La Débauche De Christelle 3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Epuisée et remplie, Christelle sortit du chantier et se rendit à la zone commerciale toute proche de Parinor 2 où un taxi devait la récupérer. Ayant l'impression d'être devenue la dernière des salopes, elle ne pas fut étonnée outre-mesure des regards lubriques jetés par les passants mais elle fut surprise d'être arrêtée par deux policiers en patrouille, un homme et une femme:
"Hum, madame, vous savez combien vous risquez pour exhibition sexuelle?
-Mais je ne comprends pas, je suis habillée
-Et ça alors? interrogea la fliquette en désignant sa chevelure"
Elle comprit aussitôt. Ses cheveux étaient pleins du foutre des derniers jets de Idriss. Rougissante de honte, elle tenta de s'expliquer:
"Je suis désolée...je ne...
-Suivez nous, coupa la fliquette "
Ils l'emmenèrent à l'arrière d'un entrepôt, dissimulés entre des poubelles.
"De deux choses: soit tu fais tout ce qu'on te demande et tu repars libre dans moins d'une heure, soit tu nous suis au poste".
Devant ce non-choix, Christelle n'avait plus qu'à se soumettre, malgré la répugnance que lui inspirait l'endroit et le physique moyennement attractif des flics: un quadra à moitié chauve et une femme noire certes jolie, dont les seins étaient aussi énormes que le cul...mais justement, c'était une femme et Christelle n'avait jamais été attirée par les femmes. Cette femme commença par lui donner de grands coups de langue sur la tête, la nettoyant ainsi du foutre de Idriss. Ensuite, elle défit son pantalon, enleva sa culotte et lui ordonna d'une voix rauque:
"A toi de me lécher"
Christelle s'agenouilla et approcha son visage de la chatte brune et poilue. Elle tendit doucement sa langue, peu ragoûtée par l'odeur forte qui en émanait. La fliquette, décidée à ne pas passer la soirée assise sur une poubelle d'entrepôt, prit la tête de Christelle entre ses mains et la colla contre sa vulve.
Excité par ce gouinage, le flic avait sorti sa queue et se branlait contre la chatte de Christelle. N'en tenant plus, il la pénétra, en levrette. Peu de temps après, la Noire gamahuchée eut son orgasme. Elle décida alors de se faire bouffer le cul. Retournant Christelle sur le dos, qui se faisait toujours limer par le flic, elle s'assit sur sa gueule et commença à frotter sa raie contre le nez de la traînée. Celle-ci avait les joues presque entièrement recouvertes par les énormes fesses. Elle pouvait à peine respirer mais, un petit trou se tortillant contre ses lèvres, elle comprit qu'on attendait d'elle qu'elle le lèche. La chatte toujours pilonée par le quadra qui était décidément plus viril que son aspect extérieur ne le laissait croire, elle tendit sa langue vers l'anus. Se faire lécher le cul plaisait beaucoup à la fliquette qui ne se sentait plus et appuyait tellement ses fesses contre le visage de Christelle que celle-ci commença à et essaya de crier. Comme ces cris étouffés étaient mêlés à ses cris de jouissance, personne n'y prit garde et les deux flics continuèrent d'utiliser son corps pour leur bon plaisir. A deux doigts de l'évanouissement, elle était d'ailleurs plus docile que jamais. Après que sa collègue eut eu un nouvel orgasme, l'homme entreprit d'enculer Christelle.
Il retourna la pauvre fille une nouvelle fois, celle-ci se retrouvant maintenant le ventre contre le bitume; il s'agenouilla derrière ses fesses et en força l'entrée avec sa queue. La douleur, légère après un après-midi durant lequel plusieurs mètres de bite s'étaient engouffrés dans son anus, réveilla pour de bon Christelle. Ramonée quelques dizaines de secondes, elle n'eut pas le temps de jouir que l'autre lui foutait déjà dans les boyaux. Pendant ce temps, la fliquette les matait et se branlait avec sa matraque. Voyant que Christelle n'avait pas eu son compte, elle lui demanda de se mettre à quatre pattes. La salope se retrouvait la tête au-dessus d'un tas d'ordures, à moitié nue tandis que la négresse, par pure bonté d'âme, lui rentrait sa matraque dans le cul. Le brutal va-et-vient anal couplé à une stimulation de son clito permit rapidement à Christelle de jouir tout son saoul.
Les flics abandonnèrent leur chienne après avoir pris soin de lui faire sucer la matraque pour la nettoyer. Cette fois ci, Christelle prit soin de ne laisser apparaître aucun trace de sa débauche sur son visage. Evidemment, elle était démaquillée, son mascara avait coulé mais au moins n'avait elle plus aucune trace de foutre sur la gueule lorsqu'elle rentra dans le taxi qui la ramena chez elle.
Le lendemain, Patrice rentrait.
Pas plus bavarde que d'habitude avec son époux, elle n'eut aucun mal à lui dissimuler son emploi du temps des dernières 48 heures. C'est lorsqu'ils se couchèrent le soir que cela devint problématique pour Christelle. En effet, après plusieurs mois où il ne l'avait pas touché, il commençait à lui baiser le dos et le ventre. La salope nouvelle ne pouvait se résoudre à être prise par son mari. Son sexe en pleine érection ne rendait Patrice que plus minable. Il était environ 3 fois moins long que celui d'Idriss. Révulsée à l'idée d'être sautée par un pareil tocard, Christelle ne put s'empêcher de lui balancer son mépris à la gueule:
"Qu'essayes tu de faire là?
-Mais chérie.
-Ne me touche pas
-Que se passe t-il??
-Tu me dégoûtes quand tu me touches
-Quoi?
-Je ne veux plus de ta petite bite dans ma chatte. C'est clair?"
L'autre fut bien sûr ébranlé par cet aveu mais il devait avoir sacrément besoin de se vider les couilles car cela ne le fit pas débander pour autant. Candide, il lui demanda:
"Et dans le cul?"
Christelle, qui ne s'attendait pas à cette réplique de la part de son mari, fit une moue mi dubitative mi hautaine.
"Tu peux toujours essayer"
Bien décidée à ne faire aucun effort pour le laisser rentrer, elle se doutait bien que Patrice n'arriverait pas l'enculer. Il était complètement dénué de la vigueur des mâles qui l'avaient entreprise la veille. Il ne savait comment s'y prendre. Comme elle était encore sèche, il aurait du forcer mais évidemment, ce faible n'osait pas la forcer. Il avait beau presser sa petite bite contre son anus, ça ne servait à rien. Christelle se rendait compte qu'humilier son mari lui procurait un certain plaisir. Elle daigna donc le laisser faire des va-vient avec son gland sur sa raie pour qu'il déverse ses quelques gouttes de sperme. Elle lui ordonna aussitôt de l'essuyer, ce qu'il fit diligemment.
Au moment où il allait regagner le lit conjugal, elle le stoppa net:
"Désormais, je préfère que tu dormes dans le salon
-Mais on a pas de quoi dormir dans le salon". C'était vrai, ils n'avaient que deux fauteuils.
"Alors tu dormiras par terre!"
Patrice alla chercher le matelas pneumatique et s'exécuta, après tout content que sa femme ait daigné le laisser se branler contre son cul.
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