Au Cinema Suite 5
Effectivement au petit matin, malgré mon appréhension, mon mari ne se souvenait de rien du tout concernant notre soirée de débauche, c'était incroyable mais Marc m'avait promis qu'il en serait ainsi et quil m'expliquerait plus tard les raisons de cette amnésie mystérieuse
Mais jai tout de même voulu questionner mon époux sur ce quil pensait de nos nouveaux amis, histoire de tâter le terrain.
- Et bien ma chérie, je les trouve très sympas, surtout comment sappel til déjà
à oui, surtout Marc nous avons bien discuté tous les deux, lautre était plus distant et tu as bien fait de ten occuper car je pense que le feeling passe moins bien entre nous.
- Moi aussi je trouve que Marc est plus sympa
- Mais tu sais le plus bizarre, cest que jai du prendre une belle cuite car a partir dun certain moment jai comme un trou noir, aucun souvenir du reste de la soirée, jespère que je ne tai pas fait honte ?
- Non pas du tout, effectivement tu as bien bu et
tu es parti te coucher plus tôt car tu ne te sentais pas très bien et jai fini la soirée avec nos invités, ils ne sont dailleurs pas partis très tard car ils reprenaient la route ce matin.
Là jétais totalement rassuré et nos aventures allaient pouvoir se poursuivre.
Nous avons donc passé le week-end à nous reposer et nous câliner tendrement, nous prenions le petit déjeuné ensemble et je le regardais en repensant à cette soirée de samedi, étonnamment je n'avais aucun remords juste le regret de lui mentir et de lui cacher les choses.
J'aurais tant aimé qu'il soit complice de ma débauche, lorganisateur de mon apprentissage libertin et qu'il participe à mon éducation sexuelle avec mes amants.
Mais il en était ainsi et je ne voyais pas comment je pourrais aborder un sujet aussi épineux sans risquer de le perdre, il en était hors de question car je l'aime vraiment malgré ce que tout un chacun pourrait penser.
Je me suis donc résignée à subir le destin tel quil se présentera, après tout nétait ce pas déjà lui qui ma fait rencontrer Marc dans ce cinéma, nétait ce pas lui qui a fait en sorte que je me laisse r de la sorte.
Serait aussi le destin qui a placé ces êtres pervers sur ma route pour que je découvre les plaisirs de la chair, pour me faire découvrir le plaisir infâme que jéprouve à cocufier mon époux.
Ces sales pensés me parcouraient lesprit en toile de fond laissant néanmoins le quotidien de la vie se dérouler tant bien que mal.
Cest avec amour et tendresse que jai embrassé mon chérie sur le pas de la porte alors quil partait à son travail, c'était une belle journée, les oiseaux faisaient la fête entre les branches et le soleil sinfiltrait tranquillement entre les maisons.
Je me sentais heureuse et comblée de ce que la vie m'apportait, une vie de famille, un travail agréable, un homme que jaime et cerise sur le gâteau je découvrais des sensations et expériences sexuelles exceptionnelles qui me réconciliaient avec mon corps de femme.
Sur le trajet du travail je me surprenais à croiser le regard des hommes qui me plaisaient tout en répondant à leurs sourires, je me sentais plus belle et désirable que jamais.
La circulation était fluide pour un mardi matin et je suis arrivée très en avance à la boutique, une fois nétant pas coutume jai décidé de flâner en regardant les jolies vitrines.
Alors que jétais en admiration devant un petit ensemble de lingerie jai ressentie deux mains fermes se poser sur mes anches et avant même de pouvoir réagir je lai entendu dire :
- Ne bougez pas, ce nest que moi.
Jai reconnu le reflet de mon amant dans la vitrine et le son de sa voix ma immédiatement rassurée.
- Vous êtes toujours aussi désirable, je ne me lasse pas de votre beauté.
Jai appuyiez mon corps contre le sien et posé ma tête en arrière contre son torse.
- Et vous, vous êtes toujours aussi flatteur à ce que jentends.
- Détrompez-vous, je nai nul besoin de flatter ce que je possède déjà.
- Donc vous êtes sincère ?
- Plus que vous ne le croyiez, mais venez allons prendre un petit café.
Nous nous sommes installés en terrasse dune agréable brasserie, il faisait chaud et il y avait déjà plusieurs personnes installées autour de nous.
Alors que le jeune serveur posait nos cafés sur la table, Marc dit tout haut :
- Alors Emilie, cette petite soirée de débauche vous à telle plu ?
Le serveur ma regardé dans les yeux avec un léger sourire en coin pendant que je piquais un fard, toujours sous son regard jai chuchoté vers Marc :
- Je vous en prie
ne parlez pas si fort
cest gênant.
Comme sil ne mavait pas entendu, il reprit :
- Je me doutais que vous étiez chaude, mais à ce point cest plutôt rare.
- Sil vous plait
dis-je dune voix presque étranglé.
Le serveur me regardait toujours, il prenait son temps pour essuyez la table ce qui décuplait ma honte.
Marc le regarda et lui dit :
- Comment la trouvez-vous ?
- Qui ca monsieur ? dit le serveur jouant le faux naïf
- Nayez pas peur, je veux juste votre avis.
- Et bien, monsieur, vous avez une très belle femme, et croyiez moi, avec mon métier jen vois beaucoup à la journée.
- Si je vous loffrais pour un moment quen diriez-vous ?
Là, cest le serveur qui est devenu tout rouge et nosait plus nous regarder en face.
- Monsieur, je vous en prie cest gênant pour moi et pas très sympa pour votre dame.
- Ne vous inquiétez pas pour madame, elle est très obéissante et elle adore les beaux jeunes hommes.
Devant de telles paroles, je me suis effondré dans ma chaise, comme à chaque fois ma soumission et les mots crus faisaient naître en moi ce plaisir malsain décuplé par la honte.
Le serveur ma de nouveau regardé comme pour sassurer de la véracité des propos que Marc venait de tenir à mon égard, il semblait gêné et curieux à la fois.
Son regard se faufilait sur mes épaules et sengouffrait sur la peau laiteuse de mes seins que laissait voir mon profond décolleté, il cherchait à gagner du temps pour réfléchir à cette incroyable aubaine, il se tourna de nouveau vers Marc.
- Comment puis-je savoir si vous êtes sérieux ?
- Vous nous offrez les cafés et elle vous fait une petite gaterie
- Là maintenant, cest possible ?
- Emilie, dite au monsieur si cela est possible.
Sous le regard insistant du serveur je me suis entendu dire :
- Oui
si vous le souhaitez
- Si vous le souhaitez quoi ? Emilie voyions.
- Si vous le souhaitez
monsieur
je peu vous
sucer
Le serveur nen croyait pas ses oreilles, il regardait autour de lui comme sil cherchait quelquun pendant que japercevais le début dune érection à hauteur de mon regard.
- Serge
ho, serge
tu peux me remplacer un moment, jai quelque chose durgent à faire.
Il venait dapostropher un collègue tout en me demandant de le suivre, mais Marc lui précisa :
- Elle vient mais je reste présent, cest à prendre ou à laisser.
- Ok mais venez vite, je nai pas trop de temps.
Me prenant par la main comme pour ne pas perdre sa proie, il nous a fait traverser toute la brasserie jusqu'à un escalier descendant au sous sol.
Au passage je sentais tout les regards sur moi comme si ils pouvaient deviner ce qui se tramait, mon humiliation était à son comble et lhumidité de mon entre jambes trahissait la monté du plaisir.
Arrivés en bas nous avons croisé deux messieurs qui sortaient des toilettes homme mais le serveur nous à dirigés vers une autre porte plus en retrait, nous sommes rentrés tous les trois dans ce qui faisait office de vestiaire pour les employés de la brasserie.
Il ma assise sur lunique banc de la pièce et tout en ouvrant sa braguette il a de nouveau demandé à Marc :
- Vous êtes sur, je peux y aller ?
- Je vous en prie, profitez en bien vous nallez pas le regretter.
Aussitôt il exhiba son sexe devant mon visage, il ne bandait pas encore à fond mais affichait déjà de bonnes mensurations.
Se délectant par avance de la scène, Marc me dit :
- Allez Emilie, faite moi honneur, régalez monsieur
Comme un automate, jai pris la verge dans une de mes mains et jai glissé lautre dans la braguette grande ouverte pour soupeser les testicules encore bien pleines.
Rien qua ce contact le jeune homme à frémit et lâché un râle enroué.
- Humm
ce nest pas possible
. Je rêve
Deux, trois, vas et vient de mes doigts le long de la tige on suffit pour la gonfler à bloc, le gland était gorgé de sang lorsque je lai enfin pris en bouche.
Marc sest placé derrière moi et a pris mon visage entre ses mains de façon à ressentir et suivre le mouvement du sexe dans ma bouche.
Le jeune homme navait pas lhabitude dun tel niveau dexcitation, il bougeait vite, bien trop vite dans ma bouche, jai compris quà ce rythme il ne tiendrait pas bien longtemps.
Marc la aussi ressentit et à préféré prendre les choses en main.
- Doucement mon ami, ralentit sinon tu vat abimer cette jolie bouche.
- Humm
oui
monsieur
mais cest
trop
bon
- Je sais, mais laisse toi faire, tu va voir elle saura te maintenir plus longtemps.
- Oui
humm
- Ferme les yeux et pense à autre chose, fait durer le plaisir.
Par instinct, je serais mes doigts à la base du pénis pour ralentir la monté du plaisir, jai ressorti le sexe de ma bouche pour le parcourir de haut en bas avec la pointe de ma langue sous les encouragements de Marc.
- Cest très bien, appliquez vous
Mais ses paroles excitaient encore plus la virilité de notre serveur et jai du mordiller sa verge pour éviter le pire.
- Humm
oui
aie
doucement
- Nai crainte, elle veut juste tempêcher de jouir trop rapidement
- Oui
monsieur
mais cest trop bon
on ma
humm
jamais fait ça
Ma langue laichait délicatement le gland bien dur, salivant au maximum et titillant le méat.
Puis je repoussais le prépuce pour recouvrir le gland tout en emprisonnant ma langue que je faisais tourner doucement sous la peau, je sais que les hommes aiment cette caresse particulière et cest mon mari qui me la apprise du temps ou il était encore fougueux.
De nouveau quelques vas et vient bien mouillés, je ressortais la totalité de la verge pour mieux lengouffrer jusquau fond de la gorge, le pauvre garçon tremblait de toute parts il devait être au bord de la syncope.
- Ho
humm
je ne vais pas
tenir
madame
Brave garçon, se sentant venir il avait encore la délicatesse de me prévenir mais Marc ne lentendait pas ainsi et tout en me maintenant fermement le visage il lui dit :
- Laisse toi aller mon garçon, vide toi elle aime ça
- Haaaaa
cest trop bon
Jai bloqué son sexe au fond de ma gorge et je lui ai malaxé les couilles pour quil se laisse partir, une, deux et trois giclées, il ma mit la dose et je nai pu empêcher le surplus de couler sur mes joues.
Avec ses doigts, Marc empêcha le liquide visqueux de couler plus bas en le remontant vers ma bouche.
- Vous voyiez dans quel état vous mettez ce jeune homme ? Jespère que vous allez bien le nettoyer on ne peut pas le laisser comme ça.
Le sexe ramollissait vite dans ma bouche laissant perler quelques dernières gouttes, je lai sorti, léché et entièrement nettoyé sous le regard satisfait de Marc.
De toute ma vie, cela ne faisait que la deuxième fois que javalais la semence dun homme, ce que jaurais trouvé dégoutant avant me satisfaisait maintenant au plus haut point, cela me donnait comme un sentiment de puissance inexplicable.
- Waouh
je ne pensais pas que vous iriez jusquau bout, cest incroyable, mes amis ne vont pas me croire.
- Là mon garçon tu te calme, il faut savoir garder les secrets sinon nous ne reviendrons jamais, cest bien clair.
- ho, oui monsieur cest très clair, je ne dirais rien à personne, promis.
Marc ma tapoté la joue.
- Vous faite de réels progrès je suis fiers de vous
Je lai regardé avec mon air de chienne battue pour lui cl émender de pouvoir jouir à mon tour, joignant le geste à la parole jai glissé mes mains sous ma robe découvrant ma vulve toute lisse.
- Vous ne pouvez pas me laisser ainsi, cela serait cruel.
Sous le regard des deux hommes, jécartais mes grandes lèvres pour laisser mes doigts coulisser le long de ma raie jusqu'à venir toucher mon petit bouton qui électrisait mon corps.
- Waouh
je nai jamais vu ça, elle a le feu au cul.
- Veuillez rester poli jeune homme, cest nest quune dame qui demande à être récompensée pour son obéissance.
Marc savait toujours quoi dire et en toute circonstance, sa défense ma emplie de fierté, jai posé ma main sur son pantalon pour tâter sa grosse queue gonflée tout en le défiant du regard.
Le jeune serveur restait là ébahi mais encore tout excité, il nous regardait avec gourmandise attendant la suite des évènements.
Devant son silence jai ouvert le pantalon tout doucement vérifiant à chaque millimètre que javais encore son accord, jai sortie sa bite à lair libre, bien plus grosse que celle du gamin qui na dailleurs pas pu sempêcher den faire la réflexion.
- Fichtre quel morceau
Je naimerai pas la prendre dans le cul.
Je lai regardé avec des yeux brillants comme pour lui dire, et bien moi je lai déjà prise dans le cul et jaime çà, jai ensuite ouvert mes lèvres pour gober le sexe convoité de mon amant.
Les bruits de sucions ont retentis dans la petite pièce, tel une vorace javalais la totalité de la verge parfois même jusquaux couilles ce qui semblait impressionner notre jeune mateur.
Jétais vraiment excitée et me branlais le clito comme une folle, ne voulant pas souffrir davantage je me suis relevée pour mappuyer contre le mur den face écartant les jambes au maximum et courbant les reins pour faire apparaître ma chatte inondée.
- Prenez
moi vite
je vous en prie
Marc à vérifier mon état en passant sa main entre mes cuisses, je dégoulinais comme une fontaine, puis il a dit au jeune homme
- Vous avez vu dans quel état vous me lavez mise, il va falloir que je finisse votre travail.
Sans un mot de plus il sest collé contre mes fesses et dun puissant coup de reins il ma logé sa pine au plus profond avec un cri rauque.
- Han
tenez
votre récompense
han
han
Ma chatte sest remplie dun seul coup, je savouerais tout en regardant notre voyeur qui se branlait déjà.
Tout en me besognant Marc parlait avec le jeune homme.
- Il faudra
que je vous montre
comment satisfaire
humm
une femme
comme celle
humm
la
Sa queue entrait et sortait en rythme de ma cavité et mes chairs épousaient à chaque pénétration la circonférence de cette belle colonne de chair huilée à la perfection.
La présence de ce jeune homme à nos cotés pendant que je me faisais saillir décuplait toutes mes sensations et jaurais pu jouir rien que dy penser.
Mais cette queue qui me labourait en cadence me procurait bien plus de plaisirs que toutes autres choses, je ne me préoccupais plus de son propriétaire cest dans ces moments là que nimporte qui pourrait prendre la place de lintrus.
Dans ces moments là que les acteurs passent au second plan et que votre esprit se concentre sur les chairs qui se dilatent à chaque poussé du membre qui vous fouille.
Cest dans ces moments là que vous rêvez de bites énormes vous écartelant la moule et vous inondant de semence, que vous nêtes plus quune femelle soumise à toutes les perversités inimaginables.
Cest dans ces biens trop courts instants, juste au point de non retour, que votre âme se perd dans ce mélange de sensations plus sales et vicieuses les une que les autres.
Et cest là, que vous sombrez dun seul coup dans labime de la jouissance, espérant que cela puisse durer éternellement, tellement vous êtes submergé de plaisir.
Cest en reprenant mes esprits que je sens le sexe de Marc qui ramollit doucement dans mon vagin débordant de liquide séminal, que japerçois notre jeune voyeur debout près de nous se tenant encore le sexe tout visqueux de sa propre jouissance.
- Bon sens
jai jamais vu ça
quel pied
- Content que cela tai plu mon garçon, mais il faut que je ramène madame à la réalité.
Après un léger brin de toilette histoire de ne pas faire trop pute en retraversant la brasserie, marc ma accompagné jusqu'à la boutique que ma vendeuse avait déjà ouverte.
Encore toute excitée de ce nouvel épisode jai voulu le garder encore un peu
- Venez Marc, je vais vous faire visiter
- Vous êtes sure ? Et votre vendeuse que va-t-elle penser ?
- Vous savez elle se doute déjà que jai un amant, alors pourquoi pas
- Bonjour Claire, comment allez-vous ce matin ?
- Très bien Emilie et vous ?
En regardant Marc elle se reprit
- Heu
pardon, bonjour monsieur je ne vous avais pas remarqué.
- Claire vous nous faite un petit café que je vous présente mon ami.
Marc semblait apprécier la beauté de ma petite vendeuse car il ne quittait pas ses jolies courbes des yeux alors quelle se dirigeait vers larrière boutique.
- Vous cherchez à me rendre jalouse ?
- La jalousie peut être source de plaisirs, vous lapprendrez en temps utile et puis cette gamine ne mappartient pas
du moins pas encore.
Ces quelques mots ont raisonné cruellement en moi, regrettant davoir fait entrer le loup dans la bergerie jai effectivement ressentie de la jalousie mais je me suis gardé de lui montrer.
Claire est revenue avec nos petits cafés, nous regardant avec un air malicieux et plein de curiosité.
- Alors vous me présentez votre
ami
- Oui bien sur, Marc je vous présente Claire, Claire je vous présente Marc lami dont nous avons parlé lautre jour
Rien qua ces mots et à mon clin dil, Claire compris tout de suite ce quil en était
- Ha
je vois et je comprends mieux
- Que comprenez vous mieux, mademoiselle ?
- Heu
rien de particulier
ce nest pas ce que je voulais dire
Claire, était toute rouge, consciente den avoir trop dit mais Marc en a profité
- Et alors, que vouliez vous dire ?
Claire me regardait avec des yeux coupables pour que je lui vienne en aide
- Ce que Claire veut dire, cest quelle est au courant pour notre relation particulière
- Oui
cest ça et je comprends mieux
parce que vous êtes
bel homme
- Donc si je comprends je vous plais aussi ?
- Heu
Non
si, oui
Claire était toute confuse et balbutiait ses mots tout en cherchant à éviter le regard de Marc.
Consciente de sa gêne et surtout sous le coup de la jalousie grandissante jai tenté de reprendre la main.
- Marc, voyons laissez Claire tranquille et arrêtez de la taquiner
- Vous avez raison, excusez moi et ne men voulez pas car je suis très joueur
- Ce nest rien
mais je vais vous laissez tranquille
jai du travail
Jai pris Marc par la main et nous sommes entrés dans le bureau javais envie de le remettre à sa place
- Marc vous êtes un gougeât et navez aucune morale
Mes paroles ont du le blesser sérieusement car il a écarteliez les yeux, ma coincé contre mon bureau tout en me saisissant brutalement par les cheveux pour me dire avec une voix inhabituelle.
- Moi je nai aucune morale ? Ne vous trompez pas
madame
ce nest pas moi qui cocufie mon mari depuis des semaines avec le premier des inconnus.
- Ce nest pas moi qui me laisse baiser par qui le veut bien.
- Jai cru voir quon à pas besoin de vous forcer pour vous la mettre et vous dite que cest moi qui nai pas de morale !
Cest surement la pire des humiliations que lon mais fait subir, je nen menais pas large et regrettais amèrement mes paroles.
- Nous abusons de vous parce que vous le désirez et je ne perdrais pas mon temps avec une banale salope, les rues en sont pleines.
- je vous ai dit que vous aviez du potentiel, le dressage sera long mais cest ce qui nous motive mon maître et moi.
- Jespère que cest la dernière fois que vous me contrariez de la sorte et si un jour je souhaite baiser votre petite vendeuse sous vos yeux, je veux que ce soit vous qui lui présentiez ma queue, est ce bien compris ?
- Oui
cest compris
je suis
désolée
- Allez bon, nous avons assez perdu de temps et nen parlons plus
Il lâchât mes cheveux pour venir me caresser la joue, me sourit et me déposa un baisé sur les lèvres.
- Ce soir votre mari va vous annoncer une surprise
- Quelle surprise ?
- Si je vous le dit ce ne sera plus une surprise, cest mon maître qui à tout manigancé pour que votre mari accepte
- Mais
pour quil accepte quoi ? Si je ne suis pas au courant
que vais-je dire ?
- Cela fait partie du jeu, vous improviserez dans le bon sens, nous savons que vous savez très bien mentir, pas vrai ?
- Sur ce, je dois vous quitter, à bientôt
Aussitôt parti, je suis resté là abasourdie par la magistrale claque que je venais de me prendre, ruminant le mélange de colère, de jalousie, de honte et dhumiliation mais aussi et toujours de ce plaisir malsain qui remontait dans mon bas ventre.
Il avait bien raison, personne ne ma obligé à quoi que ce soit, jai toujours été consentante allant même jusqu'à provoquer les choses, javais cette perversité ancré en moi et il fallait juste la faire ressortir au grand jour.
Bien plus tard, Marc mexpliquera que toutes les femmes ont ce gêne du plaisir, il faut juste découvrir par quel chemin on peut les y mener, peut importe le temps et les moyens à devoir y consacrer le résultat dépassera toujours vos espérances.
Le reste de la journée sait passé tranquillement, Claire était encore un peu bouleversée et nous navons plus osé reparler de Marc jusquau soir.
Sur le chemin du retour je cherchais à découvrir quelle pouvait bien être cette fameuse surprise, si toutefois ont pouvait appeler cela une surprise, car connaissant nos deux compères il ne pouvait sagir que dun piège de plus.
De toute façon cela devait avoir encore un rapport avec le sexe, que pouvaient-ils me réserver de plus ? Jallais bientôt en avoir le cur net car je voyais déjà la maison au bout de la rue.
- Bonsoir chérie, tu as passé une bonne journée ?
- Oui et non, jai eu comme un nud au ventre et je suis anxieuse.
- Cest peut être a cause de ta future semaine de formation
- Quelle
heu
oui cest surement ça
mais qui te la dit ?
- Et bien tu sais, cest le patron de Marc qui men as averti par téléphone
- Par téléphone ?
- Oui, vu que nous sommes mariés, il ne voulait pas te confirmer sans avoir mon aval
- Ha oui, cest gentil de sa part
- Sachant que cela est important pour toi, je lui ai donné mon accord et je lui ai garanti que tu ne leurs dira pas non.
- Mais, tu sais une semaine cest long
- Oui mais tu verras ça passe très vite et puis sa te fera beaucoup de bien, parfois ça fait du bien de se faire prendre en main.
- Oui, tu ne sais pas si bien dire
- Donc vous partez tous Dimanche prochain, cest ça ?
- Heu
oui
mais jattends la confirmation
cest pour ça
que je ne ten avais pas parlé, ce nétait pas encore sur.
- Tu voulais me faire la surprise mais tu as été trahie, ils ont été plus rapides
- Ca cest sur ils sont très rapides.
Maintenant je savais ce quils me réservaient, pendant toute une semaine, nuit et jour et avec laccord de mon époux jallais devenir leur soumise attitrée, ces deux pervers étaient vraiment très forts et avaient de la suite dans les idées.
Dans ma situation je ne pouvais même pas me défiler, de toute façon ils naccepteraient aucune excuse et conservaient les moyens de my contraindre alors pourquoi fuir linévitable.
Quatre jours me séparaient encore de ma prochaine débauche, jours pendant lesquels je nai cessé de penser à ces dernières semaines, à toutes ces jouissances que jai découvert grâce à eux, eux mes amants pervers.
Mais je gardais une affection toute particulière pour Marc, car cest lui qui ma découverte, cest lui qui méduque et me libère de mes tabous et si je forniquais avec dautres cest parce quil le souhaitait, parce que je voulais lui faisait plaisir.
Ce samedi soir là, je préparais tranquillement ma valise lorsque mon mari est venu me rejoindre dans la chambre.
- Tu veux de laide mon amour ?
- Non merci, cest rapide juste quelques fringues et le tour est joué
- Comment ça quelques fringues, mais je veux que tu sois la plus belle et tu ne prends même pas tes petites robes sexy.
- Mais je ne peux pas
et tu ne seras pas avec moi
- Quest ce que ça change ? Là ou pas là, je veux que tu sois belle, sexy et désirable, je veux que tous les hommes bavent sur ton passage
- Tu nes pas bien, je ne suis pas une
- Fille facile, mais non et cela na rien à voir, fait moi plaisir prend ces jolies robes et ces petits bustiers qui mettent ta belle poitrine en valeur
Au fur et à mesure il me passait les vêtements quil sélectionnait
- Tient prend aussi ce maillot de bain, on sait jamais tu pourras peut être te baigner sil y a une piscine, et ça aussi ces petits strings tous mignons.
- Mais tu nes pas bien
je vais les montrer à personne alors pourquoi tu veux que jemmène ça
- Parce que même si personne ne les vois, toi tu sais que tu les portes et ça te rend plus belle et désirable.
Il voulait jouer au petit coquin, je suis donc entrée dans son jeux.
- Mais si je suis trop belle et désirable alors tu prends peut être de gros risques, je serais seule et sans défenses loin, très loin de toi et à la merci de tous ces prédateurs.
- La peur névite pas le danger et peut être que je trouve ça excitant, vas savoir ?
- Ne me dit pas que cela texcite de me savoir ainsi convoitée
- Mon amour tu nimagine pas à quel point cela mémoustille
- Et tu nes pas jaloux ?
- Si bien sur, mais jai confiance en toi et je sais que tu maime
- Ca cest sur que je taime gros béta, mais nempêche on ne sait jamais sur un moment de faiblesse, après tout, je ne suis quune femme.
- Tu vois tu fais tout pour taquiner ma jalousie, allez emporte ta plus belle lingerie il faut que tu sois irrésistible.
- Daccord mais cest toi qui la cherché, je ne porterais aucune responsabilité et ne répondrais de rien sil arrive quelque chose.
- cest ça qui est excitant, trêve de plaisanteries une semaine ca passe très vite et cela va nous faire du bien à tous les deux.
La valise était prête, remplie de robes et dessous plus affriolant les uns que les autres et je suis sure que mes amants nen espéraient pas tant.
La nuit fut courte et mon homme ma fait lamour avec un peut plus de fouge que dhabitude, surement lexcitation de mon départ, cela ma fait du bien de faire lamour sans être vulgairement baisé, ce nest pas aussi intense mais cest aussi très agréable.
Au petit matin et à lheure convenue un taxi sest présenté aux pieds de la porte, le temps que le chauffeur range ma valise, nous nous sommes embrassé avec passion comme si je partais pour une éternité mais le temps était compter et le taxi avait des consignes.
Je lui ai fait des signes à travers la lunette arrière jusqu'à que je ne distingue plus sa silhouette et cest avec le cur noué que je me suis retournée vers le chauffeur pour lui demander :
- Pouvez vous me dire où vous memmenez ?
- Non madame, on ma juste que cétait une surprise et que vous comprendrez.
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