Pour Son Plaisir (8)
8 Les premiers jours au domaine
La première nuit fut courte. Comme prévu à 6 heures nous avons eu droit au réveil. Cest monsieur Thomas qui entre dans la chambre. Il allume et nous demande de nous lever rapidement. Nous devons nous mettre debout près du lit pour écouter les premières consignes de la journée. Je me lève, comme les autres, à moitié endormi. Je bande comme mes camarades. Mais cest très vite parti, quand Thomas nous dit que nous allons faire un petit jogging puis une séance de musculation. Nous devons donc mettre un jock, un short, un tee shirt et des baskets. Chacun étant habillé, nous suivons Thomas dans le parc devant la bâtisse. Il fait encore nuit même si le soleil commence à pointer. Il ne fait pas très chaud, mais nous courrons dans le bois, ce qui nous réchauffe un peu. Marco a un peu de mal à nous suivre, il nest pas très sportif et Thomas linterpelle plusieurs fois pour quil accélère. Nous atteignons le parcours sportif. Etirements, sauts
puis nous devons aller dans la salle de musculation. Bien sûr, Thomas nous demande denlever nos chaussures. Cest donc pieds nus que nous entrons dans la salle. Il commence par des étirements puis quelques pompes, heureusement pas très nombreuses. Il nous affecte ensuite des instruments. Je suis sur le vélo, ce qui me convient assez même si après le jogging, jai les jambes un peu en coton. Cest Marco qui se fait remarquer. Il a du mal sur le rameur. Thomas lui montre comment faire, mais visiblement il ny arrive pas. Il a droit à une fessée, short baissé. Il proteste mais Thomas ne cède pas. Le rameur nétant visiblement pas son truc, il doit exécuter dautres pompes, avec des poids sur les reins. Quand les pompes ne conviennent pas à Thomas, une claque sur les fesses lui rappelle ce quil doit faire.
Vers 9 heures, nous passons vers la lingerie. Une dame, Françoise, nous appelle par notre prénom et nous remet notre panier avec le linge propre et des nouvelles serviettes.
Marco en a gros sur le cur. Il se frotte les fesses qui doivent être brûlantes. Lorsque nous sommes tous habillés avec notre costume de cours, nous allons déjeuner. Nous avons 15 minutes. Le petit déjeuner est assez copieux : pain, fruits, yaourt, boissons chaudes et froides, fruits secs, céréales
un vrai buffet ! Nous apprécions, dommage que nous nayons que 15 minutes. Nous devons ensuite ranger la pièce. Cest Jean-Luc qui est chargé de balayer. Ce sera mon tour le lendemain. Monsieur Thomas nous affecte ensuite à différents cours. Il nous indique la salle dans laquelle nous devons nous rendre. Nous y resterons jusquà 13 heures environ.
Jai droit à des cours déconomie internationale et de droit ! Le premier cours mest donné en anglais. Je parle bien sûr anglais, mais mon niveau nest pas de celui du professeur. Cest très difficile pour moi de suivre pendant longtemps la conversation.
Le professeur nous demande donc de baisser bermuda et slip. Je remarque de Rémi semble excité par la situation. Sa bite est droite, même si elle est un peu cachée par la chemise, ça se remarque. Le professeur me demande dattendre, les mains sur la tête. Ma chemise remonte et du coup, ma bite est bien visible, avec lanneau que je nai toujours pas retiré. Il commence donc par Rémi. Cest plus une cravache quune canne. Il la fait siffler autour des fesses de Rémi. Je le vois contracter son cul. Puis il relève la chemise de Rémi et lui demande décarter les jambes, de ne pas bouger et de compter à rebours. Sil bouge, il recommencera au début. Lorsque le premier coup tombe, Rémi pousse un cri. Je vois la trace de la cravache sur les deux fesses, en plein milieu. Rémi a compté 23. Le professeur fait à nouveau siffler la cravache puis donne le deuxième coup un peu plus bas. Il caresse légèrement les fesses de Rémi et lui donne ensuite plusieurs coups à la suite.
Nous regagnons donc notre espace et nous arrivons bon derniers. Le cuisinier est là. Il nous sert un repas, plus léger que le matin : quelques crudités, du pain, une compote et de leau. Jai du mal à masseoir sur le tabouret pour prendre le repas. En plaisantant, le cuisinier me demande si je veux un coussin. Je ne réponds pas et mefforce de masseoir. Le repas terminé, nous rangeons la pièce et retournons dans la chambre ou Karim nous attend. Il nous demande de nous mettre à poil pour la sieste. Cette fois cest sans broncher que nous nous allongeons sur le lit. Yves a reçu lui aussi des coups de cravache, il est marqué sur les fesses, plus que moi. Des six, seul Thierry na pas eu droit à une correction. Quant à Marco, la correction de ce matin ne lempêche pas de se tripoter la queue.
- Vous êtes ici pour en baver, messieurs ! laprès-midi sera consacré à lendurance. Vous allez être mis dans des postures que vous devrez garder un certain temps. Nous commencerons légèrement, mais dici 3 semaines, vous devrez tenir beaucoup plus longtemps !
Il nous fait ensuite entrer dans la pièce et nous demande de nous assoir sur les fauteuils. Chaque fauteuil est en bois avec en son centre un gode, pas très large, et de moins dune dizaine de centimètres. Chaque gode a été graissé et nous devons donc nous enfiler sur cette fausse bite. Heureusement que Jacques ma habitué à ouvrir mon cul, Je mefforce de massoir, même si mes fesses sont encore douloureuses. Jean-Luc semble avoir plus de difficultés. Visiblement, son cul na jamais servi ! Thomas sen aperçoit et se met devant lui et le pousse sur les épaules. Jean-Luc crie, mais Thomas continue de le baisser sur le siège. Quand chacun est assis, Thomas nous pose des questions diverses en indiquant qui doit répondre. Il y a des questions de culture générale, dactualités ou dhygiène. Il note sur un petit carnet quelque chose à chaque réponse. Je sens le gode menvahir le ventre. Sans être douloureux, cette position nest pas très agréable. Je vois Jean-Luc qui semble le plus mal à laise. Il transpire malgré le froid de la pièce. Thomas le remarque et le retire du fauteuil.
Thomas nous présente ensuite Rachid, un grand mec costaud qui porte un mini slip en cuir noir, des rangers, des mitaines en cuir et un bonnet, toujours en cuir, qui lui arrive jusquau nez. Ses fesses sont très musclées et très rebondies. Thomas nous annonce que ce sera notre « bourreau ». Cest lui qui sera chargé de nous corriger, et de nous installer. Il appelle ensuite Rémi qui doit le suivre. Rémi se relève difficilement. Il a les larmes aux yeux mais ne dit rien. Thomas lui demande de se pencher vers lavant. Il attache ses poignets à ses chevilles et demande à Rachid de le mettre dans la cage. Il sagit dune petite cage où Rémi doit se tenir accroupi, la tête dans les genoux. En plus, Rachid lui pose une cagoule qui laveugle. La grille est suffisamment serrée pour ne pas laisser dépasser de membres. Lorsque la cage est refermée, Rachid la monte tout en la balançant. Rémi gémit, se plaint, dit quil a envie de vomir, mais la seule réponse quil a cest un bol deau à la figure. Il fait assez froid dans cette pièce. La clim doit être en activité. Cest Yves qui est appelé. Thomas lui mais une boule dans la bouche quil attache solidement derrière le cou. Il lui demande ensuite décarter les jambes et accroche ses pieds à des supports qui se trouvent à terre. Yves a ensuite les mains attachées dans le dos et soulevées. Nous lentendons gémir. Lorsque les bras sont tendus au maximum, il crie mais son cri est étouffé. Cest ensuite mon tour. Je suis à côté dYves, dans la même position, mais à la place de la boule, on me met un appareil qui me tient la bouche ouverte en permanence. Le froid satténue au profit dune suée. On demande à Jean-Luc de venir mettre sa bite dans ma bouche et de se branler. Jean-Luc sexécute, sans doute excité par la situation. Il se branle pendant près dun quart dheure mais néjacule pas, Thomas le pousse avant et remplace la bite de Jean-Luc par un gode qui me prend toute la bouche. Jean-Luc est attaché par les couilles solidement et mis sur un carcan. Ses couilles et sa bite sont mises dans un trou tout comme sa tête et ses bras. Ses pieds sont fixés au sol. Il ne peut plus bouger non plus. Marco lui, est attaché sur le dos, sur un sommier de lit. Les jambes sont attachées solidement par une ceinture et les bras sont attachés au-dessus de sa tête, aux barreaux du lit. Il reste Thierry qui est attaché sur une croix de St André, laissant visible son cul et on aperçoit ses couilles. Cest sans doute lui qui a la position la moins difficile. Lorsque chacun est installé, on me retire le gode de la bouche et on méchange lécarteur avec une boule. Puis Rachid, muni dune canne vient nous fesser Yves et moi. Les coups pleuvent les uns derrière les autres. Une dizaine chacun. Ensuite, il nous caresse les fesses puis reprend une série de 10. Jai les larmes aux yeux, je pisse même sur moi sans pouvoir me retenir. Nous recevons chacun 30 coups. Il se dirige ensuite vers Thierry. Ce dernier a droit au même traitement. Lui aussi pleure et crie, mais rien ny fait. La série de trente terminée, Rachid se dirige vers Marco, qui crie « Non, pas ça, sil vous plait » mais Rachid ne semble pas lentendre. Marco reçoit des coups sur le ventre, le torse, et même les couilles ce qui le fait hurler. Viens le tour de Jean-Luc. Il tremble avant même de recevoir le premier coup. La série de trente a lair très pénible pour lui. Il semble sévanouir. Thomas lui envoie de leau sur la figure, mais Jean-Luc ne réagit pas. Il est alors détaché et sétale à terre. Quelques secondes passent avant quil ne se relève. Il est alors remis dans son carcan. Il pleure à chaudes larmes. Le seul épargné sera Rémi qui balance dans la cage. Rachid et Thomas sortent de la pièce et nous laissent dans le noir. Rémi se plaint de courbatures tandis que Marco dit ne sentir que des brulures. Jean-Luc a très mal aux couilles compressées et pense quil ne pourra plus jamais éjaculer. Seul Thierry reste muet. Yves et moi nous nous regardons mais nous ne pouvons pas parler. On reste ainsi un bon moment. Rémi nous explique sa situation. Il a été mis à la porte de chez lui quand il a eu 18 ans, parce que son père nadmettait pas un homosexuel chez lui. Il est monté à Paris et a erré plusieurs mois de squat en squat. Il a eu des petits boulots mais a fini par se prosti pour avoir du fric. Cest là quil a rencontré celui qui allait devenir son maître. Nourri logé, il est très vite devenu lesclave de son maître qui la emmené sur Bordeaux où il devait être entièrement à son service et à celui de ses invités. Il était devenu un jouet plus quun être humain. Lécole doit lui apporter ce quil na pas encore connu : obéissance totale et jeux sexuels. Mais Rémi dit quil regrette de sêtre laissé embarquer dans cette galère et compte bien se sauver à la première occasion. Jean-Luc nous dit quil a à peu près la même histoire. Son maître la recueilli dans la rue lui aussi. Son maître a été attiré surtout par la taille de sa bite. Il aime lexhiber, mais il na eu des relations quavec son maître. Il est ici pour apprendre lobéissance. Son maître lui a promis de soccuper de lui et quil navait pas à penser au lendemain. Marco le contredit en lui disant que quand son maître serait fatigué de lui, il le jetterait. Il savait de quoi il parlait, il en était à son troisième maître. Il a été vendu deux fois après avoir lassé ses maîtres. Pourtant il se dit doué en service, cuisine et même baise, mais il refuse toujours les corrections. Son dernier maître est très brutal et il compte bien lui aussi se sauver. Thierry est un peu dans la même situation que moi. Il a rencontré son maître un peu par hasard, en faisant du jogging. Une amitié puis une amourette et maintenant un rapport plus sadomaso. Son maître ne le brutalise pas. Ils forment un couple un peu bizarre, mais il a conservé une certaine liberté. Il a un travail mais donne tout son salaire à son maître qui le nourrit, lhabille et le sort régulièrement.
La lumière revient, Thomas et Rachid aussi. Rachid recommence une série de 30 coups de cravache. Jai très mal, je bave, je pleure
Je sens mes fesses me brûler mais je résiste. Quand il arrive à Marco, ce dernier le supplie, mais Rachid, sans pitié, le frappe à nouveau. Seul Jean-Luc et Rémi y échappent. Je vois les fesses zébrées de Thierry, les miennes doivent être dans le même état. A nouveau le noir et le silence, rompu par Rémi qui nous demande comment on va.
- Pas bien, lui répond Marco, jen ai vraiment marre !
On attend un bon moment, puis la lumière revient. Rachid détache dabord Marco et lui demande daller se rassoir sur le fauteuil godé. Cest le tour dYves puis le mien. Nous sommes suivis de Thierry et Jean-Luc. Rémi est descendu de sa cage et détaché. Comme il na pas reçu du coup de canne, il est installé sur le cheval darçon, les fesses face à nous, bien en évidence. Les pieds et les mains attachées de chaque côté. Et Rachid lui donne des coups de cravache, 10 par 10 avec des caresses entre chaque série. Rémi crie, pleure, mais résiste finalement. Quand la série de 30 est terminée, il vient nous rejoindre sur un fauteuil.
- Bien messieurs, vous avez été courageux, même si certains se sont laissés aller, nest-ce-pas Cédric ? Marco tu as été un peu capricieux mais tu as résisté. Jean-Luc, le médecin tattend à linfirmerie. Les autres vous pouvez rejoindre vos quartiers ou le parc, jusquà 19 h. A la sonnerie, vous serez tous au réfectoire.
Nous remontons dans la chambre. Nous enlevons nos colliers et bracelets et mettons jock et short pour aller dans le parc. Il fait très beau. Il doit être 18 h environ, nous avons donc une heure devant nous. Nous discutons mais nous avons surtout mal aux fesses. Thomas nous rejoint. Il na pas la même intonation que lorsquil donne des ordres. Il nous parle calmement, nous fait découvrir le parc, dit que nous pouvons nager dans la piscine. Cest dailleurs ce que je fais. Je me mets donc à poil, puisque ce sont les consignes et je me jette à leau. Ça me fait beaucoup de bien. La chaleur de mes fesses et le froid relatif de leau me font un bien fou ! Jincite les autres à me rejoindre mais je reste seul dans leau. A 19 heures, Thomas nous rappelle, il a repris sa voix de militaire !
Je remets le jock et le short, je ne peux pas me sécher
Nous montons au réfectoire où on nous sert un repas un peu plus copieux quà midi. Puis nous avons droit à une séance de cinéma. Cest un film qui nous explique comment nous nettoyer le pénis. Après le film, nous allons dans la salle où se trouve les paillasses et nous devons montrer que nous avons bien compris. Nous nous déshabillons et nous nous nettoyons la bite comme vu dans le film. Thomas nous inspecte les uns après les autres. Il prend Marco et fait une démonstration de nettoyage « en direct ». Marco bande. Thomas finit par le branler. Evidemment Marco éjacule. Thomas lui demande de tout nettoyer, avec sa bouche. Lair dégouté Marco sexécute. Il a des hauts le cur, mais il ne veut pas dune autre correction. Il est à peu près 21 heures quand nous remontons à notre chambre : douche, puis panier à déposer à la lingerie. Nous sommes étonnés en arrivant, Françoise est présente. Nous sommes un peu gênés, dêtre nus devant cette femme, mais elle ne semble pas faire attention à nous. Toutefois quand Jean-Luc lui remet son panier, elle regarde fixement sa bite. Nous tentons de cacher notre sexe, mais Thomas nous demande de mettre les mains sur la tête pour retourner dans la chambre. Nous pouvons alors nous coucher. Pour cette deuxième nuit, personne na cherché lautre
Nous nous sommes rapidement endormis.
Chacune des journées au domaine furent rythmées par des cours le matin qui donnaient lieu à des brimades. Heureusement mon niveau en code sest amélioré et assez rapidement je faisais le plus souvent 40, ce qui mévitait les coups de canne. Quant aux autres cours, ils étaient systématiquement suivis dune interrogation. Les points manquants étaient sanctionnés par des coups de canne ou de martinet qui augmentaient chaque jour de un. Cinq après-midi sur sept nous avions endurance. Chaque fois des poses différentes, les plus pénibles possibles. Une fois, jai même été suspendu par un pied, mon autre jambe étant repliée et retenue par un cordage. Lorsque le martinet cinglait mes fesses, ça me faisait tourner et jai reçu cette fois-là pas mal de coups sur les bourses. Jétais au bord de lévanouissement
A chaque séance je mefforçai de penser à autre chose pour ne pas me concentrer sur le mal que je pouvais ressentir. La séance la pire que jai pu subir fut lorsque je fus mis en extension par les bras très écartés. Mes pieds ne touchaient le sol que par la pointe posée sur des mini-supports. Rachid mavait fixé aux seins des pinces reliées entre elles et également reliées par une ficelle quil avait attachée à chaque gros orteil. Dès que je bougeais un pied, je sentais une tension sur mes tétons. Pour couronner le tout, il avait fixé à mes couilles des poids quil venait alourdir à chaque demi-heure. Il mavait également mis un plug pas trop gros mais assez long, ce qui me provoquait des tensions dans le ventre. Au bout de 1h30 je me suis mis à trembler. Je ne sentais plus mes bras ni mes jambes. Quand Rachid entra, il vint me délivrer avant de soccuper des autres. Je suis tombé par terre mettant un certain temps à me rétablir. Une autre expérience douloureuse fut lorsque je fus mis, attaché, dans une boîte où il faisait très sombre et suspendu. Au bout dun moment, on ne sait plus où on est. Javais un bâillon et je ne pouvais donc pas parler pour communiquer avec les autres. Chaque demi-heure, Rachid tournait la boîte qui mettait du temps à simmobiliser. Javais envie de vomir, cest ce qui arriva quand Rachid retira le bâillon. Jai dû cette fois-là nettoyer entièrement la salle ! Et du coup jai raté le repas du soir.
Il y eut également des jours beaucoup plus agréables : deux après-midi par semaine on nous a initiés à lart du massage. La technique était donnée par un professeur et cest un moment où nous pouvions nous laisser aller. Lors de la première séance, jai été affecté comme masseur. Le massé était Jean-Luc. Jean-Luc était bien sûr à poil sur la table de massage et moi jétais en mini slip. Comme le professeur nous lavait indiqué, jai pulvérisé de lhuile sur les épaules de Jean-Luc puis je lai massé avec la paume de mes mains. Peu à peu je suis descendu le long du dos mattardant sur les hanches, remontant vers le cou. Puis je me suis attaqué aux jambes : les mollets, les cuisses puis les fesses. Quand Jean-Luc sest retourné, il bandait très fort. Sa bite dépassait son nombril ! quand jai commencé le massage du torse, mes bras frôlaient sa bite à chaque passage. Je bandais moi aussi dans mon mini-slip, ma bite montra sa pointe en dehors du slip. Aucune réflexion du professeur qui semblait amusé de la situation. Visiblement le massage avait le même effet sur les autres. Le professeur nous demanda de retirer le mini slip. Tout le monde bandait très fort. On continua le massage, torse, jambes. Puis nous eûmes lautorisation de nous occuper de la bite de notre acolyte. Jai dabord caressé les couilles de Jean-Luc, depuis le temps que jattendais ça ! puis jai caressé sa queue jusquau gland, lentement, mattardant sur toutes les veines qui ressortaient. Ma paume de main massait sa verge, je la sentais réagir sous mes caresses. Quand je sentais des vibrations, jattendais un moment
Marco avait déjà éjaculé, alors que Jean-Luc savourait mon massage. Une main massait sa queue, lautre son entre-jambes ce qui le rendait fou ! Je lentendais respirer, souffler, se retenir. Je sentais quil se contractait
Ce fut le dernier à jouir, mais visiblement la situation lui avait plu ! Il a joui abondamment sur son ventre, jusquau menton, au moment où ma main lui caressait le bout du gland
jai goûté son sperme alors que les autres nous regardaient. 3 dentre nous avaient joui mais le cours était terminé. Nous devions remettre nos mini slip pour quitter la salle, nous avons beaucoup de mal à faire rentrer nos queues bandées dans ces petits morceaux de tissu. La semaine suivante, jétais massé dans les mains de Thierry. Ce fut très agréable ! il était certainement expert en massage. Jai moi aussi joui abondamment alors que Thierry me massait les bourses tout en titillant mon gland. Il a englouti mon membre pendant que je jouissais et il a tout avalé en me regardant. Cétait super excitant !
Et puis nous avons alterné les cours dhygiène où les explications portaient sur le nettoyage des parties génitales, mais aussi du reste du corps. Cest lors de ces cours que nous avons dû pratiquer des lavements. Toutes les trois semaines environ, laprès-midi était consacrée à lépilation. Nous devions nous rendre en string au « salon dépilation » ou Jean-René nous accueillait avec un sourire sadique. Il mettait tout son cur à nous voir souffrir surtout lorsquil enlevait les quelques traces de poils entre les couilles et le cul. Ça chauffait pour nous ces jours-là ! Nous devions passer chacun notre tour sur la table dépilation, entièrement nu pendant que les autres regardaient le travail de Jean-René qui commentait ce quil faisait. Puis lun dentre nous était chargé de mettre une crème apaisante sur le corps tout nu de son camarade. A chaque fois je suis tombé sur Yves qui bandait comme un âne. Je mappliquais à lui enduire le sexe de crème pour le caresser un maximum. En général je passais le dernier parce que cest moi pour qui les poils repoussaient le moins vite. Cest Jean-Luc qui menduisait de crème. Jaimais regarder sa bite qui me frôlait à chaque fois.
Ces trois mois au domaine furent également rythmés par des « soirées » qui quelquefois pouvaient durer toute laprès-midi et toute la nuit ! Ces soirées étaient des moments où nous étions plus ou moins livrés à des clients du domaine qui venaient pour samuser ! Il ny en a eu que 5 durant mon séjour, mais elles furent très pénibles !
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