Esclave Moi ? - 6 -

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Il est allé s'asseoir en tailleur, nu et sans gêne à coté d'Eric.
- Bon bâtard. Ecoute-moi bien et ne m'interrompt pas. On a parlé tous les trois et je sais que Pat t'a parlé du bunker qu'il avait acheté sur la côte. J'y ai installé pour le moment des blacks qui contre un contrat de travail signé par moi, ne servent qu'à baiser les gens qui ont besoin de dressage comme toi et ton ami Eric. Toi tu n'auras pas de problème mais Eric lui en aura. Il me manque un jeune mec pour vous entretenir et vous faire prendre la mentalité de pute. Pour le moment, vous n'êtes que des salopes. Je veux et nous sommes tous les trois d'accord que vous deveniez des putes, Escort boy ou girl mais de haut vol. Il faudra pourtant passer par le bas de l'échelle. Ce soir, j'espère sélectionner LE mec qui saura vous amener à ce stade. Jim et moi, nous seront au sous-sol comme toi et Eric. Lui n'a pas besoin de savoir ce qui l'attend. Des questions?
- Je peux savoir où nous serons?
- Non. Vous l'apprendrez quand ce sera nécessaire.
- Patrick m'a parlé du bunker et d'une plage isolée. Visible du bord de la falaise?
- Vous le verrez. Il y a là-bas quelques escorts boys mâles actifs fort bien constitués que vous devrez honorer le plus souvent possible. Comme des étalons il faut qu'ils renouvellent leurs productions. Pour le voyage vous serez habillés jusqu'à la frontière puis mis nus et fin du voyage dans le coffre, volontairement, si vous êtes arrêtés. Maintenant bâtard tu vas rejoindre le donjon de Jim et attendre qu'il te rejoigne. Eric va être détaché et aller dans la chambre de Pat. Hervé va me montrer ses talents.
Je suis allé à l'avant et suis descendu par le panneau d'accès. J'ai profité de ce moment d'intimité pour faire des besoins naturels et me doucher l'intérieur. Il est entré par la porte au moment où je sortais de la douche et me séchait.
- Tu vas partir sous peu bâtard mais l'Allemagne est un pays plein de ressources humaines comme je les aiment.

En attendant dégage ma queue et suce-moi comme j'aime, à fond!
Je me suis agenouillé et j'ai défait sa ceinture, abaissé son pantalon en collant ma bouche sur son slip déjà demi gonflé. Je savais qu'il adorait. Alors j'ai saisi l'élastique de son slip avec les lèvres pour le descendre prenant garde à ne pas prendre de poils en même temps. Sa queue superbe s'est posée sur mon nez, le temps que je baisse encore un peu et que je remonte la gober. Je l'ai décalotté des lèvres serrées avant de commencer à le pomper sur la longueur.
- Putain t'es vraiment une bonne toi! On se reverra sûrement à la fin de ton stage.
Il me cramponnait par les cheveux et imprimait sa cadence, me labourant la bouche, ne pensant qu'à son plaisir. Son membre s'est encore gonflé, m'envoyant une giclée de son sperme chaud. Il me tenait contre lui et a envoyé comme ça plusieurs giclées de moins en moins abondantes avant de me repousser.
- Tu ne sais pas qui, mais il y aura dans ceux que tu auras ce soir ton futur dresseur. Je l'ai vu et on a parlé, mais les autres en ont peut-être un autre en vue. Garde le goût de mon jus et repose-toi je vais faire pareil dans ma chambre.
Il a simplement attaché mon collier à un montant du lit et il est sorti. J'ai pu me reposer en réfléchissant à comment influer sur le choix des maîtres. Je me suis rappelé du regard du blond qui était venu me voir et sa voix rauque et sensuelle mais j'ignorais ce que lui cherchait. J'aurais voulu me caresser en pensant à lui mais je n'ai trouvé que le bout de métal sur mon sexe qui en prenant de l'importance comblait entièrement le tube en le compressant. Je n'ai pas vu passer l'heure, sans doute mais j'ai malgré tout dormi car quand la lumière s'est allumée et que Jim est entré, je ne bandais plus. Il tenait des embouts et m'en a tendu un.
- Mets-le dans ta bouche et salive-le un maximum. Ce soir tu auras de beaux tétons sensibles et visibles.
Il m'attachait les bras aux bords du lit, avant d'adapter l'embout à une sorte de pompe en plastique.
Pendant que je salivais le deuxième, il a plaqué le premier sur un de mes tétons et a aspiré l'air dans l'embout entraînant le téton à l'intérieur. Je haletais de douleur mais il ne s'est pas arrêté avant que 2cm soient entrés dans l'embout. Pas mal, passons au deuxième. Il a retiré la pompe après avoir serré le bout de l'embout et a recommencé de l'autre côté.
J'étais crispé pour qu'il ne voit pas la douleur que je ressentais.
- Tu vas garder les embouts une heure et je reviendrais poser les pinces crocos.
Je n'aurais pas cru que si peu de chose puisse faire autant d'effet, mais je ne pouvais rien faire que subir. Il avait laissé la lumière et je voyais encore un peu la peau combler l'embout. Quand il est revenu presque tout l'intérieur des embouts étaient plein de mes tétons. Il a desserré le bout et les embouts sont tombés, l'air comprimé est sorti d'un coup.
- Un peu de courage bâtard.
Il approché une pince, genre électrique croco avec un système que je n'ai pas compris. Lui était habillé de cuir, jean moulant, gilet et dockers aux pieds.
Une fois les pinces posées, il m'a fait mettre la même tenue que la veille, avec cette fois un string plus grand devant pour cacher la cage sur ma queue mais le poids toujours fixé à mon sac faisait vraiment mal et avec un sourire narquois il l'a ôté.
- Je pense qu'elles vont pendre naturellement maintenant. Viens on passe par la porte rejoindre les autres. Il pleut dehors. On va attendre le taxi en bas.
On s'est tous retrouvés dans la salle à manger. Eric avec ses cuissardes qui remontaient entre les cuisses et un string rose et Hervé dispensé par je ne sais quel enchantement ou emprise sur Pat, en jean et chemisette très fine. Je voyais l'aréole de ses tétons.
- Bon le taxi arrive dans 10 minutes, tu lui mets les poids Jim?
Là, j'ai morflé quand il a accroché des gouttes de plomb brillantes et j'ai dû respirer très fort pour me contenir et ne pas hurler. C'était fait pour que la pince se referme un peu plus pour retenir le poids et j'ai compris qu'il me fallait éviter les mouvements pour ne pas les faire bouger.
Il y a eu un coup de klaxon dehors.
- Aller dépêchez-vous, tous dans le taxi.
Chaque mouvement pour monter sur le pont, descendre sur le quai et monter dans le taxi m'a arraché une plainte. Cette fois je me sentais vraiment un bâtard.

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