Les Chevaliers De La Rondelle.

Patrice, trente-deux ans, cadre dans une banque internationale est constamment occupé à travailler sur des dossiers financiers de première importance. Il est très souvent sollicité et son bureau est toujours ouvert pour venir en aide à ses collègues en demande de conseils.
Ce Black de trente-deux ans, bon chic bon genre, de la classe moyenne, est un célibataire couvé par ses collaboratrices. Mais en vain, car l’homme n’est pas intéressé par les femmes. Il est exclusivement attiré par les mâles, les jeunes hommes de préférence ; pour tout dire il craque sur les minets.
Vu sa relative aisance financière, il lui arrive de payer pour jouir des charmes de jeunes homos qui se prostituent. Sa satisfaction sexuelle passe aussi par l’argent, reconnaît-il amer mais réaliste. Bien sûr il aimerait séduire un jeune rien que par sa présence, son sex appeal, mais cela reste malgré tout une approche trop aléatoire et bien laborieuse. Sans compter la perte de temps. Donc il préfère le plus souvent payer et consommer. Jusqu’à sa rencontre avec Steevy.
Steevy est un jeune, un Black lui aussi, débrouillard et sympa de vingt et un ans, beaucoup moins coincé que Patrice mais beaucoup plus fauché. Ils se sont rencontrés un jour que Steevy avait besoin d’un prêt. La vivacité, l’humour, l’optimisme de Steevy avait conquis Patrice, qui voulut le revoir le soir même dans une boîte de nuit gay. Il lui confia qu’il se plaisait avec plus jeune que lui. Steevy ayant obtenu son prêt, accepta de retrouver Patrice le soir même. Le Black trentenaire ne déplaît pas au plus jeune, mais il a bien mieux à proposer.
Patrice le soir même et à l’heure convenue entre dans la boîte de nuit. Il a mis des vêtements cool, pour ne pas trop déparer avec les habitués de ces lieux de drague. Il cherche Steevy des yeux. Soudain il le voit assis à une table avec un jeune homme.
– Zut, pense-t-il, il a déjà dragué un autre mec. Et quel mec ! Un beau petit blond.

Une gueule d’ange.
Il allait se retirer quand Steevy, l’ayant aperçu, lui fait signe de venir vers eux. Curieux l’homme vient s’assoir à la table des deux jeunes.
– Je te présente Brent, dit Steevy. Brent, je te présente Patrice.
Les mains se serrent. Echange de sourires engageants.
– Ce blondinet est charmant, se dit Patrice. Et il me dévore des yeux. Deux beaux yeux verts. Je craque.
Patrice commande des boissons pour eux trois. Brent vient de Californie pour faire des études en art plastique et parle un français impeccable. C’est en cours de dessin qu’il a fait connaissance de Steevy, où le jeune Black pour se faire de l’argent de poche pose nu. Son physique en fait un modèle très recherché. Brent lui a naturellement proposé de venir poser pour lui seul dans sa chambre d’étudiant et Steevy a accepté à la condition que Brent vienne ce soir dans cette boîte de nuit.
Les alcools bus, les présentations faites nos trois amis conviennent rapidement d’un plan à trois. Patrice emballé par la tournure des choses invite Steevy et Brent dans son magnifique appartement, les deux jeunes le suivent. Le Black trentenaire est vraiment comblé par le destin, il va réaliser son rêve. Un blond aux yeux clairs, c’est fait pour lui.
– Mieux vaut passer la soirée à niquer qu’à tiser dans un bar, rigole Brent en se déshabillant. Et, cerise sur le gâteau, j’adore baiser.
Patrice convaincu que Brent est un chaud lapin lui tapote les fesses, de fort jolies fesses, fermes, rebondies et bien coupées.
– Je vis avec vous deux un de mes fantasmes préférés, reprend le blondinet. Je vous trouve tellement sexy !
Patrice et Steevy se sont déshabillés à leur tour et viennent rejoindre Brent qui s’est installé tout nu, désirable, sur le grand matelas que Patrice a déposé au milieu du salon. Les contacts sont électriques. Brent soupire de plaisir et se laisse palper par les mains baladeuses de Patrice et Steevy. Le jeune Blanc se retourne sur le ventre, offre ses fesses aux caresses puis aux lèvres et à la langue de Steevy placé derrière lui. Il se met à sucer la belle bite de Patrice assis devant. Une queue d’une taille peu ordinaire, ornée d‘une paire de couilles bien remplie et bien pendante.
– Avec les Blacks je suis sans retenue, dit Brent.
– Tu peux laisser parler la lopette qui est en toi, hein ? suggère Steevy.
– Oui… oui…
Steevy répond sans attendre aux désirs du jeune Blanc. Il lui fiche sa bonne bite bien raide dans le cul lubrifié de sa salive. Il prend directement possession du trou, s’y niche et s’y agite. Il fourre voluptueusement les intérieurs de Brent. Coups de queue pénétrants et profonds.
Brent vigoureusement enculé gémit de bonheur et reprend la merveilleuse bite de Patrice en bouche. Le trentenaire ferme les yeux de plaisir en se faisant pomper le dard par le jeune homme. Le blond suce la grosse bite noire avec délectation. En fait, il s’applique, il prend à cœur de donner à Patrice un maximum de bonnes sensations.
– Tu es un brave garçon, soupire Patrice en lançant un clin d’œil à Steevy qui derrière encule toujours Brent.
Le jeune Black continue à aller et venir entre les fesses de Brent, il lui lime le cul sans rien perdre de son allant.
– Ce que tu le mets bien, sourit Patrice admiratif. Laisse le moi, j’ai envie de le prendre.
Steevy partageur se retire pour laisser la place à Patrice. Mais le grand Noir préfère se diriger vers un large fauteuil confortable. Là, bien calé, il invite Brent à s’accroupir sur sa grosse bite. Le jeune blond à qui on ne la répète pas deux fois, tout excité, la bite raide monte sur Patrice, s’accroupit sur le sexe tendu, gros et bien raide, s’empale dessus. Sa petite rondelle s’écarquille et épouse la grosseur du membre qu’elle engloutit. L’empalé secoue ses reins de bas en haut et réciproquement. Il mène la danse de son enculage.
– Hmmm que c’est agréable, soupire Patrice. Ton petit cul bien chaud, bien souple, j’y rentre toute… ma… bite.
Brent gémit sous le compliment. Le Noir se laisse chevaucher par Brent en lui soutenant par en-dessous les beaux globes de sa croupe. Le blondinet bien vissé sur la belle queue, chaude et grosse, approche sa bouche de celle de son enculeur. Ils se sucent la langue avec gourmandise. Baiser profond, baveux super bandant.
Steevy se sent soudain un peu seul. Il s’approche des deux autres et donne sa queue à téter. Brent la prend en bouche, la branle et la pompe, tout en remuant sur celle qu’il a au cul.
Après un bon quart d’heure dans cette position, Brent se met à quatre pattes au milieu du matelas. Il hausse sa croupe adorable, frétille du trou mignon, baisse les épaules. S’offre. Patrice excité la bite bien raide s’accroupit derrière, plonge son braquemard dans la rondelle, l’envahit et s’y agite.
Le grand Black adore jouer avec sa bite dans un anus. Il la sort toute et la replonge toute, il la fait tourner dans le cul, il tape bien à fond. Le tout en arrachant des soupirs de plaisir au jeune enculé. Puis, pesant de tout son poids, fait que Brent s’allonge de tout son long sur le ventre, bien empalé. Là, Patrice pistonne à bonne allure et se laisse emporter par la déferlante de volupté. Le grand Black jouit, éjacule, jute bien au fond du cul.
Le jeune passif n’a pas le temps de souffler. Il est enculé de suite, sans attendre, par Steevy, lassé de se branlotter, pendant l’enculade de Brent par Patrice. Le jeune Black prend le blondinet en levrette. Sa queue nage dans le sperme de Patrice et se couvre d’écume. Le jeune blond ahanne à chaque coup de bite, Steevy est en forme et s’active en un rythme soutenu. Brent a rarement été à une telle fête, deux étalons noirs en une soirée !
Mais tout a une fin, même les meilleures choses. Steevy se laisse vaincre par l’extase. Un orgasme fort qui le cueille depuis les tréfonds de son âme. Il est recouvert de sueur et secoué de spasmes tout en se déversant dans le petit cul qu’il défonce.
– Hé bien, tu es une bonne affaire, s’écrit Steevy en écrasant Brent de tout son poids.
Le lendemain matin Patrice reçoit Steevy dans son bureau, l’invite à refermer la porte derrière lui et tout sourire :
– Hé bien, Steevy, merci de m’avoir fait vivre un de mes fantasmes préférés avec ce blondinet.
– Ce n’est rien, Patrice, répond Steevy. Le plaisir est partagé. Mais nous allons refaire l’expérience, tu revivras de bonnes enculades comme celle-là. Je t’ai admis comme membre de la société que j’ai fondée hier soir avec mon pote Bastien : Les Chevaliers de la Rondelle.