Trixie Chapitre 34 - Ou L'On Ne Perd Rien Au Change

C'était un soir comme les autres... pas tout à fait ! Victor avait du s'absenter pour une durée d'au moins un mois. Alfred ne pouvait plus se passer de majordome, il en avait donc embauché un autre temporairement. Après le dîner, Alfred s'installa au salon dans son fauteuil préféré. Dans la partie living-room, le nouvel embauché débarrassait la table, tout en nous surveillant curieusement du coin de l'œil.
Alfred, le matin même, en m'apprenant la venue, de son nouveau domestique m'avait demandé de me joindre à lui pour lui faire passer un test d'embauche. Il m'avait précisé de ne rien changer à ma tenue vestimentaire. Cette tenue consistait, en un déshabillé complètement transparent ouvert sur une nuisette noire diaphane qui s'arrêtait entre mon nombril et mon mont de Venus et comportait deux fentes sur les seins laissant sortir mes mamelons. Ma chatte, surmontée d'un petit triangle de poils ras, entourée des deux lanières noires du porte-jarretelles était ainsi offerte à la vue de tous. Des bas fumés et des talons aiguilles complétaient « ma tenue de secrétaire » comme le disait mon vieux patron. Il était un voyeur assez excentrique, mais me payait royalement... Alors..., et je m'étais habituée à déambuler ainsi dans la maison !!
Alfred m'avait fait venir dans son bureau pour me présenter le remplaçant. En ouvrant la porte mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Je m'étais attendue à un vieux monsieur stylé, genre Victor. J'avais devant moi un noir d'au moins un mètre quatre-vingts. Il était d'un noir anthracite luisant, un corps assez empâté. L'air vraiment farouche, roulant le blanc des yeux, ses narines épatées surmontaient de grosses lèvres lippues. Il était dégarni sur le sommet du crâne. En m'apercevant ainsi vêtue, le nouvel arrivant eut un sursaut de surprise. Je lui tendis la main, il la garda longtemps tandis que ses yeux étudiaient la moindre courbe de mon corps.

« Trixie voici Sahraan, dit Alfred, il va remplacer Victor pendant l'absence de celui-ci.

.. Mais auparavant, il faut qu'il réponde aux critères d'embauche... Ce doit être presque aussi parfait que Victor... Tu es la seule à pouvoir juger Trixie, c'est pour ça que tu es là. »

Je savais ce qu'elle était son allusion lorsqu'il parlait du niveau de la perfection ! Alfred passa derrière moi.

« Mademoiselle Trixie est ma « secrétaire Particulière »... »

En disant cela, il fit glisser mon déshabillé sur mes épaules, et le laissa tomber au sol...

« Elle est belle, hein... Mais elle n'obéit qu'a mes ordres, et bien que je l'oblige a porter cette tenue, on ne peut la toucher que du regard... à moins que... »

Il y eut un silence lourd de sous-entendus... Sur ma poitrine, il écarta les fentes de la nuisette, pour bien dégager mes aréoles dont les mamelons commençaient à s'ériger sous les regards appuyés de Sahraan qui allaient sans discontinuer de ma chatte à mes seins. En souriant, Alfred les pinça doucement entre pouces et index
Mon vieux pervers de patron fit froufrouter le bas de na nuisette sur mon pubis, puis posa ses mains sur mon porte-jarretelles, le tripota, faisant semblant de le remettre d'aplomb, elles descendirent ensuite lentement sous les lanières tendues jusqu'à la limite des bas.
Sa main droite remonta et son majeur parcouru doucement la fente de ma chatte. Insinuant au passage sa première phalange dans mon méat.
Ses yeux ne quittaient pas l'entrejambe du futur domestique. Celui-ci se tenait raide comme un piquet, les yeux écarquillés, la bouche ouverte, il dansait d'une jambe sur l'autre. Une énorme bosse se profilait à hauteur de son sexe. Un sourire béat illuminait son visage, il devait se demander ce qui lui arrivait.

« Bien, bien dit Alfred apparemment satisfait du résultat obtenu, Pourriez-vous ôter votre pantalon ?
- Quoi... Quoi... Mais pourquoi ?
- Juste pour avoir l'avis de mademoiselle Trixie et savoir si nous allons vous embaucher...
- Oui, je veux bien.
.. mais mon sexe est vraiment gros... »

Il déboucla sa ceinture, fit tomber son pantalon et son slip sur ses talons, son mandrin libre de toute entrave, se tendit vers l'avant... Sa bite était en tout point semblable à celle de Victor, longueur, grosseur... et en plus, elle était noire, ce qui n'était pas pour me déplaire. Une seule chose me gênait un peu, il n'était vraiment pas beau, mais Alfred était le patron ! Je lui jetais un coup d'œil, il avait l'air vraiment satisfait. Alfred connaissait mes goûts, au niveau des proportions des appareils génitaux ! C'était un noir certes... mais encore une fois, vraiment pas très beau !

« Alors Trixie qu'en penses-tu ? Fait-il l'affaire ?
- O... Oui Alfred...
- Bien alors, je vous engage au tarif que nous avons négocié... Vous avez bien compris TOUTES mes directives ! Trixie, tu peux lui faire visiter la maison ? »

Sahraan bandait toujours comme un âne.

« Vous pouvez vous rhabiller, vous n'avez pas à vous sentir gêné d'avoir une telle érection en présence de Trixie, vous vous habiez à la voir évoluer ainsi vêtue... Vous savez, et c'est pour ça que je la veux ainsi habillée chez moi, elle représente l'aboutissement des canons de beauté aujourd'hui en France. Beauté qui rime par ailleurs, avec séduction et désir l'état de votre sexe en est la preuve. Mais vous m'avez dit que vous venez, d'une contrée assez reculée d'Afrique, les femmes de votre région ne sont-elle pas vêtues-elles aussi assez légèrement ? Ah oui au fait, vous ne mettrez plus de slip.
- Oui Monsieur, mais Mademoiselle Trixie est blanche, et chez nous personne ne porte des bas, un porte-jarretelles, une nuisette aussi érotique... Mais j'ai bien compris ce que vous m'avez dit... Il ne faut la toucher que des yeux... »

Je voulu remettre mon déshabillé mais Alfred me le confisqua. C'est donc la chatte et les fesses à l'air que je lui fis visiter la maison, en lui expliquant ce qu'il aurait à faire.
Dans le living-room, ce coquin d'Alfred avait mis dans le home cinéma, écran télévision led de 189 cm, un dvd qu'il avait filmé lors d'un pari qu'il avait perdu contre Victor, puis il s'était éclipsé.
Au moment ou nous pénétrions dans la pièce, sur l'écran un noir était en train de me pénétrer et sous un fond sonore de gémissements et de cris d'extase de ma part, la bande son annonçait.

« Salope... tu aimes les noirs avec des grosses bites... Je crois que je n'ai jamais senti une nana mouiller comme toi, ma queue est trempée et visqueuse de ton foutre... Putain, le vieux a eu raison de me demander de te baiser... Il va se régaler ce vieux pervers... à voir le sperme que je vais envoyer dans ta chatte !! Putain que c'est bon de baiser une jolie blanche comme toi...!! »


Je me mis, à rougir et un peu gênée, je quittais la pièce, Alfred voulait surement lui donner un petit aperçu de la suite à venir. Sahraan obnubilé par les images, s'était coupé du monde. Je regardais à travers l'entrebâillement de la porte quelle allait être sa réaction. Il sortit son énorme queue qui était toujours aussi raide, et se masturba avec vigueur. Au fur et a mesure de l'avancement de la vidéo, il gémissait de plus en plus en plus fort.

«Mmmmmhhhhh, Mmmmmuuummmhhhh, oui, ouuuuuiiiiiii, petite salope de blonde... tu aimes les grosses bites noires... Je... je vais te mettre la mienne... Salope ouuuuiiiiii, Haaaaaa... »

Il éjacula au moment ou, dans la vidéo mon partenaire éjaculait lui aussi en moi. Sur l'écran, j'écartais les jambes au maximum, caressais et contractais ma chatte pour faire sortir du sperme, j'y enfonçais deux doigts qui ressortirent luisants et visqueux de semence tiède, je récupérais celui qui coulait sur mes grandes lèvres et léchais mes doigts...

« Putain de petite Salope maugréa-t-il... Je te baiserais... »

J'attendis que sa queue débande, qu'il se réajuste pour entrer et lui faire continuer la visite.


Donc après le repas du soir, m'installais une brosse à cheveux à la main, sur le petit canapé à une place en face du maître de maison. Je me calais au plus profond des trois coussins, les fesses au bord du siège, quittais mon déshabillé, ne gardant que ma nuisette. Ma position presque couchée l'avait fait remonter plus haut que la dentelle de la ceinture de mon porte-jarretelles, et rien ne cachait mon sexe entouré des deux lanières noires, aux regards des deux hommes. Je savais que la vue de mon corps offert à leur vision, les excitait au plus haut point, surtout Sarhaan. Ses mains tremblaient, la vaisselle s'entrechoquait... Il pensait à la vidéo !
Alfred avait beau faire semblant d'être plongé dans son bouquin, ses yeux étaient presque en permanence fixés sur ma chatte entrouverte, il n'avait qu'a tendre la main pour la toucher, il surveillait la réaction du majordome qui s'activait pour pouvoir profiter du spectacle...
Je me coiffais soigneusement, écartant de plus en plus les jambes. Je me couchais presque sur le petit sofa, et avec la brosse ronde, en regardant du coin de l'œil le Sahraan, me brossait les poils pubiens en la faisant tourner sur elle-même.

« Alfred, tu ne trouves pas qu'ils sont longs ? Je devrais les épiler non ?
- Oui, tu as raison... Sahraan, allez chercher la petite tondeuse qui se trouve dans la salle de bains, et vous devriez être capable d'arranger cela, non ! »

La bouche du majordome fit un O parfait, ses yeux s'allumèrent puis il s 'éclipsa rapidement. Alfred avait posé son bouquin en voyant le manche rond de la brosse enduit par ma salive commencer à faire le tour de ma vulve. Je frottais ma fente, de bas en haut écartant doucement mes grandes lèvres.

« Attends un peu ! Je crois que nous allons passer une bonne soirée, tous les trois, non me dit-il ?
- Oui, sa queue à l'air aussi grosse que celle de Victor, sinon tu ne l'aurais pas engagé... Mais il n'est pas très beau...
- Tu m'as avoué que tu adorais te faire baiser par une grosse bite noire, tu fantasmes toujours autant...
Et tu sais que j'aime bien satisfaire tes désirs !!
- Ben oui, la couleur et la grosseur... c'est viscéral ! Le rêve de toute femme blanche de transgresser le tabou et de se faire baiser par un noir, surtout avec une grosse bite... Mais il n'a que sa queue pour lui!
- Eh bien, continues, fais-toi plaisir, tu ne devrais pas être déçue... et je vais me régaler, tu sais que moi aussi, j'adore te voir te faire enfiler, par une énorme bite noire... »

J'attendis que Sahraan soit revenu, le regardant langoureusement, avec délicatesse je sortais mes seins par les fentes de la nuisette, puis commençais à enfoncer le bout du manche. Je tenais la drosse de la main gauche, le bout de mes doigts de la main droite s'activaient sur mon clitoris. Je les regardais à tour de rôle et des onomatopées de cris de plaisir sortaient de ma gorge. Je suçais avec application le manche qui commençait a être poisseux. Sahraan ne savait pas trop quelle attitude adopter, il se mit sur le côté pour que son patron ne rate pas une miette du spectacle qui était en train de le tétaniser. Il n'y avait pas longtemps qu'il était arrivé en France. Il s'était masturbé, et même pas plus tard que dans l'après-midi, en regardant sur internet des vidéos ou de jeunes et jolies blanches se faisaient baiser et sodomiser par des noirs aussi bien montés que lui, mais même dans ses rêves les plus fous, il n'aurait jamais pensé voir une jeune et jolie blonde habillée ainsi, complètement écartelée, se masturber sans vergogne devant lui, surtout après la vidéo qu'il avait visionné. Sa respiration s'accélérait, sa bite enflait, mais il restait stoïque.. Il devait penser qu'il devait y avoir « un truc »... car il ne comprenait pas pourquoi le vieux grigou, qui lui proposait un salaire correct, lui offrait en supplément cette magnifique petite salope de blonde aux yeux verts.
Ma main droite s'activait, petit à petit la totalité du manche entrait et ressortait, ma main gauche se mit à masturber mon clitoris. Le regard des deux hommes m'excitait, au bout d'un moment ma chatte commença à devenir vraiment humide, des gouttes de foutre coulaient sur mes cuisses.

« Ouuuuiiiii, je mouille, regardez... »

Je sortis le bout de bois, poisseux de mon foutre, le portais a nouveau à ma bouche et en les regardant amoureusement, je le léchais langoureusement. Le grand noir n'y tenait plus, il fallait qu'il participe, mais il n'osait pas... Alfred excitait ne demandait qu'a mater nos ébats...

« Alors Sahraan, ne vous ai-je pas demandé quelque chose...
- Si... Mademoiselle veut-elle bien me permettre »

Il me fit relever les jambes, essuya doucement d'une main frémissante ma chatte trempée avec une serviette récupérée sur la table, se pencha pour donner un léger coup de tondeuse sur mon petit triangle poilu. Il laissa tomber la tondeuse sur la moquette.
Il me remit doucement le manche de la brosse à cheveux dans la chatte, quitta son pantalon, son énorme queue jaillit aussitôt, droite et turgescente, comme demandé, il ne portait pas de slip. Il me la mit aussitôt dans la bouche.

« Non, continuez à lui masturber le clitoris, il faut la faire jouir...dit Alfred »

Il me souleva comme une plume, me porta sur la table, ma nuisette disparue comme par enchantement. J'étais couchée face à lui seulement vêtue de mes bas et de mon porte-jarretelles. Déchaîne, il me donna un baiser passionné, sa langue s'insinua profondément dans ma bouche, alors que sans aucun ménagement, il me pétrissait les seins. Le majeur de sa main gauche fouilla ma chatte, mais c'était mes seins aux pointes démesurément longues et aux aréoles brunes couvertes de chair de poule qui le fascinaient pour l'instant. Sa bouche se plaqua sur mon téton droit et il se mit à l'aspirer avec force, alors qu'il tirait fortement en le secouant sur mon mamelon gauche, j'adore que l'on martyrise les pointes de mes seins, il me tirait des cris d'extase. Attrapant mes seins durcis à pleine main et les serrant à la base, il aspira les bouts à tour de rôle a toute vitesse. Puis de nouveau saisissant chaque téton gorgé de sang entre le pouce et l'index, il les étira en les secouant, un long baiser vint clore mes gémissements. Trouvant surement que mes nichons n'étaient pas assez fermes, de petites claques s'abattirent sur mes globes laiteux, avant que ses dents ne viennent mordiller les hampes brunes de mes mamelons qui maintenant devaient friser les trois centimètres...
Il tomba à genoux, ses longues mains glissèrent sous les lanières de mon porte-jarretelles remontèrent le long de mes cuisses, s'insinuèrent sous la fine dentelle, caressèrent mon ventre et lentement ses doigts descendirent et se positionnèrent de chaque côté de mon clitoris, le décapuchonnèrent. Il appuyait doucement pour bien le faire saillir, puis il le titillait avec l'ongle de son pouce, ses lèvres aspirèrent le petit bourgeon rose devenu dur comme du bois. Satisfait de lui, il s'adressa à Alfred

« Regardez, Monsieur, elle aime ça, la petite Salope ! Son clitoris ressemble à un petit sexe... »

Effectivement, c'était vrai, provocante, j'envoyais mon bassin vers l'avant... et écartais encore plus mes grandes lèvres pour bien le dégager... Et qu'Alfred en profite. Il le téta avec ardeur, sa langue parcourait la longueur de ma chatte, s'y insinuait pour fouiller mon méat vaginal, il aspirait mon foutre, deux longs doigts s'insinuèrent en moi, me faisant hurler de bonheur. Son index et son majeur entraient et sortaient à toute vitesse. J'avais soulevé la tête et regardais les deux doigts noirs luisants de foutre, fouiller ma vulve, je lui attrapais la main, les portais à ma bouche et les suçais longuement, puis je les remis à l'entrée de ma chatte. Je ne voyais plus sa laideur, seules comptaient les caresses qu'il me prodiguait, et l'immense bite noire qui allait bientôt me pourfendre.

« Ajoutes en un autre... »

Trois doigts écartèrent mes parois vaginales, je hoquetais de plaisir, il y adjoignit son auriculaire... fouillant doucement la cavité trempée, puis d'un seul coup accélérait la cadence, ça me rendait folle de plaisir. Il cessa... Sa bouche repris possession de ma chatte et mon petit fruit rose connu alors une des meilleures « fellations » qu'il n'ait jamais reçue. Aspiré par les grosses lèvres lippues, mordillé par les dents blanches. Je sentais le plaisir qui montait toute vitesse. Il s'enhardit et deux doigts mouillés s'insinuèrent dans mon orifice anal, ce fut ce qui déclencha mon orgasme. Mon ventre se contracta, sous la violence du spasme qui me traversaient, mes seins tressautaient, un long gémissement d'extase sortit de mes lèvres, Sahraan accentua encore ma jouissance en enfournant sa langue dans ma chatte et en me malaxant les seins avec vigueur.
Je regardais mon vieux patron, il se masturbait, je savais à la grimace qu'il faisait qu'il se retenait d'éjaculer...

« Baise-la, maintenant, mets lui ta grosse bite noire... Elle n'attend que ça cette petite Salope, dit Alfred.
- Non, je voudrais bien qu'elle me suce, tu es d'accord Trixie ? Aucune femme blanche ne m'a sucé jusqu'à présent... Il paraît qu'elles sont plus expertes que les noires...»

Il se mit debout de profil, un mètre devant Alfred arborant fièrement sa colossale érection, je tombais à genoux devant lui. Il était bedonnant, avec des poignets d'amour. Ce n'était vraiment pas un apollon, mais Alfred me payait largement pour que je satisfasse ses fantasmes... Dans un genre différent, était presque aussi laid que Victor... mais comme lui, il avait une énorme bite. Je lui la remontait sur le ventre, son méat urétral dépassait son nombril.

« Alfred, tu crois que sa bite est plus grosse et plus grande que celle de Victor ? En tout cas, elle est noire...
- Je ne sais pas, me répondit-il, toi seule peut juger... »

De main gauche, je soulevais la hampe couleur ébène, ma main en faisait tout juste le tour. Celle de droite tira le prépuce bien vers l'arrière pour bien dégager le gland. Ma langue fit plusieurs fois le tour de la circonférence du gland, qui paraissait rose, contrastant avec la noirceur de l'imposant rouleau de chair dur comme du bois. Je tétais le bout du pénis, avalant le gland jusqu'au frein. Mes succions rapides, lui tirèrent des gémissements. Je mordillais doucement le corps spongieux. Ma langue monta et descendit plusieurs fois le long de cette énorme trique, j'aspirais doucement chaque couille les faisant entrer l'une après l'autre dans ma bouche. Ma bouche aspira à nouveau le gland, je m'appliquais à enfourner centimètres après centimètres le pieu monstrueux qui entrait et ressortait de ma gorge. Il avait la tête renversée, arc-bouté sur les talons.

« Ouuuiiiiii, c'est bon, c'est bon... continue petite Salope de blanche, tu aimes sucer ma grosse bite noire, salope, aahhhhhaaaaaa, aaahhhhhaaaa... personne n'avait avalé ma bite aussi loin... lèche bien... ouiiii c'est ça... ! »

La pointe de mes seins frottait contre ses cuisses. Du liquide pré-éjaculatoire coula dans ma bouche... je cessais ma fellation.
J'avais les jambes écartées, Alfred passa derrière moi, s'accroupit et insinua son majeur dans ma chatte trempée.

« Il faudrait passer aux choses sérieuses, sinon tu vas jouir encore une fois Trixie... »

Je n'attendis pas la réponse, et abaissais mes hanches, mon ampoule rectale offrit une légère résistance puis le pieu noir, s'enfonça lentement dans mon anus...

« Salope, salope, salope de blanche... »

Répétait-il, en envoyant de grands coups de reins, me faisant asseoir sur le haut de ses cuisses...
Alfred en grand scopophile, était aux anges, voir cette grosse bite noire me pourfendre par tous mes orifices, le comblait d'extase. Au plus, elles étaient grosses, au plus cela le satisfaisait. Je savais que l'excitation le gagnerait et qu'il finirait par me baiser lui aussi. Mais pour l'instant, je savourais cette sodomie, je sentais qu'il se crispait, que ses mains me serraient plus fortement la taille. Une fois que sa bite était bien au fond de moi, j'envoyais mon bassin d'avant en arrière, puis le faisait tourner, contractait mes sphincters pour bien enserrer la base de sa bite. Ce régime eut raison de sa résistance, d'un seul coup, au moment ou le plaisr me submergeait, il sortit sa verge de mon anus, et rapidement me l'enfila dans la chatte, elle se faufila entre les spasmes de mon vagin, il poussa jusqu'à la garde.

« Tiens, salope, tiens, prends ça, ouuuiiiiii, hhhhaaaaa; c'est bon... c'est bon, la chatte des petites salopes blanches... ouuiiiii, ouuuuui je jouuuiiiiii encore tiens, tiens....!! »

Il se vida longtemps en moi, sa semence tiède giclait en longs spasmes dans mon vagin. Puis épuisé, il tomba les bras en croix sur la table, la bite toujours au plus profond de moi.

« Eh bien, dis donc, me dit-il à brûle pourpoint, j'espère que tu as pris la pilule, car avec tout le sperme que je t'ai injecté... Mais j'ai vu la vidéo et j'ai comme l'impression que tu aimes bien que des noirs éjaculent dans ta chatte...
- Bien, dit Alfred c'est très bien ça... Sahraan vous, remplissez parfaitement votre rôle, quant à toi... Je sais que tu adores te faire baiser par des noirs, mais peux-tu m'expliquer ?
- Alfred, je sais qu'il y a quelque chose de dangereux a se faire sauter par un homme noir et encore plus à s'afficher avec lui. Je sais qu'ici, je ne risque rien, au contraire... Les stigmates de la société, les préjugés existent encore. Même si tout le monde aime prétendre que le racisme est essentiellement disparu, on se ment à nous-mêmes si on croit que c'est vrai. Être dans une relation interraciale est encore relativement tabou, en plus de rajouter les stéréotypes raciaux à propos des mecs noirs. Je ne te mentirai pas, tu te sens comme une rebelle à marcher dans la rue, tenant la main d'un noir. Mais il y a quelque chose de libérateur à te faire baiser par un homme noir. Tu n'as pas à te retenir et tu peux être exactement toi-même, comme tu es, et ils ne te jugeront pas pour ça. Comme quelqu'un l'a dit « combien d'hommes blancs peuvent traiter leur blonde comme une vraie femme ? ». Et puis désolée, mais leurs bites sont justes plus grosses. Avec un homme blanc, tu ne sais jamais à quoi t'attendre. Avec un mec noir, tu sais que tu ne seras pas déçue.
Alors pourquoi les femmes blanches aiment les noirs ? Je crois que la vraie question devrait être pourquoi les hommes noirs adorent les blanches ? Tu devrais la lui poser parce que je suis curieuse de la réponse. »

J'avais faite cette tirade en masturbant la vieille queue d'Alfred, il était au bord de l'éjaculation, je l'attirais entre mes cuisses, guidais son vieux sexe vers ma chatte ruisselante, il s'enfonça et éjacula presque aussitôt.

« Mais tu sais, Alfred, j'aime bien aussi les blancs assez âgés qui me passent tous mes caprices... »
Lui susurrais-je en l'embrassant. Sa semence déposée, sa libido de voyeur reprit le dessus.

« Je sais que tu aimes bien les situations, assez comment puis-je dire « osées » et tu viens de me dire qu'il y avait un certain danger à s'afficher avec un homme noir. Je me demandais si tu étais capable de tenter une expérience avec sahraan en public, discrètement bien sûr ! Si vous acceptez... vous aurez droit à une prime de risque conséquente, me dit-il en souriant. »

Il appela le et nous expliqua ce qu'il attendait de nous.
Le lendemain, suivi d'Alfred, main dans la main avec Sahraan, je pénétrais dans une boutique de vêtement. L'enseigne proposait sa marchandise aussi bien aux femmes qu'aux hommes. La clientèle était assez hétéroclite quant au sexe des acheteurs. Lors de notre entrée, les yeux se tournèrent vers notre couple, et je pus lire la surprise dans les regards surtout chez les hommes. Alfred m'avait revêtir une jupe ample assez courte, avec en dessous bas noirs et porte jarretelle, un débardeur moulant, attaché par deux fines lanières sur mes épaules. Il était assez transparent et le dessin de mes aréoles se devinait sous le fin tissus. Pensant a ce que nous allions faire, mes tétons pointaient et attiraient les yeux des mecs qui semblaient me dire.« Salope, qu'est-ce qu'une jeune et jolie blonde fabrique avec ce noir empâté, dégarni et laid comme un pou ? »
Pendant que nous faisions semblant de nous intéresser aux vêtements proposés, Alfred lui, cherchait l'endroit idéal. Il avisa une grande glace, sur un mur, dans un angle. Discrètement, il déplaça un portique sur roulette ou pendait une bonne cinquantaine de robes, si ce n'est plus...« Salope, qu'est-ce qu'une jeune et jolie blonde fabrique avec ce noir empâté, dégarni et laid comme un pou ? Il nous fit signe de passer derrière.
Je me mis à farfouiller dans le tas, Sahraan sans attendre passa derrière moi, seules nos têtes dépassaient. Mais Alfred pouvait mater dans la glace, tout ce qui se passait. C'était risqué, car d'autres personnes pouvaient aussi en profiter, mais c'est ce qui mettait du piment... comme disait notre vieux patron.
Les mains de Sahraan relevèrent ma jupe, il avait sorti sa bite, je la sentis glisser entre mes jambes et se frotter le long de ma chatte. Ses grandes mains noires relevèrent mon tee-shirt, il se mit à me tirer les mamelons, et à me caresser les seins avec vigueur. Cette situation m'excitait énormément. Ses mains se mirent à triturer mes fesses écartant mes cuisses, son gland frottait mon anus, tenant d'un main son énorme mandrin, il le frotta à l'entrée de ma chatte.

« Tu mouilles, salope me murmura-t-il à l'oreille... Cambre-toi un peu, que je t'enfile ma grosse bite noire devant tous ces petits blancs... Tu aimes, hein ? Je crois que tu voudrais bien qu'il y en ait un ou deux qui matent, non ?
- Oui, oui... enfile ta grosse bite... Oui, c'est ça, je la sens bien glisser... va doucement... oui... bien au fond... pas trop vite... oh putain que c'est bon !! »

Je trifouillais toujours dans les robes, me mordant les lèvres pour ne pas gémir, surtout lorsque ses grands coups de reins lascifs faisaient entrer entièrement son immense pieu noir. Il m'avait bien fait mettre la croupe tendue vers la glace. J'y jetais un coup d'œil, Alfred ne ratait rien du spectacle offert.

« Eh regarde... me chuchota Sahraan, il y a un vendeur qui vient...
- Oui... et alors... tu veux arrêter ? Je crois que je vais jouir deux fois plus fort...
- Non... Je veux que le blanc me vois éjaculer en toi... !! Ça me rend dingue, je ne vais pas tenir bien longtemps... »

Le gars s'approcha d'Alfred.

« Bonjour, Monsieur.. vous cherch.... »

Il se figea en une statue de pierre en apercevant l'image que la glace renvoyait. Sa bouche se fermait et s'ouvrait toute seule, mais aucun son ne sortait. Il se planta à côté d'Alfred qui lui fit un clin d'œil.
« Pas mal, hein !! Vous avez vu sa bite, colossale ! Il arrive à tout enfiler a cette petite Salope. Il faut les laisser aller au bout... Vous n'y voyez pas d'inconvénient ?

- N...no....non.... »

Bégaya le vendeur, qui n'aurait jamais cru assister a une telle exhibition dans son magasin.
Comme pour bien lui faire admirer la grosseur et la longueur de sa bite Sahraan la sortait et la rentrait très lentement, tout en fixant les yeux du vendeur dans la glace. Il s'appliquait avec un coup de rein plus appuyé a bien enfoncer la totalité de l'énorme piston noir au fond de ma chatte ruisselante.

« Je...je crois que je vais jouir... écarte bien les jambes... qu' il voit bien... ou j'éjacule... dans la jolie blonde ! »
Sa queue était sortie, un peu de son sperme coula dans la raie de mes fesses, puis d'un seul coup, il entra la totalité de son membre et se vida dans ma chatte, avec un regard goguenard du direction du « petit blanc » qui le regardait.
Je tombais à genoux devant lui, et ma langue se mit à lécher la gigantesque hampe noire trempée de cyprine. En regardant le jeune homme, qui lentement reprenait ses esprits, je déglutis le foutre mêlé au sperme ainsi récupéré. Nos habits furent vite remis en ordre, en passant devant le vendeur, je lui caressais l'énorme bosse qu'il avait au niveau de son sexe, et je l'embrassais tendrement sur une joue.
« Espèce de Salope... »

A suivre....

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