Stand Dans La Foire

Nous avons les stands voisins: moi je vends des produits pour imprimante, elle des objets de beauté (faux ongles, parfum et autre babioles. Les affaires ne marchent pas trop aussi nous avons le temps de discuter, surtout de la foire internationale, du peu de clients. A 13 heures nous allons déjeuner ensemble dans un troquet de la foire. C’est là que nous faisons plus ample connaissance. Elle s’appelle Virginie et est originaire des Alpes, et moi, ¨Pierre, originaire du midi. Bien sur, avec le métier que nous faisons nous n’avons pas de relations sérieuses, à peine comme les marins, une expérience dans chaque foire.
Je la trouve plus belle de jour en jour. Ses yeux bleu clair entouré d’un cercle noir sont du plus bel effet. Je la regarde avec un air envieux qu’elle devine. Il faut bien dire que sa poitrine n’a rien à envier à beaucoup de femmes. Par contre je ne peux rein dire sur son postérieur que je ne vois jamais.
Nos conversations tournent toujours atour de cette satané crise qui fait que la clientèle est rare. Ces discours au bout d’un moment, trois jours quand même commencent à nous lasser. Nous voulons parler d’autres choses.
Je suis étonné quand elle me dit
- Ce ne te manque pas ?
- Quoi donc ?
- La baise, à moi ça me manque beaucoup quand je suis seule, alors je me contente seule.
- Moi aussi je me branle aussi, comme toi.
J’ai placé la barre assez haut pour entendre la suite, peut-être qu’elle va me proposer de la rejoindre quelque part ?
- C’est beau un homme qui se tape une queue, j’aime voir ça; à condition d’en faire autant avec mon minou.
- J’aime aussi voir une femme se caresser la chatte.
- Tu n’aimerai pas me la caresser ?.
Je reste interdit de sa demande directe.
- Bien sur que j’aimerai te masturber et même te sucer le con.
- Tu me la mettrai après ?
- Bien sur, que je te baiserai.
- Et mon cul ?
- Si tu veux je te la mettrais là aussi.


Heureusement que nous devons regagner nos stands respectifs: je bande. Je lui demande si elle est mouillée!
- Bien sur que je mouille: je vais aller aux toilettes pour me soulager.
- Dépêche toi que moi aussi j’aille me branler
Elle tarde un peu pour revenir:
- Excuse moi, j’ai du m(y prendre à deux fois pour bien jouir. A ton tour, et jouis bien.
Je n’ai pas besoin qu’elle me le répète. Je file aux toilettes, j’entre dans une cabine, je sors mon membre déjà bien dur. Je le prend dans ma main droite pour mieux m’astiquer. Je jouis dans la cuvette, même si quelques gouttes sont par terre.
Quand je reviens elle me dit
- Déjà, c’est vite fait pour toi.
- Ne compare pas une fille et un homme.
- C’est vrai, tu peux me faire sentir ta main, je te donnerai la mienne pour que, tu sente mon odeur aussi.
Elle tend sa main vers moi, je trouve en effet son odeur de cyprine, un peu poivrée. Je lui donne ma main, qu’elle lèche comme si elle me suçait.
- Tu as bon goût, ta bite entière doit être meilleure.
- Je ne sais pas: je ne me suis jamais testé.
- On pourrai passer la nuit ensemble, dans ma chambre ?
- Pourquoi attendre cette nuit, on pourrai commencer plutôt, en sortant et avant d’aller bouffer.
- D’accord: je recommence à mouiller, il me tarde de baiser.
Nous arrêtons cette conversation qui nous excite trop. Heureusement qu’un client arrive: je lui débite mon baratin habituel pour finalement lui vendre pour 50 € ce qui en réalité n’en vaut que 40.
Nous partons ensemble à la fermeture fixée ce jour là à 19 heures. Nous prenons nos voitures pour que je la suive jusqu’à son hôtel, ho, pas un grand machin, juste une chambre pour les VRP.
Nous filons rapidement dans sa chambre. Je m’attends à une baise pas piquée de vers. A peine dans la chambre nous nous embrassons pour la première fois. Nos langues semblent être faite l’une pour l’autre. Nous embrassons de la même façon, sauvagement, comme des assoiffés de sexe que nous sommes.
Sa langue et sa salive ont bon goût.
J’arrive à défaire la fermeture de sa robe derrière elle. Elle tombe toute seule. Elle ne m’embrasse plus sur la bouche: elle me regarde bien dans les yeux comme pour savoir ce que je vais lui faire. Je défait son soutien gorge qui tombe aussi. Je m’accroupis pour enlever son string. Il tiens compagnie aux autres vêtement, par terre. Je suis tout près de sa chatte: je ne vais pas me priver de la sucer. Elle sent ce que je veux lui faine, elle pose une main sur ma tête comme pour m’encourager. Je trouve très vite son bouton. Elle écarte légèrement les cuisses pour me laisser le passage. Le bout de la langue seul me sert pour la lécher: je retrouve en plus fort son odeur et son goût. Elle commence à gémir et dire des paroles plus ou moins cohérentes, tels que «  oui, oui, encore,, n’arrête pas, plus loin, je vais, jouir, je jouis encore……….
Je fini de lui bouffer ton bouton, je me relève pour qu’elle aille sur le lit:
- Je vais te bouffer la moule, et te mettre un doigt au cul.
- Non plus de deux doigts dans mon anus.
- Comme tu veux, je vais commencer par un doigt avant de te mettre ma pine.
Elle ne dit plus rien. Je la fait coucher confortablement avec un coussin sous la tête pour qu’elle puisse voir ce que je lui fait.
Je met ma tête sur son sexe: je n’ai que l’embarras sur choix, j’ai toute une fente à lécher. Je viens de la faire jouir par son bouton, je cherche d’abord à lui lécher les grandes lèvres pour y passer entrelles. Je lui entre ma langue dans le vagin. Je la fait aller et venir pendant qu’elle gémit de plus en plus fort: jusqu’au moment où elle jouit encore. Je change d’endroit c’est vite fait: je pose le bout de ma langue sur son cul. Elle sursaute de plaisir quand je commence l’anulingus. Ma langue va et vient dans son cul.
J’ai trop envie d’elle, je l’embrasse à nouveau. Je suis à peine sur elle qu’elle écarte tellement les jambes qu’elle les pose sur mes fesses.
Je cherche à peine l’entrée de son con. Il est mouillée comme s’il avait trempé dans l’eau. Je suis vite au fond. Nous entamons ensemble les vas et vient que nous nous efforçons de faire durer. Nous devons bien baiser pendant 10 minutes, au moins pour moi, elle, ce n’est pas pareille, elle jouit souvent, j’aime cet impression quand son entrée de ferme et s’ouvre quand elle jouit autour de ma queue. Elle arrive même à nous faire jouir ensemble.
Je sors d’elle raplapla. Elle se colle à moi pour m’embrasser encore et encore, en me disant des insanité;
- Je suis une putain, une salope, un réceptacle de sperme, j’aime baiser avec toi et d’autres. Fous moi là encore au cul. En attendant je vais me branler devant toi.
- En attendant je vais me branler devant toi.
- Vas-y branles toi .
- Tu te branlera aussi ?
- Si tu veux.
- Alors ne te fais pas jouir, pense que tu dois me la mettre au cul. Et après dans le bouche.
Elle commence par bien montrer tout son sexe ouvert, pose deux doigts sur son clitoris, le caresse en tournant. Elle jouit ainsi plusieurs fois avant que je bande à nouveau. Comme promis je prends ma tige dans la main droite la fait aller et venir: je prend mon pied déjà rien qu’à l’idée de savoir quelle me regarde. Je me réserve pour la suite qui ne tarde pas: elle me conne ses fesses sans que je les lui demande. Elle est sur le dos, passe ses jambes entre les miennes, et ainsi mis je peux facilement la lui mettre au cul: elle a les jambes bien écartée st peux facilement s »’astiquer le bouton, ce qu’elle ne manque pas de faire.
Que c’est bon d’enculer une femme qui se donne du plaisir en même temps. Nous allons et venons; je sens son anus largement ouvert et j’entends toujours ses petits cri de plaisir quand je suis au fond de son puits arrière. Nous jouissons ensemble encore une fois. Dès que je sors d’elle, comme promis, elle me prend dans sa bouche, me lèche le gland avant de me prendre en entier dans la bouche.
Elle me fait encore jouir: pour elle il lui fait encore se masturber devant moi: c’est plus excitant que seule.
Pendant toute la durée de la foire nous avons baisé chaque nuit.
Il nous arrivent de nous retrouver quelques fois selon les foires: nous couchons toujours ensemble.


Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!