Masturbation De Mon Homme
J'ai beau en avoir un depuis toujours, et de taille tout à fait satisfaisante, je voue un intérêt tout particulier aux pénis des hommes, surtout quand ces organes jouissent de proportions harmonieuses. J'aime cet organe flaccide qui va se gorger de sang pour devenir une barre prête à être saisie. J'aime aussi la chaleur qui s'en dégage ; le la sens dans ma bouche quand je la suce, et contre mon visage quand je lèche les bourses de mon amant.
Cest pour ça quil y a une activité que jaffectionne particulièrement quand je suis avec un homme avec qui je me sens bien, cest le masturber.
Il sagit pour moi dun préliminaire très érotique. Jaime me placer entre ses cuisses tandis quil est allongé nu sur le lit, ou assis les jambes écartées.
Je prends de lhuile de massage ou du lubrifiant et je caresse le gland et la hampe du bout de lindex. Le sexe, déjà chaud, se tend au fur et à mesure jusquà atteindre sa taille parfaite.
A ce moment là, je me délecte de cette expression virile de plaisir, comme je me délecte en observant les 1ers rictus de plaisir sur le visage de mon amant.
Déjà je sens lexcitation me submerger mais je me force à résister à lenvie de mempaler sur ce pieux turgescent.
Après les caresses délicates, je saisis ce vit à deux mains, mais sans trop serrer, et je commence les mouvements verticaux sur ce sexe huileux.
Cest lent mais intense
la rigidité se confirme et je sens le sang pulsé. Jentends mon amant râler doucement de plaisir ; il veut que jaccélère mais me laisse maître de la situation.
Quand je sens que la tension est trop forte, je ralentis la masturbation puis marrête. Je me penche en avant jusquà avoir le visage au niveau de ce sexe, derrière cette barre de chair. Je me doute que mon amant aime sentir la chaleur de mon visage contre son sexe. Quant à moi, je brûle de désir en sentant la chaleur de ce sexe.
Pendant que la tension baisse, je garde mes mains sur ses cuisses et les écartent tandis que je capte lodeur masculine qui se dégage de la hampe, du gland et des bourses où je plante mon nez : dans es bourses, sous les bourses, près du périnée.
Je menivre de la masculinité qui se dégage dun pénis en érection.
Quand je sens que léjaculation a été évitée, je reprends la masturbation. Je ne le sucerai pas. A peine vais-je donner quelques coups de langue sur la hampe, peut être vais-je placer mes lèvres sur le gland mais sans serrer ni bouger.
Je vais reprendre la masturbation de ce pénis à 2 mains, plus fermement. Ce seront désormais de larges et amples mouvements mais toujours relativement lents.
Je marrêterai quand la tension sera trop forte. Je reprendrai, marrêterai
Son excitation e fait ressentir dans ses extrémités : ses jambes et ses bras se tendent et se crispes, son pénis connait des soubresauts qui le font doucement frapper mon visage.
Jarrête, je reprends à une main, lautre massant fermement ses boules dont jenvie la semence quelles portent.
Cest bientôt la fin et il ny a que deux issues possibles :
Soit il perd le contrôle de lui-même et enfourne sa bite dans ma bouche. Son excitation lui confère une force suffisante pour enfoncer son sexe en entier dans ma bouche et plaquer mon nez sur son pubis jusquà léjaculation au fond de ma gorge.
Soit il me laisse le contrôle sur lui et éjacule en lair, son sperme retombant sur son ventre. Il hâlette ; son pénis est toujours dur et extrêmement sensible et palpite encore.
Je vais maintenant me coller à son torse, me coller à lui et faire glisser nos corps sur son sperme. Je lèche tout son ventre, un torse au goût de son jus et de sa sueur. Et sil est sage, je nettoierai son sexe avec ma langue.
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