Marion Vs Pierre
Juste au moment de nous mettre à table, un coup de fil dun vague cousin que je nai du voir trois fois seulement. Marion, ma femme ne le connaît guère plus que moi. Elle insiste pour maccompagner à la gare en ville, à plus dune demi-heure de route. Je sens quelle a quelque chose en tête. Elle se change pour mettre sa tenue de tennis. Je devine quelle ne doit pas porter grand chose dessous. Nous démarrons quand elle pose sa main sur la braguette. Linévitable se produit : je commence à bander. Elle ne cherche pas à faire sortir ma bite pour une fois : elle masse simplement. Cest agréable pas au point de décharger. Dès que la route le permet je passe ma main sous sa jupette. Elle écarte bien les jambes pour que jarrive à sa chatte. Je suis sur son intimité pour la branler. Elle aime bien quand je moccupe delle ainsi, surtout dans la traversée éclairée des villages sous les lampadaires et aux feux rouges.
Elle jouit au moment darriver à la gare. Un grand gaillard nous attend : Pierre, mon cousin que je reconnais à peine. Nous nous embrassons, Marion a aussi son baiser familial.
Le retour est tranquille pour Margot et moi. Pierre parle de lui, de la famille, bref de tout.
Margot réchauffe le repas, veut donner sa part à Pierre qui poliment refuse : il a bien mangé dans le train. Il sinstalle là où Marion le lui dit, dans un fauteuil près de la table. Marion avait lintention de baiser ce soir. Elle me lavait dit. Jétais on ne peut plus daccord. Mais la présence de Pierre mettait en lair notre projet.
A la fin du repas, Marion débarrasse la table. Elle fait tomber une cuillère, se courbe pour la ramasser. Certainement elle fait exprès de montrer non seulement son cul mais sa chatte à Pierre qui ne réagit pas tellement. Pour moi leffet est immédiat, je bande.
Reste à savoir comment nous débarrasser de Pierre pour être en paix et baiser tranquillement. Marion a ses idées : elle soulève sa jupette pour montrer sa chatte en entier à Pierre qui avoue quil est homo.
- Je préférerais que ton mari me suce.
- Et moi, tu ne voudrais pas me lécher la chatte.
- Non jaime les hommes, ils font ça mieux que les filles.
- Sinon je te suce, demande à mon époux, il adore quand il jouit dans ma bouche ;
- Non, je le préfère à toi. Ne sois pas fâchée.
Elle est réellement déçue, et moi pas capable de sucer une bite. Par contre Marion est curieuse de me voir sucer la queue dun autre homme : cest un de ses fantasmes. Elle me pousse à accepter.
- Je te sucerais aussi.
Tant pis pour moi, je me dévoue à prendre une bite dans la bouche. Pour être à laise, Pierre se déshabille : il a une queue plus grosse que la mienne, plus fine peut être. Du coup Marion est vite nue, comme moi aussi. Je ne bande même pas quand je suis à genoux devant la bite bien tendue.
Je prends en main la pine de Pierre. Je le branle en me disant que si ça se trouve une masturbation suffira. Marion ne soccupe plus de moi, elle se masturbe en regardant ce que je fais. Pierre me pousse pour que javale son dard. Jai une drôle dimpression en ayant un sexe dhomme dans la bouche. Cest à la fois bon et dégueulasse. Je minspire de ce que me fait ma femme. Je lèche le gland, mes lèvres entourent la bite, ma tête va-et-vient.
- Mets-moi un doigt dans le cul.
Ca je sais le faire avec celui de Marion. Il manque la cyprine pour bien entrer. Cest elle qui vient à mon secours : elle met son jus sur le cul presque ouvert. Jentre lindex complètement en le faisant aller et venir. Pierre soupire comme le fait Marion. Je suis écuré quand il jouit dans ma bouche.
Je suis sauvé par la bouche de Marion qui prend toute la semence de Pierre dans sa bouche pour la déguster. Pierre a joui, il est hors jeu. Je bande maintenant grâce à la bouche de ma femme.
Elle arrête sa masturbation en jouissant.
- Cest excitant de vois la queue dans ta bouche, tu la bien fait, comme moi. Son sperme aussi était bon, pourquoi te ne la pas avalé ?
- Cest ta cyprine que jaime.
- Alors, suce-moi
Je ne le fais pas répéter. Jadore son jus. Jadore avoir ma langue dans des endroits quelle ne connait quà peine. Jaime sentir son petit jet de cyprine quand elle jouit. Laissant Pierre sur son fauteuil Marion sassoit les fesses près du bord sur le divan. En ouvrant son compas elle me donne toute sa chatte.
Avec deux doigts de sa main droite, elle tire vers le haut ses lèvres pour bien faire sortir son clito. Là je suis à mon affaire. Quelle douceur, quelles odeurs presque safranées. Ma bouche avale son petit bouton, je la suce de lintérieur. Elle na pas besoin de me demander de lui mettre un doigt au cul ; il y va tout seul. Il glisse bien en elle, son conduit rectal est sensible à ce genre de familiarité.
Je ne bandais pas en suçant Pierre, je me ratt bien. Jattends, pas longtemps quelle ait un orgasme pour venir lui mettre ma queue dans son con. Je nai quà me redresser pour avoir sa faille à portée de bite. Jattends quelle me dirige dans son con, comme elle aime le faire, comme si je ne savais pas la baiser.
Je suis au fond de son ventre. Nous bougeons ensemble pour notre plus grand bonheur. Jallais jouir en elle quand elle jouit plus fort que moi. Je me retire pour ne pas gâcher mon plaisir et le sien, sa gourmandise pour tout dire : je suis interdit de séjour sans son ventre quand je jouis. Je nai droit quà sa bouche et cest délicat comme plaisir.
Sachant que Pierre, derrière moi nous regarde jai envie dun cul : celui de Marion me convient parfaitement
- Oui, mets moi la au cul. Ton cousin nous regarde en se branlant.
Je ne me retourne même pas pour le voir. Seul le cul de ma femme est intéressant. Elle y possède tout ce qui convient à mon bonheur : elle est relativement serrée, sensible, profonde. (Une fois elle sest enfilé un concombre long de pour de 20 cm en entier, il a fallut quelle force comme pour dégager un étron)
Cette fois je me mets seul sur lanus. Il est bien mouillé, jentre facilement, lentement jusquà la lui mettre à fond.
Nous aimons la sodomie lun et lautre, chose que nous avons fait dès le premier jour.
Je suis engagé pour jouir quand je sens la bite de Pierre sur mon cul. Il réclame à Marion de la cyprine pour menculer devant ma femme. Elle aimerait depuis longtemps que je sois enculé devant elle.
Il me fait mal, ce con quand il entre. Il me fait mal quand il est au fond, que je sens les poils de son pubis contre mes fesses. Marion excitée ne me laisse pas libre, ma queue doit toujours être dans son propre cul. Chaque mouvement que je fais sert à Pierre pour me la mettre.
Doucement je sens un étrange plaisir dans mon postérieur. Marion arrive à caresser mon torse quand elle jouit. Je jouis en même temps que Pierre.
Je lui en veux pour mavoir sodomisé devant Marion qui ne demandait pas mieux.
Pierre ne venait que pour une journée. Marion la convaincu de rester une bonne semaine pour que je me fasse enculer devant elle, la salope.
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