La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 462)

La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°461 -

Le Châtelain fait tourner la soumise sur place pour examiner de plus près les détails de son costume de scène qui lui tient lieu de tenue D/s en tant que favorite et unique esclave du harem possédé par Amir Shariar.

- Je rajouterai même que les voiles avec lesquels tu te dévoiles et dont tu te voiles également pour te donner des airs de papillon qui vole sont particulièrement élégants.

Puis se retournant vers son ami, richement habillé en sultan pour la soirée, le Noble Dominant, en costume foncé strict et élégant d’un tout autre genre plus moderne mais pas moins « princier » pour autant, car coupé sur mesure par un tailleur de renom dans des étoffes de haute qualité, poursuit.

- Très cher Amir Shariar, Je dois reconnaître que votre couple D/s qui semble si bien assorti dans l’esprit et dans l’apparence apporte à cette nuitée une part d’orientalisme qui n’est pas désagréable, même si beaucoup de ceux ici présents doivent apprécier quelque chose de plus épicé et piquant dans les pratiques D/s ou encore les plaisirs SM. Mais visiblement, cette pause musicale fut appréciée d’un grand nombre, surtout qu’à cette heure tardive de la nuit, les poignets qui tiennent cravaches et fouets ont commencé à sérieusement se fatiguer, préférant des plaisirs plus jouissifs après une bonne dose d’échauffement et d’excitation. En tout cas, Je vous souhaite tout le bonheur du monde avec votre odalisque qui semble s’épanouir vraiment à vos pieds et qui a encore embelli depuis la dernière fois où Je vous ai croisés sur Lyon en tenue citadine. Il faut dire qu’avec tous ces ornements, elle semble briller de mille feux et Je pense que lorsque vous la prenez dans votre couche, elle doit aussi savoir onduler du bassin à merveille pour offrir à votre queue un écrin accueillant prêt à toutes les folies sexuelles.

La soumise Sharzad baisse la tête car elle est rouge de honte d’entendre parler d’elle et de son intimité charnelle et sexuelle.

Elle est très à l’aise lorsqu’elle danse se laissant emporter par la musique et la sensualité de la passion qui la déborde, sans la moindre pudeur et sans autre désir que d’être juste, pendant quelques minutes, féminine, séductrice, désirable et désirée. A l’inverse, elle n’est pas encore accoutumée avec autant de libéralité pour se vivre dans les mots qu’elle n’en a pour se mouvoir dans les gestes. Elle n’en est cependant que plus excitée à l’idée qu’elle va bientôt pouvoir effectivement rejoindre pour la fin de la nuit la chambre où son Sultan va la conduire, et elle sait très bien qu’elle ne va pas lui conter sagement l’histoire de Sinbad le Marin ou d’Ali baba et les 40 voleurs en attendant qu’il s’endorme d’épuisement, mais qu’ils pourront faire un bel effeuillage de ses voiles et nombreux bijoux clinquants pour qu’enfin nue et débarrassée de ses atours brillants et sonores elle puisse s’offrir aux plaisirs charnels de celui qui la possède au sens D/s mais qui la possédera charnellement encore plus et autant qu’il le pourra et/ou le voudra avant de sombrer épuisés tous les deux dans les bras de Morphée, tout autant que dans les bras l’un de l’autre. Le Marquis d’Evans continue de discuter avec son cher ami.

- Je dois avouer que pour Ma part, j’ai toujours eu un faible pour les chiennes et les chiens de Mon cheptel auxquel(le)s Je pose un collier et une laisse et que j’oblige à marcher à quatre pattes en particulier en Ma présence et à l’intérieur de Ma demeure, sauf dérogation expresse. En fait, il s’agit d’un « harem mixte » d’un tout autre genre, moins oriental et mais tout aussi jovial lorsque Je vois combien mes chiens et chiennes me font la fête lorsque Je reviens au Château, que ce soit les vrais bêtes canines à poil, tout autant que mes esclaves du cheptel. Regardez Ma chienne-femelle Holly MDE comme elle semble heureuse à mes pieds, prête à rester des heures attendant avec autant de plaisirs une caresse ou un ordre de Ma part.

Le Noble tire sur la laisse pour faire comprendre à sa soumise qu’elle doit se lever, ce à quoi elle obtempère avant même qu’IL ait besoin d’ajouter un seul mot.


- Ma chienne, debout ! Exécution. Que Je vois un peu quelque chose ………..

Holly MDE s’inquiète se demandant ce qu’elle a bien pu faire de mal qui justifierait un reproche du Maître Vénéré et une punition de plus, car elle était restée à Ses pieds sans bouger.

- Est-ce que tu as déjà appris la danse orientale ? Et est-ce que tu pourrais danser ou chanter pour moi ?
- Maître Vénéré, je suis désolée mais je n’ai jamais appris ce genre de danse pas plus que la musique ou à jouer d’un quelconque instrument. Etait-ce un ordre du Maître que je dois exécuter parce que tel est votre exigence, même si je risque fort de gâcher votre plaisir faute de savoir comment Vous satisfaire convenablement.
- Non, Ma chienne, ne t’inquiètes pas, Je ne vais pas exiger de toi ce que tu ne sais pas faire faute de l’avoir apprise jeune ou que j’ai pu moi-même te l’enseigner, directement ou indirectement, comme tout ce que tu découvres des pratiques D/s depuis que tu es sous Mon Joug. Je ne te verrais d’ailleurs pas vraiment dans ce genre de costume oriental. Tu es grande, tu as un vrai maintien le dos bien droit lorsque Je ne t’oblige pas à te mettre à quatre pattes ou en levrette, Je t’imaginerai bien plus en belle hétaire hellénique, à l’instar de ta sœur de soumission Thaïs MDE et des autres à venir en suivant. Je me demande si un jour, Je ne vais pas me décider à changer ton nom de chienne-soumise. Mais bon, ce n’est pas en ce jour anniversaire que Je devrais me poser ce genre de questions, on verra cela en temps voulu, si Je le décide ainsi. Dans tous les cas, tu restes et resteras Ma petite chienne fidèle et dévouée. Alors à quatre pattes ! J’ai dit.

La soumise Holly MDE s’exécute sans avoir vraiment bien compris à ce moment-là ce à quoi Monsieur le Marquis d’Evans a pensé. Elle reprend sa place de chienne-femelle du cheptel à quatre pattes aux pieds du Maître, là où est sa place, la place qui lui convient si bien et la ravie chaque fois qu’elle a la chance de pouvoir passer quelques jours au Château sans avoir à se préoccuper de sa vie vanille personnelle ou professionnelle.
Pendant ce temps-là, Le Marquis d’Evans se retourne pour regarder un peu partout comme s’IL s’inquiétait et IL finit par ajouter.

- Très cher Amir Shariar, Je suis peut-être indiscret mais Je ne vois pas l’esclave de Mon cheptel MDE qui a dû être mis à Votre disposition pour la soirée. Y aurait-il eu un problème particulier auquel IL me faudrait remédier sur l’heure ? Vous a-t-il déplu que vous ayez eu besoin de le renvoyer ?
- Monsieur le Marquis d’Evans vous n’êtes pas le moins du monde indiscret de songer à vous renseigner sur le sort de celui qui Vous appartient en tout premier lieu et qui ne m’a été confié que pour quelques heures de satisfaction personnelle et pour en jouir comme il me plairait. J’ai effectivement tiré une boule argentée avec une petite idée derrière la tête à ce moment-là et j’ai récupéré Votre esclave-mâle N°27MDE. Je suis tombé sur une vraie lopette qui ne devait pas demander mieux que ce que j’ai prévu pour lui, tant il me semblait en chaleur, excité et en grand désir de queues phalliques.
- Vous m’en voyez ravi, cher ami. J’en collectionne effectivement certain qui rentrent dans cette catégorie, même si ce n’est pas le cas de tous les esclaves-mâles, certains voient plus la soumission à travers la Dévotion tel un disciple qui chercherait à se parfaire au contact du Maître qui tient lieu de guide formateur, et d’autres encore sont plus adeptes des plaisirs masochistes qu’ils peuvent vivre pleinement dans un milieu BDSM. Le principal étant avant tout, que tous ait une seule envie à l’esprit, le désir de me satisfaire et de m’obéir, chacun pouvant m’apporter des atouts différents de par leurs personnalités différentes et leurs capacités, comme les femelles également, qui ont une autre forme de sensibilité dans leur soumission.

Le Châtelain en parlant en général de toutes Ses chiennes-femelles MDE songe à caresser la chevelure de celle qu’IL tient en laisse et qui est toujours agenouillée à ses pieds.

- J’espère au moins que Mon esclave N°27MDE bien qu’excité et en chaleur a su contenir ses désirs personnels et ses pulsions primaires, jusqu’à ce qu’il lui soit ordonné quoique ce soit et qu’il a su être à votre disposition de la manière la plus servile qui soit.
Je m’étonne aussi un peu de savoir que vous étiez à la recherche d’un vide-couilles, d’un objet de plaisirs charnels à deux trous, d’une chienne-mâle aux attributs encagés qui n’est là que pour ouvrir la bouche ou se faire enculer.
- Monsieur le Marquis d’Evans ne soyez pas étonné plus longtemps. Vous me connaissez assez bien pour savoir que je vais préférer les belles cuisses humides de ma Sharzad dans lesquelles je vais pouvoir me glisser avec onctuosité et un désir bandant. Je me suis permis une petite libéralité et j’espère que Vous ne m’en tiendrais pas rigueur. Mon chauffeur a pris sur ses jours de congés pour nous accompagner à cette soirée, car il préférait que je sois libre de boire et de m’amuser tout à ma guise sans avoir à conduire, ni à l’aller, ni au retour, surtout avec mon costume de Sultan. Je lui ai proposé de rentrer chez lui et que je l’appellerai pour qu’il vienne me rechercher demain à mon réveil. Mais il a préféré rester sur place au cas où j’aurai besoin de ses services ou l’envie de rentrer avant d’aller me coucher sans avoir à attendre qu’il arrive. Il était donc seul dans la voiture pour toute la nuit.
- Très cher ami, si j’ai bien compris où vous vouliez en venir, je pense qu’il n’est plus tout à fait seul dans la voiture.
- Tout à fait exact, Monsieur le Marquis d’Evans, Votre esclave-mâle N°27MDE est entre les mains de mon chauffeur homosexuel, en qui je sais que je peux avoir toute confiance car il ne mettra pas la vie de Votre protégé en danger, même s’il risque d’avoir envie de lui en faire voir de toutes les couleurs, car j’ai vu ses yeux brillants de désir lorsque je suis retourné à la voiture avec en laisse N°27MDE totalement nu et au corps argenté qui luisait dans les reflets des lumières du garage et du grand parking attenant. Ce sera donc une petite gratification supplémentaire en nature si on peut l’appeler ainsi ! Encore que je ne saurais pas dire lequel des deux se sentira le plus gratifié de la soirée.
- Alors tout est pour le mieux. Dans tous les cas, l’esclave mis à Votre disposition pour la nuitée était là pour répondre à toutes vos exigences, qu’elles aient été directes ou indirectes, et se servir de lui à votre convenance pour remercier votre chauffeur de sa délicatesse était une possibilité comme une autre. Rien ne vous obligeait à devoir l’attacher sur une des croix de Saint-André du donjon D/s de circonstances pour lui faire rougir la couenne, les plaisirs D/s sont très variés et le principal est que l’esclave puisse faire la preuve de sa totale obéissance à Mon égard sur tout ce qui sera exigé de lui par la personne entre les mains de qui Je le remets pour un temps donné.

Non loin de là, dans la pénombre de la nuit, le chauffeur Robert et l’esclave N°27MDE s’en donnaient à cœur joie et à corps mélangés. Robert aurait bien aimé par fantasme faire se courber sur l’avant de la voiture la lopette qui était là à sa disposition pour lui besogner le cul jusqu’à en jouir, mais il avait craint de rayer la carrosserie ou même de la salir. Consciencieusement, il avait donc entrainé l’esclave sur un petit muret qui jouxtait le parking des invités. Il s’était d’abord fait sucer allégrement pour le plaisir, car sa queue déjà bien gonflée d’excitation n’avait guère besoin de plus se tendre, car il n’avait pas si souvent que cela dans la vie l’occasion de copuler avec un homo soumis prêt à satisfaire ses moindres exigences sans même ouvrir la bouche. Le chien-mâle était lui aussi très excité de la situation, sa queue aurait bien voulu se redresser toute seule mais la cage de métal le privait de cette possibilité. Pour autant, N°27MDE bien dressé ne dit rien, acceptant ce qui était le fait même de sa condition servile que de n’être là que pour le plaisir de celui à qui il avait été remis et non le sien propre.

Robert avait alors attrapé par les couilles la lopette pour la courber sur le pat, la forçant à écarter les jambes au maximum pour que sa raie anale soit la plus ouverte possible. Le chauffeur avait craché à trois reprises sur le trou encore serré de l’esclave après lui avoir retiré le plug qui portait les armoiries de la famille Evans, puis il avait présenté son phallus devant la petite rondelle qui déjà cédait et s’ouvrait pour se laisser posséder avec avidité. Le chauffeur après de puissants va-et-vient dans le cul du chien-soumis avait poussé des râles de mâle en rut avant de laisser exploser sa jouissance et répandre longuement sa semence. Mais la nuit n’avait fait que commencer pour les deux homosexuels, car Robert aimait autant sodomiser qu’être enculé, autant se faire sucer la verge que de sucer des queues. C’est donc avec une joie non dissimulée que l’esclave N°27MDE avait entendu le clic de déverrouillage de la cage de chasteté qui annonçait pour lui d’autres plaisirs plus jouissifs.

Dans la salle à manger autour de la piste de danse installée pour la nuitée, le sultan d’un soir, Amir Sharyar, est satisfait de savoir que Monsieur le Marquis d’Evans approuve totalement son idée de ne pas avoir renoncé au privilège de pouvoir tirer une boule dont il n’avait que faire pour lui personnellement, et d’avoir choisi d’utiliser l’esclave-mâle mis à sa disposition pour les plaisirs charnels de son chauffeur. Le Châtelain qui désire poursuivre la tournée de ses invités remercie une dernière fois son ami pour le spectacle oriental et le salue, avant de s’en aller un peu plus loin, trainant toujours en laisse la chienne-soumise Holly MDE, bien trop heureuse de cette place de choix aux pieds du Maître Vénéré.

Le Châtelain n’a pas fait deux mètres qu’IL est interrompu par un bruit qu’il entend dans son dos.

- Monsieur le Marquis d’Evans...

(A suivre ….)

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