Une Métamorphose Inattendue (Suite)
Le lendemain matin, je suis réveillé par le bruit de la douche. Je vois ma femme en train de se savonner et je repense à la soirée que nous venons de passer. Immédiatement, lexcitation me reprend et je compte bien transformer lessai dhier soir par une galipette. Je me déshabille et vais ouvrir la porte de la douche quand jentends, « non pas maintenant mon chéri, il nous faut rendre la location dans une heure et il nous faut tout nettoyer, surtout le sperme que tu nas pas réussi à piéger hors de mon cul sur le tapis ». La teneur crue du discours me surprend, mais le ton directif me remet sur le droit chemin. Je mhabille donc et commence le ménage. En sortant de la douche, jinsiste pour que Clémence me taille une pipe, ce quelle refuse en me glissant un « recharge tes batteries pour plus tard ». Je comprends alors quun déclic a eu lieu et que les choses vont certainement changer à lavenir. Cette idée menthousiasme et une excitation latente sinstalle en moi alors que nous finissons le ménage.
Nous rendons la maison, les traces de nos forfaits encore légèrement visible.
Nous repartons, la voiture chargée. Jaborde le sujet dhier soir en lui disant que cela mavait beaucoup plus et que la voir se faire prendre mavait excité, chose que je naurais pas imaginé. Elle me confie quelle avait depuis longtemps eu envie de se faire prendre par plusieurs hommes, et surtout par des sexes plus gros que le mien. Cela me vexe, mais elle me rassure en me soufflant un « je taime » des premiers instants. Sur la route, la clim peine à maintenir une température supportable, et je lorgne sur la jupe de ma femme en imaginant larrivée à la maison. Elle le voit et écarte les cuisses. Elle sort un « il crève de chaud ici » et retire sa culotte et la pose sur le tableau de bord. La circulation est dense, et je sais très bien que dans un ralentissement, sa culotte blanche à dentelle jurant avec le noir de lhabitacle sautera aux yeux du camionneur attentif.
Elle commence à se lécher les doigts de la main droite, tout en se caressant de lautre main.
Cest alors que subitement, elle ouvre la boîte à gants, att le vaporisateur deau et se badigeonne copieusement la chatte et le visage. Elle coupe la clim et ouvre sa fenêtre. Je lui dis « tu vas me rendre fou ! ». Elle me répond : « cest bien le but mon chéri, il faut que tu aies les couilles bien pleines pour ce soir ! ». Les perles du spray se confondent maintenant avec sa sueur. Ce qui devait arriver arriva, la circulation ralentit et nous voilà à côté dun camionneur qui tout dabord ne capte pas la situation torride de la voiture quil a à côté de lui.
Roulant à faible allure, ma femme dévisage littéralement lheureux élu en sessuyant le visage avec sa culotte. Après un bref regard, le chauffeur ayant réalisé se maintien à notre hauteur, ce qui nest pas compliqué vue lallure de notre voiture. Un jeu de théâtre prend place, ma femme se caresse le minou avec sa culotte puis, tout en fixant le camionneur, louvre de ses deux mains et lèche la partie sensée couvrir son intimité. Heureusement la circulation ralentit encore jusquà larrêt pour ne pas rendre le petit jeu trop dangereux et pour que je puisse au passage en profiter un peu. Elle repose délicatement la culotte sur le tableau de bord afin de bien distinguer la forme si évocatrice puis entame une masturbation soutenue après avoir avancé son bassin au maximum. Rapidement vient lorgasme, le camionneur ne rate rien du spectacle. Retombant en arrière du siège, ma femme sessuie le visage avec la main utilisée pour sa masturbation. Jai le jean prêt à exploser. La voiture de devant avance et me voilà contraint de repartir.
« Ca te tente ? » .
« Pourquoi pas ? » me dit-elle en me regardant avec un air coquin.
« Mets-toi devant et sors à la prochaine aire, on verra bien sil est couillu », ce que je fais immédiatement.
Je mets le clignotant à la prochaine aire et je vois quil fait de même. Nous nous garons sur les parkings pour poids lourds et nous ne tardons pas à être rejoint. À cette heure là, le parking est peu fréquenté, seuls deux camions sont garés hors de portée. Lhomme descend du camion.
« Tu es sûre ma chérie ? » lui dis-je.
« Ca va, il a pas lair méchant, je vais men occuper. Toi, reste là, je reviens ». Elle descend de la voiture et commence à discuter avec linconnu. Je vois que latmosphère est détendue, ma femme rigole, cela me rassure. Lhomme monte dans son camion, et je vois ma femme me lâcher un sourire avant de monter à son tour. Que de chemin parcouru en si peu de temps ! Ma femme devient une vraie salope, et cela me plaît au plus haut point. Je suis cocu et jaime ça, et le fait dimaginer dans cette fournaise ce quil se passe plus haut me fait craquer. Jéjacule dans mon pantalon que je déboutonne rapidement pour profiter de la fin de lorgasme qui ma surpris. Un orgasme sans contact, purement intellectuel ! Jessuie mon abondante semence et laisse le mouchoir dégoulinant à portée de vue, devant le boîtier de vitesse, espérant créer lévènement Peu après, Clémence descend du camion, avec un sourire en coin quelle a du mal à dissimuler. Ses cheveux son défaits. Elle sinstalle et je vois que son haut est maculé de sperme et quelle ne porte plus son soutien gorge. La liqueur coule entre sa poitrine.
« Où est ton soutien gorge ? » lui dis-je
« Je le lui ai laissé mais jai une surprise pour toi » répond-elle radieuse en me tendant son smartphone.
« Je lui ai demandé de tout filmer ». A côté, le camion repart, mon sang bat dans mes oreilles, je rebande à nouveau. Elle me montre la vidéo, je la vois saisir un membre épais et de bonne taille. Lhomme ne tarde pas à éjaculer dans sa bouche, elle manque de s et remonte la tête. Une grosse quantité de sperme sest échappée de sa bouche, celle que je vois sur son haut, mais tout en fixant la caméra, elle ouvre la bouche, se gargarise avec le reste et avale avec un regard malicieux. A la fin de la vidéo, elle membrasse à pleine bouche, je distingue clairement une odeur de virilité dans son haleine. Puis, elle voit le mouchoir souillé.
« Quest-ce que cest ? » me demande-t-elle dun air contrarié.
« Je nai pas tenu, tu vois, tu avais raison, jai rapidement refait le stock ».
Soudainement, lambiance a changé. « Tant pis pour toi, javais fait tout cela pour toi ce soir, tu nauras rien puisque tu nas pas besoin de moi. On rentre maintenant ». Comprenant que javais fait une bêtise, je tente de rattr le coup. « Je suis désolé, mais cétait incontrôlable.
Dis-moi ce que je peux faire pour mexcuser ». Elle me répond alors
« nettoie moi avec la bouche ! »
« Ah non pas ça ! »
« Cest ça ou rien avant un bon moment. Avec tout ce que jai fait pour nous ce soir, et tu viens tout gâcher. » Je comprends que je nai pas le choix. Je mapproche et commence à lécher le sperme sur sa peau. « Non, le haut dabord, je veux quil soit niquel ». Je mexécute et aspire le tissu tout en lhumectant abondamment. Un goût âcre et soutenu se diffuse alors sur mon palais. Elle retire ensuite son haut, la voilà torse nu. « Finis maintenant ! » Ce que je fais. « Cest bon, maintenant, cest excusé ? ». Elle me dit que non. « Je vais conduire pour rentrer, tu vas te glisser ton plug anal dans le cul et rester assis dessus jusquà la maison le jean ouvert, histoire que je puisse te masturber de temps en temps. Tu auras peut-être les couilles remplies de nouveau à la maison ».
Arrivés à la maison, elle ne se fait pas prier et nous faisons lamour rapidement. Toujours avec le plug dans le cul, je la lime en levrette. En me dit,
« cest bon mon chéri, vide toi sur mon cul ». Ce que je fais sans tarder.
« Enfonce-moi ton plug maintenant et lèche le reste ! ». Ce nouveau style directif me plaît. Je sors donc lobjet derrière, ce qui me confère une sensation très bizarre après tout ce temps. Je fais glisser lobjet sur les tâches gourmandes et fais pénétrer le plug jusquà la garde dans lanus de ma femme. Nous nous embrassons longuement et elle me dit
« tu as été courageux mon chéri, à moi de le garder jusquà ce soir ».
« Tu as été merveilleuse, je taime ». Après une tendre embrassade, nous vidons la voiture, nus. Je vois ses fesses rouler autour de lobjet de plaisir, ce qui me maintient une érection passive. Même pendant le repas, elle la gardé. En guise de dessert, elle ma soutiré ce qui pouvait encore sortir de mes couilles et nous nous sommes couchés plus amoureux que jamais.
Les mois qui ont suivis vont être les plus chaud de mon existence.
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