Quelle Facheuse Confusion !!

- Non Julien, je regrette ce n’est pas possible aujourd’hui
- Pourquoi ? Tu m’avais pourtant promis ?
- Tout simplement parce que j’ai mes règles, tu as patienté six mois tu peux attendre encore quelques jours pour prendre ma virginité
- Je suis impatient de te faire l’amour Angélique
- Tu sais aussi qu’il fait être prudent, ma mère ne sait pas que je sors avec un garçon de vingt cinq ans, n’oublie pas que j’en ai que dix sept
- A tu une idée de l’endroit où nous allons faire ça ?
- Surement chez moi, dans ma chambre, un après midi ou je serai seule, je te contacte sur ta messagerie internet dés que ce sera possible
- D’accord mon amour, j’ai envie de te serrer nue dans mes bras … ha, juste une petite chose, si ce jour là tu pouvais éviter de mettre un jeans, ce serait plus érotique en jupe ou robe
- Je me sens a l’aise en pantalon, mais je te promets d’y penser, je dois me sauver à bientôt Julien chéri

Elle m’agace cette petite conne, ça fait six mois que je n’ai pas tiré un coup, même pas la possibilité de palper ses seins nus ou de lui passer la main au cul, elle est toujours attifée de maudits jeans si collants qu’il est impossible d’y glisser une main et elle ne veut pas le baisser, même juste un peu
Trois jours plus tard je reçois enfin un message d’Angélique

- Julien ? si tu veux c’est pour mercredi après midi je serais seule
- Haaaaaa ! c’est une bonne nouvelle
- Tu sais, il faudra que tu sois doux et patient, j’ai peur, car si je ne l’ai jamais touchée j’ai sentis ta truc sur ma cuisse, elle est grosse, non ?
- Tout ce qu’il y a de plus normale, ceci dit je n’en ai jamais vues d’autres que la mienne, promis, je te ferais ça en douceur ma chérie je rentre chez toi comment ?
- Par la petite rue, je laisserai ma fenêtre de chambre ouverte
- Tu seras en robe ? ça ira plus vite
- Je verrais si je peux en piquer une à maman …soit là à quatorze heures, bisous !

Je vais enfin pouvoir dégorger mes testicules ! Comme indiqué j’emprunte la petite rue derrière sa maison, les volets de sa chambre c’est ceux qui sont mi-clos, j’en ouvre un, effectivement la fenêtre est béante, j’aperçois la fille assise de dos a son bureau d’ordi, bonne surprise elle est en robe ! J’enjambe la fenêtre et me dirige vers elle qui ne bouge toujours pas, tien ? Elle a changé de coiffure ? Je pose ma main sur son épaule

- Bonjour Angélique chérie ? tu es prête pour le grand saut ?
- HHAAAA ! c’est donc vous Julien ? le ‘prétendant’ de ma petite angélique ?

Je m’apprête à repartir en courant lorsque celle que j’ai prise pour ma copine me cramponne par le bras

- Pas si vite jeune homme, nous avons à parler, vous entrez chez moi par effraction, doit-je appeler la police ?
- C’est un malentendu madame, vous êtes la maman d’Angélique ?
- Effectivement, j’ai interceptés vos messages ont ne peu plus explicites, aussi, j’ai envoyée ma fille chez ses grands parents, si j’ai bien compris vous veniez pour prendre la virginité de ma petite orchidée a laquelle je tiens comme a la prunelle de mes yeux, quel âge avez-vous jeune homme ?
- Vingt cinq madame
- Vingt cinq ans ? mon dieu ! mais Angélique n’en a que seize !
- Elle fait plus … angélique vous ressemble beaucoup
- Je sais, ont nous confonds souvent, au point que vous n’avez pas fait la différence lorsque vous êtes entré par la fenêtre ! pourquoi vouliez qu’elle soit en jupe aujourd’hui ? pour mieux la caresser sans doute ? pour lui retirer sa petite culotte plus facilement ?
- Madame ….


- Assez de madame ! je tiens a mieux connaitre le garçon qui veux dépuceler ma fille, celui qui le fera il faudra qu’il assure a tous points de vues, vous faites la collection de filles à dévirginiser ? combien en avez-vous à votre actif ?
- Seulement deux, madame
- Donc ma fille devait être la troisième ?
- C’est cela
- Avez-vous de l’expérience au moins ? êtes-vous un bon amant ?
- Je ne sais pas madame
- Ça suffit avec les ‘madame’ appelez moi Sophie, si ma petite angélique avait été là, qu’auriez vous fait pour commencer ?
- Hé bieeeennnnn …. Elle aurait passés ses bras autour de mon cou, je l’aurais prise par la taille
- Comme cela ? n’ayez pas peur de m’enlacer que diable ! nous avons les mêmes mensurations elle et moi

A mon grand étonnement la mère se colle à moi, sa poitrine s’écrase sur mon torse, son corps épouse étroitement le mien, ma queue qui ne fait pas la différence entre la mère et la fille se gonfle immédiatement d’orgueil

- Hé bien ! Vous partez au quart de tour ! C’est plutôt flatteur, je me souviens du message où ma fille disait avoir peur de votre ‘gros truc’ je comprends mieux ! ensuite ? qu’auriez vous fait ?
- C’est délicat Sophie
- Oubliez Sophie, imaginez tenir angélique dans vos bras, parlez moins et agissez

Elle l’aura voulu …. Ma main vient se plaquer sur un sein très ferme sans déceler la présence d’un bonnet de soutient- gorge …ses cuisses s’ouvrent et se resserrent sur l’une des miennes, elle frotte sa motte sur moi, c’en est trop je délaisse le nichon et passe une main sous la robe, Sophie se décolle de moi pour me laisser accéder a son entrejambes brulant, j’y trouve une petite culotte en dentelle imbibée de cyprine qui moule parfaitement la vulve, la femme se cambre au contact de mes doigts qui ont effleurés son clitoris et pousse une plainte qui prouve son consentement

- Petit salaud fouille moi la chatte, je ne suis plus pucelle depuis longtemps
- Vous êtes mouillée …
- Écarte ma culotte et fourre tes doigts dans ma grotte et ta langue dans ma bouche

La femme me roule une pelle d’enfer, jamais une langue n’a tourné aussi vite dans ma bouche, sa salive au goût chlorophylle coule dans ma gorge, ses doigts fébriles s’acharnent sur la boucle de ma ceinture, son jus intime suinte au creux de ma paume, accompagné de bruits mouillés dût a l’action de mes doigts
Sophie, sans nous désunir, me pousse vers le lit de sa fille ou je perds l’équilibre et m’affale le lit pantalon aux chevilles, ma bitte sortie de mon slip est dressée au plafond, la femme semble fascinée par mon membre qui est secoué au rythme de mes battements de cœur, elle fait rouler sa petite culotte sur ses hanches et s’en débarrasse définitivement d’un coup de pied , la robe enroulée a sa taille elle m’enjambe, je vois sa craquette entrebâillée, barbouillée de sécrétions intimes qu’elle finit d’ouvrir avec deux doigts, l’intérieur est rouge sang….


- Ma minette à faim, donne lui ta queue à manger, tient là bien à la base qu’elle ne plie pas quand je vais me présenter
- Elle est trop raide pour plier, enfilez-vous sur mon nœud Sophie

La femme plie un genou, son vagin vient en contact avec mon gland qui repousse les lèvres gluantes, une chaleur bienfaisante enveloppe ma queue qui disparait peu à peu dans l’antre féminin

- Huuuuuuummmmmmm…..tu es gros ….. Trop gros pour une jeune pucelle, j’ai bien fait de vouloir tester avant
- Je baiserais quand même angélique, que vous le vouliez ou non !
- Tait toi chenapan et secoue-moi les entrailles !

Je donne un coup de rein à la désarçonner, j’ai nettement senti le fond de son étui vaginal qui s’est étiré sous la poussée, elle accuse le coup en hurlant

- Tu veux me défoncer Julien ? j’aime ça !

Sophie pose ses deux mains sur ma poitrine et positionnée tel un jockey se prépare aux assauts, mes cuisses claquent sur son cul qui retombe lourdement sur moi, elle ouvre la bouche et cherche l’air, je sais qu’a ce régime je ne tiendrais pas longtemps mais je veux lui marquer l’esprit en la secouant comme un prunier
Elle se mord les lèvres, son corps se raidit, je sens sa chatte gonfler et sa cyprine gicler sur mes bourses, je me tends comme un arc et lâche mes spermatozoïdes au plus profond de sa fente

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