Au Cinema Suite 3
Au petit matin, jétais déjà dans la cuisine à préparer le petit déjeuné. Je repensais aux aventures de la veille, encore toute retournée davoir autant joui dans les bras de mes amants et pour finir avec mon mari.
Ne serai-je pas allé trop loin et trop vite, mon comportement avait vraiment surpris mon mari et maintenant je craignais quil ne découvre mon secret.
De toutes les façons, dans létat de manque que jétais je ne pouvais pas me contrôler, ces découvertes sexuelles me rendaient folle.
Maintenant il me fallait gérer les choses avec tact, je nimaginais pas comment il pourrait réagir en apprenant tout cela et je navais vraiment pas envie de le perdre.
Jétais néanmoins convaincue que jarriverais à lui présenter comme si elles pouvaient être à son avantage, ou plutôt à notre avantage, on pourrait accepter la situation et en retirer beaucoup de plaisir réciproque.
Cest avec cette conviction que jai fait couler le café.
- bonjour mon amour.
- Déjà levé, vient boire un bon café.
Il ma prise par les anches et assise sur ses genoux
- Vient là ma belle, hier tu as vraiment été merveilleuse, cest quant quon recommence ?
- Ho là, doucement
tu deviens trop gourmant, tu vois cest peut être pour ça que jévite la chose, car vous les hommes plus on vous en donne et plus vous en voulez.
- Les hommes ? Cest de moi quil sagit, les autres je men fous et dailleurs que sait tu des hommes, tu na connu que moi.
- Oui
mais nous les femmes on sait bien comment vous êtes, tous les mêmes, vous ne pensez qua ça.
- Tu écoute trop tes copines, nous ne sommes pas tous pareils, moi je suis exceptionnel, non ?
- Mais si, mais si, allez boit ton café nous allons être en retard.
Jétais assez contente de moi, il ne se doutait de rien et tout ce passait pour le mieux.
Encore une belle journée en perspective, en ouvrant la boutique je me surprise à penser de nouveau à mon amant, allait il mappeler et quallait il me préparer de nouveau, je sentais déjà dagréables sensations dans mon ventre.
Ce matin, je portais une robe courte et très vaporeuse avec un décolleté avantageux, un peut trop transparente à mon gout, mais elle était destinée à mon amant, et pour lui rien de trop beau.
Javais laissé mes seins totalement libres avec les tétons qui pointaient au travers du tissu, mes cheveux étaient attachés ce qui métait encore plus ma poitrine en valeur.
Coté intimité, je ne portais plus de culotte, mais pour changer javais complètement épilé mon petit minou, jespérais ainsi quil prenne encore plus de plaisir à le caresser et à le lécher.
La matinée est passé, je suis partie déjeuner et toujours pas dappel, jétais comme énervé, anxieuse et presque inquiète, pourquoi nappelait il pas, il lui était peut être arrivé quelque chose ?
Il ne voulait plus de moi et samusait avec une autre, je lavais peut être déçu ?
Vous le croyiez, je ressentais de la jalousie, moi la femme adultère qui prend plaisir à tromper son mari jétais jalouse dune éventuelle concurrence.
Jai pris mon téléphone pour lappeler à plusieurs reprises, mais toujours personne rien que le répondeur, malgré plusieurs messages il ne rappelait pas, du coup mon angoisse sest encore accentué.
Jai repris mon travail mais le cur ny était pas, jai laissé ma vendeuse quasi toute seule toute laprès midi, enfermé dans mon bureau à ruminer mon état de manque.
Le soir venu il navait toujours pas donné signe de vie, jen ai même ressentis de la tristesse, résignée je suis rentré à la maison convaincue quil ne mappellerait plus, que cette belle aventure était terminé.
Comme à chaque fois, mon époux a été charmant avec moi, me voyant triste il cherchait à me remonter le moral par tous les moyens, bien entendu il ne se doutait pas une seconde du pourquoi et du comment.
Jai prétexté une mauvaise journée, des soucis avec la collection dun fournisseur qui ne satisfaisait pas mes clientes, etc.
Je me surprenais à devenir une bonne menteuse, une vraie comédienne à tel point quil ma laissé mendormir tendrement blottie entre ses bras, jadore ces petits moments de tendresse où il nous semble que rien ne peut nous arriver.
Jai eu beaucoup de mal à mendormir repensant sans cesse à cette mauvaise journée, cherchant tous les cas possible qui pourraient justifier son absence et ce terrible silence.
Cela dura quelques jours qui mon parut une éternité et toujours aucune nouvelle de lui, je désespérais de le revoir un jour, petit à petit je tentais de me faire une raison.
Et puis un nouveau matin sest présenté, petit déjeuné en amoureux et petite tape sur mes fesses avec le bisou pour me souhaiter une bonne journée, mon homme est parti travailler le premier.
Pour ma part, étant un peut en avance sur lhoraire, je terminais quelques brins de ménage dans la cuisine lorsque la sonnette retentie.
- Ding, dong.
- Oui jarrive, juste un instant.
Jai ouvert la porte pensant à une livraison quelconque et là quelle ne fut pas ma surprise, il était là devant moi, toujours aussi beau et élégant au point que mes jambes se sont mises à trembloter.
Cest la gorge sèche que jai réussi à balbutier :
Bon.. bonjour, vous.. Vous êtes là.
- Cela ne vous fait pas plaisir de me voir ?
- Si, bien sur mais
je croyais que
- Et bien vous me laissé entrer ?
- Oui, vous voulez un petit café ?
- Non merci,
Il me colla une main aux fesses pour me pousser vers lintérieur, sans se soucier si quelquun aurait pu nous voir, il à refermé la porte et ma plaqué contre le mur pour membrasser à pleine bouche.
Ses mains ne restaient pas inactives car elles parcouraient déjà mon corps en passant sous ma robe quil avait relevé très facilement.
- Cest bien, je vois que vous êtes toujours bien disposée.
Je nosais rien dire, trop heureuse de sa présence, je savourais le moment.
Sa main passa doucement sur mon ventre en me procurant dagréables frisons, puis il la glissa plus bas, et encore plus bas pour venir me caresser la vulve.
Il sembla surpris et me chuchota à loreille.
- Hum
je constate que vous cherchez à me satisfaire.
- Vous aimez ?
- Qui naimerait pas ? Personne ne peut rester insensible à vos charmes.
Jétais de nouveau en transe, telle ces gamines qui rencontrent leur premier amour, mon cur battait fort et ma respiration saccélérait.
Javais déjà oublié quil ma fait languir plusieurs jours, attendant que monsieur veuille bien me recontacter.
Le salaud il savait y faire avec les femmes car là cétait moi qui nen pouvait plus, lui était comme dhabitude, sur de lui et fier de sa conquête, de sa possession.
Il avait maintenant la garantie que je lui appartenais corps et âme, quil pouvait partir et revenir à sa guise et que je serais toujours là pour son bon plaisir.
Mon bassin ondulait sous sa caresse cherchant à approfondir le contact de sa main sur mon sexe, me tortillant pour espérer un doigt dans ma fente qui bavait déjà.
Comme si il avait entendu mon supplice, dun doigt agile il écarta mes lèvres et sest glissé pour me malaxer le bouton, déclenchant ces fameuses petites décharges électriques dont raffoles les femmes.
- Vous aimez çà ?
- Alors
jai rien entendu ?
- Oui
jaime
ne vous arrêtez pas sil vous plait.
Mais le salaud a fait tout le contraire, il a stoppé sa caresse pour venir me saisir la gorge tout en me pelotant les fesses de son autre main, il a approché son visage du mien et ma dit :
- Vous savez, tout dépend de vous et de votre obéissance.
- Vous obtenez déjà tout de moi, que voulez vous de plus ?
Comme pour mamadouer, il reposa sa main sur ma chatte et fit vibrer ses doigts sur mon clito me provoquant des vagues de plaisir, jai aussitôt avancé mon bassin en écartant au maximum mes cuisses pour me frotter contre sa main.
- Doucement, vous êtes trop pressé, limpatience est un vilain défaut, si vous continuez comme cela il va falloir que je vous punisse.
Sa main posé sur ma fesse se décolla et me claqua assez durement, puis elle recommença encore plus fort propagent le bruit dans toute la maison.
- Haie
ca fait mal, je vous en prie.
Pour toute réponse il me pénétra brutalement avec deux doigts tout en appuyant fortement son pouce sur le clitoris, me serra fort la fesse pour masséner de nouveau une tape très intense quil a répétée plusieurs fois pendant quil me limait avec ses doigts et me branlait le clito.
- Et comme ça, vous supportez mieux la douleur ?
Il me prodiguait un savant mélange de douleur et de plaisir ce qui rendait la fessée plus que supportable voir même agréable, cest avec les yeux clos que je laissais la jouissance monter en moi.
- Hum
oui
narrêtez pas
oui
plus fort.
- Cest bon, hein
vous aimez ça les fessées ?
- Oui
ho oui
cest bon
Cest vrai que cétait bon, mais cétait plus cérébral que physique, le plaisir concentré sur le vagin était constant et montait très rapidement alors que la douleur sur les fesses était ponctuelle et venait refroidir la monté du plaisir, tout cela permettait datteindre un plaisir très intense et de le faire duré indéfiniment.
Sans la douleur jaurais déjà jouie depuis longtemps, mais là non, javais limpression de jouir en permanence entre chaque fessée la jouissance repartait de plus belle à men faire trembler les jambes et juste avant lexplosion fatale il massénait une nouvelle claque brutale qui faisait retomber lextase.
Jétais en transe et lui continuait à menvouter de mots crus
- Vous êtes trempé comme une petite pute, on dirait que vous aimez çà
- Voulez vous que jarrête ?
- Non
hum
oui continuez, je vous e prie
- Alors vous allez être très, très obéissante, nest-ce pas ?
- hum
Oui
Tout ce que vous voudrez
Oui
- Alors, vous allez nous invitez chez vous, mon maître et moi, pour nous présenter votre mari.
Avais-je bien compris, lesprit embrumé par les vagues de plaisir je navais pas saisie du premier coût.
- Hein
oui
vous voulez quoi ?
- Vous avez bien compris ce que nous voulons.
En même temps quil me parlait ses mains redoublaient dans le labeur pour ne pas ralentir la cadence, il me maintenait au bord de la jouissance.
Mais une mince lueur de lucidité ma permit de dire timidement :
- Hum
non
ce nest pas bien
hum
je ne peu pas
- Ne discutez pas, vous devez obéir un point cest tout.
- Non
pas mon mari
je vous en prie
Il redoubla defforts pour me faire jouir, il enfilait maintenant plusieurs doigts dans ma chatte avec de rapides vas et vient qui me faisaient couiner comme une pucelle.
- Alors je nai rien entendu ?
- hum, oui
oui
tout ce que vous voudrez
- Quoi ?
- Oui
mon mari
à la maison
oui
Soudain la main fesseuse sarrêta net et il la glissa entre mes fesses jusqu'à poser ses doigts sur ma rosette toute chaude, il glissa encore plus bas pour récupérer ma mouille baveuse et lubrifier mon petit trou qui se dilatait déjà.
Tout en me branlant il appuya fermement un doigt sur la corolle impudique, sans avoir à trop forcer la cavité sest ouverte pour engouffrer un, puis deux doigts qui ont aussitôt cadencé un vas et vient sur ceux qui me pénétraient devant.
Sensation exquise que cette pénétration simultanée des deux orifices, les doigts coulissaient facilement dans chaque trou tellement jétais lubrifiée.
- Alors quallez vous faire ?
- Hum
vous invitez
à
la maison... pour mon
mon mari
- Voilà, cest bien on y arrive
Il accéléra la cadence de part et dautre avec maintenant quatre doigts me pourfendant la moule et trois autres qui menculaient brutalement.
Je ne tenais presque plus sur mes jambes tellement cétait bon, écartant le plus possible mes cuisses pour lui faciliter la tache, je me sentais écartelée et fouillée de toute parts, jai même cherché son visage pour lui sucer la langue.
Il a répondu à mon baissé baveux, langue contre langue nous mélangions nos salives comme deux affamés.
- ouiii
cest bon
vous me rendez
folle
- Cest bon de se faire mettre comme une pute ?
- oui
oui, cest trop bon
faite moi jouir
je vous en prie.
- ok pour cette fois, mais si vous me contrariez encore
- non, je
ferais... plus
hum
- Alors tenez ma belle régalez vous.
Soudain il coordonna les mouvements des deux mains pour que les pénétrations soient simultanés dans les deux cavités, les doigts pénétraient et ressortaient en même temps de chaque coté mélargissant les chairs plus que nature.
Les sensations ce sont décuplé, douleur intense et vive que masquait immédiatement les vagues de plaisir dévastatrices, il forçait la cadence et tapait de plus en plus fort contre mes organes libérant des flots de cyprine à chaque nouvelle pénétration.
Jentendais les bruits avilissants de ma mouille qui trahissaient mon état, ce qui rendait la scène encore plus perverse et participait largement à la monter de ma jouissance.
Tout en membrassant et me pilonnant les parties intimes, il me dit :
- Ne vous retenez pas, laissez vous partir
Mes jambes flageolaient sous les vagues de plaisir, jai perdue toute notion du temps et de la réalité pour me concentrer sur le plaisir, rien que le plaisir.
Et elle est venue cette putain de jouissance, puissante et dévastatrice, jai joui du cul et de la chatte en même temps, inondée par des flots de vibrations qui mont presque fait perdre connaissance, jai jouie intensément pendant plusieurs minutes cétait physiquement épuisant.
- Et bien, heureusement que jétais là pour vous retenir, vous ne faite pas semblant.
Cherchant à reprendre mon souffle et mes esprits, je me suis blottie contre lui en le tenant par le coup.
- Que me faite vous subir, vous êtes cruel avec moi
- Si cest cela la cruauté il me semble que vous aimez çà, non ?
- Suis-je normale de jouir autant et si facilement ?
- Je vous rassure toute à fait normale, mais vous navez encore rien vu car je compte bien utiliser tout votre potentiel et croyiez moi, il y en a.
Reprenant doucement mes esprits, je pris consciente de notre discussion pendant quil me faisait jouir, mon cur si mit à battre plus fort et dune voix presque timide je lui ai demandé :
- Tout a lheure vous étiez sérieux
pour la maison et mon mari ?
- Vous doutez de moi, bien sur que cest sérieux, pervers mais sérieux.
- Mais je ne peu pas, comprenez moi
cest difficile, comment
- Le comment ne nous importe pas, cest à vous de faire ce quil faut, nous gèrerons le reste.
Je vous donne une semaine au maximum pour organiser cette soirée particulière, entre-temps je vous souhaite une bonne journée.
Jétais encore nue lorsquil a ouvert la porte pour repartir sans ce soucié si quelquun dans la rue aurait pu me voir, un claquement de portière et jai entendu sa voiture séloigner.
Je suis restez là, seule pensant à comment jallais bien pouvoir me sortir de cette délicate situation, les inviter chez nous et leur présenter mon mari, mais ils étaient vraiment fous, cétait tout simplement impensable.
Et puis quest-que cela pouvait bien leur apporter, où voulaient ils en venir, connaître mon mari pour quoi faire ?
Maintenant que je nétais plus sous lemprise du plaisir ma conscience reprenait sa lucidité naturelle et jétais capable de mesurer les dangers dune telle soirée il métait donc impossible daccepter leur volonté, il faudra bien quils le comprennent.
Cest avec cette idée rassurante que je suis partie au travail, déterminé à leur faire entendre raison, le plaisir oui mais pas avec des risques inconsidérés.
Javais une semaine pour leur annoncer mon refus, au bout du troisième jour jétais toujours sans nouvelle de mon amant, il attendait surement ma réponse, mais je me disais quil aurait pu venir pour que lon prenne un peu de plaisir car jétais de nouveau en manque.
Dun autre coté si je lui annonçais trop vite mon refus, il se mettrait peut être en colère et ne viendrait plus me voir, il mavait semblé très catégorique sur ce point et je ne voulais pas courir ce risque.
Il fallait que je trouve une excuse valable afin quils comprennent que leur demande était déraisonnable et impossible à tenir.
Deux jours après, toujours aucun appel et ce depuis cinq jours. Je commençais à angoisser, il me fallait trouver une solution très rapidement.
Et javais toujours cette envie de sexe qui me tiraillait de plus en plus, malgré mon mari qui me baissait presque chaque soir tellement je lallumais, mais cela ne me suffisait pas, je voulais aussi les intenses émotions que seul lui savait me prodiguer.
Le septième jour, jen étais toujours au même point et aucune solution en vue, mais jétais tellement paniqué à lidée daccepter leur ultimatum, tellement peur que cela dé et den perdre mon mari et ma famille que je ne pouvais que leur dire non.
Ma décision étais définitivement prise, tant pis pour moi je me résignais à penser que tous ces délicieux moments de plaisir étaient bel et bien terminés et que plus jamais une telle occasion de se représenterais.
Mais après tout, ce genre daventures étaient faits pour les jeunes filles et pas pour les femmes de mon âge, cétait surement exceptionnel de vivre cela à plus de quarante ans et je pense quautour de moi, dans toutes mes connaissances, je devais être la seule à avoir connu çà, du moins je le pensais et cela me permettait davoir moins de regrets.
Le lendemain après une très mauvaise nuit, jétais resté sur ma décision et attendais avec beaucoup danxiété lappel de mon amant qui ne tarda pas à venir.
- Bonjour Emilie, vous nous avez fait attendre, ce nest pas bien de votre part.
- oui, mais ce nest pas de ma faute
il faut que vous compreniez
- Que lon comprenne quoi ? Que vous désobéissez.
- Oui, heu non
ce nest pas comme ça quil faut le prendre
Le ton de sa voix est devenu très dur
- Je pense que vous navez pas compris ma chère, mais vous naurez pas le choix car nous avons de quoi vous faire changer davis très rapidement.
- Comment cela ? Répondis-je dune voix faible
- Mon maître avait prévu votre réaction, heureusement il a toujours un coup davance, regardez votre boîte mail et dite moi ce que vous en pensez.
Mon cur sait soudainement accélérez et mon sang me chauffait les tempes, jai donc ouvert ma boîte mail pro car il ne connaissait pas ma boite perso et passant tous les messages jai vu un mail nommé (Comment vous faire changer davis).
Lordinateur à mis du temps à le charger à causes de plusieurs pièces jointes assez volumineuses, cétait des photos et il y en avait cinq, pendant ce temps mon amant simpatientait au téléphone.
- Alors où en êtes vous ? Je nai pas que ça à faire, jattends votre réponse.
Jai cliqué sur la première photo pour lapercevoir sur lécran et là jai failli mévanouir comprenant dun seul coup que jétais piégé et à leur merci.
La photo me montrait à larrière de la voiture, jambes ouvertes avec la main de notre inconnu qui me caressait, on distinguait très bien mon visage il métait impossible de nier la scène.
Jai rapidement affiché les autres photos, sur la deuxième on distinguait la pénétration de plusieurs doigts de ce pervers et le pire cest que je présentais un visage radieux et satisfait.
Sur la suivante javais carrément tout lavant bras planté en moi, cétait vraiment obscène comment ses salauds avaient ils pu me faire çà.
La quatrième nétait pas mieux, jétais à cheval cuises grandes ouvertes sur les jambes de ce salaud, les nichons à lair et la bouche entre ouverte comme si je jouissais et en premier plan on distinguait sa grosse queue qui menculait à fond.
Et sur la dernière, cétait lapothéose il menculait toujours mais je tenais des deux mains un gode énorme avec lequel je me défonçais la moule.
Malgré cette trahison et ma rancune naissante la vue de ses photos très explicites mavait néanmoins émoustillé, mon esprit se rappelant le fantastique plaisir que mon corps avait retiré de cette expérience.
- Vous êtes des salauds
- Oui ma chère, mais cest pour cela que lon vous manque
- Vous comprenez bien que nous avons un tas dautres photos de vos exploits et que nous mourons denvie de les partager avec
Votre époux.
A ces mots jai eu comme un malaise, mes mains se sont mises à trembler et jétais paralysé par cette hypothèse que je redoutais tant.
- Non, ne faite pas çà, je vous en prie.
- Je pense quil est déjà trop tard, nous vous avions donné sept jours et pas un de plus, aussi je pense qua cette heure ci votre mari ne reçoive quelques exemplaires bien sélectionnés pour leur, comment dire
leur perversité.
- Non, non je vous en supplie
arrêté tout
jaccepte vos moindres désirs, je vous en prie ne faite pas çà.
Un long silence ma permis despérer que cela soit encore possible, que je pouvais encore sauver les apparences et mon couple, que tout çà nétait quun mauvais rêve.
- Bon, je vais voir avec mon maître ce quil est encore possible de faire et je vous rappel, pendant ce temps, vous allez imaginer cette fameuse soirée qui nous tient à cur aux uns et aux autres.
Il a raccroché et jai éclaté en sanglots sur mon bureau avec toujours la dernière photo affichée sur lécran de lordinateur.
Mon dieu, si mon mari voyait çà il tomberait surement en syncope, il ne me le pardonnerait jamais, tout en pensant à mes craintes mes yeux ne quittaient plus limage et mes pensées virevoltaient entre le plaisir naissant et la colère encore présente.
Après tout la scène était plutôt excitante, cétait très chaud et dégageait une perversité torride, comme dise les hommes, cétait bandant et mes tétons qui pointaient ne si trompaient pas.
Perdue pour perdue, il me fallait maintenant assumer ma faute, ça passe ou sa casse, ma seule chance était dabdiquer et de me soumettre à leur volonté.
Ils ne seraient peut être pas si ingrats que çà, même en rencontrant mon mari ils navaient aucun intérêt à faire capoter notre couple, cétait surement encore un jeu pervers pour mexciter davantage, alors pourquoi pas.
Le soir venu au diner alors que nous discutions mon mari et moi, jai abordé le sujet de mon travail comme si de rien nétait.
- Tu sais chérie, un de ces soirs jaimerais bien te présenter un de mes fournisseur.
- Pourquoi pas, qui cest ?
- Tu ne les connais pas, cest une entreprise de lingerie avec laquelle jai de bons résultats sur mes ventes.
- De la lingerie, waouh
jespère quelle est sexy
cette lingerie.
- Ne soit pas bête, bien sur quelle est sexy mais il y a de tout
- Daccord mais pourquoi veut tu me les présenter ? Cest bien la première fois que tu veux me présenter une relation de travail.
- Oui cest vrai
mais là je veux jouer la carte amitié pour réussir à négocier au mieux de mes intérêts les futures collections, tu sais ça ce fait beaucoup dans notre milieu.
- Ecoute ma chérie, si ça te fait plaisir
après tout cela peut être une soirée sympa et ça me permettra enfin de pénétrer ton milieu, si tu vois ce que je veux dire.
- Et voilà, tu te moque encore de moi avec tes idées polissonnes.
- Pas du tout mon amour je ne suis pas comme çà.
Nous partîmes sur un fou rire bien agréable, jen étais dautant plus contente que mon stratagème était passé comme une lettre à la poste, mon anxiété venait subitement de retomber et je me sentais beaucoup plus détendue.
Il me restait maintenant à organiser cette soirée au plus vite pour que je puisse me débarrasser rapidement de cette contrainte.
Dès le lendemain à la première heure mon portable vibra, nous étions encore mon mari et moi au petit déjeuné, jetant un il discret sur lécran jai aperçu (numéro masqué) ce ne pouvait être que mon amant et je faisais celle qui ne la pas remarqué.
- Chérie, tu ne réponds pas ?
- Oui
si, bien sur, qui peut mappeler à cette heure ?
Je devais être toute rouge car je ne mattendais pas à ce quil mappelle dès le petit déjeuné et surtout avec mon mari à coté.
- Oui, allo ?
- Bonjour, comment allez-vous ce matin ?
Prenant une voix surprise, jai fin un tout autre dialogue.
- A bonjour martine, que me vaut votre appel ?
- Je comprends que votre époux nest pas loin, cest plutôt excitant.
- oui effectivement, cela peut lêtre, si vous le dite.
- Alors où en sommes nous de notre petite affaire ?
- Tout est ok, je vous rappellerais dans la matinée.
- Tout est ok, vous en êtes sur ou devons nous contacter votre mari ?
- non, je vous assure que tout le monde est daccord.
Et jai vite raccroché pour que ma gène ne soit pas trop visible.
- Cétait qui cet appel
- Ma comptable
jattendais quelle puisse me faire le point sur le stock, tu sais par rapport à ce fournisseur de lingerie.
- Il me semble quil te pose de vrais soucis ce fournisseur, pour que tu sois perturbé à ce point, jespère quil ny à rien de grave, tu ne me cache rien ?
- Mais non, il ny à rien de grave, que va tu penser
cest juste que ça représente beaucoup dargent et le commerce nest pas fameux en ce moment.
- Cest donc pour çà que tu veux les amadouer en les invitant à la maison, cest çà ?
- Oui, tu vois quen tu veux, tu pourrais être un bon commercial
- Et bien organise cela au plus vite, nous allons les épater, tu va les éblouir, les hypnotiser, ils vont carrément tomber amoureux de toi tellement tu va les faire fantasmer.
- Ho la, doucement, ce nest pas de la drague, ce nest pas ce que je veux faire.
- Mon amour, tu ny connais rien, si ce sont des hommes, tout puissant quils soient ils ne peuvent pas rester insensibles aux charmes dune belle femme, une fois quils seront sous le charme tu pourras obtenir tout ce que tu veux de leur part, baisse de prix et bien dautre choses.
Si tu le dit, alors nous allons les surprendre.
Jai eu le sentiment quun piège sournois venait de se refermer sur moi, mon propre mari était entré tête bèche dans leur stratagème, cétait impossible quils puissent prévoir les réactions humaines à un tel point.
Connaissant mon époux il allait leur préparer le grand jeu et rien ne pourra larrêter, je vois déjà à lavance le tableau, il va falloir que je soit le plus sexy possible, la plus accueillante possible, souriante et très agréable avec nos hôtes.
Mon pauvre chérie si tu savais, tu ne peux pas imaginer à quel point jai été accueillante avec ces hommes plus pervers lun que lautre, je ne sais pas ce quils nous réservent mais si tu en rajoute de ton coté, je crains le pire.
Une fois mon mari parti au travail, jai rapidement rappelé :
- Allo ?
- oui cest moi, je vous rappelle comme convenu
- Cest très bien, je nen attendais pas moins de vous, alors comment cela se présente ?
- Plutôt bien, jai réussi à le convaincre, il croit que vous êtes des fournisseurs de lingerie pour ma boutique.
- Oui cest bien çà, très bonne idée et plutôt excitante.
- Je dois vous inviter un soir à la maison pour les présentations
- Bien, alors organisez cela au plus vite car jen connais un qui simpatiente.
- Que diriez-vous de ce mercredi soir ?
- Nous préférons le samedi soir, nous serons ainsi plus détendus les uns et les autres, cest le week-end et la soirée peut séterniser tard dans la nuit, quen dite vous ma chère ?
- Ben
daccord pour samedi soir, vingt heure, çà vous va ?
- Bon pour vingt heures, à très bientôt
madame
- Sil vous plait, ne faite rien de
mal, je ne veux pas le perdre.
- Jusqu'à ce jour, est ce que nous vous avons fait le moindre mal ?
- Non
mais
- plutôt du plaisir, beaucoup de plaisir, cela fait partie de votre éducation et vous avez encore beaucoup détapes à franchir, laissez vous aller et faite nous confiance.
- Oui
daccord, alors
à samedi.
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