Je Ne Savais Meme Pas Son Prénom ...

Célibataire ‘’ pour cause de divorce, mon fil Adrien a préféré vivre avec moi, il vient de fêter ses dix sept ans, a cet âge là plus question de garder la bride trop courte ! aussi je le laisse sortir raisonnablement et il n’en profite pas pour en demander plus

Par contre je ne sais rien de sa vie privée concernant les filles, mais vu sa personnalité je suis convaincu qu’il doit avoir une copine, des événements imprévus allaient m’en convaincre…samedi après midi, comme d’habitude, Adrien enfourche son scooter et part se balader sans parler de sa destination, le soir a vingt heures le téléphone fixe sonne…

- Allo ? Monsieur V…. ?
- Oui …
- Excusez moi de vous déranger c’est au sujet d’Adrien
- Il lui est arrivé quelque chose ?
- Non, rassurez vous il est a la maison en compagnie de ma fille Lucie, mais au moment de repartir son engin n’a pas voulus démarrer, aussi, avec votre accord, il va diner avec nous et rester dormir
- Ils couchent ensemble ?
- Ho non ! surtout pas, ma fille est trop jeune, j’ai une chambre d’ami votre fils y sera bien ! pour le scooter nous verrons demain ?
- Entendu, vous êtes sûre que ça ne vous dérange pas ?
- Vous savez moi aussi je connais la solitude du divorce, un peu de jeunesse me réconforte
- Dans ce cas a demain ?
- C’est cela ? bonsoir monsieur V ….

Après tout a moi, un peu de tranquillité va me faire du bien … après diner je me mets a l’aise, shorty échancré afin de pouvoir caresser mon sexe car je sais déjà que je vais bander, et sweat sans manches pour regarder un DVD... celui où mon ex se fait tringler par un copain, je suis au courant, c’est moi qui filmais !
J’adore le moment où la queue pénètre très lentement sa chatte afin que je ne rate rien, voir le gland turgescent avalé par la vulve est sublime… et puis un jour elle s’est barrée avec lui je ne l’ai jamais revue…

Il est plus de minuit, sur la télé j’arrive a un passage que j’adore, ‘elle’ est a quatre pattes, nous montrant ses trous encore maculés de foutre de nos queues, dans ma main ma bite est tendue comme jamais, son amant s’apprête à la prendre une énième fois lorsque le téléphone sonne.

.. qui cela peut-il être ? je dois décrocher, a cette heure ci c’est peut être grave

- Allo ?
- Monsieur V… ? c’est inadmissible ! venez chercher Adrien immédiatement
- Que se passe-t-il ? il a mis le feu à la maison ?
- Pire que cela, il a défloré ma petite puce
- Vous êtes sûre ?
- Puisque je vous le dit, ils sont allés se coucher chacun dans leur chambre, mais quelques temps plus tard j’ai entendu mon petit ange pleurer, je me suis avancée dans le couloir pour en être certaine et là tout c’est déclenché !
- Expliquer vous que diable !
- Eh bien ce que je croyais être des pleurnicheries se sont transformées en véritable cris bestiaux, j’entendais comme des claquements sonores accompagnés de hurlements spontanés, j’étais persuadée que votre fils cognait ma fille alors j’ai vu rouge et je suis rentrée comme une furie dans la chambre et là … l’horreur !
- Quelle horreur ???
- Adrien était derrière ma fille qui se tenait à quatre pattes, cramponné a sa taille il là besognait comme un forcené
- Ils n’avaient jamais couchés ensemble ?
- Non ! j’en suis certaine il a dépucelé ma fille hier soir, des traces de sang sur ses cuisses le prouve, venez le chercher immédiatement sinon j’appelle la police pour viol sur mineure !
- Hou-là ! pas de panique j’arrive de suite

Sans réfléchir j’ai enfilé mon shorty sur mon érection qui s’est éteinte en une fraction de seconde et mon sweat, en cinq minute j’étais devant l’adresse indiquée, je suis attendu, la lumière du perron est allumée, une femme très attirante m’accueilles en kimono qui lui arrive a mis cuisses qu’elle serre sur sa gorge, c’est vrai qu’elle a été tirée de son sommeil un peu précipitamment ! Est-elle nue là dessous ??

- Bonsoir, je viens chercher Adrien
- Entrez, nous devons parler avant …
- Vous voulez des dommages et intérêts ?
- Bien sûr que non, asseyez vous monsieur V…, je me suis emportée un peu vite

Je m’assois à un bout du canapé et elle se recroqueville en chien de fusil a l’autre bout en prenant bien soin de tirer sur le kimono afin de ne rien montrer de sa possible nudité, par contre elle lorgne mon accoutrement, mis curieuse car les jambières de mon short sont vraiment échancrées, mis dédaigneuse de voir mes vêtements a deux balles !

- Où est-il ?
- Chhhhuuuut, parlez doucement ‘ils’ dorment
- Ils dorment ? je n’y comprends rien !
- Oui après cette... échauffourée ils se sont endormis dans les bras l’un de l’autre, je n’ai pas osé les séparer, ils sont si beaux !
- Que suis-je venu foutre ici ?
- Restez calme monsieur V…je voulais vous parler d’une chose … délicate, concernant Adrien
- Il a un handicap ?
- Je ne dirais pas ça, mais ce n’est pas loin… comme j’étais placée j’ai tout vu, j’ai vu son sexe aller et venir dans ma fille qui ne rechignait pas à se faire besogner par, disons le mot, une verge énorme
- Énorme ? je ne m’en suis jamais rendu compte, il est fait comme moi !
- Vous aussi ???
- Pardon de vous froisser mais oui, il est ‘monté’ comme moi
- Si je ne m’ vous êtes célibataire ?
- Et fier de l’être !
- Ça ne vous pèse pas à la longue ?
- J’ai des palliatifs …
- Si vous saviez comme je suis stressée ce soir... la perte de la virginité de ma fille m’a carrément décontenancée
- Ça se voit, j’ai étudié la réflexologie, voulez vous que je vous masse la plante des pieds pour vous décontracter ?
- Je ne crois pas à ces idioties ! mais au point où j’en suis, je ne refuse pas

D’autorité je tire sur une cheville pour la placer sur ma cuisse, ce qui a pour effet de créer furtivement un espace entre ses cuisses, effectivement elle est nue …et brune !
Ses orteils sont tout prés de ma verge, dés le départ je me concentre sur le talon, là ou sont placés les centres sexuels, après quelques manipulations elle cherche à retirer son pied, comme si elle craignait quelque chose

- Laissez vous faire … ça ne vous apporte pas un bien être ?
- Euuuuhhh ont peut dire ça …même un peut plus, je suis toute chose … presque excitée, arrêtez sinon…
- Sinon ?
- Je ne réponds plus de moi … la solitude me pèse, et particulièrement ce soir surtout après avoir vu un couple copuler, je me trompe ou bien ce que je sens sous mes orteils est une belle érection ?
- Tu ne te trompe pas, je bande pour toi, montre moi ta chatte …
- Monsieur ! vous êtes fou ? après le fils qui baise la fille vous voulez baiser la maman ?
- Dis-moi que tu n’as pas envie de ma bouche sur ta moule ??
- Un cuni ? fallait le dire de suite … tien ! voilà je suis prête !
- Et mouillée si j’en crois les poils de ta chatte collés
- C’est depuis que j’ai vu la queue de ton fils !
- Ça émoustille de voir deux jeunes fougueux baiser sans retenues

Je tire sur la cheville, la femme glisse sur le canapé mais son kimono ne suit pas le mouvement, elle se retrouve bientôt nue, jambes ouvertes et relevées, vulve craquelée a portée de bouche, a mon tour je glisse un genou a terre, les mains sous les fesses afin de positionner la chatte juteuse sur ma bouche, ma langue pointue fend le calice qui a le parfum iodé de fin de journée, débusquant au passage le clitoris a demi émergé de son capuchon, la femme accuse le choc en arquant les reins

- OOOOOOuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhooooooouuuuuuuuiiiiiiiiii !!!!!!! …. Mon dieu !! Je vais réveiller les gamins ! Tant-pis ! Bouffe-moi la moule! Je ne savais plus que c’était aussi bon !
- Ensuite je réveillerais tes muqueuses avec ma grosse bite
- Je vais ressentir la même chose que ma fille ? c’est génial, remet toi au travail, avale mes sécrétions que je croyais taries a jamais

C’est un torrent qui déferle dans ma gorge mon palais est envahi par un goût acre, du coup j’aspire le clito et enfonce trois doigts dans le vagin, mes ongles courts raclent la paroi rugueuse du point G, nouveau raidissement de la femme, les cuisses tremblent, elle aspire de l’air, je connais ce phénomène, elle va jouir, pour atténuer le bruit elle se mord le poignet, une giclée brulante fuse entre mes doigts, puis, elle retombe apaisée mais surement pas assouvie ! Tandis qu’elle récupère je me dessape et approche ma queue triomphante de son visage

- Regarde qui est là ?
- Heinnn ? HOOUUUUU la belle verge ! tu n’as pas menti c’est la même que celle qui a dépucelé Lucie ! … tu crois qu’elle l’à sucé ?
- Elle, je ne sais pas mais toi tu vas le faire, avale moi ce morceau de roi, fait le devenir raide afin que je te la mette bien profond

Les deux mains sur ma queue elle ouvre la bouche et engouffre tout ce qu’elle peut de mon membre, je donne des à-coups pour la forcer à être plus gourmande, les joues gonflées, rouge, les yeux larmoyants elle tète mon nœud qui gonfle a nouveau, elle lâche une main pour venir se tâter la moule, deux doigts disparaissent dans sa vulve dans un clapotis obscène, ça suffit a me faire décharger sans qu’une goutte ne soit perdue, soudain, avec un ensemble parfait deux voix nous interpelles

- MAMAN ????
- PAPA ???
- Que faites-vous ?
- Ben tu ne le vois pas ? ils font comme nous ! laissons les, revenons a ta chambre je vais t’en remettre un coup entre les cuisses
- Tu as raison ! je vais monter sur toi cette fois, c’est trop bon ! t’as vu ton père ? il a la même verge que toi !
- C’est ta mère qui va être contente !

Ils ont disparus aussi rapidement qu’ils se sont pointés, absorbée (si je puis dire!) par la pipe qu’elle m’administre et sa masturbation personnelle la femme n’a pas eu le temps de réaliser qu’elle a été vue par sa fille

- C’était quoi ?
- Boff personne … Écoute ? les s se sont remit au boulot
- Je veux être prise comme elle, à quatre pattes … tu entends ? ça recommence, ils font encore l’amour !
- A cet âge ont est infatigable, mais je vais te prouver qu’a quarante cinq ans je ne suis pas finis !
- Nous restons là ? je me mets sur le tapis ?
- Pose le front sur le sol et relève le cul bien haut ? ça dégouline entre tes cuisses
- Quand je te dis que je suis en manque c’est n’est pas exagéré… tu me lèche encore un peu ?

Cette vue ‘animale’ me donne envie de la satisfaire, je plante mon nez dans sa motte qui fait des bulles de cyprine, je suis trempé jusqu’aux yeux, je léchouille ses deux trous, je ne lui ai pas demandé si elle aimait la sodomie mais je suis certain qu’elle ne dira pas non si je ‘dé’ !
La trique a la main je me pointe a son cul, et m’en sers comme d’un pinceau afin d’étaler sa mouille a la fois sur sa fente et sur mon gland, une fois les deux parties engluées je vise le trou vaginal et m’enfonce d’un trait, surprise elle pousse un cri de biche blessée et cherche à se soustraire a ma poussée, mais très vite elle revient se coller a mon pubis en ondulant du cul, c’est partis pour une chevauchée fantastique , a nos cris de bêtes en rut répondent en échos les même cris venus de la chambre des s, personne n’est dupe de ce qui ce passe dans cette maison
Je ne la maintiens plus que par une main, j’ai maintenant trois doigts dans son anus dilaté et elle ne cherche pas à me repousser au contraire elle devient plus active, alors je tente le tout pour le tout j’arrache mes doigts de son cul, saisi ma queue a sa base et avant qu’il ne se referme je change de trou sans crier gare, je subis un véritable rodéo, j’ai toutes les peines du monde à rester en elle, pas besoin de faire des mouvements inutiles, c’est elle qui mène la danse en rugissant comme une lionne, elle fait des huit avec son derrière, avec un tel régime très vite ma semence gonfle mon canal, je décharge des litres de foutre terrassés tous les deux elle s’affale sur le tapis je me retrouve sur elle toujours emboité, encore secouée de spasmes ma bite dégonfle très vite et tombe entre ses fesses
Pour plaisanter je lui mordille un lobe d’oreille, mais la furie n’est pas rassasiée, subitement, telle une anguille elle se retourne sur le dos en m’enserre de ses jambes

- A présent baise-moi par la chatte !
- Mais je ne bande pas ?
- Embrasse-moi, je vais frotter ma moule sur ta bite, elle va regonfler et venir d’elle-même se loger dans mon vagin

Une minute plus tard, ses jambes sur mes épaules je la besogne comme un malade !!! dans la chambre mon fils me fait toujours honneur …