L'Après Anniversaire

Mon job m’ emmène souvent dans des petites villes. Je choisis toujours un bon hôtel pour être logé convenablement. Par contre je préfère prendre mes repas dans un restaurant fréquenté par des travailleurs style maçons ou autres. Je fais cela, non pas pour faire des économies, je suis remboursé pas ma boite, je pourrais aller ailleurs. Je reste là à cause des copains qu’on peut se faire. C‘est beaucoup plus sympathique que dans un restaurant aux maitre d’hôtel toujours à vous servir et surtout je ne connais vraiment la ville que comme je fais. Nous sommes toujours placés à la même place. A ma table il y a entre autre une jeune femme d’environ 25 ans, qui travaille chez un architecte. Après plusieurs jours d’observation, enfin elle consent à m’adresser la parole autre que « passez moi du pain ou de l’eau s’il vous plait «  . Elle annonce, un soir, que c’est son anniversaire. Comme elle est la seule fille de la table, nous lui souhaitons un bon anniversaire, avant de nous cotiser pour lui payer ne bouteille de champagne. Elle est contente, c’est le principal. Nous partons tous ensemble, nous nous séparons sauf avec Cathy que j’accompagne étant sur mon chemin. Je crois que le peu de champagne lui a tourné la tête. Elle n’est pas ivre, mais commence à parler sans cesse. Je la laisse s’exprimer, surtout qu’elle commence à raconter une partie de sa vie:

« Elle vient d’une banlieue lointaine, loge en ville pour être proche de son travail. Il avait un ami qu’elle n’a plus revu, alors qu’il lui avait promis de venir au moins une fois par semaine. Il lui manque pas seulement pour sa compagnie, mais surtout parce que………… »
Elle ne finit pas sa phrase.
Je comprends qu’elle est sevrée depuis quelques mois de certains plaisirs. Elle continue sur un ton plus léger;
«  Au fond je m’en fiche, je sais comment me passer de lui, depuis que je m’arrange toute seule. »
Ce n’est pas le genre de chose à me dire, moi qui suis seul dans cette ville alors que ma femme m’attends à la maison.

D’ailleurs que fait-elle à cette heure. Elle doit regarder la télé, comme d’habitude avec une main entre ses jambes se caressant le minou, comme souvent. D’accord je ne me prive pas de branlette.
Cette nana commence à me donner envie d’elle. C’est ainsi que je l’ai arrêtée au beau milieu du trottoir pour l’embrasser. Elle s’est laisser faire, surtout quand ma langue est partie à la recherche de ses endroits perdus de sa bouche. Je l’ai collé contre une façade pour mieux l’embrasser. Et puis, je me suis mis à bander. Elle sait fort bien ce qui arrive. Cathy, n’est pas tombée de la dernière pluie. Elle sent fort bien mon érection. En posant le plus prêt possible son ventre contre le mien, elle commence à me caresser. Je la lâche pour moi aussi lui faire des caresses sur sa poitrine.
Si elle se laisse faire, c’est pour mieux venir chercher ma queue. Elle essaie de la sortir de sa cachette. N’y arrivant pas, elle se contente de masser par-dessus le pantalon, Drôle de position pour un couple de se prêter déjà à des palpations en pleine rue. Elle s’en rend compte et me demande de venir chez elle.
Ce n’est pas très grand chez elle, en tout cas assez pour la suite prévisible de nos ébats. A part la cuisine et un « salon » très petit qui permet de voir un programme télé seul ou à peu près, sa chambre est la seule pièce à vivre. C’est là qu’elle emmène. C’est là que nous reprenons nos baisers. Je veux encore lui caresser les seins. Elle m’arrête gentiment pour me montrer tout son corps, au cour d’ un striptease complet. Elle n’a aucune honte à se montrer nue devant moi. Au contraire puis qu’elle peut enfin sortir ma queue. Elle se penche légèrement pour la prendre dans sa bouche:
- Ta bite a un bon goût, je la sucerai tout à l’heure.
- Et moi je t’en ferai autant.
- Si on le faisait ensemble: c’est bien meilleur, non ?
- Oui, on fera un 69 promis.
- Quand tu es seule, tu te branle ?
- Bien sur, je me contente de ça avec un godemiché, et maintenant que je t’ai sous la main,, je vais profiter de ton sexe.

Elle lâche ma pine pour me dépiauter de mes vêtements. Quand je suis nu, elle revient pour que nous nous embrassions encore. Cette fois elle peu prendre ma queue à volonté, comme je peux continuer à caresse particulièrement un seul sein. L’autre est mobilisé par ma bouche dès que je peux lâcher la sienne.
Elle se couche et sans dire un mot, elle écarte déjà les jambes. Je me couche la tête entre ses jambes. Ma langue lèche l’intérieur de ses cuisses. Elle frémit déjà. Quand j’arrive là, vers son sexe, elle prend ma tête pour la guider, comme si j’avais besoin de son aide pour venir la lécher. Je me laisse conduire pour lui faire plaisir. Elle m’emmène vers son clitoris. Je commence par le caresser avec le bout de la langue. J’arrive petit à petit à la faire jouir. Je reçois dans le bouche une bonne ration de cyprine. Je ne le lui dit pas: elle a le même goût que celui de ma femme. Je descends lentement vers son vagin où je ne met qu’une petite partie de la langue. Enfin je vais bien plus bas: je lèche son anus. Pour elle c’est la première fois qu’une langue vient sur son petit trou. Elle voudrai m’en empêcher; trop tard, je la fait jouir quand j’entre dans son cul.
Elle meurt d’envie, comme moi de se la faire mettre. Elle m’attire, m’embrasse encore et passe ses jambes autour des miennes, m’y emprisonnant. Ma bite va sur l’entrée secrète. Je lui caresse encore le bouton avec le bout de ma bite et enfin j’entre en elle: elle pousse un gros soupir quand je la lui met au fond du vagin. Nos vas et vient sont synchrones, elle gémit tout le long de la baise. Je la sens jouir autour de ma bite. Je n’arrête pas pour autant: je veux la faire jouir au maximum, puisqu’elle n’a pas jouit depuis longtemps, d’une façon normale, comme pour être écolos, directement avec une bite sans l’intermédiaire d’un gode qu’elle m’a dit avoir.
Je suis sur le point de jouir quand elle me demande de l’enculer. Heureusement que je suis obligé de sortir de son vagin: ça calme un peu mon désir d’elle.
Elle se met presque en levrette, elle peut et ne s’en cache pas se caresser le clitoris pendant que je suis dans son cul. Elle sait se servir de son anus: j’entre assez facilement dans son intérieur. Elle est bouillante à l’intérieur je m’en délecte. Je commence les vas et viens qu’elle accompagne jusque-au moment où elle se branle. Je peux tout voir: elle commence par le clitoris, jouit, recommence par la vagin en y mettant deus doigts. N’y tenant plus, elle se farci avec le gode pour sentit une double pénétration. Elle ne se rend pas compte quand faisant cela, elle m’excite encore plus. Je ne peux plus tenir: si elle a joui plusieurs fois je ne l’ai pas encore fait. Il me semble que je dois lui mettre bien un litre de sperme.
Elle est un peu déçue de ma jouissance trop rapide. Comment tenir avec une fille aussi sensuelle? Je lui prend le gode pour l’enculer moi-même. Elle accepte le compromis. Ma main remplace la sienne et je l’encule comme si c’était ma pine. Je met à nouveau ma langue sur son sexe et la lui entre le plus possible dans le vagin. Ce que je lui fait doit plaire: elle jouit encore: je regarde son anus quand elle a un orgasme: c’est excitant de voir les contractions autour du gode: me yeux dans son vagin sont proches de son cul. J’en profite.
Enfin elle jouit pour un final. Je lui rappelle qu’on doit faire un 69. Elle l’avait presque oublié. Je me couche sur le dos: elle vient sur moi pour encore un long baiser. Enfin elle se tourne pour venir sa bouche à la hauteur de ma bite. Elle m’enjambe pour mettre tout son sexe sur ma bouche. Je sens d’abord ses lèvres qui viennent enserrer ma queue. Elle se sert de sa langue et de sa bouche ensuite: je crois que ma pine est entre sa langue et une joue.
Je lèche tout son con. Je trouve des endroit où je n’ai pas été. Je la sens jouir: elle n’arrête pas la fellation. Juste avant de jouir, je l’en averti: elle continu en accentuant ses caresses. Quand je jouis, elle garde mon sperme dans la bouche.
En se relevant, elle ouvre sa bouche pour me montrer qu’elle ne va pas le cracher: elle l’avale doucement avant de m’embrasser: les goûts de nos sexe se mélangent.
Jusqu’au dernier jour, avant mon retour chez moi, nous baisons souvent avec des variantes, selon l’humeur. Je lui ai fait un cadeau avant de partir: nous sommes allés dans un sexshop pour qu’elle choisisse ce qu’elle veut: elle a pris des boules de geisha et une gode vibrant.

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