Naturistes
Elle a son geste habituel quand une mèche, toujours la même vient sur son il droit. Cette mèche pourrait être coupée, le faire serait une insulte à sa beauté. Sa longue tignasse blonde est souvent coiffée en queue de cheval: elle est très attirante. Son corps est enserré dans une robe moulante qui laisse voir presque tout ses secrets. Si on y ajoute la longueur de ses jambes et ses chevilles fines, on peut facilement la classer parmi les plus belle de la ville. Elle sait quelle est belle, quelle attire les regards plein de désir des hommes et envieux des femmes, elle reste simple. Voici en quelques mots ce que je peux dire de ma femme, Aline. Elle porte bien sa trentaine surtout quand je la vois nue devant moi, dans la salle de bain ou la chambre. Souvent également dans les autres pièces de lappartement: elle aime vivre nue. Nous allons souvent en vacances au Cap dAgde: contrairement à ce quon pourrait penser, le coin où nous allons nest pas un lieu de débauche. Nous nous contentons de vivre comme les autres: simplement nus. Dailleurs nous y avons des amis que nous retrouvons tous les ans, la bas! Nus bien sur et quelques fois en ville, habillés dans ces cas.
Nous nous aimons depuis que nous nous sommes rencontrés justement au Cap dAgde: elle semblait différente des autres jeunes femmes: son allure de reine, sa simplicité et surtout sa sincérité. Nous avons flirté un peu avant de nous embraser, pas devant les autres, dans un endroit plus à labri. Au bout de quelques jours je voulais la posséder: elle se refusait toujours. Comme quoi chez le vrais naturistes les murs sont comme ailleurs: strictes souvent. Ce nest quune fois revenu en ville quelle acceptais enfin de venir chez moi: elle savait fort bien ce quelle risquait et malgré ou à cause, je ne sais pas, elle était devant moi, toujours aussi belle. Elle a posé ses lèvres sur les miennes: cétait un baiser doux comme la caresse dune plume. Je trouvais que mes bras étaient trop courts pour lenvelopper.
Cest moi qui ai fait le premier pas en écartant ses lèvres avec ma langue. Ce baiser, le premier dune très longue série séternisait. Nous ne pouvions nous détacher. Pourtant il fallait bien reprendre son souffle. A ce jeu là je perdais, cest moi qui laissais ses lèvres le premier.
Je revenais pour lembrasser à nouveau; elle me rendais encore ce baiser, elle ne larrêtait pas quand je commençais à faire quelques privautés quelle ne refusait pas:
Je cherchais sa poitrine que je connaissais pourtant bien nue, mais pas recouverte de vêtements. Oh, il n y en avait pas tellement, surtout sur sa poitrine. Je pouvais caresser un sein. Il me semblais bien dur: je passais une main sur un téton qui du coup commençait à bander. Je menhardissais pour mettre une main sous sa robe: elle le refusait, à juste titre: nous étions encore debout. Létourderie est un de mes défaut. Je linvitais à sassoir sur le divan.
Cette fois nous nous embrassions encore et je revenais poser ma main sur sa cuisse. Cette fois elle acceptait la caresse. Je ne me contentais pas du bas de sa cuisse; je passais ma main à lintérieur pour monter mes caresses vers ce que je considère comme le paradis. Je montais, montais lentement, pour arriver là haut. Je pensais trouver le passage libre: elle portait une culotte sage. Je trouvais le tissu bien mouillé. Je bandais et elle mouillait; nous en étions au même point. Je passais ma main sous la culotte pour essayer darriver à son clitoris. Elle marrêtait pour se lever et ôter sa culotte. Jétais bien plus à laise pour la masturber. Ses jambes écartées facilitaient ma caresse. Je lembrassais encore et je mappliquais comme une devant un devoir difficile. Je la faisais trembler avant quelle se crispe en jouissant.
Enfin pour la première fois depuis notre rencontre il y avait plusieurs mois, je lui donnais du plaisir. Elle prenait enfin une bonne initiative en mettant sa main sur ma bite à travers le pantalon. Elle ne pouvais aller bien loin: du coup je me déshabillais.
Cest à ce moment là quelle me disait quelle était vierge.
Elle gardait ma bite dans sa main. Je lui apprenais comment me donner du plaisir. Sa main enfin aller et venait convenablement sur mon mandrin. Je larrêtais, je ne voulais pas jouir seul sans elle.
Elle me demandait de la faire femme. Elle me donnais sa virginité en gage damour. Jen étais tout chose. Dun coté je la voulais et de lautre javais peur de lui faire mal. Comme elle insistais je la faisait mettre sur le dos. Elle-même écartait ses jambes. Je pouvais voir toute sa féminité. Cette fois je nhésitais plus. Je venais sur elle, lembrassais comme un fou. Elle prenait ma bite pour la guider vers elle. Mon sexe sentait que le sien était totalement mouillé. Elle avait réellement envie de moi. Je faisais mon entrée dans son vagin le plus lentement possible. Quand je sentais son hymen, je restais ainsi un long moment. Elle sentais bien où jétais. Elle insistais: baises moi. Jhésitais encore: cest elle qui ma fait entrer le plus profond en elle. Son petit cri au moment où je passais sa virginité et ensuite elle ne manifestait rien de particulier. Je commençais à la limer. Elle restait inerte. Jai jouis en elle et en suis sorti. Elle membrassait en me remerciant de ce que je lui avait fait: elle était une vrai femme. Je nétais pas daccord: une vrai femme jouit quand on la baise.
Elle reprenait ma bite pour me branler. Je recommençais à bander. Quand jétais en pleine possession de mes moyens elle me demandait de la baiser encore. Jétais excité et avec plaisir je revenais en elle. Cette fois je ne sentais plus dobstacle pour aller au fond. Quand je recommençais mes aller et venue, dun seul coup elle se mettait à gémir, murmurait que cétait bon que je continue sans arrêter.
Elle avait assez jouit pour notre première fois.
Elle restait nue par simple plaisir. Nous bavardions de souvenirs communs et du seul coup, elle me demandait à nouveau de la baiser. Cette fois elle ne se couchait pas: elle voulait que je lui fasse lamour debout appuyée contre le mur. Elle sy collait seule et je venais la soulever un peu pour pouvoir la lui mettre. En passant ses jambes autour de mes hanches elle mobligeais à forcer un peu pour la baiser. Elle prenait encore son plaisir: ses orgasmes me semblais plus puissants. Pour la première fois encore nous jouissions ensemble: cest très agréable de sentir lautre jouir pendant que vous aussi êtes au paradis.
Puis voulant aller au bout de ses découvertes, elle se couchait ne levrette et me demandait en souriant: mets moi la au cul. Jétais encore asses excité pur le faire. Je lui demandais de bien se mouiller lanus, je posais ma bite sur son petit trou et très lentement, pour ne pas la déchirer jentrais au tréfonds de son anus. Ce nest que quand jallais et venais dans son ventre quelle commençait à jouir à nouveau.
La suite de cette rencontre est que 3 mois plus tard nous nous sommes mariés. Nous baisons souvent, elle me demande de la sodomiser, elle se masturbe également souvent soit seule, soit devant moi: ce quelle préfère.
Il est possible que notre couple ne tienne que par le plaisir alors que nous éprouvons toujours se sentiment fugace quon appelle lamour
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