Mes Premières Fois En Travestie 1er Chapitre
Parfois, j'aime être femme. Je me suis décidée à raconter comment c'est arrivé :
Cétait mes premières années de Lycée. Un mercredi après-midi, on était seul à la maison avec un pote. On est rentré dans la chambre de ma sur Aurélie (de 6 ans mon aînée), lieu qui métait formellement interdit. On cherchait son album de Dire STRAIT mais dans son armoire, on est tombé sur un carton contenant sa lingerie disons « festive »
Mon copain a commencé à fouiller dedans. Il y avait des strings, des bas, des nuisettes,
En fait un peu de tout. « Ta sur, elle est doit être super chaude
». Je lui ai demandé de reposer tout ça. Si jamais elle sapercevait que javais fouillé dans sa piaule, bonjour lengueulade !
Là, je ne sais pas ce qui lui a pété dans la tête mais ça a dû se passer à peu près ainsi, du moins dans mon souvenir lointain :
- Et si on se faisait une partie de film porno ? Sur le coup, je nai pas compris mais il ma vite expliqué : on mettrait les dessous de ma frangine chacun son tour et on se taillerait une pipe ! Je lui ai demandé sil nétait pas cinglé et lui ai précisé que je nétais pas homo !
Il ma répondu que lui non plus mais quen mettant des dessous de femme, cest comme si on se faisait sucer par une gonzesse. Et le jour où ça nous arriverait pour de vrai, on aurait lair moins con; on saurait ce que ça fait
Jeune et idiot, jai dû me suis laisser persuader. Ou plutôt, un peu fait forcer la main : à peine le temps de réfléchir que Fred était déjà à poil en train de choisir dans les culottes de ma sur ! En 3 minutes, il avait enfilé une paire de bas à clip et un body en dentelle.
« - Baisse ton pantalon, cest moi qui commence. »
Cétait idiot, mais davoir quelquun pour de vrai en face de moi avec une tenue de femme sexy comme dans les films X, même si cétait un copain du lycée, cétait excitant ! Quand il a posé sa main sur mon sexe qui navait jamais été touché par personne dautre que moi, il sest mis direct au garde-à-vous.
Fred a rigolé : « Heureusement que tétais pas avec une vraie gonzesse. Elle se serait foutue de ta gueule. A ton tour de me sucer. Moi aussi je veux voir ce que ça fait ».
Il a ôté le body et les bas pour me les donner. Je me suis habillé avec à mon tour. Ce nest quen y repensant plus tard que jai réalisé létrange sensation que javais éprouvé en enfilant ces bas et en passant ce body de dentelle. Sur le moment, une seule chose me perturbait : jallais devoir lui lécher la bite et je commençais à regretter amèrement de mêtre laisser embarquer dans son petit jeu! Fred, lui, toujours dans lexcitation était debout devant moi et bandait vraiment comme un dingue. « Tes très belle comme ça. Super sexy ! Allez ma jolie ; taille moi une bonne pipe ! »
Je me suis agenouillé devant lui. Son sexe était un peu plus gros que le mien et son gland à 5cm de mon visage, mimpressionnait. Jai ouvert la bouche, fermé les yeux et je lai pris entre mes lèvres
Jai commencé à glisser dessus puis à revenir et à lenfoncer à nouveau entre ma langue et mon palais encore et encore. Je coulissais maintenant sur son membre dans un rythme régulier le prenant tout entier jusquà perdre mon bout du nez dans la toison de son pubis : jétais en train de lui tailler une pipe comme une vraie fille. Cétait tellement étrange : je navais jamais eu quelque chose daussi doux dans la bouche. Je sentais sa verge palpiter. Fred respirait fort et laisser échapper des petits râles qui en disait long
Contrairement à moi, il na pas été pressé de se lâcher. Il a vraiment fait durer son plaisir.
« Ma chérie, tu es vraiment très douée ! Tu suces trop bien. Tu vas pas tarrêter quand même ! »
Cest lui qui sest alors approché de moi, mobligeant à ouvrir de nouveau la bouche mais cette fois, il a posé ses mains sur ma tête et son sexe entrait et sortait de ma gorge sans que je bouge. Cétait ses coups de reins qui donnaient la cadence. Les lèvres ouvertes, je ne lui servais plus que de fourreau à bite. Il a accéléré en me parlant plus rudement :
« tes une vraie petite salope !... Taimes ça bouffer de la queue !.... Ma jolie garce, je vais te défoncer la bouche !... » Et jen passe
Quand tout à coup, il ma attrapé par la nuque, ma plaqué la tête sur son ventre et avant même de pouvoir réagir, Jai pris un grand jet de sperme sur les amygdales ! Jai réussi à me dégager mais pas assez vite pour ne pas prendre une deuxième giclée en plein visage
Jai craché cette crème quil mavait à prendre ; cétait tellement gluant :
« Tes vraiment crade ! Pourquoi tas fait ça ?!»
Il sest contenté de me regarder avec un air provocateur :
« Tas été tellement bonne ; tu méritais bien une petite récompense
Tes une sacrée garce ; dommage que tu sois pas une vraie gonzesse ! »
On sest rhabillé et on a fini par écouter ce foutu album « money for nothing » comme si de rien nétait. Pourtant
Le soir dans ma piaule, impossible de mendormir. Je narrêtais pas de penser à ce qui métait arrivé. Le sentiment de culpabilité ne calmait pas mon excitation. Je bandais vraiment dur ! Le souci cest que ce nétait pas le souvenir de sa bouche sur ma queue qui me plaisait mais bel et bien de mêtre occupé de lui et davoir été sa femme qui faisait chavirer mon esprit. Ny tenant plus, je suis retourné dans la chambre de ma sur lui emprunter des bas, un string en dentelle et une nuisette.
Je me suis remémoré ce merveilleux après-midi que je venais de vivre. Pourquoi merveilleux ? Parce quavec le recul, jai réalisé que prendre son gland violacé tout brûlant de désir dans ma bouche, sucer sa colonne de chair si douce et si dure à la fois avait été fantastique ! Cest comme si javais encore son odeur de mâle dans le nez ; une odeur si envoûtante. Et quand ses paroles sont devenues plus crues, quil ma traitée de petite cochonne, quil ma baisé la bouche, jétais sa soumise et à sa merci ! Et quand il a éjaculé, mon Dieu ! Son sperme chaud, âcre et salé. Jétais offusqué, cest vrai, mais je me suis vite rendu à lévidence : javais adoré
Cest comme si javais toujours son goût sur les papilles. Il ny avait pas de doutes : jen voulais encore
Je me suis fait jouir plusieurs fois avant de mendormir toujours habillée en femme, et jai remis ça au petit matin en poussant plus avant mes caresses intimes : mes doigts descendaient sous mes bourses et je me caressais mon petit illet, lentrée de mon intimité comme une vraie femelle le ferait et le malheur, cest que cétait délicieux
Les jours suivants ont été difficiles, même douloureux. Sous ma tenue de lycéen, je ne sortais plus sans porter une petite culotte, un petit top et bien sûr des bas. Toute la journée en classe avec Fred, je désirais secrètement quil me demande de venir avec lui aux toilettes. Alors, il aurait vu comment jétais fringué sous mes vêtements, ça laurait excité et jaurais dû le soulager, le branler et le sucer. Je crevais denvie de reprendre encore et encore son gros sexe dans ma bouche. Il pourrait y jouir. Je prendrais son sperme. Tout son plaisir jusquà la dernière goutte
Rien de tout cela ne se passa.
Mes pensées lubriques ne me suffisaient plus. Il fallait que je fasse quelque chose. Alors jai pris le « taureau par les cornes » et jai demandé à Fred sil voulait venir chez moi ce week-end ; en ajoutant dun ton mielleux quon pourrait « délirer un peu ». Jespérais que cette allusion lui ferait comprendre mes intentions. Après ce quon avait vécu, il nétait pas amnésique quand même !
« ouais, ok. Je peux venir dimanche. Samedi on a un match ». Mon cur sest mis à battre la chamade. Quil est compris ou non, jétais convaincu quune fois à la maison tous les deux, je pourrais r de lui sans trop de difficultés comme il lavait fait avec moi la première fois
Malheureusement, rien ne sest passé comme prévu. Il se trouve que mon enfoiré de frangine était à la maison ce jour-là. Soi-disant pour réviser sa maitrise. Toujours est-il que nous nétions pas seuls et que je nai pas osé provoquer Fred comme je lavais prévu. Sans compter quil la reluquait sans vergogne. Il faut dire quelle portait une robe à bretelles qui pouvait faire pâlir nimporte quel homme normalement constitué. Avec ses bottines à talons et son décolleté pigeonnant, elle était trop belle ! Alors imaginez un ado comme Fred qui en plus, avait vu ses sous-vêtements sans son armoire. Ya de quoi être subjugué !
Jai toujours été un peu jaloux de ma sur mais jamais à ce point. Ca dépassait sa simple réussite et les compliments de mes parents. Elle avait des gros lolos que je naurais jamais. Cétait une gonzesse et pas moi. Elle devait en faire bander des mecs et surtout, elle faisait bander MON copain. Cétait inadmissible !
Quand il ma dit en aparté « putain, ta sur elle est trop bonnasse. Je me la taperais bien. Tu crois quelle a ses dessous sexy en ce moment ? », je me suis senti frustré comme jamais. Sous lexaspération je lui ai lancé : « Si tu veux, je peux la remplacer ». Sur le coup je lai scotché. Il ma regardé sans répondre. Je tenais ma chance et je navais pas lintention de la laisser filer :
- tas déjà dit que je suçais super bien ; tu pourrais continuer à tentrainer sur moi. Comme ça, si un jour tas une ouverture avec Aurélie, taurais lair moins con
(juste retour des choses)
-tes sérieux ?
- Ca tas pas plu lautre jour? Moi jaimerais bien recommencer
- Tu parles que ça ma plu ! Mais comme jai abusé, jai pensé que tu voudrais pas le refaire.
- Beh si. Ça me tente.
- On va dans ta chambre ?
- Ca craint. On nest pas seuls dans la maison. On verra une autre fois
Ces derniers mots ont été difficiles à prononcer. Je voyais bien que son pantalon était déformé par une envie soudaine. Jaurais pu juste dire « oui » et profiter de lui sur linstant. Mais je ne voulais pas faire ça à la va-vite et perdre la magie de son désir. Cétait un peu comme une vengeance pour les derniers jours que javais vécus. A lui de cogiter et de patienter !
-tas quà venir chez moi mercredi après les cours. On va bien samuser.
-ok, je viendrai !
Les tabous étaient levés et dans trois jours, ça allait être ma fête, obligé !
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