Francesca 1

Mon premier mois à la fac fut très chaud. D'abord parce qu'en ce mois de Septembre, la température avait grimpé jusqu'à avoisiner les 30°C, faisant transpirer étudiants et étudiantes à grosses gouttes, surtout dans les amphitéâtres dépourvus de fenêtres. Et chaud aussi parce qu'à cause des températures toutes les étudiantes étaient vêtues de tenues légères, ce qui ne m'aidait pas à me rafraîchir... Une étudiante en particulier retint mon attention : une fille de taille moyenne, brune les cheveux bouclés, un beau visage, de beaux yeux marrons, et un magnifique corps que dévoilait son débardeur et son jean moulant. En allant lui parler, j'appris qu'elle s'appelait Francesca, et qu'elle était italienne. En discutant avec elle, je vis qu'elle était très sympathique mais un peu timide, mais son accent italien lui donnait un côté "éxotique", qui combiné à son physique merveilleux me rendait fou.

Une semaine passa, tous les jours, je voyais Francesca, nous discutions de longs moments, pendant les cours, entre les cours, à la bibliothèque, aux heures du repas, bref, je passais beaucoup de temps avec elle, et l'appréciais de plus en plus, au point même que j'en perdis l'idée de coucher avec elle : elle me parraissait trop timide pour qu'une telle chose arrivât, et comme j'aimais simplement discuter avec elle, je ne cherchai pas à en avoir plus, bien qu'elle fut très sexy.

Cependant cela changea un beau jour. Francesca et moi avions un sujet de conversation favori : les différences entre français et italiens, et les clichés sur les uns et les autres. Or vint un jour, où nous étions au fond de l'amphi, assistant à un cours quelque peu barbant, et nous discutions une fois de plus de clichés sur les italiens et sur les français, en cherchant de nouveaux.

"J'en ai un dit, Francesca, mais c'est un peu gênant..."

"Vas y lui répondis je, c'est pas grave."

En rougissant et en baissant le ton, et la voix un peu tremblante, Francesca dit :

"On dit que les français sont tous des bons coups.

.."

Je souris et lui dis avec un clin d'oeil :

"C'est pas ment un cliché ça !"

Francesca sourit un peu gênée et dit :

"Tous les mecs français ne peuvent pas être des bons coups..."

"J'en sais rien, mais je sais que moi j'en suis un, dis je en rigolant doucement."

Francesca eut l'air encore plus gênée, et dit :

"Oui mais tous les garçons pensent ça..."

La regardant droit dans les yeux, je lui dis :

"Je peux te le prouver si tu veux..."

Francesca rougit encore plus, visiblement assez mal à l'aise... mais aussi assez excitée à cette idée. D'une voix un peu tremblante elle me dit tout bas :

"J'aimerais beaucoup que tu me le prouves..."
Surpris, je la regardai fixement, et nous restâmes un petit moment à nous observer ainsi, figés, sentant une tension nouvelle s'installer entre nous. Le cours se termina à ce moment là, et Francesca et moi quittâmes l'amphi, quelque peu échauffés...

Francesca dit :

"Tu sais que je suis dans un logement étudiant, à deux pas d'ici..."

"Tu veux qu'on y aille ? demandai je d'un ton innocent."

"Oui, ça me plairait beaucoup..."

"Oh j'en suis sur lui répondis je avec un clin d'oeil."

Très excités, nous nous hatâmes d'aller au logement étudiant, de monter les escaliers, et de nous rendre dans la chambre de Francesca.

Dés que la porte fut refermée, nous nous fîmes face un moment, laissant l'excitation monter délicieusement, puis, j'attirai doucement Francesca contre moi, et commençai à l'embrasser, elle me rendit mon baiser, avec une certaine douceur. Nous embrassions d'abord doucement, avec une certaine tendresse, réfrennant la passion qui nous habitait tous deux. Puis petit à petit, laissant s'échapper notre envie, notre baiser devint plus ardent, plus sauvage, nous embrassant de manière plus animale, moi tenant Francesca par les joues, tandis m'aggripait les épaules.
Nous nous embrassâmes ainsi, jusqu'à en avoir le souffle coupé. Alors nous nous séparâmes, mais avant de se retirer, Francesca me mordit fugitivement le menton. Je l'observai surpris : la fille timide de tout à l'heure était entrain de se volatiliser, remplacée par une tigresse affammée... Francesca était rouge, mais non plus de gêne ou de timidité, mais d'excitation, et ses yeux brillaient comme anticipant le plaisir qu'elle allait ressentir...

Taquin je lui dis :

"Tu sais je connais un autre cliché sur les italiennes..."

"Ah oui ? Lequel ?"

"On prétend que ce sont tous des chaudasses..."

J'eus à peine le temps de finir ma phrase, que Francesca me poussa sur son lit avec un grand sourire, puis se pencha vers moi et m'embrassa rapidement. Après quoi elle sussurra :

"Ca, c'est pas du tout un cliché..."

Puis, elle me baissa le pantalon, puis le caleçon, libérant mon sexe déjà bien raide et bien gonflé, et avec un sourire, en approcha sa bouche... Et commença par l'embrasser légèrement, avec de doux baisers, plaisants, mais bien loin de me satisfaire ! Néanmoins, les baisers de Francescas devinrent plus longs et plus marqués, elle commença progressivement à sortir sa langue pour lécher mon sexe de bas en haut, donnant parfois de grands coups de langue sur mon gland, qui me faisaient trembler de la tête au pied, puis, elle commença à me prendre en bouche, gobant mon sexe, et faisant des mouvements de vas et viens, qui me laissaient ivre de plaisir n'arrêtant ses vas et viens que pour me lécher. Au bour de cinq déliceuses minutes de ce traitement, je ne savais plus du tout où j'en étais, si on m'avait demandé comment je m'appelais, je n'aurais sans doute pas su répondre ! Fière d'elle, Francesca se redressa, me laissant reprendre mes esprits. J'eus à peine le temps de me remettre de mes émotions, qu'elle passait déjà à la suite du programme : elle retira son débardeur, relevant une généreuse poitrine (90C), encore retenue par un soutif qu'elle enleva promptement.
Elle tomba ensuite jean et culotte, révélant ainsi son magnifique corps au grand jour. Francesca, nue vint sur moi, et me retira mon T-shirt, puis ma plaqua contre le matelas, et m'embrassa le corps léchant mes muscles. Après quoi, elle prit mon sexe et tout en se retournant s'empala dessus, en me tournant le dos. Elle entamma des vas et viens, d'avant en arrière, ses magnifiques fesses bougeant juste devant mes yeux, m'offrant un spectacle incomparable. Je ne tardai pas à frémir de plaisir, puis à pousser des râles de plaisir, tandis que Francesca gémissait elle aussi, s'accrochant à mes jambes tant le plaisir était grand. Dans un miroir accroché au mur, je pouvais voir son beau visage grimaçant sous le plaisir qu'elle ressentait. Francesca était réellement douée, elle savait varier le rythme pour me procurer plus de sensations, allant parfois rapidement pour me faire succomber, ou au contraire plus lentement pour me faire languir. Le plaisir qu'elle me procuirait était énorme, mais pourtant je décidai de reprendre le contrôle des opérations.

Je me redressai et saisissant Francesca par les hanches, je la renversai et l'allongeai sur le côté, venant me mettre derrière elle. Elle poussa un petit cri de surprise quand elle fut ainsi renversée, qui se transforma en un cri de plaisir, lorsque je commençai à la prendre en cuillère, et à faire des vas et viens en elle. Je la tenais serrée contre moi, nos deux corps collés l'un à l'autre, ne faisant plus qu'un, mes bras enroulés autour d'elle, lui titillant le clito d'une main, lui pétrissant les seins d'une autre, tout en la baisant et en lui embrassant la nuque, l'oreille, et l'épaule. Sous ce traitement, Francesca vibrait de plaisir, et gémissait en continu, murmurant ou criant des mots en italien que je ne comprenais pas toujours (sauf quand elle criait "Si !", là je comprenais). Après l'avoir bien prise en cuillère, je changeai de position et passai au missionaire.

La regardant bien droit dans les yeux, et me délectant du plaisir que j'y lisais, je commençai à la pénétrer et à la baiser d'abord doucement, faisant des vas et viens amples et profonds ainsi que lents, afin qu'elle profite bien de chacun de mes coups de reins.
Francesca en trembait d'allégresse, et me saisissant par la nuque, m'attira contre elle, et nous partageâmes un délicieux et passionné baiser. Puis, sentant qu'elle le désirait, je me redressai et accélérai le rythme. J'entamai des vas et viens moins amples, plus secs et plus rapides, qui pénétraient Francesca un peu moins loin, mais avec plus de vigueur, lui procurant d'avantage de plaisir. La belle italienne ne tarda pas à se tordre et à gémir d'extase, et, sous le coup de l'excitation, me griffa le dos, ce à quoi je répondis en lui saisissant les mains, et en les plaquant contre le matelas, avant d'accélérer encore le rythme, allant encore plus loin en elle, sentant l'orgasme approcher, je me collai à elle, l'embrassant fougueusement, tout en continuant de la baiser. L'orgasme vint pendant notre baiser, nous faisant presque perdre connaissance.

"Les clichés se vérifient dit Francesca lorsqu'elle eut retrouvé son souffle, tu es vraiment un très bon amant !"

"Merci, répondis je flatté, et pour les italiennes aussi le cliché se vérifie : tu es vraiment une coquine"

Francesca pouffa, et posa sa tête contre mon épaule. Nous restâmes étendus un moment, épuisés par nos ébats. Cependant nous eûmes bientôt très fins, il était à peine plus de midi, aussi nous décidâmes d'aller manger à la cantine de la Fac.

Toutefois, je sentis bien vite que Francesca n'avait pas que faim de nourriture : sur le chemin de la cantine, dans la file d'attente, et dans la cantine même, elle ne cessa pas de me chauffer, ne perdant jamais une occasion de me toucher, que ce soit en me prenant la main, en me touchant l'épaule, voire en me faisant du pied sous la table. Mais ce fut après le repas, que ses avances masquées devinrent soudainnement insuportables : après avoir quitté la cantine, Francesa et moi attendions le prochain cours dans notre amphi, comme le cours ne commençait que dans une demi heure, il n'y avait personne. Francesca prenait son dessert : un bâton glace à la fraise, qu'elle se mit à sucer devant moi avec délectation, me rappelant ainsi l'incroyable fellation qu'elle m'avait administrée tout à l'heure dans sa chambre. C'en fut trop pour moi :

"Ca te dit de retourner dans ta chambre ? Proposai je à Francesca."

Elle comprit tout de suite de quoi je parlai, évidemment, et me répondit un sourire coquin aux lèvrs :

"Pourquoi tu veux retourner dans ma chambre ? On est très bien ici que je sache ?"

Elle se pencha sur moi et m'embrassa le cou, remontant progressivement, me mordant le menton, et je sentis la température monter en moi. Elle vint sur moi et se mit m'embrasser sur la bouche, tout en glissant sa main dans mon caleçon, me frottant le sexe, et le "réveillant". Puis, elle me baissa pantalon et caleçon et fis de même de son côté, avant de venir s'asseoir sur moi en me tournant le dos, s'empalant sur mon sexe. Francesca entreprit ensuite de se déancher sur moi, ondulant du bassin, allant de gauche à droite, ou de droite à gauche, faisant de rapides mouvements, décidée de me faire jouir le plus vite possible, bref me faisant un bien fou. Moi pendant ce temps, je lui dévorais la nuque et les épaules, lui massait les seins, et, la tenant par les hanches, j'amplifiais les mouvements qu'elle faisait, rendant notre baise encore plus déliceuse. Ni elle ni moi ne cherchions à nous ménager : nous n'avions pas beaucoup de temps, et avions peur d'être surpris. Si la prof ou un élève arrivait en avance, nous étions grillés ! Fort heureusement, nous étions trop excités, et la baise était trop bonne pour que nous puissions tenir longtemps : nous ne tardâmes pas à jouir d'un puissant orgasme. Cinq minutes après nous être rhabillés, d'autres élèves arrivaient : nous avions eu chaud !

Le cours passa lentement, il durait environ une heure et demie, mais au bout d'un quart d'heure seulement, je reccomençai à être excité par Francesca : rapidement nous commençâmes à nous toucher, nous effleurant le bras, nous chatouillant discrètement les côtes etc... jusqu'au moment où Francesca glissa carrément sa main dans mon caleçon, et commença à me branler vigoureusement. Je me mordis les lèvres pour ne pas gémir, et tâchai tant bien que mal de garder une tête normale, tandis que sous la table, la main de Francesca s'activait, tenant mon sexe fermement, elle allait de haut en bas, de bas en haut, me branlant mieux que moi même ! Je fus bien évidemment incapable de suivre le cours, et bien vite, je ne parvins même pas à faire semblant de le suivre : je gardai le regard fixé sur le mur du fond de l'amphi, les dents serrées pour ne pas gémir, tout le corps crispé pour ne pas me tordre de plaisir. La prof finit par me remarquer et dit :

"Eh bien ça ne vous intéresse pas ce que je dis ?"

Francesca ne prit même pas la peine de s'arrêter, au contraire elle accéléra le rythme, heureuse de me voir en difficulté. Avec toutes les peines du monde, je répondis à la prof, parlant lentement pour ne pas lâcher un gémissement.

"Si Madame, bien sur, excusez moi."

La prof me jeta un coup d'oeil irrité puis poursuivit. Une chance qu'elle ne se soit pas doutée de ce qu'il se trâmait ! Francesca, imperturbable, poursuivit sa branlette, me masturbant avec une dextérité telle que je fermai les yeux et dus un moment enfouir ma tête dans mes bras pour ne pas que le plaisir qu'elle m'infligeait se lut sur mon visage. Décidée à en finir avec moi, la belle italienne accéléra encore le rythme de ses assauts manuels, jusqu'à ce que je ne puis plus me retenir : j'eus mon troisième orgasme de la journée, en plein amphi, à l'insu de la cinquantaine d'élèves présents tout autour de moi. Une fois que j'eus repris mes esprits, je murmurai à Francesca :

"Tu vas me payer ça très cher ce soir, crois moi !"

Elle me répondit provocatrice :

"On verra ça."

Nous eûmes encore un autre cours après celui ci, et si Francesca ne me branla pas, elle me chauffa tout le long de ce dernier couprs, s'arrangeant notamment pour que j'ai toujours son décolleté en plein dans les yeux.

Une fois le cours terminé, et la journée de cours enfin finie, nous nous précipitâmes dans sa chambre étudiante, bouillonnants de désir. Là, nous nous embrassâmes à nouveau, avec passion, assouvissant enfin le désir qui nous travaillait depuis des heures.

Je la poussai sur le lit, et lui retirai le bas, après quoi, je lui fis un cunni d'enfer qui la fit hurler de plaisir, et la laissa tremblante et sur le matelas. Ensuite, je me déshabillai lentement devant elle, sous ses yeux intéressés, puis, une fois nu, lui ordonnai de faire de même. Une fois cette déesse italienne nue, je vins sur elle, et commençai à la prendre en missionaire. Fidèle à ma promesse de lui "faire payer" la branlette de tout à l'heure, j'adoptai un rythme lent afin de la fruster et de la rendre folle, n'accélérant que de rares fois, afin de la tenir en haleine. Ainsi, Francesca ne savait jamais à quelle sauce elle allait être mangée : tantôt elle était prise vigoureusement et pleinement satisfaite, et tantôt elle était prise avec plus de lenteur et restait sur sa faim. La belle italienne chercha à reprendre le dessus, afin de baiser à sa guise, mais je la maintenais sous moi. Après un petit quart d'heure de ce traitement, Francesca n'en pouvant plus chercha à me rendre plus sauvage en m'excitant, me mordant le menton, et me griffant le dos. Comprenant qu'il était temps de la baiser pour de bon, je lui saisis les mains, et les plaquai contre le matelas, avant de me déchaîner, et de me mettre à la baiser à un rythme effréné, faisant de puissants vas et viens, m'enfonçant profondément en elle à chaque coup, la faisant gémir de plaisir à flot continu, ne m'interrompant brièvement que pour lui embrasser la nuque la bouche ou les seins. Je la baisais avec tant d'intensité, que son lit cognait contre le mur. Arriva ce qu'il devait arriver : quelqu'un toqua à la porte.

Nous nous interrompîmes, et Francesca se leva du lit, et prenant un drap s'en envelopa. Elle entre-ouvrit la porte, et une voix lui dit :

"Salut Francesca."

"Salut Sarah, répondit Francesca."

"Tu peux faire un peu moins de bruit ? J'essaye de bosser là !"

"Oui bien sur, on va faire attention désolée !"

Francesca ferma la porte et revins vers le lit, et me dis :

"T'as entendu ? Faudrait que tu te contiennes un peu et que t'arrêtes de me faire hurler !"

"T'inquiète, je vais me retenir sur ce coup là ! Promis je à Francesca."

Je la saisis par les mains, et la tirant sur le lit, la fis se mettre à quatre pattes. Après quoi, je vins derrière elle, et saisissant ses hanches, je me mis à la baiser en levrette. Brisant immédiatement ma promesse d'y aller doucement, je me mis à lui donner de puissants coups de reins, faisant des vas et viens d'avant en arrière, et Francesca, brisant à son tour sa promesse de faire attention au bruit, se mit à gémir sans aucune retenue. La vue de ses magnifiques fesses, se dandinant devant moi, et de son corps de déesse, se tortillant sous le plaisir que je lui infligeais me rendait fou, et m'incitait à augmenter encore la cadence, et à lui claquer les fesses. Francesca adorait ce traitement, et bougeait ses hanches en même temps que moi, donnant ainsi plus de mouvement et de rythme à nos ébats, augmentant encore le plaisir. Je la limais ainsi pendant une bonne demi heure, m'activant jusqu'à en avoir mal aux reins, lui procurant un énorme plaisir, nous faisant vibrer tous les deux. Je maintenais un rythme élevé tout le long, ne ralentissant même pas lorsque je lui claquai les fesses ou lui tirai (assez doucement) ses cheveux bouclés. Francesca elle ne gémissait plus, elle criait si fort qu'on devait probablement nous entendre dans la rue : nous nous en fichions complètement.

Elle finit par se dégager, et, se retournant, elle me plaqua contre le matelas, un sourire coquin aux lèvres. Elle vint sur moi et dis :

"C'était délicieux, vraiment la réputation de français est méritée ! A moi de te montrer que nous aussi en Italie on sait faire perdre la tête à nos amants !"

Sur ces belles paroles, Francesca s'empala sur moi, et entama de délicieux vas et viens, me baisant en andromaque, allant d'avant en arrière. Désireuse de me faire autant de bien que je lui en avais fait, la belle italienne allait d'emblée à un rythme très élevé, dansant littéralement sur mon sexe, ses seins et ses cheveux bougeant au même rythme qu'elle. Elle changeait parfois, bougeant de gauche à droite ou de droite à gauche, se déanchant et ondulant du bassin avec grâce. Elle me baisait avec grand talent, à en rendre jalouses mes amantes françaises ! Le plaisir qu'elle m'infligeait était tel que j'en étais presque paralysé, des étoiles dansaient devant mes yeux, et je sentai le plaisir monter en moi. Je parvins à me ressaisir, le temps de lui caresser ses belles fesses et ses magnifiques seins, avant de devenir légèrement plus brutal, et de carrément lui claquer son postérieur, désirant la stimuler, et l'amener à me baiser avec encore plus d'intensité. Francesca ne se fit pas prier, et me saisit par les épaules prenant ainsi un contrôle total, avant de reprendre ces vas et viens, mais en allant cette fois beaucou plus vite, si vite, que c'était elle qui faisait cogner son lit contre le mur. Le plaisir devint insuportable, me coupant le souffle, et me faisant me tortiller autant que je pouvais étant donné que Francesca me tenait cloué au matelas. Je ne tardai pas à pousser des cris de plaisir, et Francesca me rejoignit bien vite, criant à pleine voix à chacun de ses allers retours (pauvre Sarah !). La belle italienne avait les yeux mi-clos, le visage rougi par l'effort, et le souffle court, mais continuait pourtant de me baiser sur le même rythme infernal. Quant à moi, je serrais les dents et faisais tout pour retenir l'orgasme, mais, bien sur je ne pus le contenir longtemps, et finis par tout lâcher : dans un dernier cri de plaisir, nous eûmes tous deux un monstrueux orgasme qui nous laissa épuisés, pantelants, recouverts de sueur et comblés sur le matelas.

Après une nuit paisible (après avoir eu 4 orgasmes dans la journée, je n'étais plus en état de faire quoique ce soit), je rentrai chez moi, me disant que décidément, la fac était génial.

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