Etre Au Chômage Peut Créer Des Problèmes

Je suis déprimé et j’ai peu de considération pour moi-même. J’ai 45 ans et je suis au chômage depuis bientôt 2 ans. Ma femme, Karine est la seule à travailler de notre couple et notre relation s’étiole au fil des mois. Elle devient autoritaire et ne comprend pas cette situation. Elle me pousse à prendre n’importe quel travail mais je n’en trouve pas. Dans notre petite ville de province, le travail ne cours pas les rues.
Bien que tous les jours j’entretiens la maison, fait de bons petits plats et suis aux petits soins pour lui faire plaisir, elle m’invective pour un rien, elle se met en colère et me promet des suites si je ne reprends pas rapidement. Je me tais et fais profil bas.
Mais ce soir, un soir pas comme les autres, elle rentre du travail qu’elle occupe comme secrétaire médicale avec un grand sourire et semble heureuse.
- Aujourd’hui, Cathy, ma vieille amie que j’avais perdue de vue, est venue consulter le Docteur et nous avons parlé. Elle s’installe en ville où elle ouvre un commerce et elle cherche du personnel. Je lui ai parlé de toi et elle t’attend demain matin à 9H00 chez elle. Tiens voici l’adresse.
- C’est super, mais c’est pour faire quoi ?
- Tu ne vas pas commencer à faire le difficile. Tu y vas, tu acceptes son offre, point final.
Je prends le papier où es inscrit l’adresse et part faire à manger comme un fautif.
Le lendemain, Karine part travailler.
- Tu vas voir Cathy et tu écoutes ce pour quoi elle t’embauche. Tu acceptes et tu fais ce qu’elle te demande. Je n’accepterai pas que tu reviennes sans rien.
Je me prépare pour aller à cet entretien d’embauche. Je prends le bus et rapidement j’arrive à l’adresse. C’est un pavillon en dehors de la ville qui est très agréable avec un très beau jardin et loin de tout. Je sonne à l’entrée, j’entends des talons sur un sol en carrelage puis la porte s’ouvre. C’est une femme de mon âge, grande avec des talons hauts et qui est habillée d’une façon très sobre avec une jupe grise, des bottes noires à talons qui montent haut et un corsage blanc assez transparent qui laisse apparaître une jolie poitrine dans un soutien-gorge en dentelles.


- Bonjour, tu es Michel ?
- Euh, oui Madame.
- Entre. Me dit-elle sans autre signe de bienvenue
Nous nous introduisons dans son salon, où elle s’assied dans un fauteuil en cuir. Elle ne me propose pas de m’asseoir.
- Karine m’a parlé de ta situation et désire que je t’embauche. C’est mon amie de longue date et je suis prête à lui faire plaisir. Mais qu’es-tu prêt à faire pour que je t’embauche car j’ai besoin que quelqu’un de confiance prêt à tout pour remplir ses tâches que je lui confie. Ce n’est pas pour travailler en magasin mais ici dans cette maison.
- Je suis prêt à tout pour retrouver du travail.
- A tout ? Tu es sûr ?
- Oui Madame.
- J’ai expliqué à Karine ce que j’attendais de toi, si tu me convenais, et elle est heureuse que je te propose cette activité.
- Ce serait pour faire quoi ?
- Tout ce dont j’aurais besoin que tu fasses. Il faut que tu saches qu’il y a des règles et celles-ci sont très strictes. Tes revenus seront versés à Karine.
Alors là je suis sur le cul, c’est la première fois que j’entends çà. Mais je n’ai pas le choix, Karine ne me le pardonnerai pas si je refusais.
- Bien.
- La première des règles est que tu m’appelles Madame et que tu me vouvoies. Est-ce clair ?
- Oui Madame.
- Bien tu commences ta semaine d’essai maintenant.
- Bien Madame.
- Toute désobéissance, ou refus de faire ce que je te dis, est passible d’un renvoi immédiat. D’accord ?
- Oui Madame.
- Tu ne parles que si je t’y autorise.
- …
- Pour commencer, tu te déshabilles immédiatement et intégralement.
- Mais Madame.
- Stop, c’est ton seul avertissement. A poil.
J’ôte ma veste que je pose sur le canapé puis ma chemise. J’enlève mes chaussures et Je défais ma ceinture pour enfin descendre mon pantalon. Je me retrouve en caleçon et chaussettes.
- Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans « A poil » ?
Je descends mon caleçon et j’enlève mes chaussettes.

- Bien c’est mieux. Maintenant tu vas aller dans la salle de bain te faire un lavement et prendre une douche. En attendant, je vais téléphoner à Karine pour lui apprendre que tu as été embauché.
Elle m’emmène dans la salle de bain.
- Fait ce que je t’ai dit. Tu as 10mn.
Je prends la poire à lavement, passe un peu de salive sur l’embout pour faciliter l’introduction et je commence à me l’introduire dans l’anus. Ce n’est pas trop difficile car depuis quelques temps Karine a pris l’habitude de me mettre un ou plusieurs doigts dans le cul, voire un gode, que nous faisons l’amour. Une fois le lavement fait je passe à la douche puis me sèche. Je sors de la salle de bain et la rejoins dans le salon.
- J’ai eu Karine au téléphone, elle est contente que tu ais accepté. Mais elle dit que tu n’avais pas vraiment le choix.
Je reste coi car il semblerait que Karine soit au courant de cette situation bizarre.
- Nous allons faire enlever tes poils disgracieux par une amie, que j’ai contacté tout à l’heure, qui va venir ici. Ensuite je vais commencer ta formation.
A ce moment quelqu’un sonne à la porte.
- Ne bouge pas de là.
Elle va ouvrir la porte pendant que je suis à poil dans le salon ne sachant où me mettre.
- Bonjour Céline, c’est gentil de venir aussi vite. Entre ma chérie.
- Bonjour Cathy, tu sais pour toi je suis toujours disponible.
Elles arrivent dans le salon et l’amie de Madame me regarde mais n’est pas plus surprise que çà de voir un homme nu chez son amie.
- C’est pour ma nouvelle acquisition qui est là.
- Ça devrait aller vite, il n’est pas trop poilu.
Les deux femmes m’emmènent dans la salle de bain et me font allonger sur le dos. Céline ouvre son sac et sort son matériel pour commencer son œuvre. C’est bizarre de se faire épiler pour un homme et ce n’est pas du tout agréable. Tout y passe, le pubis, la raie culière, la poitrine et sous les bras. Ceci fait.
- Céline s’il te plait peux-tu le talquer pour lui mettre des dessous en latex.

- Mais bien sûr, Cathy.
Céline me talque afin que Cathy m’enfile un short et un marcel en latex. Puis des bottes avec des talons de 5cm de la même matière. Le short a une fermeture éclair qui commence devant jusqu’à l’arrière.
- Merci Céline. Tu viens samedi soir ?
- Mais oui. Je ne manquerais cela pour rien au monde.
Et Céline repart.
- Michel, tu passes à la cuisine et tu prépares un repas pour deux. Il y a tout ce qu’il faut et je pense qu’en deux ans tu as eu le temps de parfaire ton savoir-faire. Tu mets la table et que le repas soit prêt à 12H30.
Elle repart et je me retrouve seul dans la cuisine habillé de latex et marchant tant bien que mal avec les talons. Je me trouve idiot et je ne pense pas revenir demain quand j’aurais expliqué à Karine ma journée.
Je fais le repas puis pendant que ça mijote, je mets la table pour nous deux. Il est 12H20 et tout est prêt mais Cathy n’est pas revenue.
Tout à coup, j’entends la sonnette à la porte, Cathy va ouvrir et j’entends des voix depuis la cuisine. Deux femmes arrivent avec les bruits de talons dans le couloir. Que va dire cette femme en me voyant dans cette tenue ?
Et là stupeur, je me retrouve nez à nez avec ma femme.
- Que fais-tu ici ? lui dis-je.
Karine me gifle avec une rage dans les yeux.
- Tu oublis les directives de Madame Cathy petite fiotte. Embrasse plutôt mes bottes.
- Tu as bien fait Karine, il faut mettre les points sur les i dès le début. Lui dit Cathy en rigolant à gorge déployée.
Cathy m’att par les épaules et exercer une pression afin que je me penche et m’emmène au niveau des bottes de Karine. Je me sens obligé de les embrasser.
- C’est bien me dit Karine mais passe aussi la langue pour les faire briller.
Ce que je fais avec dégout.
- Ce n’est pas tout mais nous devons manger puisque tu retournes au travail après. Dit Cathy.
D’un coup je réalise que je n’ai mis que deux assiettes.
- Michel tu fais le service, tu nous amènes l’ensemble des plats et pendant que nous mangeons Karine et moi, tu te positionne sous la table et tu nous lèches nos chattes.
Tu changes quand l’une de nous deux le dit. Me dit Cathy.
Je fais le service du mieux que je peux malgré mes talons puis Cathy me montre du doigt le dessous de la table où je me mets à quatre pattes. Elles ont toutes les deux les cuisses écartées et je commence par mettre ma tête sous la jupe de Cathy qui ne porte pas de culotte et je commence à lui titiller le clitoris avec ma langue, puis je l’aspire pour recommencer. De temps en temps je m’applique à lui pénétrer le sexe avec ma langue. Quand ma femme me demande de passer à elle. Je passe ma tête sous sa jupe et elle non plus ne porte pas de culotte et je commence à la lécher. L’odeur est plus forte.
- Excuse-moi je n’ai pas pensé à m’essuyer aux toilettes ce matin.
Elles rigolent toutes les deux tandis que je m’applique à lui apporter du plaisir avec ma bouche. Connaissant Karine je sais ce qui lui plait et je l’entends respirer de plus en plus fort et saccadée.
- Viens vers moi, je vais te faire un cadeau. Me dit Cathy.
Je me tourne vers elle et au moment où j’atteints sont sexe je reçois un jet que je suppose être de l’urine.
- Lèche vite, tu vas vois c’est bon. Rigole-t-elle.
Et le repas continue comme çà.
Puis les deux femmes se levèrent.
- Viens donc par ici Michel. Me dit Karine
Elle ouvre la fermeture éclair d’entre jambes.
- J’ai un petit présent pour toi qui te fera penser à moi cet après-midi, enfin au début. Penche-toi en avant.
Je me penche, elle passe derrière-moi puis je sens un liquide froid sur mon cul. Je sens un doigt qui me pénètre puis deux. Elle enlève les doigts et introduit un sextoy à la place puis ferme la fermeture éclair et me claque les fesses une fois.
- Voilà, tu vas garder le plug dans ton cul jusqu’à que tu aies mieux. Madame va s’occuper de toi cet après-midi puis je reviendrai te chercher après mon travail.
Je vais t’expliquer la suite. Tu vas devenir non pas un esclave mais un soumis pour la suite de ta vie.
Madame et moi nous nous sommes retrouvées il y a quelques mois et avons repensées à nos expériences sexuelles ensemble, mais surtout quand nous dominions des mecs pour notre plus grand plaisir. Je lui ai raconté ta fainéantise et ton peu de courage à rechercher du travail. L’idée a rapidement germé de te soumettre et de gagner de l’argent avec toi puisque tu ne voulais pas travailler.
Tu vas être dressé par Madame et par moi. Tes revenus proviendront de ta soumission. Tu seras loué à des femmes et à des hommes, ils pourront faire ce qu’ils veulent de toi. Madame fera des films de soirées ou de journées de soumission et ils seront vendus sur le net.
Tu vois j’aurais des sources de revenus grâce à toi. C’est un juste retour des choses après avoir vécu dans ta fainéantise à mon croché pendant deux ans.
Tu vas prendre le verre sur la table et le boire.
Je me tourne vers la table et vois un verre rempli d’un liquide qui pourrait être du sirop. Je le prends et tout en regardant Karine, je le bois
- C’est un puissant castrateur chimique associé à un excitant sexuel. Tu vas avoir très envie de faire des folies de ton corps mais toute érection te sera impossible. Tu vas supplier Madame de te faire tout ce qu’elle veut pour assouvir tes besoins sexuels. Ainsi, Madame pourra s’amuser avec toi et tu seras une salope en chaleur.
Très rapidement tu vas avoir besoin d’un plug plus gros pout te faire du bien et bien plus encore.
Mais amuse-toi bien cet après-midi je reviens après mon travail pour constater de ton avancée dans la soumission.
Sur ces propos, elle embrasse Madame sur la bouche et elles restent ainsi devant moi à s’embrasser comme deux amantes. Karine tourne les talons et part.
- Ma petite chienne, tu débarrasses la table et tu fais la vaisselle. Quand se sera terminé, tu fais le ménage dans la maison. Si tu as besoin de quelque chose tu viens devant moi et tu attends à genoux le front au sol.
Je commence les taches qu’elle m’a annoncées. Marcher avec les talons me fait bouger mon cul à chaque pas et le plug m’excite l’anus. Je sens que je mouille du cul et j’aimerai me faire défoncer le cul car je suis excité comme une vraie salope en chaleur. Je me touche le sexe puis le plug pour jouer avec, mais loin de me calmer je suis encore plus excité. Mon sexe reste mou bien que je sente qu’il s’écoule. N’y tenant plus après avoir fait la vaisselle et rangé la cuisine, je me dirige vers Madame qui est dans son fauteuil à lire une revue afin qu’elle fasse quelque chose pour moi. Je me retrouve face à elle et me prosterne en mettant le front au sol.
- Qu’y a-t-il ma salope ? Tu as besoin de quelque chose ? Parle !
- Madame pourriez-vous faire en sorte d’assouvir mes besoins en sexe ?
- Veux tu être enculé plus fort ?
- Oui Madame.
- Demande-le de façon claire.
- Madame pourriez-vous m’enculer plus fort ?
- Vraiment plus fort. T’éclater le cul ?
- Oui Madame, vraiment m’enculer plus fort et m’éclater le cul.
- Très bien. Viens avec moi.
Nous sortons du salon et arrivons à une porte qui semble nous mener à la cave. Effectivement, nous descendons l’escalier, Madame ouvre une nouvelle porte qui semble très insonorisée et entrons dans une pièce entièrement équipée pour le BDSM.

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