Réapprendre L'Amour
Jexerce un drôle de métier à Lausanne, en Suisse. Il y a là bas un établissement ouvert aux handicapés. La plupart sont des hommes accidentés qui ne savent plus comment baiser ou simplement avoir du plaisir. Ma partie est de moccuper des femmes qui comme que les hommes ont les mêmes difficultés: la seule différence est quelles nosent pas en faire part.
Les différences de législations permettent aux seules citoyens suisses de calmer leurs besoins. Les candidates viennent laprès midi, jusquà 10 heures le soir. La plus part des femmes ont entre 18 et 35 ans, cest-à-dire en pleine possession de leur capacité sexuelles. Quand je reçois une de ces femmes, je dois savoir quels sortes daccident elles ont eus. La plus part du temps elles sont encore sous le choc, la séance commence par une bonne crise de pleur. Je les rassure toujours, et petit à petit je les rassurent. Je les laissent toujours exprimer leurs désirs et besoins. Je les rassure en leur caressant le visage. La plus part mettent à bas leur pudeur pour me dire franchement quelle était leur vie davant. La plus part me disent quelles sont ou mariées ou ont un petit amis (les jeunes surtout) et que ce quil leur manque est de jouir. Elles demandent ainsi de pouvoir et satisfaire leur désirs et surcout de satisfaire leur compagnons. Comme elles vivent dans un fauteuil roulant, évidemment quelles ont des doutes sur le capacité à jouir elle-même. Pour donner des orgasmes, elles savent toutes masturber leur conjoint, souvent celui-ci préfère se satisfaire seul: elle sont devenues maladroites.
Jugez de ma position, je dois souvent les baiser alors que bien souvent, physiquement elles ne me plaisent pas toutes, alors que certaines sont réellement jolies et certaine même encore sexy. Après tout cest mon métier.
Je suis obligé de les coucher, de les déshabiller: là elles ont honte de se montrer. Je le embrasse toujours sur les joues pour commencer, souvent mes lèvres dérivent vers les leurs.
En tout les cas, je vérifie en commençant très bas: quand jarrive vers les fesses, là je sais que je pourrais aller bien plus loin. Je cherche dabord le clitoris, puis je descends vers lanus, surtout si elles mont avoué quelle aimait la sodomie.
Jarrive à les faire jouir, pour la première fois depuis leur accident. Jaime leur donner ce plaisir rare comme le premier orgasme quelles ont pu avoir. Je narrête jamais à ce stade: je les doigte toujours pur les faine jouir: elles ne sen lassent jamais. Bien sur elles ne peuvent manifester quavec leurs mots à elles : merci, je jouis, encore, bref presque toujours leur anciens mot damour physique.
Je ne commence à bander quà de moment là. Je me déshabille pour quenfin elle voient un homme nu et surtout une bite bandée. Certaine me demande de leur mettre ma bite dans la bouche: je refuse toujours à ce moment là de mon intervention.
Jécarte leurs pauvres jambes pour ly mettre. La bout de ma bite touche maintenant leur féminité. Elle sentent enfin une queue sur leur chattes. Je ne les pénètre jamais aussitôt: je tiens ma bite avec la main pour la promener sur leurs lèvres. Je les fait languir un peu pour que leur désir soit au maximum.
Dès cet instant oubli leur handicap, elles sont des femmes comme les autres. Je les baisent toujours comme si elles étaient « normales ». Je sais que je vais prendre mon pied. Je sens autour de ma queue leur vagin bien vivant. Je sens surtout leur orgasme, bien réel. Je narrête pas de les baiser. Je sais que le jeune auquel elles sont astreinte depuis longtemps
va le faire jouir plusieurs fois. Je le lime longtemps: jaime sentir leurs jouissances autour de ma bite.
La plus part du temps quand je leur demande si elle veulent une sodomie, , elles acceptent. Je ne pensais jamais à mes début quautan de femmes aimaient se faire mettre pas le cul: je satisfait toujours ce besoin. Mon regret est que je ne peux jamais les prendre en levrette, ce quelle voudraient sans doute. Je me contente de passer dun orifice à lautre. Toutes celles que jencule ont mal quand le la leur met: cest normal, elle nont rien eu dans le cul depuis longtemps.
Je la leur met toujours à fond. Ce nest que quen je commence à aller et venir, quelles commence à réagir: elle me disent de continuer, quelle jouissent.
Je ne jouis pas en les enculant, non pas que je nai as envie, mais je veux surtout les « finir » en beauté. Je pose ma langue sur le sexe et je lèche partout, surtout le clitoris. Jarrête à ce moment pour venir me mettre les jambes vers leurs épaules. Je leur donne ma pine pour quelle la suce: la plus part savent bien comment suer: elles me mèche partout où cest possible. Je les prévient toujours avant que je jouisse: certaine aime le sperme dans la bouche alors que dautre nen veulent pas. Je reviens enfin les sucer pour quelles jouisse tune dernière fois. Je les rhabille ensuite: elle me demande toutes un dernier baiser.
Je suis satisfait quand je sais quelles ont retrouvé une vie sexuelle presque normale.
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