Un Nounours Portugais Me Dépucelle
Depuis plusieurs semaines, l'idée de me faire prendre me démange le bas du dos, si vous voyez ce que je veux dire. Il me faut trouver celui qui va avoir le privilège de s'y glisser. Je suis actif et entend le rester, mais je veux tester, dans la vie tout est bon à prendre. Je me suis fait une spécialité ces dernières semaines, c'est de dépuceler des petits culs de mecs qui veulent tester. Entre 28 et 40 ans, j'avoue y prendre beaucoup de plaisir, et j'en donne aussi car ma devise est que chacun y trouve son compte. L'amour doit être un partage pour les deux partenaires.
Je ne me suis pas présenté, mon prénom est David j'ai 50 ans suis bi marié et j'ai besoin d'avoir des contacts avec les mecs. D' ailleurs ce qui minquiète c'est que j'ai de plus en plus besoin de ces contacts parfois furtifs, mais qui m'apportent ma dose d'adrénaline dans mon quotidien. Pour se faire, je fréquente des lieux de dragues: bois, saunas, passe désormais des annonces de rencontres, je vis en milieu rural et cela est moins aisé que sur Paris ou j'ai vécu pendant environ vingt ans.
Je vis une double vie que mon épouse ignore, je ne souhaite pas la quitter et je trouve mon équilibre ainsi. La semaine passée elle est partie quelques jours et j'en ai profité pour aller passer mon dimanche après-midi sur Paname à une heure de route doù j'habite. Je suis rond, poilu 1,75m pour 95 kg, crane dégarni, je porte des lunettes, enfin le mec assez banal, par contre je suis assez bien pourvu coté queue:19 cm, épaisse et endurante. De quoi contenter les passifs. J'avais jeté mon dévolu sur un sauna du quartier Montparnasse fréquenté par des nounours comme on dit.
En arrivant le lieu m'a semblé glauque sur plusieurs niveaux avec des mecs qui tournaient pour reluquer leur proie. J'ai commencé dans la back-room pour m'échauffer et être en forme. Bien paluché et léché par un mec, j'ai fini par le prendre dans une cabine.
Il faisait extrêmement chaud en ce début juillet et je me suis assis sur un banc un peu en retrait, pas très loin des douches. Et là un mec dans mon gabarit la quarantaine est venu s'asseoir au bout du banc, tout en me reluquant, le sourire aux lèvres, je voyais bien que j'étais son genre et lui ai rendu son sourire en me levant pour me diriger vers les cabines. Bien sur immédiatement, il me suis .
Mon zob se tend rien qu'à cette situation. On se croise dans un petit couloir qui se termine en cul de sac, et bien sur ma main part à la rencontre de son paquet.
Il n'est pas en reste et nos bouches se rencontrent. Lui a une barbe de trois jours, torse très poilu comme moi et une bonne teub d'un calibre identique au mien.
Nous rentrons dans la première cabine libre et nous paluchons de partout. Il est fort agréable de branler, lécher un corps, titiller une pointe de sein qui est bien dure et de s'embrasser la bouche en se bouffant la langue. Voila le début des festivités. Très vite il m'en faut plus et nous entamons un 69 torride. Je caresse ses fesses fortement poilues, j'adore, et fais courir mes mains de la plante des pieds jusqu'à son postérieur. Christophe, c'est ainsi qu'il se prénomme n'est pas avide de caresses non plus et cela ne peut que me plaire. Je me sens soumis à sa dextérité. Deux nounours dans toute leur splendeur, plein de tendresse et d'attention sur le plaisir de l'autre, ce qui est primordial. Il me dira après en buvant un pot ensemble être portugais mais avoir été élevé en France et travailler désormais dans lhôtellerie sur Porto.
On frotte nos sexes l'un contre l'autre et j'ai vraiment envie qu'il me possède, tout en appréhendant car pour moi c'est une première, je n'ai tenté que des essais avortés car je suis trop étroit . Par contre depuis deux semaines, jélargis mes sphincters avec du gel qui a la particularité dapporter de la fraîcheur.
Malgré mon désir, je n'en mène pas large, c'est pour moi un grand jour. A 50ans je vais avoir mon baptême du cul, et devenir ce que l'on appelle péjorativement un enculé. Mon partenaire redouble d'attention et je sens son membre qui se positionne sur mon oeuillet, il pousse en douceur et moi je pars dans de grands éclats , tellement j'ai envie qu'il me prenne.
-Oui, vas y baise moi , je ne mérite que ça , je suis une vraie pute, je veux ta queue
-Laisses moi faire tu vas voir comme c'est bon
me répond-il
J'ai quand même un peu mal, ce n'est pas sans douleur et nous changeons de position. Je m'allonge sur le ventre et il vient me pénétrer tout en donnant de lents coups de reins. C'est moi qui att ses cuisses pour le faire entrer davantage, et j'écarte les jambes légèrement pour laisser le passage.
Son sexe est puissant et à chaque poussée je ne peux mempêcher de geindre ce qui donne un aperçu aux occupants des autres cabines voisines. Je fini en levrette la tête enfoncée dans le matelas. Nous sommes trempés de sueur et nos corps font ventouses.Je sens ses couilles qui cognent contre mon cul. Nous décidons de nous accorder une pause et allons prendre une douche froide pour calmer nos ardeurs car nos deux bites sont toujours en tension extrême.
Nous reprenons possession de la cabine, et repartons à la découverte de nos corps. J'att sa pine pour la branler un max, Christophe me masse les burnes , ce qui fait que nous retrouvons vite de la vigueur. Nous échangeons les rôles et je deviens actif. Je n'ai aucun mal à pénétrer mon partenaire et les échanges se font bestiaux.
Après quelques échanges a nouveau douloureux pour moi, il se retire je rabaisse mes jambes, et je viens gober son gland turgescent après avoir ôtée la capote. J'adore son gland bien boursouflé et je le tète tout en l'enfonçant très loin dans ma gorge. Il est ben-aise et pousse de petits cris de bien être. Je ressort le vit de ma bouche et vient y faire tourner ma langue par petites lapées pour l'exciter encore davantage. Je veux sa crème, il faut qu'il se libère. Après
plusieurs minutes de ce traitement, je le sens se raidir dans tous les sens du terme et quatre à cinq giclées de son sperme épais jaillissent de sa verge majestueuse.
Repus nous nous câlinons pendant une dizaine de minutes. Moi qui ne supporte pas que l'on me touche le zgeg après éjaculation, j'adore ces tripotages manuels à cet instant.
Je lui propose de boire un verre au dehors après la douche et le passage au vestiaire. J'ai passé un excellent moment en compagnie de ce mec qui passait quelques jours de vacances sur Paris. Nous avons bien discutés également et il a trouvé sympa, le fait de passer une heure à bavasser en sirotant une boisson fraîche à la terrasse d'un café. Nous avons échangés nos mails respectifs, peut être nous reverrons nous un jour, il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas.
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