Trio À Paris
Les faits de cette histoire véridique se sont déroulés au mois de mars dernier. Jétais à Paris pour quelques jours.
Je déambulais dans la galerie marchande de la gare Saint-Lazare. En montant lescalator, nos regards se sont croisés. Je lappellerai E. Taille moyenne, crâne très dégarni, il mavait fixé du regard. Jai soutenu le sien. A peine quelques pas, il me salut et me tends la main. On échange des banalités. Il mavait avoué que je lui plaisais. Il nétait pas vraiment mon genre, mais ça passait. On avait échangeait nos numéros de téléphones. Pour un éventuel RDV. Il mavait également annoncé quil était en couple et voulait savoir si cela posait problème.
Comme je suis ouvert à tout, et que jai déjà eu des plans à plusieurs, je ne voyais aucun inconvénient à cela. Le soir même jai reçu un SMS me fixant RDV pour le lundi en début de soirée. Répondant par laffirmative, il me communiqua ladresse. On sétait échangé quelques messages histoire de découvrir ce que chacun aimait, voudrait et attendait
19h55, jarrive devant limmeuble. Je lappelle, il me communique le code pour y accéder. Jarrive enfin. Il mouvre la porte de lappartement, me fait la bise et me présente son compagnon. Cheveux grisonnants, coupés ras. Il me serre la main. Je lappellerai A. On accède au salon, on papote autour dun café pour eux et dun thé pour moi. Tout en répondant à leurs questions, je les détaille. Le compagnon me plait grave.
On parle de tout, de mes origines, de mon pays, de ma ville (je vis à Alger), mon travail
Au fur et à mesure que le temps passe, les questions se réduisent. A se lève et quitte le salon. E se lève également et vient sasseoir à mes côtés. Même si je ne le montrais pas, je ne menais pas large. Je me trouvais chez des gens que je ne connaissais pas. Comment les choses allaient se passer ? Alors que je me posais beaucoup de questions, E posa la main sur ma cuisse et me caressa. Je le laissais faire.
Javais quatre mains qui parcouraient mon corps. Je me laissais aller à cette plénitude, à ce plaisir. Jétais dans un autre monde, celui du plaisir et du sexe. Leurs caresses me faisaient du bien. Assis sur le divan entre eux, javais les deux mains occupées à toucher, à palper leurs entrejambes respectifs. De tailles moyennes, leurs queues mattiraient. Je nai pas pu résister longtemps à lappel de la bite. Je me penchais sur celle de E. Une bite raide, bien droite, encapuchonnée par le prépuce (je suis fan du prépuce et jadore sucer une queue dont le prépuce est bien présent). De son côté, A. me caressait le torse et titillait les tétons (mon faible). Je quittais la que de E. pour moccuper de celle de A. Un autre délice dans la bouche. Alors que je pompais avidement sa bite, E., de son côté, soccupait de la mienne. Lextase. Un double plaisir pour moi. Lui et A. séchangèrent de place. Jétais devenu pour eux un objet, un jouet avec lequel ils samusaient, ce qui nétait pas pour me déplaire (jaime être soumis au plaisir du ou des partenaires, être leur jouet, leur objet, mais dans le respect). Je pris leurs bites en même temps dans ma bouche. Je suçais, je salivais et je sentais des picotements dans mon fondement. Pendant que je moccupais de A., E. me léchait la rondelle, la mordillait et la titillait avec sa langue en pointe. Le même traitement métait prodigué par A.
Pour être plus à laise, A. proposa de se rendre dans la chambre à côté. Et cest là que ma fête commença. A. sadossa sur la tête du lit, jambes écartées. Moi, à quatre pattes, sa queue dans ma bouche, je le suçais pour le faire bander à nouveau. E., lui, me lécher la rondelle. Occupé à sucer, à croire que ma vie en dépendait, je sentis le froid envahir mon trou. Cétait E. qui mettait du gel pour me travailler le cul. Après lavoir bien étalé et enduit avec mon trou, je sentis son doigt me pénétrer doucement, je gémissais de plaisir sans lâcher la queue de A. Ce traitement dura quelques minutes.
E. quitta mon cul se présenta devant moi pour que je le suce un peu, histoire de donner vigueur à sa bite. A. pris le relai et me doigta le cul. Dès que sa queue eut retrouvé sa raideur, E. mis un préservatif et se présenta devant mon trou qui palpitait suite au traitement que lui avait prodigué le « doigtage » de A. Je sentis la queue de E. pousser pour me pénétrer. Il allait doucement. A. est revenu à sa place, il me donna le biberon. Je sentis le gland passer. Le reste suivit aussi lentement. Heureusement que ma bouche était prise dassaut par la queue de A. étouffant ainsi mes gémissement.
Javais les deux trous occupés. A. et E. allaient et venaient. Ils étaient synchro. Je me sentais chienne, pute. Mes gémissements avaient dû exciter A. qui demanda à E. de lui céder la place. Il mit un préservatif, et me pénétra dun coup. Je sentis bien sa queue, heureusement que E. mavait pris juste avant. Ce dernier me donna sa bite à sucer alors que A. me pilonnait sans retenue, avec une certaine rage. Je sentais ses couilles cogner sur mes fesses. Cétait bon. Même plus que bon. Agrippé à mes hanches, A. me secouait comme une branche par le vent. Tous les deux me traitaient de puce, de trou à bite
Jadore quand on minsulte.
A. me pilonna pendant plus 5 minutes environ, avant dêtre remplacé par E. qui lui aussi se donna sans retenu. A. vint se placer devant moi, sans dire un mot, jouvris ma bouche et happa sa queue dure. Il prit mon visage entre ses mains et me baisa la bouche pendant que E. me cassait le cul. Ce traitement dura quelques minutes avant de sentir E. se raidir et donner un dernier coup de rein bien profond et jouir dans un petit cri. A peine de sorti (le préservatif rempli de sperme blanc crémeux) quil fut remplacé par A. Il me prit en levrette, avant de demander de mallonger sur le dos et de lever les jambes écartées. Il me pilonna ainsi quelques minutes. Je gémissais, mes mains agrippaient le drap tellement cétait fort. Au bout de quelques minutes, A. me demanda de me remettre à quatre patte. Cest en levrette quil me prit à nouveau. Pas eu le temps de souffler quil était en moi dun coup. Sa queue glissait comme dans du beurre. Je gémissais sans cesse tellement cétait bon. Le pilonnage ne dura pas plus de cinq minutes. Il cria dans sa jouissance. Malgré le préservatif, je sentis les tressautements de sa queue. Il saffala sur moi, membrassa avec de sortir de mon cul.
On se retrouva tous les trois dans la salle de bain pour se nettoyer. Le temps de se rhabiller, de livrer ses impressions et dun dernier baiser, je quittais lappartement encore sous leffet du plaisir.
Avale Foutre
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