Pour Son Plaisir (09)

9 – Les soirées au domaine

La première soirée qui eût lieu au domaine fut un samedi, après plusieurs semaines de présence. Chacun avait pris un peu de musculature et s’était endurci. Certes, les coups reçus étaient toujours douloureux, mais la douleur faisait parfois place au plaisir. Il n’y avait que Rémi qui ne s’y habituait pas. Le pauvre, il dégustait pourtant !
Le samedi matin, Françoise, qui nous donnait notre panier de linge propre nous fit chacun un clin d’œil. Lorsque nous sommes retournés dans la chambre, nous avons découvert au fond du panier un nœud papillon, des manchettes, des chaussettes blanches et des rangers. C’était la première fois que nous avions ceci. Nous venions de passer presqu’un mois et jusque-là nous avions eu que notre linge habituel. Thomas nous demanda de ranger ces accessoires dans notre placard. La matinée se déroula comme d’habitude : cours, interrogations suivies de brimades. Le repas ne fût pas plus copieux que les autres jours : rien ne laissait présager que la soirée serait longue. Après la sieste, nous eûmes droit à une initiation au massage. Là encore, le samedi c’était une chose habituelle. Mais vers 16 heures, Thomas entra dans la salle et nous demanda de le suivre. Nous nous sommes dirigés vers la chambre où il nous a demandé de nous préparer : douche, puis linge sale dans le panier puis enfiler les accessoires. Chacun de nous s’est activé. Nous nous sommes aidés pour mettre les manchettes blanches, avec un bouton noir et ce à chaque poignet. Nous avons ensuite mis notre nœud papillon autour du cou puis les chaussettes et les rangers. C’est dans cette tenue que nous sommes descendus remettre le panier de linge à Françoise qui nous accueillit avec un grand sourire ! A chacun, elle donna une petite tape sur le sexe, histoire de nous faire réagir ! Ce fut le cas de Marco qui bandait très facilement. Puis Thomas nous demanda de le suivre près de la piscine. Nous avons alors dû installer des tables et des chaises, une tonnelle et préparer une table pour un buffet.

La table du buffet n’était pas très longue mais elle pouvait contenir quelques assiettes. Les places assises étaient au nombre de 10 réparties de part et d’autre de la table. Les chaises avaient un coussin rouge assez épais. Près de la table, nous avons dû installer une sorte de potence d’où pendaient différents bracelets : 5 au total. Puis Thomas nous demanda de se mettre face à lui. Il sortit d’un sac des cockrings que nous avons dû enfiler, maintenant la bite et les couilles. Puis à chacun de nous, il fixa une cage, semblable à celle que j’avais protée avant d’entrer à l’école. Jean-Luc, qui avait la plus grande bite de nous tous semblait très mal à l’aise. Marco et Yves se déplaçaient bizarrement. De mon côté, j’avais oublié cette prison et le fait de remettre cet instrument ne me plaisait pas trop. Thomas nous montra les six clefs des cadenas, qu’il mélangea et qu’il déposa au centre de la table où les invités pourraient prendre place.
Il était environ 20 heures, Thomas nous demanda d’attendre les invités, debout, dehors, face à la piscine. Il nous recommanda à chacun d’être aimable, serviable et de ne contrarier personne. C’est Thierry qui posa une question :

- Qui attend-on ?

A notre grande surprise, Thomas nous donna une réponse :

- Ce soir nous accueillons trois couples et 4 hommes. Ce ne sont pas des gens violents. Ils viennent se distraire. Leur but est de s’amuser. Certes, vous risquez de subir quelques châtiments, mais tout ceci restera soft et compte tenu de votre avancement dans l’école, vous trouverez cela beaucoup moins pénible que vos séances d’endurance. Il y aura donc 7 accueils à faire. Thierry, puisque tu es le plus bavard, tu feras le premier et le dernier. Ensuite, vous les servirez en passant leur offrir boissons et petits fours. En aucun cas vous ne devez vous servir pour vous. S’il y a des restes, vous les aurez en fin de soirée. Quand ils auront terminé leur repas, ce sont eux qui disposeront de vous.
Chacun aura une clef et pourra vous repérer. Ah ! j’oubliais, les couples sont mixtes bien sûr !

Nous nous regardâmes chacun notre tour, des femmes allaient pouvoir s’amuser avec notre corps : Cela semblait ravir Marco, pour ma part, j’étais plutôt gêné, n’ayant jamais eu de rapports avec une femme. Il nous a fallu encore attendre près d’une heure. Thomas alluma les lampes près de la piscine et les quelques lampions autour de la table. Il ne faisait pas froid, mais attendre comme ça nous refroidissait un peu. Thomas disparut environ un quart d’heure. Quand il revint, il était habillé d’un smoking. Il était encore plus craquant comme ça !
Quelques instants après, le premier invité arriva. Thierry se dirigea vers lui, le salua sans le toucher et le pria d’avancer vers la piscine. L’homme salua Thomas puis vint vers nous et nous examina un par un. Je dus ouvrir la bouche. Il m’enfonça un doigt tout autour de mes dents. Il fit pareil à Jean-Luc et à Yves. Puis il alla discuter avec Thomas. Thierry s’avança vers eux pour leur offrir du champagne. Pendant la discussion, un couple fit son apparition. Je fus chargé de m’en occuper, par un signe de Thomas. Je les saluais tous les deux en essayant de cacher ma bite. La dame me prit la main pour me l’enlever de devant mon sexe. Je les fis rejoindre la piscine. La dame alla toucher tous les sexes enfermés. A chaque fois que Thierry s’approchait avec des verres, elle lui touchait le sexe ce qui lui faisait faire un petit mouvement de recul.
Les autres invités arrivaient, les uns derrière les autres, jusqu’au dernier attendu. Thomas les invita à prendre place à table et nous fûmes chargés de les servir à l’assiette. Heureusement que nous avions eu des cours durant les semaines précédentes, ne serait-ce que pour tenir les plateaux ! A chacun de nos passages, nous avions droit à des caresses sur les fesses, les couilles… Une des invités me caressa même les jambes et les bras, flattant la douceur de ma peau en l’absence de tout poil.
Durant le repas, cette dame, qui s’appelait Evelyne, me pria de m’asseoir sur ses genoux, comme un petit garçon. J’obtempérai tout en faisant attention de ne pas mettre tout mon poids sur elle. Evelyne me complimenta sur mon visage et mes muscles. Elle me donna quelques bouchées à manger, comme elle l’aurait fait à un bébé puis me donna un grand verre d’eau à boire. Depuis que nous étions là, nous n’avions eu ni à boire ni à manger, j’en profitais donc ! Je restais sur elle un bon quart d’heure avant de reprendre mon service.
Effectivement la nuit fut longue… Et nous n’avions pas eu le droit de boire, de manger ou même de pisser ! Rémy semblait très gêné de ce côté-là. Il interpella Thomas, discrètement, qui ne l’autorisa pas à quitter « la scène ». Enfin le repas se terminait. Nous avons débarrassé la table, amenant le tout aux cuisines. Nous en avons profité pour aller aux toilettes… et pour nous restaurer succinctement. J’étais le seul à avoir eu droit à quelques morceaux !
Puis Thomas nous demanda de nous rendre à nouveau à la piscine. Nous fûmes étonnés de voir quelques invités à moitié nus ! Des hommes surtout, dont un, un peu bedonnant, qui avait « perdu » tout le haut de son vêtement. Thomas annonça la course à la clef. Chaque couple avait récupéré une clé correspondant à l’une de nos cages. Deux hommes formaient un couple et avaient également une clef. Nous nous sommes mis devant la piscine et chaque possesseur d’une clef vint nous observer. Puis ils firent leur choix. Je suis tombé sur le couple où la femme s’était beaucoup intéressée à moi. Chacun essaya alors sa clef sur notre cage. Seul Yves était tombé sur quelqu’un qui avait sa clef. Sa cage défaite, son sexe se développa pour le grand plaisir de l’homme qui l’avait en mains. Il le masturba puis le pris en bouche sous les applaudissements des invités. Tout le monde se concentrait maintenant sur Yves. Il fut attaché à la potence : les mains liées au-dessus la tête, le cou enserré dans un collier attaché à la potence et les pieds écartés et attachés.
Une dame vint se frotter contre lui et surtout son sexe bandé. Elle le suça puis l’embrassa tout en lui malaxant les couilles. Un homme est venu, baissa son pantalon et lui présenta son cul. Le sexe d’Yves glissait sous les fesses du gros bedonnant. Puis chacun reprit ses esprits. Le « propriétaire » d’Yves revendiqua son bien et le détacha. Il l’invita à le suivre un peu plus loin. Pendant ce temps, les autres possesseurs de clefs purent choisir un autre garçon. Je tombais maintenant sur le couple d’hommes. Marco et Rémy eurent la queue délivrée. Marco était ravi : une femme l’avait pris en mains et il semblait tout heureux. Quant à Rémy, c’était un homme plutôt doux qui le prit pour s’occuper de lui. Restaient Jean-Luc, Thierry et moi. Un autre échange et Thierry fut délivrer. Il ne restait donc que deux clefs à essayer. Je suis tombé sur un homme seul, ravi de s’occuper de moi, tandis que Jean-Luc était donné au couple dont la dame poussa un cri en voyant le sexe de Jean-Luc se déployer. L’homme sur lequel je suis tombé n’était pas tout jeune, je lui donnais une soixantaine d’années. Il m’emmena dans une chambre, de l’aile gauche, au premier étage. C’était une grande chambre avec un lit, des miroirs autour de la pièce et une salle de bain attenante. L’homme qui se présenta sous le nom de Claude, me demanda de le déshabiller. Je lui ôtais ses chaussures, ses chaussettes et son pantalon. Il n’avait déjà plus sa chemise. Il lui restait un slip blanc plutôt propre, qu’il conserva. Il me demanda d’ôter mes accessoires et me tendit une petite jupe qu’il voulait que je porte ainsi qu’un maillot très serré, une paire de collants et des chaussures à hauts talons. Je le dépassais d’au moins deux têtes ! Quand je me vis dans le miroir je me sentais ridicule, mais Claude semblait apprécier. Il me demanda ensuite de lui faire un strip tease. J’ai commencé par les chaussures que j’ai retirées une à une en le fixant dans les yeux. Il commençait déjà à se tripoter. Puis j’ai retiré le haut : un petit maillot qui me serrait très fort. Claude me demanda de m’avancer, là, il me caressa la poitrine et m’embrassa. Son haleine n’était pas très fraiche, mais il embrassait plutôt bien ! Ensuite j’ai continué le strip en enlevant le collant que j’ai pris soin de lui mettre autour du cou. Ma bite était au garde à vous et la jupette ne cachait plus rien. C’est là que Claude m’a pris par le bras et a quasiment déchiré le jupe. Je me retrouvais maintenant nu devant cet homme qui me caressait les fesses en prenant ma queue dans sa bouche. Lorsqu’il le souhaita, il baissa ma tête vers son membre viril qui était maintenant presque raide. Je l’ai sucé pour qu’il prenne la pleine puissance, en lui caressant les couilles qui étaient assez poilues. Claude me demanda de ralentir, il ne voulait pas jouir tout de suite. Il s’allongea sur le lit et comme je le faisais avec Jacques, je suis allé me lover, ma tête sur son ventre pour lui lécher la bite. Il me caressait la tête puis il explosa dans ma bouche ! Son sperme n’était pas le meilleur que j’ai bu mais je m’efforçais d’être un bon élève et je le nettoyais jusqu’à ce qu’il me demande d’arrêter. Il a ensuite voulu que je me branle devant lui et a aspiré tout mon sperme lorsque j’ai éjaculé. Après un moment de repos où il m’a caressait, en me flattant, nous avons rejoint le reste des invités. Je n’avais pas remis mes accessoires et c’est entièrement nu que je l’ai accompagné.
La fin de la soirée se transforma en orgie où chaque invité, désormais nu, s’occupait d’un « boy ». Entre caresses, enculades, quelquefois fessées, tout restait finalement très soft ! Seul Jean-Luc eut du mal à se défaire de chaque invité qui voulait « l’essayer ». Surtout Evelyne qui voulait absolument goûter son sucre d’orge ! Il fut assis sur une chaise pendant qu’hommes et femmes se succédaient pour s’enfiler sur lui.
Quand la soirée fut terminée, il devait être 2 heures du matin, nous avons dû nettoyer les lieux puis nous avons regagné notre chambre, un peu usé par la journée. Le lendemain, la journée commença comme les autres, comme si rien ne s’était passé !
Un autre « jeu » a été beaucoup plus difficile à supporter, par nous tous. Nous étions alors début août. Le temps était très orageux. La « soirée » a commencé très tôt dans l’après-midi.
Ce samedi matin c’est Karim qui vient dans la chambre. Le tonnerre gronde à l’extérieur. Ce matin, nous allons faire un jogging, mais nous ne devons mettre que le short et les baskets, rien d’autre. Pendant le jogging, je remarque au loin de nouvelles installations placées près de la piscine, dans le parc : un carcan comme au moyen-âge, une potence semblable à celle que nous avions eu lors de notre première soirée, des piquets. Je ne fais pas plus attention, de toute façon, nous devons courir. Nous revenons sur le devant du château, comme notre parcours habituel. Pendant le parcours sportif, il commence à pleuvoir : une forte pluie avec de la grêle. Karim nous autorise à rentrer mais avant nous devons nous déshabiller pour ne pas salir ! Nous passons à la douche puis au petit déjeuner. Le reste de la matinée nous n’avons pas de cours comme à l’habitude mais nous devons préparer une salle au premier étage du bâtiment central : une table, des chaises. Nous devons également y mettre 3 caisses. Je remarque que ces trois caisses sont percées chacune de deux trous. Nous avons droit à une pause, ce qui n’est jamais arrivé un matin ! Nous en profitons pour faire une petite bronzette, le temps étant rétabli. Après le déjeuner, nous devons nettoyer correctement chambre, salle à manger, douches… puis Karim nous rassemble et nous demande d’enfiler notre mini-slip. Ce n’est pas la première fois qu’on le porte : c’est un slip de strip teaser qui nous rentre dans les fesses et qui a un bouton pression de chaque côté. Nous devons ensuite enfiler nos baskets et c’est dans cette tenue qu’il nous emmène près de la piscine. Il est environ 15 h, le soleil est très chaud, mais le temps reste orageux. Karim est rejoint par Thomas qui nous salue et nous indique que l’après-midi et la soirée seront consacrés aux « clients » pour une chasse. Nous serons les gibiers. Nous nous regardons un peu inquiets. Thomas nous recommande d’enlever tous les accessoires qui pourraient nous blesser : cockring, percing etc. Il ramasse le tout puis nous laisse quelques minutes. Il revient, accompagné de 6 hommes habillés en tenue militaire. Il nous présente chacun notre tour au groupe. Il avance un chapeau dans lequel il y a des petits papiers. Chacun doit tirer un papier. Sur chacun, il y a une contrainte à respecter. Thierry, le premier qui tire le papier obtient « pieds nus ». Il doit se déchausser, Jean-Luc tire « masque ». Karim lui enfile un masque à gaz avec lequel sa respiration sera plus difficile et surtout un manque de visibilité. Je tire le suivant : « menottes ». Mes mains sont attachées dans le dos. C’est au tour à Marco qui tire « boulet ». Karim lui attache au pied une boule qui ressemble à une boule de bowling. Yves a droit des clochettes autour du cou et en bracelets et enfin Rémy qui tire le dernier papier doit porter des genouillères qui l’obligent à marcher à quatre pattes. Thomas nous indique ensuite la règle : nous avons un quart d’heure pour quitter les lieux. Le but est de ne pas se faire prendre par les chasseurs. Au coup de sifflet, chacun peut aller où il veut à l’intérieur du domaine, à l’exception du bâtiment principal. Lorsque nous entendrons à nouveau le sifflet, les chasseurs se mettront à notre recherche et celui qui sera trouvé sera soumis en totalité à son chasseur.
Dès le coup de sifflet, je cours un peu n’importe où pour commencer, mais très vite j’essaie de me trouver une planque. Je remarque Rémy qui a du mal à courir tout comme Jean-Luc qui avec son masque ne peut pas s’essouffler. J’avais repérer lors des joggings matinaux un coin un peu à l’écart avec une cabane à outils. Je me dirige vers celle-ci. A l’intérieur, il y a pas mal de recoins, je me cache dans l’un d’eux. Je suis bientôt rejoint par Thierry qui a déjà des coupures aux pieds. Il ne me voit pas. Il respire très fort et semble parler tout seul. J’entends le deuxième coup de sifflet. Très vite, des chasseurs hurlent. Les hurlements se rapprochent. J’observe un peu sans me faire remarquer et je vois Thierry qui regarde par le trou dans la porte. Je l’entends dire « Merde, ils viennent ici ! » Et peu de temps après, un des chasseurs est là et crie « j’en ai un ». Visiblement il est le premier. Fier de sa prise, il ne me voit pas et ne cherche même pas ailleurs dans la petite cabane. Thierry, lui est ligoté, bras le long du corps. Il ne peut plus bouger. Un bâillon lui est mis dans la bouche puis une cagoule l’aveugle. Il est maintenant allongé sur le sol et le chasseur lui pisse dessus. J’entends un cri étouffé de dessous la cagoule… J’essaie de ne pas trop bouger pour ne pas me faire remarquer. Quand le chasseur a fini de pisser, il retourne Thierry qui se trouve maintenant sur le dos. Je vois le chasseur se mettre à genoux sur lui et lui enlever le slip. Il lui tord les couilles, sans ménagement puis met Thierry sur ses épaules, et l’emmène. J’attends un petit moment puis je vais voir au trou de la porte : personne en vue. Au loin, j’entends un bruit de clochettes, je pense qu’Yves a été trouvé, puis, quelques instants plus tard, j’entends la voix de Marco qui hurle. Une pluie orageuse tombe à nouveau. Des éclairs, du tonnerre ! Mais la chasse continue, je n’ai pas de nouvelles ni de Rémy ni de Jean-Luc, mais maintenant je pense que c’est chacun pour soi… J’entends un chasseur s’approcher. Je rejoins ma cachette. Je suis accroupi derrière un tas de vêtements et d’outils. Mes mains attachées dans le dos m’empêchent de bien disposer le tout. Le chasseur est tout près de la cabane. Un coup de tonnerre, et je l’entends entrer et pester contre la pluie. Je me terre dans ma cachette. Il laisse la porte ouverte et crie « on en est à combien ? » Au loin, j’entends « Cinq, il en manque un ! ». Je suis donc le dernier à n’avoir pas été trouvé. Un éclair, un coup de tonnerre, le chasseur claque la porte et commence à regarder autour de lui. Bien sûr, il me trouve ! Le mec est assez costaud, il me déloge et tout de suite m’enlève le slip. Je ne peux rien faire avec mes menottes. Il me tire par la bite et me met sa langue dans ma bouche. « Alors mon gaillard, on a bien résisté ! Mais maintenant tu es à moi ! Comment tu t’appelles déjà ? » Je lui réponds « Cédric ». Il me pelote la poitrine et me tord les tétons. « Allez, on attend tranquillement la fin de l’averse et on y va ! » Puis il me ligote le haut du corps, me laissant les jambes libres. Il m’attache une corde à la bite en la serrant assez fort. Il tient la corde et tire dessus pour que je le suive. Il ouvre la porte, la pluie s’est un peu calmée. Il m’entraîne en courant. J’ai du mal à suivre et à la première flaque, il fait exprès de me tirer plus fort, ce qui me fait tomber en plein dans la flaque de boue. Il rit en me voyant, m’aide à me relever et nous voilà reparti vers le château. Deux fois encore, je tombe. Je suis dégoulinant de boue et d’eau ! Quand on arrive sur la terrasse, les autres chasseurs applaudissent. Je vois mes camarades dans des positions différentes : Thierry est attaché sur la potence, les pieds en haut et la tête en bas. Son corps se balance. Il est lui aussi couvert de boue et a dû certainement recevoir la dernière pluie. Puis il y a Yves, attaché au-dessus d’une sorte de haie, les mains et pieds liés, le cul bien en évidence. Lui aussi est dégoulinant d’eau. Marco est attaché à un piquet, la bite bien en évidence. Rémy a la même position que Marco, mais lui c’est le cul qui est mis en évidence. Jean-Luc a les jambes écartées retenues par une barre, ses mains sont attachées en haut d’un piquet, avec des chaînes. Mon chasseur enlève mes liens, mes menottes et me demande d’entrer dans le carcan. J’ai la tête et les mains prises. Il m’attache ensuite les jambes, je ne peux plus bouger. Je vois un chasseur qui amène un plug assez impressionnant. Ouf, ce n’est pas pour moi, c’est pour Yves qui pousse un grand cri quand on lui enfonce. Il reçoit deux grandes claques sur les fesses. Puis ils s’éloignent tous, entrant dans le château. Ce doit être la fin de l’après-midi, le soleil est revenu, mais il commence à descendre. Nous échangeons nos impressions sur cette après-midi. Chacun espère que ça va bientôt se terminer. Thierry me demande pourquoi je ne me suis pas fait entendre quand il était dans la cabane… Je ne sais trop quoi lui répondre, mais il convient qu’à deux on aurait eu encore moins de chance ! Les autres expliquent leur stratégie, mais avec les accessoires que nous portions, nous n’avions guère de chance de ne pas être pris. Jean-Luc a eu beaucoup de mal à courir, il n’arrivait pas à reprendre sa respiration avec son masque. Maintenant Thierry, la tête en bas, espère ne pas rester trop longtemps dans cette position. Yves se plaint de ce qu’il a dans le cul. Il ne peut pas pousser, le plug est retenu par une fixation à une ceinture qu’on lui a posée. Je suis le moins contraint dans ma position, même si je ne peux pas trop bougé.
Visiblement ils sont en train de manger à l’intérieur. On les entend rire et chanter au loin. Je sens la boue sécher sur moi… Deux bonnes heures passent. Il commence à faire noir dehors. Yves qui n’en pouvait plus, se pisse dessus, tout comme Marco. Thomas vient nous voir. Il nous annonce que la soirée n’est pas terminée que nous allons encore subir quelques outrages. Il utilise ce mot qui fait réagir Rémy. Mais ce dernier n’obtient aucune réponse.
Quand les chasseurs reviennent, ils sont torse nu. L’un d’eux, celui qui m’a attrapé, annonce « la suite des festivités ». Il annonce également une punition pour les premiers attrapés. Thierry, le premier attrapé doit, dans sa position (tête en bas) sucer l’un des chasseurs qui lui présente son membre bandé. Les autres le regardent. Il s’enfonce consciencieusement au fond de la gorge de Thierry qui semble s’. Lorsqu’il se retire, c’est pour lâcher sa semence sur la tête de Thierry, sous les applaudissements des autres. Un deuxième chasseur s’approche de Marco et lui plaque des orties sur les couilles. Marco hurle comme jamais ! Il fait la même chose à Jean-Luc qui lui aussi hurle… Yves se voit retirer son plug pour prendre à la place deux chasseurs les uns à la suite des autres. Comme il ne peut pas bouger, il se contente de crier. On lui met son slip dans la bouche, slip qui avait traîné dans la boue ! Quand à Rémy et à Moi, nous avons également droit à une bite de chasseur dans le cul. Ils graissent un peu notre cul et tous les deux en même temps nous nous faisons enculer. Pas très longtemps, mais avec une certaine brutalité. Ils se retirent en même temps, et se finissent sur notre dos.
Pendant qu’ils se rajustent leur treillis, nous sommes détachés. Nous devons retirer tout ce que nous avons sur nous. Pour moi, c’est très simple, je n’avais plus que mes chaussures. Puis nous devons suivre le groupe de chasseurs, à la lueur de lampes de poche, au bout du parc, un endroit encore inconnu pour nous. Il s’agit essentiellement d’une grande pelouse, détrempée par les orages de la journée. Nous arrivons ensuite dans un petit bois, où nous distinguons une sorte de parcours. Il s’agit d’un mini parcours militaire : un mur à gravir, des haies, etc… on nous ordonne de se mettre en position de pompes, puis nous devons nous exécuter sous les cris et les insultes de nos bourreaux. Marco est le premier à craquer. Il n’arrive plus à tendre les bras. Il est relevé par l’un des chasseurs. La séance de pompes est alors terminée et nous assistons à une punition de notre camarade. Il est attaché à un arbre et reçoit de chaque chasseur une dizaine de coups soit avec les mains, soit avec une ceinture. Il peut crier tant qu’il veut, chaque chasseur s’acharne sur son cul. Lorsqu’ils ont terminé, nous devons gravir (toujours nus) le mur de 2,50 m environ. Il faut prendre de l’élan et sauter pour attr le haut du mur, puis le gravir et sauter de l’autre côté. Je suis le premier à passer. Je fais trois essais et j’arrive enfin à atteindre le mur. Il faut ensuite que je me hisse pour passer dessus. De l’autre côté, ce n’est pas un tapis, mais de l’herbe très humide dans un trou rempli de boue. Je me jette et j’atterris donc, couvert de boue. Le suivant est Jean-Luc qui me rejoint puis Yves. Rémy met un peu plus de temps. Marco et Thierry n’arrivent pas à gravir le mur. Ils passent donc sur le côté, sont jetés dans la boue, tête la première et ont interdiction de sortir. Les chasseurs se mettent alors à leur pisser dessus. Nous commençons vraiment à être épuisés, mais le parcours n’est pas terminé, nous devons maintenant ramper sous les haies puis sauter par-dessus au retour. Ramper peut être facile, mais nous sommes gênés par des racines, des pierres, des cailloux. On met donc un peu plus de temps ce qui agace nos bourreaux. Cette fois, tout le monde réussit le parcours. Nous sommes maintenant liés les uns aux autres, pour retourner près de la piscine. Il fait maintenant nuit noir. Arrivés près de la piscine, nous sommes attachés deux par deux aux piquets installés près de la piscine, puis les chasseurs nous arrosent à l’eau froide pour « nous décrasser » comme ils disent. Ils s’appliquent à viser nos couilles, ce qui provoque des mouvements de recul de notre part et même des cris parfois. Lorsque chacun est propre, ils nous emmènent dans la salle où ils ont mangé. Nous sommes chargés de mettre de l’ordre dans la pièce : débarrasser les tables, ranger les chaises, un chasseur s’empare de moi et m’emmène sur l’un des canapés qui se trouve près d’un mur. Il commence à me peloter les seins, à m’embrasser, à me toucher la bite en me flattant. Je ne suis pas très sensible à ses avances, je ne bande pas : la fatigue, le dégoût, sans doute. Il pue l’alcool et la sueur. Il déboutonne son pantalon et je dois le sucer. Sa bite a le goût de merde. J’ai vraiment envie de vomir, mais je m’applique. Je vois Jean-Luc ligoté sur une chaise. L’un des chasseurs s’applique à le faire bander. Les autres sont enfermés dans les caisses et des chasseurs passent leur bite dans le trou pour se faire sucer ou branler. Quand Jean-Luc bande, son chasseur s’installe sur sa bite en poussant des soupirs. Les autres le rejoignent. Je dois suivre mon bourreau qui me tient par les couilles, en les serrant très fort. Il me demande de m’assoir sur Jean-Luc, mais Thomas s’interpose en disant que ses protégés ne doivent pas servir dans ce sens. Je le regrette un peu, mais je suis soulagé de voir que des limites sont fixées. Je dois alors me branler pour voir « si je suis capable de juter ». J’ai du mal à bander, mais j’y arrive finalement. Un chasseur m’installe sur une chaise, dans la même position que Jean-Luc, et vient s’assoir sur ma bite. Il me dit que je peux me lâcher dans son cul. Il me faut quelques minutes, mais la chaleur de son cul faisant, je me laisse aller et je lâche mon sperme dans son cul. Quand il ressort, je dois aspirer mon sperme de son cul. Je suis dégoûté mais finalement, ce n’était pas le plus moche des chasseurs, et j’y arrive. C’est ensuite un concours de jute où les chasseurs s’appliquent à viser nos visages pour juter. Quand ils ont terminé, ils nous emmènent à nouveau dehors et nous attachent chacun à un arbre, dos à l’arbre, les mains et les jambes écartées. Le cou est attaché comme les mains et les pieds. Notre bite est alors bien en vue de chacun. Nous recevons alors chacun des gifles en fonction d’un jeu qu’ils se sont inventés. Lorsque l’un d’eux dit qu’il est tard, ils nous laissent, sans nous regarder. Nous entendons au loin des portières de voiture puis grand silence. Nous essayons de récupérer chacun nos esprits. Le plus atteint semble Marco qui dit avoir très mal au bas ventre. Thierry se plaint de blessures aux pieds et aux coudes… Après cette journée, nous avons froid, même si la nuit est douce. Personne ne semble venir nous délivrer… En fait, nous passons la nuit entière dans cette position. Certains se sont assoupis et j’en fais partie… Quand je reviens à la réalité, je grelotte un peu et il commence à faire jour. Personne en vue. J’interpelle mes camarades de souffrance. Rémy me répond qu’il a mal. Lorsqu’il fait vraiment jour, nous voyons Karim qui s’approche de nous

- Alors messieurs, belle nuit n’est-ce pas ?

- Si c’est de l’humour, c’est pas drôle !

- C’est de l’humour ! Allez, la journée sera meilleure si la nuit a été dure !

Karim nous détache. Il a, avec lui, un short pour chacun et une paire de tongs. Nous retournons dans le château où un petit déjeuner copieux nous est servi. Puis nous allons à l’infirmerie soigner nos petits bobos. Thierry et Marco y passeront la journée. Nous avons eu cette fois-là un dimanche calme entre bronzette, sieste et repas copieux ! Mais je ne voudrais pas revivre la soirée qui a précédé.

Le reste du séjour fut identique au début : sport, cours, endurance. Nous eûmes aussi à apprendre les bonnes manières d’un esclave : comment accueillir son maître, comment le servir, être à l’écoute de ses besoins… nous avons appris à cuisiner, à repasser… J’ai appris beaucoup sur l’économie internationale, le droit… J’ai aussi préparé le permis de conduire. La fin du séjour approchait. Nous avions maintenant un certain endurcissement. Nous étions moins fragiles lors des coups reçus sur les fesses notamment, mais nous avions vécu en vase clos, sans voir l’extérieur depuis trois mois. Une semaine environ avant notre départ, nous furent tous tatoués d’une bite avec les initiales de notre maître. Le tatouage était assez discret, sur le pubis, côté droit. Il faisait environ 2 cm mais on distinguait bien la bite en érection et les deux couilles. La veille du départ, nous avons eu droit à une dernière épilation totale, rasage du crâne et à une visite médicale. La nuit fut courte, nous étions excités à l’idée de revoir notre maître… Nous avons bien baisés cette nuit-là !
Le jour du départ, lever à 6 heures, douche puis repas, en tenue d’Adam. D’ailleurs on ne s’habillerait pas de la journée. Chacun d’entre nous était devenu très docile. Seul Marco avait conservé son air d’insoumis. Thomas nous dirigea vers le bâtiment central là où nos maîtres nous avaient amenés le premier jour. Nous avons été positionnés les uns près des autres à l’entrée du château. Dès que quelqu’un entrait, il nous voyait. Nous avions eu ordre de ne pas réagir. Quand tous les maîtres furent là, Thomas présenta les tatouages, marque de notre soumission puis nous autorisa à nous approcher de notre maître. J’avais envie d’embrasser Jacques, mais j’ai fait comme on avait appris : arrivé près de lui, je me suis mis à genoux et j’ai baissé la tête. Il m’a relevé, sans un mot, m’a emmené près de la voiture et m’a demandé de me mettre dans le coffre. Je m’y suis installé. Il a refermé le coffre sans un mot et a démarré la voiture. Ce n’est qu’à la villa, une heure après, qu’il me délivre et qu’il m’embrasse enfin. Il me donna des vêtements et nous sommes allés au restaurant. Il me demanda si les cours d’économie avaient été utiles. Il me précisa que je passerai l’examen du code le lendemain et que j’avais intérêt à l’avoir. Après le repas, on retourna à la villa. Je dus me mettre nu à nouveau et me regarda fixement :

- On dirait que tu as pris du muscle, mon bonhomme, ce n’est pas pour me déplaire !

Puis il fixa ma bite :

- Je vois que Thomas t’a retiré ta prison ! Bon, on verra ça demain !

Il se déshabilla à son tour et je m’occupais de lui comme je l’avais appris. Il se laissa aller dans ma bouche. Il y avait bien longtemps que je n’avais pas goûté son sperme et je me délectais. Il me suça à son tour, et quand j’ai juté il a tout pris dans sa bouche puis s’est approché de moi pour tout me donner. Nous avons ensuite parlé de mon avenir : j’allais devenir son secrétaire particulier, son chauffeur, son conseiller. Et surtout son objet de plaisir.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!