Série Insolite. Épisode 1 « Carla » : Un Dépucelage Pas Comme Les Autres. Partie 1/2
Carla, la dernière dune fratrie de six s, vivait dans une famille démigrés italiens. Son père Emilio travaillait dans les mines, Jeannette sa maman, avec ses s en bas âges, était mère au foyer. En 1962, nayant que très peu dargent pour vivre, sa mère allait trois soirs par semaine faire des ménages chez le Directeur de lusine Mr Paul Dubois et son épouse. Jeannette emmenait toujours la petite avec elle et pendant que celle-ci remplissait ses tâches ménagères, surveillée de très près par Mme Dubois, Carla était invitée à passer son temps dans le bureau de Paul Dubois. Cet homme de 48 ans, riche et puissant, faisait la pluie et le beau temps dans cette commune de trois mille habitants, tout le monde était à ses pieds.
Son père Emilio, trop fatigué par son travail, napportait que très peu damour à ses s et en particulier à sa petite fille de 10 ans. Celle-ci trouvait laffection qui lui manquaient en compagnie de Mr Dubois. Carla aimait beaucoup les petits bisous quil lui déposait sur ses joues, les petites caresses sur sa la longue chevelure, ou les massages quil lui faisait sur les épaules. Carla nétant pas très sage à lécole ou à la maison, elle recevait beaucoup de fessées par son père ou sa mère, elle venait alors se réfugier chez Paul qui lui apportait son soutien et lui apprenait les bonnes manières. Pendant trois ans, une certaine complicité sétait installée entre eux.
Les trois années suivantes, Carla ne venait plus avec sa mère, elle rendait visite à Paul en passant discrètement par la cour à larrière de la maison après les cours. Installée sur ses genoux, Paul la câlinait pendant quil racontait des histoires ou lui lisait des contes de fées, elle ne pouvait plus se passer des gentillesses que ce père spirituel qui lui apportait lamour. Jusque-là, celui-ci neut jamais un geste déplacé envers la gamine, il pensait aimer Carla, tout simplement comme sa propre fille.
À quatorze ans, lorsque ses parents avaient appris que leur petite devait redoubler, Carla avait reçu par son père une très sévère correction.
Avant de se coucher vers minuit et demi, il était allé vérifier si sa petite protégée dormait bien. Lorsquil avait ouvert la porte de sa chambre, il la trouva en pleurs. Inquiet, il sassis sur le rebord du lit, lui essuya les larmes sur sa joue et lui déposa une bise en lui passant la main sur ses cheveux. Carla se retourna vers lui, se releva et vint se blottir contre lui. Elle était inconsolable, il lenlaçait, la berçant comme un bébé. Après de longues minutes, elle sallongea sur le ventre et baissa sa culotte de pyjama en lui montrant ses fesses en disant : « Regarde ce quil ma fait, jai très mal. »
En effet, elle avait de grandes marques rouges, laissées par les coups de ceinture quelle avait reçus quelques heures plus tôt. Il sétait levé, alla prendre un gant de toilette quil mouilla et vint refroidir la peau en feu de la jeune fille. Puis machinalement, il lui passa le plat de la main sur ses fesses, en lui disant quil irait le lendemain parlé à son père. À cet instant, elle se retourna et lui demanda : « Tu veux bien rester un peu avec moi. Jaime tant que tu me caresses. » Il était resté plus dune heure avec elle et tout en lui faisant la morale afin quelle fasse des efforts et en lui promettant de laider à faire ses devoirs, il lavait cajolée. Ce soir-là, ce fut la première fois que Carla sétait rendue compte quelle était amoureuse de Paul.
Les jours, les semaines, les mois passaient, Carla changeait à vue dil, son corps devenait celui dune femme. La chambre de bonne était devenue la sienne, Paul lavait aménagée spécialement pour elle.
Néanmoins, depuis quelle sétait transformée, il était un peu moins tactile avec elle, cela ne plaisait pas beaucoup à Carla. Un soir, elle se blottit contre lui en faignant un chagrin. Avec douceur et tendresse, Paul la prit dans ses bras et la consola. La jeune fille en avait profité pour lui demander de lui apprendre à embrasser : « Mais voyons Carla ! » :
Ça ne fait pas partie de mon éducation peut-être ?
Tu verras ça ne sapprends pas, ça vient naturellement quand tu aimeras un garçon.
Moi je taime ! Si tu ne veux pas le faire, cest que tu ne maimes pas alors.
Sans attendre, Carla se serra plus fortement contre lui, plaquant ses seins contre son torse et son ventre contre le sien. Elle approcha ses lèvres de celles de son mentor, mais voyant quil refusait toujours douvrir la bouche, elle sortit sa langue et essaya de forcer le passage. Paul comprit en ressentant une érection que la jeune fille lexcitait de plus en plus, elle était si belle, si naturelle et si proche de lui quil en eut des remords : « Carla, je crois que tu ne pourras plus venir maintenant. Tu es trop âgée, je nen ai pas le droit. » À cet instant, elle ne fit pas semblant, elle se retourna et pleura toutes les larmes de son corps pendant de longues minutes.
Mr Dubois navait pas cédé, il acceptait de la recevoir les soirs pour ses devoirs mais refusait catégoriquement quelle dorme chez lui. Lado fit la tête et avait refusé le deal, en disant quelle ne viendrait plus du tout.
Trois semaines sétaient écoulées, le jour des quinze ans de Carla, il était allé dans une boutique, lui acheter une jolie petite robe et était venu la chercher à son collège. Lorsquelle lavait vu devant son école, elle sétait précipitée vers sa voiture, était montée à lintérieur et lui déposa par surprise une bise sur ses lèvres. Il lui offrit son cadeau danniversaire, fit ses devoirs avec elle et lavait ramenée chez elle avant le diner. Ce soir-là, elle avait très mal répondu à sa mère lorsque celle-ci lui fit une remarque sur sa nouvelle robe, la trouvant trop courte. Son père layant entendu dire une grossièreté, se leva et lui remit une correction.
Comme un an plus tôt, elle se sauva et se réfugia chez Paul. Celui-ci très heureux de la revoir enfin chez lui, navait fait aucune difficulté pour la garder pour la nuit. Lorsquil avait constaté les marques sur les fesses de sa petite protégée, il avait placé Carla devant le lavabo pour lui refroidir ses rougeurs. Il avait longuement caressé ses fesses, essayant de lui faire passer la douleur : « Paul, je suis toute mouillée ici. » Dit-elle innocemment en lui montrant son sexe. Carla était en âge de se masturber, elle ne lavait encore jamais fait. Le bisou sur les joues quelle recevait lorsquil allait se coucher, se transforma en un tendre baiser avec la langue, la main droite de Paul disparut dans lentrejambe de Carla, elle reçut ces premières caresses intimes pendant que sa main gauche, glissa sous son teeshirt pour lui masser délicatement ses seins déjà bien formés.
Tout en lui murmurant des mots doux, Paul lui caressa le clitoris et constata avec plaisir qu'elle se laissait faire et même qu'elle poussait son bas-ventre contre mes doigts : « Tu aimes ce que je te fais ma chérie ? » lui demanda-t-il à son oreille : « Oh Oui ! ». À sa demande, il continua à jouer avec son petit bouton devenu très dur, en passant son doigt sur sa fente, il sentit quen effet, son vagin s'humidifiait. Elle posa ses deux mains sur le rebord du lavabo et se pencha en avant, écartant ses jambes par la même occasion. Lorsque lindex et le majeur de Paul caressaient l'entrée de son vagin. Carla contracta son corps et poussa son bassin sur ses deux doigts qui pénétrèrent doucement dans sa fente.
La jeune fille prise dans son désir apprécia cette intrusion, elle plia ses genoux et les doigts de Paul s'enfoncèrent un peu plus en évitant de la déflorer. Il en profita pour exercer un va et vient tout en douceur, ses doigts mouillés coulissaient sans difficulté dans son vagin. Dans un râle de plaisir brut, Carla bougeait son bassin d'avant et en arrière. Soudainement, elle hurla, fléchit un peu plus ses jambes quelle refermait sur la main de Paul. Elle jouissait fortement sur ses doigts en se contractant, elle avait les yeux révulsés et était secouer de légers spasmes. Paul la prise dans ses bras, lembrassa tendrement et la porta jusquà son lit où elle sendormit.
La jeune ado eut droit à son premier orgasme, depuis ce jour, sen était devenu une habitude, elle venait faire ses devoirs puis il la caressait longuement tout en lembrassant sensuellement. Jusquau jour où elle ressentit la dure bosse quil avait entre les jambes. Elle posa sa main dessus et commença à tâter cette protubérance : « Tu veux bien me montrer ton sexe ? » Lui demanda Carla, très curieuse de voir le membre viril dun homme. « Aller ! Sil te plait ? » Paul ne pouvait plus se retenir, devant linsistance de la jeune fille qui lui massait cette érection au-dessus de son pantalon, se sentit dans lobligation de lui céder. Il défit son pantalon et lui montra comment faire.
Ladolescente le masturba de ses deux mains, une coulissant sur le pénis, lautre lui caressant les testicules, avec le plus grand soin, jusquà léjaculation. Elle avait ri lorsquelle vit jaillir par longues saccades, son sperme blanchâtre et visqueux qui retomba sur ses mains. En six années, Carla avait rempli entièrement sa tirelire, si au début, elle recevait une pièce ou deux à chaque fois quelle venait chez lui, depuis un an, elle recevait un billet avant de rentrer chez elle, après sêtre masturbés mutuellement avec grand plaisir. Cétait devenu leur petit secret, ils saimaient en cachette et faisaient lamour à leur manière, à partir de là, ils ne pouvaient plus se passer lun de lautre.
Carla ne dormait plus chez Paul depuis cette histoire, elle avait bien compris la raison mais elle avait hâte tous les soirs et les week-end de venir prendre une heure ou deux, de pur plaisir dans ses bras. Ce fut elle qui, après avoir discuté avec une copine, au lieu de le masturber, avait placé delle-même son pénis devant la bouche pour lui faire une fellation. La main de la jeune ado tenant sa verge, elle écarta ses lèvres en grand et introduit son gland brillant de pré sperme, dans sa petite bouche. Elle glissait sa tête davant en arrière, tout en faisant ses va et vient, Carla ne quittait pas des yeux Paul. Elle désirait savoir si elle lui faisait plaisir, au vu de son sourire et de ses gémissements, elle sut très vite quil était satisfait.
Les mains posées sur les cuisses de son mentor, elle allait et venait passant sa langue autour de son gland dur comme de la pierre pendant que Paul tenait sa tête de ses deux mains. Elle leva une nouvelle fois les yeux vers lui et vit dans son regard une grande excitation. Il comprit en la voyant quelle avait la volonté de prendre son sperme dans la bouche. Il nen pouvait plus, ne voulant pas précipiter les choses, il se retira et dans un râle, il jouit puissamment laissant jaillir de nombreux jets de sperme sur son menton, dans son cou et sur la naissance de ses seins :
Merci ma chérie, tu es formidable. » Lui dit-il avant de lembrasser.
Après avoir passé ses doigts sur son menton et sur son cou afin de récupérer ce liquide qui la fascinait, elle les porta à sa bouche et les suça avec envie. Elle écarquilla les yeux et dit innocemment : « Oh la vache, cest bon ! La prochaine fois, tu éjacules dans ma bouche. »
En janvier 1968, après le décès de Mme Dubois, Paul pouvait plus facilement recevoir sa petite chérie et le jour du seizième anniversaire de Carla, il lui avait acheté de très jolis sous-vêtements. Soutien-gorge, petite culotte, le tout pratiquement transparent, bas-résille et porte jarretelles. Ce soir-là, après avoir diner en amoureux, Paul lui avait fait enfiler ses sous-vêtements et linvita à prendre des poses dans un striptease sensuel. Rapidement Carla se prêta au jeu, jouant avec l'objectif. Elle était prête à faire nimporte quoi pour son mentor. Paul lui proposa de retirer ses sous-vêtements et de se masturber. Nue devant lui, elle sétait exécutée, il lavait prise dans ses bras, lui déposa une bise sur les lèvres avant de lembrasser langoureusement :
Pour tes seize ans, je prévoyais que tu perdes ta virginité. Quen dis-tu ma petite chérie ?
Je taime Paul, je ferai ce que tu voudras ! Dit-elle dans un souffle en le regardant avec désir.
Tu m'aimes, ça je le sais ! Mais le désires-tu, toi ?
Oui...Bien sûr ! Je voudrais rester toujours avec toi !
Après sêtre dévêtu lui aussi, Paul avait pris Carla dans ses bras et la porta sur le lit. Il la coucha sur le dos, écarta ses jambes et se mis à genoux entre ses cuisses largement ouvertes. Il baissa sa tête et mis sa bouche contre sa vulve et la lécha un long moment. La jeune fille vivait un pur moment de bonheur, lorsquil sentit Carla proche de sa jouissance, Paul remonta son corps et plaça son sexe à l'entrée de sa petite chatte pleinement humidifiée par sa salive et ses propres sécrétions. Délicatement, il introduisit son gland facilement dans sa vulve mouillée puis sarrêta pendant quelques secondes avant de s'enfoncer encore un peu plus, jusquà toucher son hymen. Quand il vit le visage de Carla se crispa, il lui dit :
Souffle un bon coup ma chérie, ça va aller.
Voyant le sourire revenant sur son visage, il la pénétra de plusieurs centimètres, déchira sa virginité et continua sa progression tout en douceur. Son petit cri, ne lempêcha pas de continuer son avancée. Les parois de son vagin s'écartèrent au fur et à mesure quil senfonçait jusquau fond de son vagin. Un nouveau cri s'échappa de sa bouche et vit plusieurs larmes couler sur son visage. Il ne bougeait plus remplissant sa chatte. Lorsquil vit Carla sourire tout en bougeant son bassin, il commença lentement ses va et vient. Sentant ses muscles internes se contracter sur sa verge au fur et à mesure de ses aller et venue, il se retira et éjacula sur son ventre. Elle navait pas joui cette fois-ci mais lorsquil lui demanda :
Comment cétait ma chérie ?
Je suis contente, je suis ta femme à présent. Je nai pas eu mal mais javais trop peur pour prendre du plaisir.
Cette nuit-là, Carla ne rentra pas à la maison, ils se couchèrent dans le lit conjugal. Après que Paul lui ait donné du plaisir avec sa langue et ses doigts, Carla avait très envie de recommencer à faire lamour, elle savait maintenant que le plus difficile était fait. Allongé sur le dos, il eut droit à une magnifique fellation, ce qui eut pour effet une délicieuse réaction dans son bas ventre, il bandait de nouveau puissamment. À ce moment-là, elle le chevaucha et saccrocha à son cou en se penchant, puis sempala sur sa verge et entama son action, elle montait et descendait son bassin sur le sexe de son amant planté dans son ventre, elle gesticulait de tous les côtés, elle était aux anges lorsquelle atteint un nouvel orgasme, pendant quil se vidait entre ses cuisses : « je taime. » Avaient-ils dit chacun à lunisson. À partir de ce jour, Carla ne put se priver dautant de plaisir.
Je continuerai à vous raconter la suite samedi, dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Carla, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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