Promenade Autour Du Lac
Nous sommes les deux chez moi. Tu sais que c'est l'après midi de ton gage. Tu mouille déjà a l'idée de ce que je vais de faire subir... Je suis tous sourire. Je te propose un verre . Rien ne ce passe et ça ténerve, tu attends depuis si longtemps cette demi journée que ça t'exaspère. Je prends mon temps. Je sais que tu acceptera tous ce que je te proposerai donc je savoure. Je te vois piaffer... J'abrège tes souffrances, jarrête de te faire patienter
« tu te déshabille s'il te plaît ? » tu souris et obéis dans la demi seconde . Tu te dépêche de retirer ton pantalon, ton chemisier... Je n'ai pas le temps dapprécier ton effeuillage que je vois déjà ta poitrine généreuse, ton minou épilé tes grosses lèvres accueillantes...tu es nue devant moi et t'approche. Je fais le mec qui n'est qu'à moitié satisfait. Comme d'habitude, tu pique la mouche. JE vois dans ton regard ta déception et ton énervement. « quoi ? Je suis moche c'est ça ??? » je rigole de bon cur. « voyons ma chatte, tu sais bien que non ! Mais... sois plus féline... Montre que c'est TOI qui gère, que tu ne dépends pas de moi ! » je me colle à toi. Tu sent mon torse sous ma chemise contre tes seins. Ma main te tiens la hanche, l'autre te caresse la fesse. Je ne peux m'empêcher de passer ma main entre tes cuisses. Quel bonheur. ! c'est déjà trempé... JE fais tous les efforts possibles et inimaginables pour ne pas te prendre là ; Maintenant. Je me recule. JE vois ton corps de femme... JE souris... Et dire que tu pense ne pas être désirable... C'est si dure de te prouver le contraire. Mais comme on dis, au grands mots les grands remèdes ! Cette après midi tu va comprendre ma belle. Tu vas comprendre que ton corps de femme attire les hommes... « met ça ! »
Je te tends ton short en jean's et un tee shirt revu version coquin. Tu enfile ta tenue sans rechigner. Le short est coupé si court... c'est a peine si on vois ton minou, tes fesses sont belle et bien visible. Quand à ton tee-shirt, il cache à peine tes seins.
« écoute ma chatte, premièrement ils ne t'ont pas sauté dessus, deuxièmement, ils n'ont pas appeler les flics et en plus, nous ne sommes pas dans un lieu public, troisièmement tu les trouves moche ?
Tu te retourne et les regardes. Tu murmure un « non ». J'insiste :
« non quoi ?
non ils sont pas mal
ils sont pas mal et ils te matent. Pourquoi ?
Pars-que je suis une femme habillée comme une pute
non ! Parsque tu est fringuée de façon très coquine et que tu es bandante comme tous !
...
Aller dis moi que t'es bandante
C'est pas parsque je te plais que c'est pareille pour tous le monde
(je ménerve) NON ! T'es bandante, dis le.
JE suis bandante (toute petite voix)
JE passe ma main sur tes fesses et introduit un doigt entes tes cuisses par derrière.
Je m'arrête et me met face à toi. Les trois hommes restent à distance respectable. Ils ne s'approchent pas.mais ne passent pas leur chemin non plus.
« caresse toi ma belle... Caresse toi pour me montrer à quel point tu as envie de moi » Tu as peur mais tu me fais confiance. Tu défais le bouton de ton short en jeans, la braguette et te caresse devant moi. J'entends le clapotis de ton minou...je te retourne pour que tu sois dos à moi, face à eux. Tu ferme les yeux tellement tu as honte d'être aussi excitée. Mes mains relèvent ton tee shirt dévoilant tes seins généreux, tendus de désir. Ils ne s'approchent toujours pas. Ça te rassure, tu as si peux confiance en toi. Je descends ton short aux niveau des chevilles, je caresse tes tétons. Les hommes restent à leur place mais sortent leurs engins. L'un d'eux en a une énorme, bien plus grosse que la mienne alors que je ne suis pas à plaindre... Je leurs lance « Pour profiter du spectacle, messieurs, ayez la courtoisie de vous dévêtir quelque peu !!! » les hommes obéissent. Ils sont comme tu les aimes. JE suis heureux de ma sélection, il m'a fallu en voir des photos de mecs nu et des gars qui semblaient correspondre a nos exigences. Des gars qui sauraient ce tenir par rapport à ce que tu es capable d'endurer , du moins, pour le moment. Tu comprends enfin que ce n'est pas du hasard, que je gère parfaitement la situation. Ça te libère. Tu commence à apprécier. Sans plus attendre je m'enfonce en toi, tu ne t' étais même pas rendue compte que j'avais fais comme ces messieurs tellement tu es excitée. Tu pousse un cris de plaisir et de surprise. JE reste en toi sans bouger. « reprends tes caresses ma chatte » Tu obéis.Tu tente de temps en temps quelques coups de reins pour apprécier ma bitte mais je te tiens fermement par les hanches pour ne pas bouger.
« Ils m'ont promis que si ils te trouvaient moche ou moyenne, ils déguerpiraient en échange d'une fille plus mignonne la semaine prochaine , je leur ai promis une fille canon et que je ferais mieux à chaque fois qu'ils partiraient... t'en conclue quoi ? » Tu connais la réponse, tu connais ma bataille mais tu ne veux toujours pas l'admettre. JE ressort et me renfonce profondément. Tu lâche un cris de plaisir « JE suis belle » JE me retire. Fière du résultat. « remet tes vêtements, Tu n'auras rien de plus sans que tu y mette plus de conviction, sans que tu y croie d'avantage ».
Tu obéis frustrée mais heureuse, Nous nous revêtons tous comme si tu était le signal, celle qui dirige nos plaisirs respectifs. Cette histoire ne fait que commencer. Tu le sais et tu en as l'eau à la bouche. Vivement la prochaine séance...
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