de son dos glaise sous le perfecto, sur la ceinture de son jean
ce fut notre premier baiser
devant le marchand de glace qui nous regardais en souriant
Nous avons ainsi flirté comme deux collégiens tout l'après midi, nos mains découvrant peu à peu nos corps par de douces caresses.
« Il est tard, nous devrions rentrer
tu veux dîner chez moi ce soir »
Bien sûr j'acceptais volontiers cette invitation à prolonger ce merveilleux moment auprès de Sylvie.
Arrivé en bas de chez elle nous nous sommes longuement embrassé dans la voiture, glissant mes mains sous son petit pull de laine je lui caressait les seins à travers la dentelle
« soit sage, les voisins vont nous voir ». Nous sommes monté dans son petit appartement. « installe toi, je vais me changer » aussitôt elle disparu dans la chambre. Je me retrouvais seul dans le salon, javais envie d'aller aux toilettes, ouvrant une première porte je me retrouvais dans la salle de bain au milieu de la quelle trônait une petite étente à linge ou pendait un très joli assortiment de petite culottes
des jolis tanga en dentelle, des culottes de satin
pour un amateur de joli lingerie comme moi, cétait le rêve.
Après avoir enfin trouvé les toilettes je revenais au salon lorsque Sylvie sortait de la chambre, elle avait enfilé un legging noir qu'elle portait avec le petit pull qu'elle avait porté toute la journée, mais la forme de ses tétons bien visible sous le pull moulant ne laissait aucun doute sur le fait quelle ne portait plus de soutien-gorge.
« désolée, cest pas très sexy
mais c'est beaucoup plus confortable » dit elle en riant, « Je te plais quand même en tenue décontractée ? » En guise de réponse je lui ai attrapé la main pour lattirer sur mes genoux et l'ai embrassé à pleine bouche
ses doigts sous mon t-shirt, ses ongles sur ma chair. Une main glissée sous son petit pull je commençait à lui masser un seins, jouant du bout des doigt avec son teton durcit puis jai soulevé le pull, dévoilant ses petits seins blanc que jai longuement sucé l'un après l'autre encouragé par les petit gémissements qui s'échappaient de sa bouche.
Alors que je léchais ses seins je lui glissais la main entre les cuisses qu'elle ouvrit volontiers, laissant ma main remonter sur sa vulve, elle ne portait rien sous son legging, je pouvais sentir les lèvres de son sexe à travers le tissus si fin.
Sylvie s'est assise sur le canapé en retirant son legging, les cuisses ouvertes, les jambes relevées elle ma attiré vers elle, enfouissant mon visage entre ses cuisses, laissant ma langue fouiller les lèvres trempées de sa chatte dégoulinante. Je buvais son nectar en lécoutant gémir. Mes mains massaient ses cuisses, jétais comme ivre du gout de son sexe. Sylvie gémissait, se cambrait. Des spasmes accompagnaient ses couinements.
Ce soir-là Sylvie a joui plusieurs fois avec ma langue et ma bouche, jamais je ne métais senti aussi bien et aussi comblé de bonheur.
« Avec tout ça je ne tai pas fait à manger » dit-elle en se levant, traversant lappartement entièrement nue... Je ne la quittais pas des yeux. Elle était si belle... mon jean me serrait tellement mon sexe était gonflé de désir après tout ce qui sétait passé cette journée...
« Humm je viens de manger le meilleur repas que je nai jamais fait » dis-je en me relevant à mon tour... je crois bien que je ferais mieux de rentrer à mon hôtel.
Elle avait enfilé un peignoir, je lai prise dans mes bras et lai embrassé une dernière fois, sa cuisse frottait mon jean... mon sexe raide de désir... « Pas ce soir, ce soir cétait ta soirée ma chérie, cétait à toi de jouir pour te remercier dêtre ce que tu es et de têtre donnée à moi »
Ce soir-là je suis rentré à mon hôtel, le caleçon et le jean plein du jus de mon désir, je me suis masturbé en revoyant les images de ma chérie et me suis endormis repu du gout de son nectar....
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