Baisé Dans Un Chantier (2)
Je baissai ma tête, ne savant plus où me mettre. Les 4 mecs, sapprochèrent davantage. Je sentais leur regard sur moi. Josais lever les yeux. Ce que je vis me surprit un peu. Tous les quatre se caressaient en me regardant. Un silence lourd régnait sur le chantier. Je nosais pas bouger, eux non plus. Cest alors que le premier mec que jai sucé se plaça derrière moi, me pris les deux mains, me força à me mettre à genoux et dit à ses camarades : « Quattendez-vous ? Il aime la bite, profitez de sa présence ! ». Je compris que jallais passer à la casserole. Et ce nétait peu dire. Les quatre mecs, tous jeunes, le teint basané (à cause du soleil), de taille moyenne, sapprochèrent de moi. Je pouvais deviner pour ne pas dire voir clairement les bosses proéminentes qui se dessinent dans leurs entrejambes respectifs.
Le premier dentre eux déboutonne son pantalon et le baisse un peu. Juste ce quil faut pour libérer sa queue raide. Sans dire un mot, jouvre ma bouche et la happe. Il pousse jusquà ce que je sente les poils de son pubis chatouiller mon nez. Je le suce, ma langue joue avec le gland. Il me baise la bouche, il fait des va et vient, il ondule du bassin.
Passif, je me laisse faire. Ma bouche est comme une chatte ou un trou de cul. Il accélère puis ralentit le rythme. Il me prend la tête et enfonce toute sa queue qui est de taille moyenne, pas trop épaisse, ce qui me permet de lavaler et surtout de la déguster.
Il me baisa la bouche pendant quelques minutes avant de sentir sa queue se raidir signe dune jouissance imminente. Quatre à six jets de sperme chaud, onctueux légèrement acide envahissent ma bouche. Nayant dautre choix que davaler, je pris à un malin plaisir à ne laisser aucune goutte tomber.
A peine sorti de ma bouche, il est remplacé par un autre. Une bite longue est fine. Raide comme une statue, il ne fit rien. Cétait à moi de moccuper de cette belle tige entièrement rasée. Je ne me fis pas prier.
Il a été remplacé par le troisième. Précoce et ment à cause du spectacle que joffrais, il na pas tardé à jouir. Sa queue était de bonne taille, épaisse et poilue comme jaime. A peine dans ma bouche, quil sactiva. En deux temps trois mouvements, il minonda la bouche de son lait chaud. Un autre régal.
Jétais comme une chienne. Une chaleur mavait envahi. Javais perdu toute notion de temps, de retenue, de pudeur
Je me laissais guider par mon instinct. Jétais quasiment dans un état second, obnubilé par ces queues à dégorger.
Le quatrième se présente. Jouvre la bouche. Il me pénètre. Deux va et vient et il lâche tout. Il devait être très excité. Dénormes jets de sperme chauds tapissent ma langue et ma bouche. Jai eu du mal à déglutir, tellement il memplissait la bouche. Il était très bien monté un 21x5.
La dernière goutte avalée, je me relevais pensant que cétait terminé. Méprise. A peine debout, que le premier mec, me dit que là ce nétait que le début, quils allaient tous me baiser. Pensant à une plaisanterie. Je compris vite que ce nétait pas le cas. Les cinq mecs mencerclèrent et me poussèrent jusquà la cabane où ils logeaient. A peine le seuil franchi quils me poussèrent sur un des lits. Lun deux me baissa le pantalon et lenleva. Les autres me caressèrent les fesses, les palpèrent. Celui qui mavait dénudé, me demanda de me mettre à quatre pattes. Ce que je fis sans rechigner. Je sentis deux ou trois doigts mouillés étaler de la salive sur ma rondelle excitée. Il pointa son gland à lentrée de mon trou. Il pousse, je sens le gland entrer. Il pousse encore et il est entièrement en moi. Il ne soucie même pas si jai mal ou pas. Cest mentir que dire que jai eu mal.
Il me pénétra sans ménagement. Il me ramonait à une vitesse effrénée. Comme sil était pressé den finir. Ce fut le cas. Quelques minutes lui étaient suffisantes pour jouir en moi. En sortant de mon trou, je sentis comme un vide. Du sperme coulait sur mes cuisses. Un autre acolyte prit le relai. Il était brute et rustre dans sa manière de me prendre. Il était bourrin et ce nétait pas pour me déplaire. Jétais secoué comme un pommier. Il était violent dans son va et vient, mais cela ne me faisait pas mal au contraire. Il me procurait du plaisir. Il massaillit près de 30 minutes. Je ne sentais plus ni mes jambes ni mon trou. Il éjaculat dans un rugissement inondant mes entrailles lui aussi.
Les deux autres me prirent à leur tour jouissant également dans mon cul. Ils furent rapides car très excités. Je ne sentais plus mon trou. Il était meurtri, très sensible. Des filets de foutre en sortaient. Jétais en nage, épuisé, mais satisfait par ma performance. Jai eu du mal à me relever. Jétais courbaturé. Le premier mec me conduisit aux WC pour me nettoyer. Je me lavais sommairement le cul. Leau froide apaisa cette sensation de brûlure et de flamme. Je mis de lordre dans ma tenue et quitta le chantier.
Nhésitez pas à me faire part de vos remarques et critiques.
Avale Foutre
avalefoutre@yahoo.fr
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