La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 461)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Suite de l'épisode N°455 -
Le Marquis dEvans vient de pénétrer dans la salle à manger qui a été transformée en salle de danse pour la fin de la nuitée orgiaque de la soirée anniversaire. IL a reconnu sur la piste de danse la belle Sharzad, au costume oriental si caractéristique qui est en train donduler du ventre avec une sensualité exquise sur des mélodies tout aussi envoûtantes que le spectacle quelle offre à tous ceux qui se sont massés pour profiter de ce petit moment dexotisme si excitant. Le Châtelain savance vers son ami Amir Shariar, qui, dans son costume traditionnel, a tout du sultan, dont il porte dailleurs le nom, sorti tout droit du conte des mille et une nuits. Arborant sur la tête un large ruban noué brodé de fils dor, il est vêtu dun pantalon bouffant à crevé, resserré en bas à lintérieur de bottes en cuir à très larges rebords retombant en corolle, comme sil était prêt à partir enfourcher à cru son cheval persan récemment dompté. Sa chemise de soie moirée avec des reflets dorés et irisés est ceinte dune large bande de tissu de soie peinte, nouée à la taille et dont les deux pans retombent presque jusquaux genoux. Par-dessus les épaules, il porte une grande veste-cape longue sombre qui descend presque jusquà mi-mollet et qui lui donne une apparence magistrale qui vient renforcer sa Dominance naturelle et son allure imposante car il est très grand avec des épaules larges et carrées. Les yeux sombres, un regard profond, une allure sévère avec une barbe noire en couronne sur tout le menton, complétée par une fine moustache au-dessus des lèvres, le tout coupé impeccablement, Amir Shariar, affiche une prestance des plus impérieuses, qui convient très bien au Maître D/s quil est.
Face à lui, la svelte Sharzad est beaucoup plus aérienne, semblant presque voler dans lair lorsquelle tourbillonne ou se contorsionne dans tous les sens. Elle porte un jupon fait de morceaux de voiles multicolores bordés de breloques, retenus par une ceinture brillante en tissu, positionnée un peu en dessous du nombril.
Si la belle esclave orientale a le buste totalement dénudé, son cou à linverse est garni dun large sautoir doré pesant qui vient en triangle isocèle mourir juste à la base du sillon qui se forme entre les deux seins. Le collier fait de nombreuses pièces en métal doré superposées, de perles, de chainettes et de breloques la pare majestueusement et lui habille toute lencolure. Cet atour est assorti au diadème qui est posé sur ses cheveux bouclés et également à la coiffe faite de pièces en métal doré qui couvre le sommet de sa tête et se termine par une mini traine en voile qui vient tomber sur sa nuque et affleure à la naissance de ses épaules, laissant sa chevelure blonde ondulée déborder. Avec déjà de larges bracelets en or ciselés aux poignets, Sharzad porte également des bijoux en forme de serpent qui viennent senlacer sur ses avant-bras marquant sa peau car ils sont très serrés pour ne pas bouger pendant la danse et desquels pendent deux grands voiles rattachés dans le dos à sa nuque.
Monsieur le Marquis dEvans sest avancé jusquà son cher ami, mais ne voulant pas déranger lassistance avant la fin de la danse, IL sest lui aussi laissé envouté avec grand plaisir par les arabesques et autres volutes des bras, des mains, des jambes, des seins, du torse et de la tête, que Sharzad se plait à exécuter avant tout pour le plaisir et la félicité de celui à qui elle appartient. Amir Shariar est dailleurs très fier des prouesses de sa bien-aimée esclave favorite quil exhibe devant tous comme il le ferait dun joyau des plus précieux en sa possession. La belle danseuse bien quessoufflée et épuisée continue à se trémousser attendant de recevoir le signal donné par le Maître qui lui permettra de mettre fin à sa prestation, car derrière leur mise en scène orientale, il existe entre les deux personnes une vraie relation D/s basée sur une totale obéissance de lesclave-soumise qui ne cherche quà être objet de désir et de plaisir pour le Maître Dominant à qui elle a voué sa vie et abandonné son corps pour quil en dispose à sa convenance.
Amir Shariar ne voulant pas monopoliser lattention de tous pendant toute la nuitée et ayant surtout aperçu la fatigue croissante de sa Sharzad dont les gestes se sont faits moins amples et moins rapides, bien que toujours aussi lascifs et envoûtants finit par taper dans ses mains dun seul coup bref.
- Parfait !
Un triple claquement des mains ferme et largement audible de la part du Maître des Lieux suffit à montrer son approbation sur ce quIL vient de voir, assorti dun petit signe de tête avec un sourire enthousiaste, destiné au propriétaire de la belle esclave bien plus quà elle, qui est toujours à terre le front posé contre le sol.
- Très cher Amir Shariar, Je me suis régalé de voir votre esclave danser avec autant de grâce et de suavité.
- Monsieur le Marquis dEvans, me pardonnerez-Vous de ne pas Vous avoir vu ou entendu approcher. Je pense que jétais trop captivé par ma belle odalisque comme chaque fois. Si je ne savais pas que le Maître, cest bien moi, qui lui permet de sépanouir dans sa sensualité, de vivre sa passion avec une frénésie endiablée, de saffranchir de tous les préjugés, et de grandir en me servant conformément à sa volonté, parfois jaurais limpression que cest moi qui suit pieds et poings liés, retenu sous le charme, un peu comme cette antique Shéhérazade qui avait su comment charmer le Sultan pendant mille et une nuits.
- Cher ami, Je pense que Nous, Maîtres Dominants D/s, en sommes tous un peu là parfois dans nos interrogations, Maîtrisant, Dominant et guidant ceux ou celles qui sont venus se jeter à nos pieds et se mettre sous notre protection, mais si dépendants également de la relation D/s que nous-mêmes instaurons qui est bien plus un lien bidirectionnel entre deux personnes, avec tout ce que cela implique de relations humaines et daffection réciproque qui se renforcent au fil du temps, et ce, même si Maître(se)s et soumis(es) ont des rôles et des positions différentes, opposées mais si complémentaires qui fait que nous ne pouvons jamais oublier quil ny a pas vraiment de Maître(se)s sans soumis(es) pour le/la reconnaître ainsi et lui octroyer ce titre.
- Oh Oui, cest bien cela ! Ma Sharzad mappartient, mais sans elle, il ny aurait plus ni favorite à mes pieds, ni même dAmir Shariar qui nexiste de fait que parce que mon esclave ma permis de me parer de ce titre en me choisissant comme Maître D/s et en me faisant totalement confiance.
Le sultan de la soirée tape à nouveau dans ses mains pour sadresser à son esclave toujours au sol en attente.
- Ma Sharzad, redresse-toi et viens saluer le Noble Hôte, Maître des Lieux, lequel mhonore de son amitié et de me compter parmi ses invités. IL a daigné applaudir à ton divertissement et cest un merveilleux témoignage que japprécie à sa juste valeur et qui me rend encore plus fier de toi qui est à mes pieds.
Lodalisque se redresse avec élégance, comme savent si bien le faire les danseuses, et toujours en ondulant du bassin et du buste, mais en gardant la tête inclinée, elle vient juste se positionner devant le Marquis dEvans avant de sagenouiller continuant de jouer et de tourner ses mains avant de les faire passer vers larrière tandis quelle se prosterne avec grâce les bras en lair dans le dos, presque comme un papillon qui viendrait de se poser déployant ses voiles aux bras comme les ailes ouvertes de lanimal aux couleurs chatoyantes. Une révérence des plus respectueuses mais tout à fait dans la lignée du personnage de Shéhérazade quelle incarne avec brio.
Le Châtelain tire sur la laisse quIL tient toujours en main et au bout de laquelle se tient à quatre pattes la chienne-soumise Holly MDE, qui a pu en toute petite partie profiter du spectacle tandis que Le Maître Vénéré contemplait la danseuse orientale en action même si la chienne na pas osé trop relever la tête de peur de se faire rabrouer très vite, si le Noble avait jugé quIL ne lavait pas formellement autorisé à regarder autre chose que le morceau de parquet se trouvant entre ses pattes avant. Mais la chienne-femelle est rassurée lorsquelle sent que le Marquis dEvans qui la faite approcher pour lavoir juste à côté à ses pieds, la faite sagenouiller en sasseyant sur les talons et quIL lui caresse la tête avec tendresse, comme on le ferait avec un bon chien(animal), passant ses doigts entre les cheveux bruns de la soumise dont le visage sillumine dun sourire radieux du simple fait davoir la chance dêtre cajolée par le Maître auquel elle appartient corps et âme.
- Mon très cher Amir Shariar, me permettez-vous de dire quelques mots à Votre esclave-soumise.
- Monsieur le Marquis dEvans, ce serait un très grand honneur pour ma dévouée protégée, et je ne pourrais que Vous en remercier. Mais comme je connais Votre sens de lhumour, je me permettrai bien de dire à la place « Je Vous en prie, faites comme chez Vous ! »
- Ah oui ! Très bonne réflexion, Je vais y songer cher « hôte » de ce pas, vous retournant le jeu de mots à double sens, sans mexprimer « mal » entre « mâles » !!!
(Lhôte est à la fois dans la langue française la personne qui invite mais aussi la personne qui est reçue chez quelquun, sauf que dans le deuxième cas le nom est masculin quelque soit le genre sexuée de la personne, alors que dans le premier cas on distingue lhôte de lhôtesse)
- Vous me surprendrez toujours, Monsieur le Marquis dEvans, avec Votre sublime sens de la répartie que personne ne peut égaler. Et je ne parle pas de Votre Maîtrise de la langue de Molière qui, ajoutée à une imagination sans bornes, nous permet de savourer Vos merveilleux écrits D/s dont je raffole dès que jai la chance de pouvoir lire Votre tout dernier épisode que Vous diffusez à lensemble de Vos amis intimes.
- Très Cher Ami, Je suis particulièrement touché du compliment et le fait de savoir que vous appréciez mes écrits me ravit infiniment. Dès que jai un peu de temps devant moi, Je dois avouer que Je prends beaucoup de plaisirs à pouvoir à laisser Ma plume mettre en mots toutes mes idées qui ne manquent pas pour la suite de mes sagas. Je le fais en toute modestie, toujours si heureux de savoir que Je suis lu avec intérêt et que mes histoires passionnent ceux qui les découvrent. La passion de lécriture D/s manime autant que Mon désir dêtre au quotidien un Maître D/s entouré de son cheptel fidèle de chiennes et chiens si dévoué(e)s à Mes pieds, et prêt(e)s à tout pour Me servir et Mhonorer.
- Nest-ce pas Ma petite chienne ? (Rajoute le Maître en attrapant le menton de soumise Holly MDE quIL tapote gentiment).
- Oui, Maître Vénéré
Lesclave-soumise vient de répondre aussi sec, trop heureuse et reconnaissante de pouvoir se compter parmi les chiennes du cheptel MDE et dêtre en ce moment même de la soirée à cette place si privilégiée quest celle aux pieds du Maître Vénéré.
- Bonjour Sharzad ! Je suppose que tu as entendu notre conversation et lautorisation donnée par Le Maître auquel tu appartiens. Je tautorise à te relever pour que Je puisse tadmirer et te féliciter.
La danseuse orientale, qui pourtant néprouvait aucune gêne corporelle et pas la moindre honte dans ses déhanchés lascifs tandis que la musique jouait et mettait son corps en mouvement, laissant par moment entrevoir les parties de son corps les plus intimes sans parler de sa poitrine et de son buste totalement dénudé, est maintenant très émue de se trouver devant Monsieur Le Marquis dEvans en personne. Elle sest relevée sans attendre et se tient droite, légèrement tremblante, gardant la tête baissée dans une attitude humble, en ayant laissé tomber ses bras le long du corps pour ne plus jouer de ses voiles comme elle le faisait auparavant dans le jeu de la séduction quest celui de ces danses orientales impudiques et enchanteresses. Le Châtelain enchaine tout en lui redressant le menton pour pouvoir apercevoir son regard lumineux et ses joues qui sempourprent tant elle est impressionnée par le regard puissant bleuté du Châtelain, quelle navait jamais pensé pouvoir croiser de si près.
- Tu dois savoir que Je ne fais pas de compliments à la légère. Je suis un Maître exigeant et droit, nhésitant pas à punir mes soumises et soumis sévèrement pour toute défaillance, mais qui sait aussi reconnaître et gratifier les efforts, lobéissance et la soumission des dominé(e)s. Jai pris beaucoup de plaisir à te regarder danser et Je ten remercie. Tu es très belle et tu as offert à tous une représentation sublime remplie de sensualité et dauthenticité dans lexpression. Si ta Dévotion à légard de celui que tu as choisi pour te conduire et te faire découvrir à ses pieds les plaisirs D/s est à la hauteur de tes talents artistiques, Je pense que tu nauras pas eu besoin de mille et une nuits pour convaincre le Sultan que Je vois ici à mes côtés quil peut avoir une totale confiance en toi, mais aussi la certitude de ton désir absolu de chercher à lui faire plaisir et à le satisfaire en tous points.
- Monsieur le Marquis dEvans, bien que je nentende pas du tout mettre Votre parole en doute, je ne pensais pas pouvoir mériter de tels compliments venant dun Grand Maître D/s reconnu de tous. Dailleurs, ce devrait plutôt être à moi de Vous dire mille et un mercis, cest bien le nombre qui conviendrait pour une humble esclave-soumise du nom de Sharzad. Merci pour Vos mots qui devraient pouvoir faire le bonheur de Maître Amir Shariar, ce qui me comble lorsque je le sais fier de sa soumise dévouée. Merci aussi pour avoir permis à une simple esclave dêtre ici ce soir entre ces murs légendaires parmi tant dinvités triés sur le volet, même si je sais quelle est la place inférieure qui est la mienne. Si jai pu retenir Votre Noble attention quelques instants et Vous apportez le plaisir de la vue, jen suis la première ravie car à part la danse orientale je nai pas tant de talents que cela à mon acquis, sauf ma bonne volonté à vouloir servir Le Maître et Sultan auquel je désire plus que tout appartenir à tout jamais..
(A suivre
)
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