La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 460)
Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°459 - Le Majordome de Monsieur le Comte Juan Antonio de Barcenas y Cadalso -
Monsieur le Marquis dEvans, avait lui-même emmené Son chien soumis compelled MDE dans les entrailles du Château, dans un de Ses cachots. Celui qui lui était réservé portait le n° 4 : Une modeste et simple cellule de deux mètres par trois, fermée et cloisonnée par de lourds barreaux dacier. Juste au fond, un mur en pierre de taille sur lequel était fixé une épaisse planche de bois servant de couche pour lesclave, avec dessus posée, une couverture pliée en quatre. A côté un simple seau hygiénique métallique pour que le chien enfermé puisse satisfaire ses besoins naturels. Au plafond vouté, était solidement scellé dans la roche, une multitude de crochets. Sur lun deux pendit une longue chaine suspendue.
- Voilà Mon chien, ce qui sera ta demeure désormais ! Tu seras ici enfermé avec ceux et celles de Mon cheptel qui ont le privilège de Mappartenir corps et âme, des esclaves MDE confirmés. Tu le sais Mon chien, jai beaucoup desclaves à Mon service, à Ma disposition, mais peu sont nombreux à entrer ici. Seuls les plus méritants, les plus dévoués, les plus serviles, les plus volontaires y sont admis. Tu en fais partie, jen suis très heureux et soit fier de cela.
Le Maître se tut un instant, dévisagea compelled MDE tête basse, tout ouïe.
- Tu vois mon chien, il ny a ici que dix cachots, et seulement quatre sont occupés à ce jour, deux par Mes femelles les chiennes soumises Phryné MDE et Laïs MDE (ex Holly MDE), un par le chien-soumis-mâle e6934 MDE et le quatrième est pour toi ! Jespère que tu mesures bien la chance que tu as dêtre parmi ceux que je considère comme lélite de Mes esclaves ?
- Oh oui
très Cher et Vénéré Maître ! Merci infiniment cher Maître.
- Mais faire partie de ce cheptel à pour conséquence, la stricte discipline, la rigueur absolue, le dévouement total et permanent, laveugle obéissance la plus parfaite, lasservissement et lavilissement de la part de lesclave MDE.
- Je le serai Vénéré Maître, je vous en fais promesse et allégeance totale envers Votre Noble personne.
- Cest bien Mon chien, je suis sûr quavec un dressage soutenu, tu y parviendras, je nai pas de doute sur tes volontés !
- Merci Maître.
Monsieur le Marquis attrapa lextrémité de la chaine pendante du plafond et lattacha au collier de soumis compelled MDE. Elle était lourde cette chaine mais suffisamment longue pour que le chien puisse vaquer aisément dans ce cachot, quil puisse aller à chaque extrémité de cet enclos, quil puisse monter sur cette lourde et épaisse planche de bois et y dormir. Une fois enchainé, le Maître refixa la cage de chasteté sur les attributs virils de Son chien mâle et lui ordonna :
- Va poser ta poitrine sur ta couche, écarte les cuisses et présente-moi ton trou en posant chacune de tes mains sur tes fesses afin de bien les écarter
Le chien obtempéra dans linstant, soffrit au Maître selon Ses exigences. Monsieur le Marquis dEvans alors glissa un doigt dans cette intime cavité anale, le fit aller et venir de plus en plus rapidement, jusquà entendre soumis compelled MDE gémir fortement.
- Tu vois Mon chien, plus rien ne tappartient, ton corps est à moi, totalement à moi. Jen dispose comme je lentends. Tu dois prendre soin de ce corps que je possède !
Le Maître retira son doigt et glissa sa verge érigée dans ce cul. Il encula son chien longuement, patiemment, retirant et poussant doucement ce phallus de plus en plus loin dans les entrailles de soumis compelled MDE, jusquà ce quil éjacule en lui tout en douceur. Cétait la première fois que soumis compelled MDE se faisait prendre par le Monsieur le Marquis dEvans dune façon si douce et délicate, sans violence, ni excitation exacerbée. Sitôt la verge du Maitre ressortie, soumis compelled MDE resserra ses sphincters dilatés pour conserver en lui cette divine liqueur et précieuse semence.
- Debout chien MDE, et avale ça !
Elle posa au sol une gamelle dans laquelle se trouvait du café et des morceaux de pain détrempé. A quatre pattes, le cul relevé, les reins bien cambrés, le chien ingurgita ce qui était son petit déjeuner. Pendant ce temps, Madame la vicieuse cuisinière toisait, avec un brin darrogance, le misérable et parfois lui claquait le cul avec une cravache en sexclamant hautainement :
- Dépêche-toi salope, je nai pas que ça à faire.
Sitôt son repas terminé, soumis compelled MDE, fut détaché et remonté au rez-de-chaussée du Château, tenu fermement par les couilles par Madame Marie. Il fut très surpris par lagitation ambiante. Une vraie ruche ce matin ici, de nombreux esclaves mâles et femelles MDE étaient là, à frotter, à briquer, à aspirer et laver les moindres recoins de limmense couloir et des pièces attenantes. Une vraie effervescence, où chacun sactivait sans bruit. soumis compelled MDE ne fut pas mis à contribution, il fut emmené dans une des salles de bains pour y être lavé, rasé et dépilé, par deux femelles soumises MDE. Elles furent particulièrement consciencieuses, ne laissant aucun repli de peau sans attention particulière. Elles pratiquèrent même un lavement à soumis compelled MDE, lui coupèrent les ongles des pieds et mains. Seule la queue du chien ne fut pas touchée, et pour cause, elle était en cage ! Cest Madame Marie qui soccupa de laver la bite du soumis. Elle le fit avec rigueur et vice, allant même à lui glisser un coton tige dans lurètre pour ôter, selon elle toute infâme souillure dun chien de son espèce. Elle rasa les couilles, le pubis, la raie anale de soumis compelled MDE afin quil soit parfaitement glabre.
Elle attacha les mains dans le dos de lesclave et ne lui remit pas sa cage de chasteté. Bien étrange sensation pour soumis compelled MDE, que de se sentir sans cet accessoire, il en avait pris lhabitude. Sa queue en profita pour se redresser fièrement y compris lorsquil déambula de nouveau dans le long et vaste couloir au milieu de ses congénères toujours au travail. Il marchait debout, tiré par une laisse par Madame Marie. Elle lemmena dans le bureau du Maître. Jamais soumis compelled MDE avait fréquenté autant ces lieux. Ils entrèrent, la cuisinière poussa le chien dos contre un mur et lattacha debout avec une courte chaine relié à son collier, à un anneau fixé à la cloison. Elle lui ôta sa cage de chasteté et sans mot dire, elle le laissa là et soumis compelled MDE attendit longtemps, très longtemps dans cette posture qui devint au fil du temps très vite inconfortable. Il remuait de temps à autre les jambes pour se les dégourdir, mais cétait la seule chose quil pouvait faire. Les bruits dans le long couloir avaient cessés, tous les esclaves faisant grand ménage avaient été reconduits à dautres tâches. Le silence était pesant. Malgré une volonté de fer, soumis compelled MDE ne put sempêcher de penser : Que lui réservait-on ? Il allait le savoir sous peu
Le Maître, son Majordome Walter et un autre homme, assez petit, de mince corpulence, les cheveux très bruns, les yeux noirs comme la braise, entrèrent. Monsieur le Marquis dEvans en complet veston impeccable, chemise blanche et nud papillon, souliers vernis, invita Ses hôtes à sassoir dans de confortables petits fauteuils crapaud :
- Avez-vous fait un excellent voyage mon cher Felipe ?
- Excellent Monsieur le Marquis, lui répondit lhomme avec un fort accent espagnol.
- Donnez-moi vite Felipe des nouvelles de votre Maître, mon très cher et vieil ami Monsieur le comte Juan Antonio de Barcenas y Cadalso.
- Il va très bien Monsieur le Marquis, il va dautant mieux quil sait vous voir très bientôt.
soumis compelled MDE ne comprenait pas ce quil faisait là, il était parfaitement ignoré, se demandait pourquoi il assistait à cette conversation très protocolaire sinon mondaine.
- Deux doigts de porto vous plairait-il mon cher Felipe !
- Avec grand plaisir Monsieur le Marquis.
Monsieur Walter soccupa du service, puis la conversation reprit et perdura un certain temps empreinte toujours de mondanité. Monsieur le Marquis dEvans senquérait de la santé de Monsieur le Comte, de son hacienda, de son élevage de pur-sang, de la fameuse huile dolives produites sur la propriété... Avec un brin de solennité, Monsieur Felipe répondait toujours poliment, respectueusement et sobrement. Puis la conversation changea subitement de thème.
- Walter vous a présenté, une dizaine de Mes esclaves mâles, juste à votre arrivée, quen pensez-vous mon cher Felipe ?
- Jai déjà fait mes choix Monsieur le Marquis, trois pourraient convenir à Monsieur le Comte, ceux les plus robustes, les plus costauds et charpentés. Monsieur le Comte a besoin desclaves forts et endurants pour entretenir la propriété. Consentiriez-vous à les prêter à Monsieur le Comte, et si oui pour combien de temps ?
- Autant de temps quil sera nécessaire mon cher et avec grand plaisir. Vous êtes bien là dans ce but et je suis très heureux de pouvoir rendre ce service à mon cher ami, Monsieur le Comte.
- Monsieur le Comte en sera très heureux je vous lassure, il saura vous le dire de vive voix afin de vous en exprimer toute sa gratitude. Quand pensez-vous lui rendre visite ?
- Je pensais repartir avec vous demain mon cher Felipe, accompagné de ce chien ici attaché. Jen ai parlé à votre Maître, hier au téléphone !
Monsieur Felipe se leva du fauteuil et approcha de soumis compelled MDE, son index lui souleva le menton.
- Belle pièce ! Sextasia-t-il
- Un nouveau chien soumis en qui jai mis Ma confiance. Il a besoin dêtre éduqué et bien dressé, mais il semble avoir de bonne prédisposition et une volonté sans faille. Cest pourquoi je viens de le mettre en Mes Cachots.
Etranges sensations pour soumis compelled MDE, il se sentait à la fois humilié et gratifié
Humilié par ce sentiment de nêtre rien, si ce nest quun simple animal ou objet sans âme ni volonté, gratifié par les propos du Maître à son endroit.
- Mest-il possible de lexaminer de plus près ? demanda Monsieur Felipe
- Avec grand plaisir, dailleurs jaimerai votre avis, pensez-vous quil plaira à Monsieur le Comte ? rétorqua le Maître
Monsieur Walter le détacha et fit mettre soumis compelled MDE, à genoux, au centre du tapis persan. Monsieur Felipe lui fit ouvrir la bouche, examina sa dentition, vérifia ses oreilles, puis ses doigts glissèrent sur la poitrine de lesclave, lui attrapèrent les tétons et les serrèrent dabord légèrement puis plus sévèrement. Sa main glissa encore sur son abdomen, lui caressa longuement le pubis
- Debout chien ! ordonna le Maître
Et soumis compelled MDE se redressa dans linstant, la main de Monsieur Felipe lui attrapa sa nouille semi bandée, tira sur le prépuce pour bien décalotter le gland, pressa sur le méat. Puis il empoigna les couilles du chien, les comprima, les étira. Lesclave se laissait manipuler sans bouger, sans rien dire, sans même sourciller. Au contraire même il avait écarté un peu plus les cuisses pour laisser libre accès à son intimité. Monsieur Felipe sintéressa ensuite au fessier du chien, lui écartait les lobes pour découvrir son petit trou. Il y glissa un doigt
- Très belle pièce, Monsieur le Marquis, elle devrait plaire, jen suis convaincu.
- Ah merveilleux alors, surtout que Monsieur le Comte et moi-même sommes convenus dun programme tout à fait adapter à léducation de ce chien !
soumis compelled MDE regagna les Cachots, sans en savoir plus sur ce que lui réservait le Maître de son séjour en Espagne. Il sut simplement quil serait mis pour cette nuit à la disposition du Majordome de Monsieur le Comte de Barcenas y Cadalso.
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!