La Débauche De Christelle 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mise à la porte par son vigoureux étalon alors qu'elle avait commencé à s'exciter violemment en lui suçant la bite, Christelle, le cul cassé, titubant sur le trottoir de la rue Marcadet à trois heures du mat, n'avait qu'une envie: vider une paire de couilles, n'importe laquelle, dans sa gorge. Par miracle, elle trouva rapidement un taxi. C'était un quinquagénaire corpulent, l'oeil un peu vicieux. Il n'avait pas l'air homo et Christelle se dit qu'elle pourrait le payer en nature. Ils arrivèrent chez elle:
"-ça fera 32 euros madame.
-je n'ai pas d'argent sur moi mais je peux vous tailler une bonne pipe, s'enhardit la jeune bourgeoise décidée à ne pas tourner autour du pot".
En fait, le type, qui n'avait certainement pas baisé depuis plusieurs mois, bandait depuis le début du trajet d'avoir embarqué dans sa bagnole cette superbe nana habillée comme une pute. Il ne se fit donc pas prier et ordonna à Christelle de le rejoindre à l'avant. Celle-ci, avide de bouffer de la queue, défit rapidement la boucle de ceinture, la braguette puis descendit le caleçon. Raide comme un javelot, le chibre jaillit et lui cogna la joue. L'odeur puissante redoubla son excitation. Dieu merci, ce sexe ne sentait pas la savonnette! Après avoir copieusement sucé le gland, la salope entreprit de descendre ses lèvres jusqu'à la garde. La gorge profonde, c'était plus facile qu'elle ne l'avait cru! Son nez se retrouvait entre les poils broussailleux, ses yeux ne voyaient plus que les bourrelets, sa langue était plaquée sur les couilles, sa gorge était envahie de chair goûteuse. Christelle était remplie, Christelle était ravie. Ravi, l'homme ne l'était pas moins. Il ne se contrôlait plus. Tenant fermement la tête de sa chienne dans ses mains, il commença un rapide va-et-vient, la baisant littéralement par la gorge. Christelle eut le réflexe de hurler mais ses cris furent bien sûr étouffés par la bite.
Le lendemain, la bourgeoise avait un peu honte de s'être jetée sur ce gros porc de taxi mais était pressée de retrouver son bel éphèbe noir d'autant que son cul lui faisait moins mal. Il fallait le déboucher, voilà tout, et Idriss avait eu bien raison de ne pas prendre garde à ses jérémiades de pucelle de l'anal. Elle remercierait comme il se doit ce jeune étalon d'avoir daigné enculer une vieille comme elle. Elle fut rapidement au lieu de rendez-vous convenu, en banlieue nord. C'était un chantier. Elle demanda Idriss, on l'aiguilla vers un AGECO. Dans cet AGECO, Idriss buvait une bière avec une dizaine d'autres ouvriers, principalement des Arabes et des Noirs. Elle lui demanda à le voir en particulier. Il refusa.
"Si tu veux me sucer, fais-le ici, au milieu de la pièce"
Il s'était certainement vanté de son aventure de la veille à ses collègues et tenait à leur montrer sa domination sur cette belle bourgeoise.
"Encule moi, hurla t-elle à Idriss, bien décidée à montrer que ça ne lui faisait plus peur".
Idriss refusa et demanda à l'Arabe qui se faisait sucer, dont la queue était aussi longue mais encore plus large que la sienne, de le faire à sa place. Pour qu'elle puisse être correctement sodomisée par son pote, Idriss s'allongea par terre et demanda à Christelle de se mettre en Andromaque sur lui. Cette fois, la bourgeoise se retint de faire sa mijaurée mais n'en menait pas large face à cette queue qui devait faire pas loin de six cm de large. Son anus était tendu et l'Arabe commença à s'énerver:
"Ouvre ton trou du cul putain!"
Comme il forçait à la fois les mains sur ses épaules et le gland contre son anus, cela finit par rentrer.
Idriss rentrait avec eux. Lorsque Christelle avait tenté de l'embrasser pour lui dire au revoir, il l'avait repoussée. Elle lui demanda où elle pourrait prendre une douche. Il lui dit que les douches du chantier étaient interdites aux femmes et semblait peu disposé à lui obtenir une dérogation. Alors, pour pouvoir ressortir, Christelle n'eut d'autre choix que se lécher tout le sperme sur le corps. Cette douche de chatte excita Idriss qui la prit par les cheveux et s'y branla une dernière fois, avant de rentrer chez lui, laissant Christelle seule.
Christelle qui, nue, pleurait, sans savoir si c'était de joie ou de honte.
Patrice rentrait demain. Comment allait-elle accueillir ce sous-homme qui lui semblait désormais plus étranger que jamais?
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