Laure 2 : E Ou Therapie ?

LAURE 2 : E OU THERAPIE  ?...

Comme je vous l'ai dit dans la première partie de ce récit, j'eus pas mal de difficultés pour ramener ma cousine Laure à l'appartement qu'elle habitait, au cinquième étage d'un immeuble de l'avenue Gay. Elle avait bien picolé dans ce restaurant très sympa du bord de mer à Cagnes ...et l’exposé des ultimes péripéties de son histoire avec Marco l'avait achevée !... Je réussis à ouvrir la porte de l'appartement tout en la maintenant, à demi endormie, contre moi et la guidais, cahin-caha, jusqu'à son lit .. . Allongée sur le dos , elle gisait, totalement relâchée, le visage encadré de sa chevelure d'un blond tirant sur le roux, sur le couvre-lit de soie écrue...Pendant un instant, j'envisageais de la laisser dormir, comme ça, toute habillée...après l'avoir cependant, débarrassée de ses chaussures à talon....
Revenu dans le salon, j'installais le clic-clac qui devait me servir de couchage....L'image de Laure ne me quittait pas... Une voix m'incitait à la déshabiller...pour qu'elle dorme plus à son aise...et éviter de froisser sa robe, par charité en quelque sorte... Non, répondait une autre voix intérieur, c'est pour satisfaire un de tes fantasmes : reluquer en douce ta cousine à poil !... Tu devrais avoir honte !... Toute honte bue, je retournais dans sa chambre. … Je la retournais avec un maximum de douceur. Je fis coulisser le zip de la fermeture éclair de sa robe qui courrait de son cou jusqu'au haut de la raie des fesses et la retournait à nouveau sur le dos... J'entrepris ensuite de dégager ses bras et ses épaules en faisant glisser doucement le haut de la robe jusqu'à la taille ; en dessous de son nombril... ensuite, je rencontrais plus de difficultés au niveau des hanches mais en mettant ses jambes sur mes épaules, j'arrivais à franchir l'obstacle et lui ôtais sa robe que je rangeais soigneusement sur le valet de nuit... Elle ne portait plus que son soutien-gorge balconnet, sans bretelles, vert Nil, un mini slip assorti , son porte-jarretelles grège et ses bas … Je soufflais un peu, admirant ce très joli tableau qui s’avérerait sans doute encore plus sensuel quand j'aurais enlevé du " paysage " le tissu qui recouvrait encore ses seins.

.. Je glissais mes mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge, ce qui n'offris guère de problème...Les deux globes fort bien proportionnés à mon avis couronnés de leurs tétons entourés d'une large aréoles brun clair se dévoilèrent à mes yeux admiratifs.... Sa peau de rousse, très blanche, à peine marquée par des taches de son qui épargnaient son visage, les globes de ses seins hauts fixés, le triangle vert clair de son slip qui laissait dépassé ici et là quelques poils pubiens d'un beau rouge orangé, ses bas encore rattachés à son porte-jarretelles qui enveloppaient ses longues jambes fuselées.... un spectacle à faire bander un mort !...et je n'étais pas mort !...
J'hésitais à poursuivre cet effeuillage.... mais la curiosité et la réalisation de mon fantasme me poussaient à continuer l'opération, en dépit de mon inexpérience du fonctionnement de la lingerie féminine... A vrai dire, j'avais bien observé clandestinement, il y a bien longtemps, grâce à une porte restée entrouverte, ma mère effectuant cette même opération, ôter ses bas !... J'avais cependant, sous estimé la difficulté de la chose....J'ai réussi non sans mal, à détacher l'un de ses bas d'une première jarretelle...puis de l'autre plus aisément... J'ai ensuite roulé le bas soigneusement sur sa jambe avant de l'enlever.... Pour l'autre jambe, ce fut beaucoup plus facile : j'étais rodé... Son porte-jarretelles suivi rapidement le même chemin... Elle n’était plus vêtue que de sa toute petite culotte !....
Malgré les protestations de ma conscience qui prétendait que Laure pouvait très bien dormir, sans être incommodée tout en gardant son slip, mes mains se saisirent de la ceinture élastique et la firent descendre doucement sur ces cuisses...Elles soulevèrent alternativement son bassin pour permettre à la fine pièce de lingerie le franchissement de ses hanches... Le haut de la toison qui recouvrait son mont de Vénus apparut à la lisière de la ceinture... Ma cousine était une vraie rousse...Je continuais à faire descendre son slip sur ces cuisses ;... Bientôt, son sexe me fut entièrement révélé : c'était un jardin abandonné : sa toison rouge orangé n'avait sans doute reçue d'autres soins qu'un shampoinage aléatoire durant plusieurs années : ni taille ou épilation, ni brossage ou peignage, en un mot une brousse emmêlée de poils pubiens roux plus ou moins longs masquait totalement sa vulve. Esthétiquement parlant, c'était un désastre !... Une forêt touffue de poils roux couvrait tout son enttrejambe, de son mont de Vénus jusqu'à son petit trou !...Un vrai repaire pour araignées ou autres petites bêtes !... Je la débarrassais de son slip et écartais ses cuisses, découvrant sa chatte dans son ensemble. … Très naturellement, ce spectacle m'apparut comme une interprétation modernisée du fameux tableau de Courbet, " l'Origine du Monde "...Je bandais comme un âne ! Mais pas question d'aller plus loin.... Toutes mes " voix " intérieures étaient d'accord... Après un dernier regard vers ce nu offert, si peu académique et si désirable, je regagnais mon clic-clac... ma queue raide comme un gourdin... Je n'avais plus qu'une solution pour faire tomber cette fièvre : me masturber !.... ce que je fis aussitôt déshabiller et allonger sur ce foutu lit d'appoint, la tête pleine de l'image du corps dénudé de Laure... Je n'eus même pas le temps de nettoyer ma bite et mon ventre après cette triste éjaculation solitaire à quelques mètres du... paradis, que je sombrais, faute de ceux de Laure, dans les bras de Morphée pendant deux ou trois heures...
Le sentiment d'une présence dans la pièce encore obscure me tira de mon sommeil. Je devinais une silhouette debout au pied du clic-clac....J'allumais la lampe de chevet et découvris Laure enveloppée d'un peignoir de soie imprimé.... Complètement réveillée, elle me souriait.
C'est toi qui m'a déshabillée ?...sans profiter du spectacle autrement que visuellement ?.. et tu m'a laissé dormir seule pour venir te branler !...Tu es un sale égoïste !...Allez, viens dormir avec moi, ce sera mieux que tout seul dans ce truc !...Mais avant, je veux te montrer le dernier cadeau de Marco et sa collection de jouets qu'il m'a obligée à porter !...
Elle déposa un baiser sur mon sexe endormi et me tira par la main jusqu'à sa chambre. Elle ouvrit le dernier tiroir de sa commode et en sortit un emballage " colissimo " … Je me laissais faire, ayant du mal à remettre mes idées en place... En fait d'idée, je n'en avais qu'une : lui faire l'amour tout en douceur...
Il m'a envoyé ça par la poste, avec accusé de réception, juste avant de partir à Portofino !en Italie, pas loin de Gènes... Ouvre  !
J'ouvris et en sortis une chose curieuse qu'après un instant d'hésitation, j'identifiais comme une ceinture de chasteté : une souple bande d'acier poli de 3 cm de large, constituait une ceinture qu'un verrou à double entrée fermait. A l'opposé du verrou et distantes d'une douzaine de cm. l'une de l'autre, étaient rivetées deux chaînettes d'acier formant un Y dont la base constituait la garde d'entrejambe. Cette pièce incurvée, du même acier, était conçue et façonnée pour recouvrir entièrement le sexe et venait se verrouiller sur la fermeture de la ceinture.. J'avais très envie de la voir essayer cet instrument mais n'osais pas le lui demander craignant de faire surgir des souvenirs encore douloureux...Sans doute devina-t-elle mon désir caché....Elle me poussa sur son lit puis farfouilla un instant dans le "colissimo ", en retira deux petites clés en métal brillant et vérifia le bon fonctionnement du verrou...Elle enleva vivement son peignoir et, en m'adressant un regard scrutateur , entreprit de boucler autour de sa taille, la ceinture métallique ...La garde d'entrejambe pendait comme une queue au bout des deux chaînettes d'acier. Elle s'en saisit et, l'appliquant avec précaution sur son sexe, en présenta l'extrémité libre au verrou de la ceinture... Elle verrouilla l'ensemble d'un tour de clé, sans hésitation... Une étroite fente longitudinale, au niveau des petites lèvres, interdisait toute tentative d'intrusion... Elle pivota et m'exhiba son cul sur lequel les chaînettes inscrivaient un Y... Elle écarta ses fesses et son petit trou apparut libre d'autres entraves au confluent des deux branches du Y. J'étais fasciné par ce spectacle un brin moyenâgeux...Marco, son ex, était décidément, un salop...imposé le port d'un tel engin à sa " chérie " !... Elle se retourna, les yeux pleins de larmes puis vint s'allonger à coté de moi. Je me tournais vers elle :
Je suis heureux que tu n’aies jamais porté ce truc !... Merci de m'en avoir réservé la primeur... mais, maintenant tu l'enlèves... Je ne veux plus voir de instrument de  ! Je ne souhaite qu'une chose : effacer ce mauvais souvenir en te faisant l'amour avec tout
mon cœur...
Moi aussi !!... Mais il y a près de trois ans et demi que je n'ai pas baisé, ni avec un garçon ni même avec une fille !... Tu as vu l'état de ma chatte ?...Depuis trois ans, je l'ai laissé à l'abandon !..Je voudrai que tu mettes un terme à ce célibat en me faisant l'amour.... avec un maximum de douceur... Je sais... Tu es mon cousin germain et baiser avec toi est un e... mais je ne pense pas qu'il y ait ...un risque d'histoire sentimentale....Alors, si tu veux bien, baisons ensemble... ce n'est pas un crime, c'est une thérapie !..
Mes lèvres se posèrent sur les siennes...Ma langue, forçant sans mal l'entrée de sa bouche accueillante, cherchait la sienne... Mes mains avaient trouver ses seins et titillaient ses tétons... précédant de peu ma bouche affamée de sa peau si blanche... Elle caressait mes cheveux tandis que mes lèvres descendaient vers ses seins, enserraient son mamelon droit que je tétais avidement, ma main droite pinçant et roulant entre mes doigts son téton gauche....Laure laissa échapper quelques gémissements en poussant ma tête vers son nombril...Après une brève visite de ma langue, je poursuivis mon mouvement vers son Mont de Vénus...mais il fallut bientôt que je change de position : je l'enjambais pour un cunnilingus, mon sexe sur son visage et ma bouche sur sa vulve.... Sa bouche prit aussitôt, le contrôle de mon phallus, sa langue jouant avec mon gland, son méat, son frein , sa couronne et les replis de son prépuce tandis que la mienne reprenait la route abandonnée vers la paradis cuivré de sa chatte...Ma langue se frayait un chemin à travers la jungle ardente de ses poils pubiens qui emplissaient ma bouche... J'eus quelques problémes à retrouver dans ce maquis, le bourgeon déjà turgescent, de son clitoris. ...Pendant ce temps, elle avait absorbé, avec une douce lenteur, plus de la moitié de ma verge. Mon gland s’exacerbait dans cette grotte humide et chaude, au contact de son palais... Ma langue jouait avec son clito maintenant décapuchonné et en pleine érection... Quand mes lèvres touchaient son bouton tout gonflé, un spasme violent projetait son bassin en avant, pour que ma langue la pénètre davantage...J'abandonnais son clitoris et glissais ma langue dans son vagin... Instantanément ou presque, ma bouche se remplit de sa mouille que j’avalais gloutonnement... Je pompais son intimité avec ardeur... Puis, sa langue repoussa mon gland hors de sa bouche... Elle me bascula sur le coté...
Viens !... Prends moi maintenant !... Je veux ta queue dans ma chatte !..Baise moi bien et profond !
Je me retournais rapidement, prenant position à genoux entre ses jambes écartées...Pris d'une idée soudaine, je saisis un oreiller et le glissais sous ses fesses de telle sorte que son bassin soit à la même hauteur que mon sexe...Aidé de ma main droite, j'entrepris de faire visiter par ma verge super bandée, le monde de son abricot dissimulé dans la forêt flamboyante de ses poils pubiens... mon gland faisait connaissance avec son clito puis descendait entre ses petites lèvres avant de se présenter à l'entrée de sa grotte enchantée....Alors que je me préparais à la pénétrer avec un maximum de douceur, le bassin de Laure se précipita sur ce visiteur et engloutit rapidement mon gland turgescent ...Ses jambes dressées vers le plafond formaient un V dans lequel je m'encadrais...D'un puissant coup de rein, j'enfonçais ma queue dans son vagin … Elle laissa échapper un long gémissement de surprise et de contentement
Ohooooo !... C'est merveilleusement bon !... Je sens ton gland tout au fond de mon con ! C'est exquis !... Non !... Ne bouge plus !...Laisse moi faire !...
Elle posa ses jambes sur mes épaules tandis que je m'immobilisais, mon sexe planté jusqu'à ...la garde dans sa chatte !... Elle passa ses mains sous mes fesses et pris l'initiative de régler la fréquence et l'amplitude des mouvements de mon sexe dans son vagin ...Mes doigts jouaient avec son clitoris...Sa cyprine inondait sa vulve et lubrifiait ma queue enflammée...Son bassin s'agitait de plus en plus frénétiquement tandis que ses muscles vaginaux se contractaient spasmodiquement sur mon vit turgescent....Une vague de jouissance se gonflait progressivement dans mon bas ventre et allait bientôt tout submerger... Le corps de Laure se cambra brusquement...
Viens !...Viens vite !...Aaaaaaaaah !...Je coule comme une fontaine !....Je jououououis !.. Oooooooh !... Oh...oui..oui !... Ton foutre en moi !... Quel bonheur !...Encore !... Encore !.. Oui !...oui !... Continue !...
Mon sperme s'échappait en flot continu du méat de mon gland pendant que je continuais à la limer frénétiquement quelques minutes avant de m'effondrer sur son dos... Je crois que Morphée nous pris simultanément, tous les deux, dans ses bras....
L'odeur du café frais me réveilla... Il faisait juste jour et Laure souriante mais tout aussi nue que lorsque je m'étais endormi à coté d'elle, posa le plateau chargé de deux tasses , m'embrassa sur les lèvres puis me dit
Merci Alanick ! Tu m'as baisée comme un Dieu !...J'avais oublié toutes les sensations formidables que peuvent procurer les allées-et-venues d'un pénis dans un vagin !...Je n'avais pas fait l'amour depuis plus de trois ans ni avec un mec ni même avec une fille !...J'avais pris les jeux sexuels en horreur … et j'étais affolée par les déviances auxquelles Marco avait entrepris de m’initier... Je ne pouvais pas oublier les gadgets qu'il m'avait imposés … et surtout cette dernière soirée dans ce bouge, " Chez Popaul " au nom prédestiné où j'avais failli me faire violer avec la complicité de Marco !... J'ai fait changer les serrures de l'appartement....Seule, ma mère avait un jeu de mes clés !...Elle était au courant de tout.... elle m'exhortait à plus de prudence dans mes relations charnelles : " baise avec qui te convient sans aliéner ton indépendance...des relations en CDD " disait-elle...Je ne l'écoutait pas et vivais recluse dans mon appartement... sans que cela me perturbe trop !... Je commençais cependant à craindre que des araignées ne finissent par tisser leurs toiles dans ma chatte  abandonnée!...
Elle s'esclaffa... puis m'embrassa tendrement avant de poursuivre :
Tu m'as redonné goût à la baise...mais il faut que tu termines ton travail... Je voudrai que tu me prennes aussi par derrière !... Sodomise moi Alanick !..S'il te plaît !... Achève la thérapie que nous avons entreprise ensemble !...
Je me redressais sur le lit, vidais ma tasse de café...
Je suis très surpris de ta demande !...Je croyais que les femmes avaient horreur d'être prise par derrière !... Serais tu l’exception qui confirme la règle ?...
Je ne peux pas dire que je suis une fervente... Marco était brutal et me faisait terriblement mal !...Mais je veux que ton passage dans mon cul me fasse oublier tout ça !... La preuve, c'est que je me suis donnée un lavement sérieux à la sauge avant ma douche... Je t'ai apporté le lubrifiant.... et aussi une capote au cas où !...
Je ne crains rien venant de toi mais... je ne suis pas un adorateur fanatique de l'enculage d'une fille...seulement un pratiquant occasionnel !... Mais si ça fait partie de ta thérapie, OK !...A toi le choix de la position !...
Je pense que la plus agréable reste la " levrette "...Et toi ?...
Alors on y va !...Donne moi le lubrifiant... je vais d'abord préparer ton cul..... Je vais commencer par te faire " une feuille de rose ". En position !...A plat ventre !...
Elle s’allongeât sur le lit, à quatre pattes, les jambes largement écartées, exposant à mes yeux ébahis son petit trou bien serré, entouré d'une large couronne de longs poils roux... Les mains de Laure écartèrent les lobes de ses fesses. Tandis que ma main gauche prenait position sur sa vulve et plus précisément sur son clito, mon majeur droit tournait autour de son anus, faisant parfois mine de vouloir pénétrer son intimité... mais son petit trou, très serré, refusait toute introduction...Je décidais de passer immédiatement à la " feuille de rose ": collant ma bouche sur son orifice, je le titillais avec le bout de ma langue...Après quelques minutes de ce jeu qui provoquait non seulement des gémissements mais aussi des soubresauts du bassin de Laure, je réussis à introduire ma langue dans sa gaine anale...ou elle entreprit aussitôt des lents mouvements de rotation  qui eurent pour effet de relâcher son sphincter...Rapidement, je remplaçais ma langue par mon majeur chargé d'une grosse larme de lubrifiant et enclenchais une série de lents mouvements d'aller-et-retour dans son conduit... Je sentais son organe se détendre de plus en plus... Abandonnant mes jeux clitoridiens, après l'avoir revêtue de la capote, je pris ma verge à deux mains pour présenter mon gland turgescent à son anus … Il rentra avec quelques difficultés et, à sa suite, les trois premiers centimètres de ma tige... Je poussais...
Arrête, Alanick !...Tu me fais trop mal....Tu es trop gros pour mon petit trou !....Laisse moi respirer !...Sors de mon anus et remets du lubrifiant avant de réessayer !...
Je vais reprendre l'assouplissement de ton petit trou et de sa gaine puis on changera de position pour que tu contrôles toi-même la vitesse de pénétration !
Je me redressais pour laisser Laure s'allonger à plat ventre. Mon phallus ayant libéré son anus, j'y introduisis avec mon majeur, une bonne quantité de lubrifiant, le faisant pénétrer le plus profondément possible... Mon doigt tournait dans son conduit anal, allant et venant...Après quelques minutes, j'introduisis, en douceur, mon index, enduit lui aussi de lubrifiant, dans sa rondelle sans réaction négative de Laure... A vrai dire, il me semblait même qu'elle gémissait de contentement... Je n'attendis pas très longtemps avant d'ajouter un nouveau doigt...Elle eut juste un tressaillement au moment de la pénétration du troisième acteur....Ses gémissements se faisaient plus sonores tandis que mes doigts se mouvaient sans problème dans son intimité... Ma queue, raide comme une baguette de tambour, commençait à protester de l'absence d'activité à son égard....Je vérifiais au toucher, que le préservatif était toujours à sa place et l'enduisis à nouveau, de gel lubrifiant...Il était temps que nous passions à la suite du programme !...Une idée faisant suite à la lecture d'un article traitant de la sodomie paru dans un magazine érotique me vint à l'esprit... et l'envie d'essayer... Malheureusement, je pressentais que la mise en place de cette nouvelle...technique allait entraîner la dégradation de l'émotion...
Je m'allongeais sur le dos puis ...
Installe toi accroupie sur mon bas-ventre... Non, pas comme ça !... Tourne moi le dos… Voila, comme ça !...Je vais présenter mon gland à ton anus … et l'introduire dans ton cul !...
Je joignis le geste à la parole et la pénétrais sans difficulté : son anus absorba d'un coup au moins cinq centimètres de ma bite... Mes mains sous les fesses de Laure, stoppèrent leur descente le long de mon vit  puis les repoussèrent jusqu'à ce que mon gland soit sur le point de sortir de son cul... Après une série d'allers-retours analogues, la progression de mon gland dans son canal anal semblant plus difficile depuis qu'il avait englouti environ dix centimètres de mon membre, je lui dis :
Je vais enlever mes mains...Tu régleras la vitesse de ton empalement par la flexion de tes jambes !
Je déplaçais mes mains et les posais sur ses hanches... Elle continua ses allées et venues sur mon pénis durant quelques instants avant de flancher d'un coup, absorbant la totalité de mon zob et venant heurter mon bas-ventre en laissant échapper un bref cri de douleur ou de contentement, je ne sais pas !....Après une courte hésitation, elle reprit ses mouvements de haut en bas sur mon chibre avec l'aide de mes mains qui les accompagnaient sur ses hanches quand elle me dit haletante :
Si on changeait de position ? … Je pourrai te voir et toi, tu pourrais caresser mes seins au lieu de me laisser tout faire !... Ce serait plus ...jouissif !....
Elle n'attendit pas ma réponse pour abandonner ma bite, se retourner pour se retrouver toujours à cheval sur mon bas-ventre mais face à moi...Dressée sur ses genoux, avec l'aide de ses mains elle guida mon gland à l'entrée de son petit trou et il pénétra son conduit anal sans problème aucun... Fléchissant lentement ses jambes, elle fit entrer progressivement la totalité de mon pénis dans son intimité en manifestant son contentement par un long gémissement... Elle suspendit tout mouvement dans cette position, sans doute histoire de reprendre son souffle avant de poursuivre la recherche de l'orgasme qu'elle désirait tant maintenant... Ma main gauche avait pris position sur son sein droit au mamelon érigé et turgescent... L'index de sa main droite jouait avec son clitoris et glissait entre ses petites lèvres jusqu'à la porte de son vagin... Après quelques instants d’immobilité, elle repris très lentement les mouvements de son bassin sur ma verge... Maintenant, elle gémissait en continu :
Ooooooooooh !;;;; C'est bon ! … Trop bon, même !......Oooooh oui !;;; Je te sens bien au fond de mon cul !.... C'est supeeer !.... Je mouille comme une vraie salope !...Oooooooh Mon foutre...il déborde de partout !...je vais jouir !....
J’abandonnais ses seins et posais mes mains sur ses fesses pour rendre ses mouvements plus lents
et plus amples... Nous étions tous les deux aux portes de l’extrême jouissance....Elle se cambra, rejetant sa tête en arrière laissant échapper un long cri au moment où la vague de mon éjaculation déferlait.... dans le préservatif... hélas !...
Elle s’effondra sur moi, libérant ma queue mollissante... Je repoussais Laure sur le coté et m''empressais de débarrasser mon sexe du sac plastique, alourdi de mon sperme, qui l'enveloppait... Laure gisait sur le lit, allongée sur le dos, les yeux fermés et la bouche entrouverte, à la recherche de son second souffle... Je me redressais sur un coude, admirant ce corps et particulièrement sa chatte toujours dissimulée par la jungle de poils auburn qui recouvrait son sexe ...Un filet de cyprine s'en échappait et coulait vers son périnée....Ma bouche était irrésistiblement attirée par ce sexe qui m'avait donné tant de plaisir... L'instant d'après, elle se posait sur ses petites lèvres, ma langue pénétrant à nouveau son vagin dont elle entreprenait aussitôt un soigneux nettoyage....ce qui fit sortir Laure de sa léthargie ! Ses mains recherchaient mon " service  trois pièces " qu'elles ne tardaient évidemment pas à retrouver bien que ma bite soit quelque peu...flapie !... Très vite, cependant, elle abandonna ce petit jeux :
Si tu veux toujours que nous allions déjeuner avec ma mère, il est peut-être temps de se préparer... surtout qu'elle a un flair extraordinaire quand il s'agit de détecter... mes possibles activités sexuelles récentes !...
J'aimerai autant que Tante Sylvie en ignore tout !... Je sais bien qu'elle est depuis toujours " une femme libérée "… mais je crains qu'elle est du mal à admettre le coté " théutique " de la " médecine " immorale à laquelle nous nous sommes adonnés cette nuit !...
Il nous fallut pas loin de deux heures pour nous doucher, prendre un petit déjeuner à la hauteur de nos " occupations nocturnes ". et nous mettre en route pour nous rendre à Antibes, au Centre de convalescence Montsinéry où ma tante était traitée pour les conséquences de sa fracture du fémur Compte tenu de la forte densité de circulation et en dépit de la conduite " sportive " de Laure, il nous fallu quasiment une heure pour faire les 25 km qui séparent Nice de notre but !....Après une brève recherche avec l'aide d'une responsable de l'accueil, nous avons retrouvé ma tante dans le parc du domaine, installée sous un parasol, dans un confortable fauteuil de jardin... Dès qu'elle nous aperçu, elle prie congé de la personne qui lui tenait compagnie, nous embrassa très affectueusement, puis nous examina, Laure et moi, d'un œil qui me sembla quelque peu inquisiteur !..
Après une vingtaine de minutes d'une conversation à battons rompus, Sylvie demanda à sa fille d'aller régler je ne sais quel urgentissime problème administratif avec la directrice du centre...Dès que Laure se fut suffisamment éloigné, Tant' Sylv (nous, mes frères et sœurs l'appelions ainsi depuis notre enfance) me fixa de ses yeux d'un bleu très profond :
Je suis très heureuse de te voir ici... J'aurai de beaucoup préféré te recevoir. chez moi, à Grasse !...Si j'ai bien compris...tu devais dormir sur le clic-clac de Laure...
Je me troublais comme un gamin surpris la main dans le pot de confiture et la laissais poursuivre.
J'espère que tu as, comme je le crois, couché dans le lit de ta cousine et je suis persuadé que vous avez.... fait l'amour !... Alors, maintenant, il faut que tu me racontes tout, sans rien me cacher....Laure est en pleine déprime depuis plus de trois ans....Elle refuse toute aide : médecins, psychologues, théutes, amants ou amantes...
Ses beaux yeux bleu étaient noyés de larmes et connaissant le passé disons tumultueux de Sylvie, je décidais de tout lui raconter, certain qu'elle comprendrait parfaitement le pourquoi et le comment de cette relation sexuelle hors norme que la morale judéo-chrétienne réprouve.... Tout y passa depuis l'entreprise de Marco visant à initier Laure aux pratiques sado-maso jusqu'à la soirée Chez Popaul, le bouge de la rue Cassini !... Je continuais glissant rapidement sur l'état d'ébriété de Laure qui avait justifié son déshabillage par mes soins.... et ma masturbation pour en arriver à la fin de nuit de baise au cours de laquelle j'avais baisé la chatte et le cul de Laure à sa demande expresse .
Je suis super heureuse de ce que tu viens de me raconter... mais je voudrai que tu me dises franchement qui de vous deux a pris l'initiative de cette partie de cul : Laure ou toi ?...
Crois moi, Tant' Sylv , je ne suis pas venu à Nice pour baiser Laure ! Surtout que je suis persuadé d'avoir un gros ticket avec Angélique chez qui j'ai acheté un maillot de bain et qui m'a proposé la botte aussi sec !... C'est Laure, aussi directe que toi, qui m'a demandé mon... "aide " pour effacer toutes traces de ce salop de Marco !...Je t'avoue qu'à part sa bouche, j'ai baisé tous ses orifices !...
J'espère que tu vas terminer ton boulot avant de repartir à Rome....Tant pis pour cette petite garce d'Angélique !... Je voudrai surtout que tu t'occupes du look de sa chatte qui doit être dans un état que je n'ose imaginer !... Je regrette de ne pas pouvoir te montrer la mienne... Ça aurait pu t'inspirer ...mais je vois Laure qui revient avec ma complice, la directrice.... Parle moi donc de ma belle sœur !... Toujours aussi cul serré ?... Pourtant, avec ton père, ils en ont fait des galipettes !... Simon et moi y avons participé plusieurs fois !
J'eus quelques difficultés à retrouver mes esprits et à reprendre normalement la conversation : l'évocation des galipettes de ma mère et de mon père s'ajoutant au regret de Tant'Sylv de ne pas pouvoir m'offrir le modèle de sa chatte en vue de la rénovation de celle de Laure paralysait mes facultés intellectuelles !... Heureusement, Laure ne semblait pas avoir l'intention de s'éterniser.
Tant'Sylv déclina mon invitation à déjeuner à Antibes en indiquant qu'elle avait déjà un engagement avec la directrice, une belle femme brune, genre un peu couguar, du même age à peu près que la mère de Laure... Il me sembla que la directrice et ma tante entretenaient une amitié pour le moins particulières , la main de la première serrant très familièrement la taille de ma tante lors de nos effusions de départ....
Nous avons déjeuné, Laure et moi, en vis-à-vis, dans un restaurant de plage de Cagnes sur mer et son premier soin avant même de déguster son Martini gin fut de m'interroger sur ma conversation avec sa mère .
Tant'Sylv a été aussi perspicace que Miss Marple, l'héroïne d'Agatha Christie !...Elle a deviné tout de suite que nous avions baisés ensemble la nuit dernière et je dois te dire qu'elle m'a paru enchanter d'apprendre que c'était à ton initiative !...Elle m'a vivement demandé de peaufiner ton retour au sexe avant de repartir à Rome...
Je m'interrompis, le pied nu de Laure ayant escaladé gentiment mes jambes pour s'installer sur mon sexe !..
Elle m'a aussi chargé de....la restauration de ta chatte et de son environnement ! ...Elle m'a même proposé de prendre la sienne comme modèle !
Elle éclata de rire en m'écrasant sournoisement les couilles !
Beau programme pour un dimanche soir !.. D'autant que j'ai une petite vengeance à assouvir pour laquelle j'aurai besoin de ton concours !



Mais ceci est une autre histoire !
A bientôt !