Délivrance
Cela fait déjà plus de huit jours que Paulo est à lautre bout du monde, en Australie, pour son boulot. Du coup, mon envie de baiser devient de plus en plus forte. Samedi soir, ny tenant plus, je lui envoie un texto :
« -Paulo, eu quero foder
-você pode ir
» (*) (*- Paulo, jai envie de baiser -tu peux y aller )
M
., jai encore oublié le décalage horaire ! Du coup, je lai réveillé à sept heures du mat
Avec Paulo, dès le début, vu son boulot, on a pris lhabitude de se dire tout.
Je décide donc de franchir la frontière toute proche vers cette grande ville étudiante, très vivante le soir, encore plus le week end. Je commence à me balader, le nez au vent. La nuit est tombée mais il fait encore très doux. Cest le début de lété. Les terrasses sont bondées. De joyeuses bandes de jeunes sont partout, attablées, occupées à discuter et à rire.
Tout à coup, je LE vois. Seul, devant un café, au milieu de tous ces gens en bandes. Dune beauté foudroyante. Nos regards se croisent et se bloquent une seconde de trop. Il a lair trop seul. Sans me retourner, je continue mon chemin. Je crois quon sest accroché
.Mine de rien, un peu plus loin, je fais mine de regarder une vitrine et je jette un il en arrière. Il est là, à trente mètres ! Mon cur bondit dans ma poitrine. Jimagine déjà tout ce quon va pouvoir faire ensemble. Ca mexcite grave. Il ne me reste plus quà retourner à ma voiture. Je fais mine de chercher mes clefs pour lui laisser le temps darriver. Quand jouvre la portière, il est là, la main sur lautre porte. Pantalon noir, polo blanc. La peau mate, les cheveux noirs de jais, très courts, de type maghrébin, dans les 24/25 ans. Un visage superbe en lame de couteau. Il monte sans dire un mot. Je décide de repasser la frontière, pour aller dans un de ces petits hôtels où, à partir dune certaine heure, tout se fait par carte bleue. Il ne desserre pas les dents.
Je massieds sur le rebord du lit et lui caresse les cheveux dans lobscurité. Il se laisse faire, sans réagir. Je lui passe la main sous le polo. Après tout, il ma quand même suivi jusquici
Sous mes doigts, je devine de fins abdos et un fin duvet sur le torse, comme je les aime. Par contre, sa ligne de poils parait super fournie. Je remonte vers ses tétons. Je lui titille longuement. Je le débarrasse de son polo et fais de même avec le mien. Nous voilà torses nus tous les deux. Il se laisse toujours faire. Je desserre la ceinture en coton jaune citron de son pantalon. Je me mets à le déboutonner, bouton après bouton. Sous mes doigts, je sens le renflement que fait son slip. Il bande déjà sérieusement. Je commence à faire glisser tout doucement son pantalon. Je lentends qui se débarrasse de ses mocassins. Dans la pénombre, je vois apparaître un mini boxer en mousseline, de couleur vert clair, ourlé dune fine bande orange, bien déformé par sa queue en érection. Je le débarrasse complètement et fais de même avec le mien. Je décide de bien prendre mon temps et de ne pas le brusquer. Je lui caresse lentement lintérieur des cuisses ainsi que son ventre ; me rapprochant sournoisement de la zone de tous les plaisirs. Je joue avec sa ligne de poils. Je descends, je descends. Du plat de ma main, jeffleure à peine le dessus de son slip tendu. Je sens sa bite vibrer sous la caresse. Jen fais de même avec ses boules. Le très fin tissu permet de bien ressentir ce quil y a juste derrière. Il tend légèrement le bas ventre en avant. Finalement, cest encore plus excitant dêtre ainsi à vouloir baiser avec un parfait inconnu qui ne desserre pas les dents et dont je ne connais même pas le nom
Japproche mon visage de son slip.
Tout à coup, je sens ses mains se poser sur mon cul, sur mon slip. Ca y est ! Mon bel inconnu se décide à entrer dans la danse. Déjà il glisse ses doigts sous le tissu du slip
Hum, miamm ! Puis il revient sur ma tête et appuie légèrement sur mes cheveux pour me signifier quil veut que jaccentue ma caresse buccale. Je ne me fais pas prier. Je lentends souffler. Du coup, je me mets sérieusement sur sa bite. Je lui nettoie parfaitement son gland de toute sa mouille qui revient aussitôt
Je caresse ses couilles, son périnée. Sa tige est très fine, très lisse, bien droite et
très longue. Jaime ! Je lavale petit) petit en appuyant mes allers retours de mouvements de succion.
Cest seulement à ce moment là que jentends le son de sa voix pour la première fois.
« -Moi, cest Abdel. Abdelkrim si tu préfères. Je suis algérien
je suis né au bled, au fin fond du sud algérien
»
Sensuit alors un flot ininterrompu de paroles, dun seul coup. Tout y passe. Lenfance, la venue en Europe, lécole, les vacances au bled. Linitiation par les cousins, lhomosexualité qui sinstalle et quil faut cacher aux parents, aux copains, surtout aux copains
Mais surtout, surtout la souffrance : le racisme, les vexations, les mises à lécart, la solitude. Lacharnement au travail à lécole, les diplômes obtenus de haute lutte et le long, très long temps de chômage avant le premier
CDD.
Je ne sais quoi dire. Je le laisse se libérer le plus possible. Je caresse doucement ses cheveux. Il a saisi ma main et la serre de toutes ses forces contre lui. Je le laisse décompresser le plus longtemps possible. Il finit par se calmer et sendormir. Je le serre doucement dans mes bras. Il ma ému aux larmes et je nai pas su quoi dire pour lui remonter le moral. Jespère au moins que ça la libéré un peu
En se réveillant, Abdel me propose daller prendre une douche. On enfile nos slips, direction la douche au fond du couloir. Ca ne manque pas, dans le couloir on croise un jeune couple, passablement éméché, qui rentre. Ils nous regardent tous les deux, assez rigolards. Le gars nous lance même un clin dil complice. Bien sûr, on entre dans la même douche. On se mouille copieusement et jentreprends de savonner Abdel, partout, partout. Il se laisse faire comme un bébé. Jinsiste beaucoup sur les zones érogènes. Ca me permet aussi de bien détailler son corps.. Bien charpenté, très légèrement velu-comme je les aime-, une peau mate légèrement colorée, de fins abdos et une très belle toison au pubis doù émerge une bite longue et fine. Bref, un beau mâle ! Je relance le jet pour le rincer. Abdel mattire alors à lui, sa bouche cherchant la mienne. Leau tiède inonde nos visages. Je sens sa langue qui tourne doucement dans ma bouche. Nos corps se sont collés et je sens à nouveau sa bite prendre du volume contre la mienne. Il a empoigné mes fesses et me colle encore plus à lui. Je décide de me laisser faire puisquAbdel a lair décidé à prendre linitiative. On sembrasse ainsi longuement. Depuis son flot de paroles, Abdel na plus lair dêtre tout à fait le même. Il parait moins tendu, plus libéré, plus apaisé. Il entreprend de me savonner complètement. Jadore la caresse de ses mains avec le savon. Il me rince. Cette fois, nos deux bites sont à nouveau dressées et narrêtent pas de se frotter. Il se met alors à genoux et commence à me caresser le gland du bout de ses lèvres. Au premier abord, il a lair surpris par le fait que je sois totalement rasé, lui qui a une toison plus que fournie. Cest sans doute pour ça quil promène longuement son visage, sa langue sur ma bite sur mes couilles
« -Cest doux !
-Et pour moi donc !
-Jaimerais essayer
-Quand tu voudras. »
Jenclenche le jet. Leau ruisselle sur mon ventre et sur son visage. Il me gobe les couilles et commence à me pomper lentement. Je dois reconnaitre quil suce comme un dieu ! Putain ! Trop trop bon !! Jai empoigné ses cheveux et accompagne son mouvement. Je me mets à onduler du bas ventre pour lui baiser la bouche encore plus. Du bout du pied, je lui caresse le dessous des couilles et le périnée. Après un bon moment, il se relève et me chuchote à loreille.
« -On retourne dans la chambre, jai envie de toi
» Comment résister
. On se sèche rapidement, on réenfile nos slips avec difficulté, à cause de nos érections et sortons de la douche. Paf ! On tombe nez à nez avec notre couple, en petite tenue lui aussi, qui sapprête à entrer dans la douche voisine. Ca les fait encore plus marrer de nous voir ainsi avec nos slips déformés par nos monstrueuses érections. Dans la chambre, Abdel soccupe de mon cas. Il mallonge sur le lit et commence à me couvrir de baisers. Je me laisse faire, aux anges. Il titille doucement mes tétons tout en frottant son slip contre le mien. Il est très doux, très attentionné. Il me débarrasse voluptueusement de mon mini slip tout en me suçant doucement. Il passe son doigt dans ma raie, insistant légèrement sur ma rondelle. Il me retourne alors, me fait mettre en levrette et mécarte les fesses au maximum. Il commence à me lécher la raie. Jadore ! Je grogne de plaisir. Il se met à me bouffer la rondelle à grands coups de langue pointée. Wouuaah ! Il cherche à passer un doigt. Je le sens qui entre
Il commence à me dilater en tournant. Jadore sentir son doigt bouger ainsi en moi. Cest la promesse proche de bien plus
Il alterne les baisers langoureux et le gobage de gland, tout en continuant à me distendre. Deux doigts sont maintenant passés qui continuent leurs caresses préparatoires. Je commence à lui enduire la bite de gel lui indiquant ainsi que je le désire plus que tout. Jy vais carrément. Sa touffe est dégoulinante de gel. Je lui prends sa bite et la dirige vers mon trou. Je suis sur le dos, jambes écartées au maximum, offrant du mieux que je peux toute mon intimité. Je sens son gland sur ma rondelle. Il pousse légèrement. Il est déjà passé ! Il sarrête pour déguster la sensation. Je me contracte pour mieux le sentir et le serrer. Il commence à progresser doucement dans mon ventre. Jai passé mes jambes autour de son cou. Jai toujours adoré cet instant du début de la pénétration et la suite aussi
.Abdel y va tout doux, savourant chaque seconde, chaque sensation. A ma bouche entrouverte et à mon regard chaviré, il voit bien que ça me plait un max.
« -Tu aimes ?
-Ouiii ! »
Mes mains caressent son superbe cul rebondi. Je lempoigne et le tire légèrement vers larrière. Il se retire pour mieux revenir dun seul coup de bite. Trop bon !!! Sa bite coulisse maintenant voluptueusement dans mon ventre. Je sens parfaitement bien la chaleur de son barreau qui me laboure doucement. Commence alors un festival de positions. Il me prend de toutes les manières possibles
La tête en bas les jambes en lair écartées, lui allongé sur le dos et moi qui mempale sur lui, lui assis et moi à califourchon sur lui, moi sur le ventre lui allongé sur moi qui me prend, en levrette, debout contre le mur jambes écartées et lui qui membroche par larrière et
ma préférée : dos au mur, jambes accrochées à sa taille et empalé sur sa bite. Il a raison. A chaque fois les sensations sont différentes. Essayez, vous verrez ! A la fin, il me ramène sur le lit et me met en levrette et se met à me trombonner sérieusement. Comme je lai branlé il ny a pas si longtemps, je sais quil est très endurant. Tant mieux ! Jen profiterai encore plus !! La tête du lit commence à claquer contre le mur à chacun de ses coups de bite. Après un bon moment, on entend des coups frappés au mur. Ca vient de la chambre dà côté. Ca se plaint sûrement davoir été réveillé ou de ne pas pouvoir dormir. Abdel rigole et nen continue pas moins son pilonnage Il gémit sourdement à chaque coup de boutoir. Jai le ventre en feu mais je ne voudrai pour rien au monde que ça sarrête. Après un sacré bout de temps, il se retire complètement plusieurs fois et vient membrocher furieusement dun seul coup, jusquà la garde. Je pressens quil veut se finir. Il agrippe mes hanches et se met à me pilonner de plus en plus sauvagement. Jentends son souffle se raccourcir, je sens son rythme saccélérer encore. Ses couilles claquent à chaque coup de reins. Je le sens au bord de lexplosion. Tout à coup sa bite tremble et minonde de sperme chaud. Il rugit et sécroule carrément sur moi.
Doucement, je mallonge en gardant Abdel en moi. Ca aussi, jaime beaucoup. Garder quelquun en moi après quil ait joui. Abdel a du mal à retrouver son souffle. Petit à petit, il sapaise. Il est entrain de sassoupir après tous ces ébats qui ont du lépuiser complètement. Dans mon ventre, je sens sa bite se détendre tout doucement. Sacré nuit ! Bien torride, comme je les aime. Je bande toujours comme un cerf mais jai ma petite idée sur la façon dont je veux me finir
Je suis bien trop excité pour sombrer dans le sommeil comme Abdel. Je lui laisse un petit quart dheure de récup. Alors, je me dégage doucement de ses bras et de sa bite qui ne bande plus mais garde quand même un joli volume, luisante de sperme. Par jeu, je prends un peu de sperme qui coule le long de mes fesses, enduis mes doigts et les approche des narines dAbdel
Je les vois frémir doucement
Je me déplace tout doucement pour amener ma bite raide au niveau de la bouche entrouverte dAbdel. Je promène mon gland très doucement sur ses lèvres
Il ne bronche pas. Jinsiste un petit peu plus en poussant un tout petit peu mon gland entre ses lèvres. Je voudrais savoir à quel moment il va réagir. Il bouge un peu sa langue. Trop doux ! Je prends sa main et lamène doucement vers mes couilles. Elle reste inerte. Millimètre par millimètre, je me mets à bouger ma bite davant en arrière. Mon gland nest même pas complètement entré dans sa bouche. Il remue légèrement. Je continue mon doux manège. Il ouvre un il à moitié et comprend instantanément la situation ! Un sourire éclaire son visage. Il fait mine de se rendormir mais en attendant il aspire bien mon gland entre ses lèvres ! Il sactive doucement dessus. Ses doigts me titillent le périnée. Petit à petit il se met à me sucer consciencieusement comme il sait si bien le faire. Il a compris que jai envie de jouir ainsi et il va tout faire pour ça. Ses deux mains ont empoigné le bas de ma bite et il senfourne le reste dans sa bouche chaude et humide. Je sens parfaitement bien ses mouvements de succion et sa langue qui saffole sur ma hampe. Je vais et je viens dans sa bouche. Il me pompe ainsi pendant de longues minutes puis passe la quatrième. Il veut me finir. Je ne demande que ça. On sactive en cadence, synchrones. Je me sens venir. Je fais mine de me retirer mais il me retient fermement et veut que je jouisse dan sa bouche. Je sens une vague de chaleur minonder, ma bite se gorge de sperme et je lâche tout dans sa bouche. Trois longs jets brulants. Il avale tout puis me lèche longuement pour me nettoyer.
On sendort, fourbus. On émerge assez tard. Comme on crève la dalle, on descend déjeuner. Cest vrai quon renifle peut-être un peu trop une forte odeur de sperme
on aurait peut être du se doucher avant
Jen profite pour acheter un rasoir mécanique au distributeur et demander à la réceptionniste si elle peut me prêter des ciseaux. On remonte se doucher. Jen profite pour lui demander sil est toujours OK pour élaguer fortement sa touffe. Il est toujours partant. Dans la douche, je le mouille dabord puis jy vais à grands coups de ciseaux et finis au rasoir mécanique ? De se faire tripoter ainsi la bite, bien sûr ça le fait rebander dur ? Je lui laisse une pellicule de poils assez rase au dessus de la queue, taillée en trapèze. Comme ils frisottent, ça fait trop beau. Il aime.
On décide de regagner lautre côté de la frontière. Durant toute la durée du trajet, il plongera sa main dans mon slip et me branlera doucement. Quand je le peux, jen fais autant. Je le dépose au café où je lai vu la première fois. Il a griffonné son 06 et me la laissé sur le tableau de bord.
Sur la route du retour, je reçois un SMS de Paulo.
« -It was good ?
-It was great ! »
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