La Débauche De Christelle 4

Cependant, Christelle, une fois seule dans le lit, retrouvait sa raison. Ces derniers jours, elle s'était bien rendue compte qu'elle n'aimait absolument pas Patrice, qu'elle ne l'avait jamais aimée, mais elle se dit que ce n'était peut-être pas une bonne idée de lui avouer maintenant. Après tout, rien ne l'empêchait d'aller se faire tringler par Idriss en l'absence de son mari tout en continuant de profiter des largesses matérielles de celui-ci. Il n'avait de toute façons jamais eu un gros appétit sexuel. Les rares fois où le taux de testostérone de cette lopette atteindrait un niveau normal, elle n'aurait qu'à prendre sur elle et se forcer un peu. C'est ce qu'elle se dit avant de s'endormir.
Le lendemain, elle réussit à éluder les explications en se jetant sur la bite de son mari.
Elle alla le réveiller en le rejoignant sur son matelas pneumatique. Avant qu'il n'ait eu le temps d'émerger, elle colla sa bouche entre ses cuisses. Comme c'était le petit matin et qu'il n'avait pas encore pissé, Patrice, assez exceptionnellement, bandait. Elle prit le chibre et colla sa bouche sur son gland. Elle commença à lui tailler une pipe. L'idée était de le faire jouir rapidement. Détachant son esprit de ses lèvres, se comportant comme une pure machine à sexe, elle faisait parfaitement semblant d'avoir envie de ce qui la répugnait hier encore. Elle suçait l'ensemble de la queue comme un bonbon. Le bonbon explosa rapidement dans sa bouche. Elle avala les quelques gouttes du sperme de son mari, se releva, le regarda dans les yeux et lui susurra:
"Je suis navrée pour hier, je n'étais pas bien."
Et lui, roulant une pelle:
"Je t'aime, chéri".
Une vraie pute n'aurait pas fait mieux. L'époux n'y vit que du feu et ne lui reparla plus jamais du petit incident de la veille.

Patrice parti bosser, Christelle n'avait plus qu'une envie: se faire défoncer la chatte par Idriss. Elle se rendit à la ZAC. Le temps qu'elle arrive, son étalon avait quasiment fini sa journée de travail.

Aujourd'hui peu disposé à partager sa chienne avec ses collègues, il lui intima l'ordre de la suivre chez lui. Christelle proposa de rentrer en taxi mais il préféra imposer le RER à sa bourgeoise. Lorsqu'ils furent assis, Ils s'assirent près d'une fenêtre au fond d'un wagon, légèrement à l'écart, séparés du reste de la rame par un mur serti d'une vitre commençant à un mètre vingt de haut.Une fois le train parti, Idriss ordonna à la femme de sucer.
Christelle se demanda comment accéder à cette requête en minimisant le risque de se faire remarquer. Il était 13 heures, ce n'était pas l'heure de pointe mais il y avait quand même une dizaine de personnes assises dans la rame, du côté opposé à leur banquette. Et puis, à la prochaine gare, les portes à cinq mètres d'eux risquaient de se rouvrir pour laisser passer des gens. Ceux-ci pouvaient voir le haut de leur banquette. Christelle défit donc la baguette d'Idriss et mit aussitôt sa tête contre le haut des cuisses de son étalon. Ouvrant grand les lèvres, elle lui baissa le caleçon de façon à ce que la bite aille directement du sous-vêtement à sa bouche. Le problème est qu'Idriss bandait déjà comme un taureau! Cela obligea donc Christelle à faire une gorge profonde. Son gland râpant contre les cartilages de la gorge humide, Idriss était aux anges. Il entreprit d'irrumer sa partenaire lorsque le train s'arrêta en gare d'Aulnay. Loin de stopper l'ardeur du jeune homme, cela redoubla son excitation. Une bande de collégiennes bruyantes rentra dans leur wagon. Tant qu'elles ne rejoignaient pas sa banquette, elles ne voyaient pas plus bas que le torse d'Idriss qui continuait ses va-et-vient dans la gorge de sa dulcinée. Son visage devait exprimer une félicité rare dans cette banlieue sinistre car il intrigua les jeunes filles qui le fixèrent, comme fascinées. Excité au plus haut haut point par l'ambiguïté de cette situation, il jouit en prenant soin d'appuyer sur le crâne de la salope pour couper son réflexe de remonter la tête suite à l'afflux de foutre.
A l'arrêt suivant, les filles sortirent du wagon, Idriss stoppa sa pression et Christelle se dégagea brutalement. Elle chercha à reprendre son souffle, ouvrant grand la bouche pour prendre de larges inspirations, découvrant les filets blancs de sperme noyées dans sa bave, entre sa glotte et sa langue. Ses bruyantes gesticulations de quasi-noyée risquant de les faire remarquer, Idriss lui ordonna de se rasseoir et de se calmer; ce qu'elle parvint à faire tout en récupérant un rythme normal de respiration. A quelques secondes près, ce salaud aurait pu lui faire perdre connaissance pour son bon plaisir mais, pas si bizarrement que ça, cela renforça le désir de Christelle: se faire baiser la gorge jusqu'à la syncope, c'était pour elle la soumission ultime au mâle. Si la bourgeoise avait profité de sa masse de temps libre pour se cultiver un peu, elle aurait d'ailleurs peut-être su que par cet acte, les patriciens de la Rome antique marquaient leur domination sur leurs esclaves.
Sa chatte était en feu, elle n'en pouvait plus. Elle supplia Idriss. Celui-ci, qui avait vite repris sa vigueur, consentit à sortir à la prochaine station: Le Bourget.
Il l'emmena rapidement au bout du quai sans faire trop d'effort pour s'éloigner des lieux de passage. Il lui arracha la culotte (même si elle venait pour se faire pilonner la chatte, Christelle gardait l'habitude de mettre des sous-vêtements), l'allongea par terre, et la pénétra d'un coup sec, ses couilles claquant contre les fesses rebondies de la chienne. Elle avait beau avoir le nez sur un bitume froid et sali par les chewing-gums et les mégots, Christelle était ravie pour une simple et bonne raison: la bite d'Idriss, grosse, raide et charnue -tout le contraire de celle de Patrice- cognait vivement à l'intérieur de son vagin.
Un train régional passa et le jeune homme, entraîné par un élan de perversion exhibitionniste, désira que sa bourgeoise voit et soit vue par les voyageurs entrain de se faire pilonner sur le bitume.
Hébétée par les coups de boutoir, elle grogna lorsque Idriss lui souleva la tête par les cheveux pour la forcer à contempler les voyageurs. Ainsi, Christelle put distinctement apercevoir le regard étonné et lubrique de vieux barbons en première classe. Parallèlement, la cadence du pilonnage s'accélérait et la chienne eut son orgasme et hurla son plaisir. Idriss ne fut alors pas long à lui éjaculer dans la chatte. Voyant qu'un train en direction de Paris entrait en gare, il se retira rapidement et courut le rejoindre, laissant Christelle gésir sur le bitume dégueulasse, la culotte déchirée et la jupe remontée, hagarde et repue.

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