La Soif De L'Homme
Suite de La vengeance, un plat qui se mange froid.
Les jours qui ont suivis ont été froids. Clémence me faisait la tête clairement et me disait que jétais allé trop loin. Elle navait pas apprécié le fait que jaille faire une partie de jambes en lair seul, que peut-être que pour moi, la voir se faire prendre par dautres mexcitait, mais ce nétait pas le cas pour elle. Dans son esprit, elle avait fait la vidéo pour moi, sachant que cela me plairait, avec des personnes avec qui elle avait déjà fait lamour devant moi. En plus, il ne sagissait pas de personnes que nous fréquentions et quenfin, le coup des Saint-Jacques était vraiment limite. Bref, je me rendais compte que je métais trompé sur le comment lui faire plaisir et que ma vengeance était hors sujet. Ce qui était sûr, cest que je ne voyais pas comment rattr le coup.
Clémence travaille dans une petite entreprise de 5 associés, qui sont toujours par monts et par vaux. En tant quassistante, elle est souvent seule au bureau sauf ces derniers temps, puisquun apprenti comptable lui tient compagnie. Elle mavait dit quil lavait faite rire avec ses histoires de cur, quil essayait parfois de rendre tendancieuses pour voir comment ma femme allait réagir. Elle ne relevait pas. Un soir, je vois Clémence rentrer avec le sourire, chose qui était devenue inexistante depuis les derniers évènements. Jessaie de savoir doù vient cette bonne humeur, mais elle est évasive. Le soir, en se déshabillant, je vois quelle na pas de culotte.
« Tu navais pas de culotte ce matin ? » lui dis-je.
« Si, javais » répond-elle avec une certaine défiance.
« Et on peut savoir ce quelle est devenue ? »
« A toi de voir ».
« Ah ben un peu oui. Ma femme qui revient sans culotte, ça minterpelle ».
« Tu sais, Julien lapprenti ? Il a une copine avec qui ça se passe moyen. Jai essayé de savoir pourquoi, et il ma avoué après lavoir un peu cuisiné que cela venait du fait que les fréquences de leurs rapports ne lui convenaient pas.
« Je ne vois pas le rapport avec ta culotte pour le moment ». La réponse était évidente, mais je ne voulais pas être trop abrupte, sachant quelle me reparlait normalement.
« Et ben ça ma donné une idée et jai pris une décision figure toi ». Jai peur de ce quelle va me sortir.
« Je vais jouer un peu avec ce garçon pour te faire comprendre quil y a certaines limites à ne
pas dépasser ».
«En parlant de limites, tu en dépasses déjà. Mélanger le sexe et le boulot, tu risques de tout perdre».
« Ne tinquiète donc pas, il part dans deux semaines définitivement, et il a compris que ce nest pas dans son intérêt de révéler quoi que ce soit. Je vais donc mamuser un peu avec lui jusquà la fin de son apprentissage dans deux semaines, tu nauras droit à rien pendant ce temps là. Ce sera ta punition ».
Je nose rien répondre, voyant quen fait elle propose une porte de sortie à la situation compliquée que javais créée.
Elle reprend. « Bon, au début, il ma demandé si je pratiquais la sodomie. Quand je lui ai répondu que oui, il ma demandé si cétait vraiment bon. Je lui ai dit quil fallait que ce soit bien préparé, mais que cétait grandiose. Il était scotché. »
Jimaginais les questions qui allaient suivre, et un mélange dexcitation et de jalousie menvahit en pensant à ce jeune homme profitant de lesprit de vengeance de ma femme sans le savoir.
« Ensuite, il ma demandé si javalais. Je lui ai rétorqué que la pipe nétait pas obligatoire pour le charrier, il est devenu rouge comme une tomate. Jai repris, mais si, javale. Mon assurance la visiblement déstabilisé et jai vu une bosse dans son pantalon. Cest pas trop dégueulasse ? Quest ce que tu vas timaginer, si cétait vraiment dégueulasse comme tu dit personne navalerait.
Elle était encore émoustillée par cette histoire, cétait évident.
« Vous nallez jamais réussir à bosser. Et moi non plus dailleurs ». Elle me répond :
« Nous cest période creuse, et puis il y a les boss de temps à autre. Pour toi, tu devrais ty faire pour ce que tu as fait ». Nous continuons à discuter un peu. Elle éteint la lumière, jai du mal à trouver le sommeil.
Le lendemain matin elle ne prend pas de petit déj et file au boulot toute enjouée. La journée est longue, jai du mal à me concentrer. Jattends le soir avec impatience. En rentrant, je nai quune envie, cest de lui demandé ce qui sest passé. Elle le sait et me laisse mijoter. Puis elle me lâche un simple « ce matin, jai mangé un fromage blanc bien épais au ptit déj !». Le lendemain, elle repart sans rien dans le ventre. Le soir , la seule info à laquelle jai droit :
« ils ont des nouveaux cafés crèmes au boulot, ils sont fameux ». Jenrage intérieurement son supplice est terriblement puissant. Et ça continue, un matin, elle part sans se brosser les dents et me dit quelle va essayer un nouveau dentifrice. Elle me déstabilise complètement avec ses allusions perverses que je naurais pas envisagé moi-même. Je me dis que son jeune loup apprend vite. Jinspecte ses culottes dans le linge sale, de fortes odeurs coupables en émanent, elles sont également maculée à des endroits improbables.
Le dernier jour arrive enfin, je suis impatient du dénouement.
Mon sexe est dressé comme un lance-missile qui attend lordre de tir. Elle se déshabille et je vois une bosse dans sa culotte, contre son minou. Elle sapproche, écarte lélastique et sort un préservatif noué rempli de sperme. Je nai pas le temps de demander quelle me dit :
« Cest le dernier cadeau de Julien, il va être pour toi. Je lai tenu au chaud toute la journée pour ce soir ». Puis elle retire sa culotte, ouvre le préservatif et fait couler un peu de sperme dans sa main. Elle humecte sa fente avec en se glissant le doigt dans la chatte puis dans lanus. Elle sinstalle en 69 à hauteur de mon torse et verse le reste de la capote en haut de sa raie. Le liquide coule dans le canyon pour recouvrir partiellement sa rondelle et finir dans les grosses lèvres de sa chatte. Elle saccroupit de telle façon à ce que mon nez se retrouve à lentrée de son cul gluant. Et elle me lâche un « lèche maintenant » ferme et assuré. Ma langue commence à nettoyer ce cul pas très propre, qui dégage un mélange de latex et de foutre corrompu. Sous les assauts de ma langue, Clémence se rallonge rapidement pour entamer un 69 fougueux. Jexplose dans sa bouche, elle ralentit alors subitement la cadence pour tout garder dans la bouche. Elle se relève, jai le visage couvert de fluides. Elle crache ma semence dans une des coupes. Elle me détache et me dit « tu voulais faire comme moi, tu vas pouvoir ! » Elle se remplit lautre coupe de champagne et trinque en me tendant celle contenant le sperme.
Elle membrasse tendrement. Nous nous servons une coupe de champagne et faisons lamour comme deux amoureux.
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