La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 468)

La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°462 -

Après avoir quitté son cher ami Amir Sharyar, qui était venu vêtu tel un sultan de l’ancienne perse, accompagné de sa soumise Sharzad, une vraie adepte des danses orientales, Le Marquis d’Evans n’a pas fait deux mètres qu’IL est interrompu par un appel qu’il entend provenant de derrière son dos.

- Monsieur le Marquis d’Evans ! ….. (d’une voix féminine presque essoufflée et d’un cri un peu piquant et sec ….)

Le Châtelain s’arrête sur sa lancée, presque agacé de se faire interpeller de la sorte. Il se doute qu’il ne peut s’agir de l’un de ses nombreux esclaves qui sont tous habitués à plus de cérémonial pour oser prendre la parole devant Le Maître Vénéré, même en cas d’urgence, sauf à se voir réprimander de la manière la plus virulente qui soit, avec punition à la clef pour apprendre à respecter les bonnes manières. Le Noble est très protocolaire pour ce qu’il en est de la politesse et du respect de la courtoisie, que ce soit dans Sa vie de tous les jours ou à fortiori dans le cadre de la relation D/s avec ceux et celles qui Lui appartiennent et qui Lui doivent en tout premier lieu déférence et obéissance, car là est le fondement même de l’existence d’une relation de type D/s, Maître Dominant/soumis(e) assujetti(e). IL ne pense pas non plus qu’il pourrait s’agir de quelqu’un travaillant dans la maisonnée puisque c’est une voix de femme, et qu’entre ces murs, presque toutes les « filles d’Eve » à l’exception de Marie, la cuisinière, sont actuellement des soumises de Son cheptel MDE. Bien que n’étant pas résolument misogyne dans son recrutement, il se trouve que depuis quelques temps la garde de l’immense Domaine et de ses dépendances, tout autant que la surveillance des esclaves placés sous le Joug et la responsabilité du Noble ont été souvent confiés à des salariés hommes qui ont su faire preuve de leurs capacités, de leur sérieux, et surtout d’une grande confidentialité à laquelle tous sont tenus vis-à-vis de ce qui se passe à l’intérieur de la propriété, ce qui n’a rien d’illégal puisque le consensuel et le volontariat est ici la règle de base au sein du Cheptel, mais rien de tout ceci n’a pas non plus à faire l’objet de commérages permanents sur la place du village entre des personnes vanille qui pourraient ne pas comprendre cet Art de vivre qu’est la D/s.



Le Marquis d’Evans n’imagine pas non plus qu’il pourrait s’agir d’une de ses Invités, toutes Dominas de renom, car il n’y a parmi ses amies de longue date que des personnes de qualité bien éduquées, qui sont capables de vilipender si besoin leur soumis ou soumise D/s mais qui ne se permettrait pas d’interpeller, à voix haute qui plus est, Le Noble Maître des Lieux, amphitryon de la prestigieuse nuitée à laquelle elles ont été conviées.

Cependant, comme un flash qui lui traverse l’esprit, le Marquis d’Evans se rappelle qu’il s’est bien aperçu qu’en cette soirée anniversaire particulière, ses deux fidèles domestiques, Walter, Le Majordome, et Marie, la cuisinière, pour pouvoir offrir une réception plus grandiose, avaient rabattu large pour récupérer des petites mains dévouées, parmi l’ancien personnel mais aussi les soumis et soumises « occasionnels » qui ne sont admis entre les murs du Château que rarement lorsque Le Maître des Lieux les y autorise ou plus précisément exige leur présence à ses pieds. Ce sont des dominé(e)s fidèles à Monsieur le Marquis d’Evans de manière permanente, mais ils ou elles ont choisi pour des raisons familiales, étant souvent engagé(e)s dans une vie vanille autre avec conjoint(e) et (s), ou encore pour des raisons professionnelles, de ne pas vivre leur soumission au quotidien aux pieds du Maître Vénéré, car tous et toutes ne sont pas prêt(e)s à Lui sacrifier leur vie toute entière dans une slavitude 24/24 et 7/7 pour venir se placer à demeure au service du Maître et sous Sa dépendance totale.

C’est donc à ce dernier cas de figure que le Marquis d’Evans pense avoir affaire, regrettant un peu que les bonnes habitudes puissent se perdent en dehors de l’enceinte du légendaire Château et d’une Dominance appuyée au quotidien. Pour marquer sa désapprobation de s’être ainsi fait apostropher par quelqu’un qui n’a même pas daigné s’approcher jusqu’à Sa hauteur avant de le héler de loin, presque comme on le ferait pour le chien chargé de regrouper le troupeau de brebis en train de paître sur les étendues de causses du Massif Central, le Châtelain qui s’était arrêté en entendant Son titre et Son nom reprend sa marche comme si de rien n’était, refusant catégoriquement de se retourner pour regarder l’impertinente.


- Monsieur le Marquis d’Evans !!! ….. (de la même voix féminine aigue et presque encore plus stridente et forte que la première fois, dans un français qui laisse à désirer) …. Oui, c’est b’en vous que je cherche, le propriétaire de « cette baraque ». Je ne vais pas vous courir derrière tout’la soirée quaannn’même ! J’vais finir par me casser la figure avec les échasses qu’il faut que j’me coltine soi-disant pour être plus élégante.

Le Châtelain s’arrête, en se disant que cela dépasse l’entendement à force et que les prestigieux murs historiques de la Noble Demeure Ancestrale ont même du trembler dans leurs soubassements en s’entendant traiter de « baraque ». Terriblement courroucé que quelqu’un puisse oser lui parler ainsi, sous son propre toit qui plus est, le Marquis d’Evans fait volte-face avec les poings serrés sur les hanches en se retournant rapidement pour dévisager la malapprise qu’il a bien l’intention de sermonner âprement. Ses yeux bleus s’ouvrent en grand, paupières relevées, Son regard se fige, Son corps se raidit bien droit avec la tête haute dans une altitude altière, car IL n’a pas du tout l’intention de laisser passer l’incident. La petite chienne soumise Holly MDE qui était tirée en laisse a bien du mal à vite faire le tour complet pour suivre et rester à portée de longueur de laisse, avant de pouvoir se remettre juste derrière Le Maître à sa place. Une jeune fille en corset noir et petite culotte assortie, à la démarche hasardeuse sur de hauts talons aiguilles, s’avance toujours dans sa lancée et vient buter de manière disgracieuse dans les bras du Marquis d’Evans qui la retient juste à l’instant où elle manque de s’étaler par terre.

- Bonjour, (commence par dire le Noble d’une voix lourde)
- Ah, m’enfin !!! Mais Vous êtes sourd ou quoi ?

Le Châtelain de plus en plus excédé, après avoir repoussé la jeune fille toujours affalée dans ses bras et l’avoir aidé à se remettre droite, d’un ton de plus en plus grave lui réplique.


- J’ai dit : … « Bonjour ! » …. Vous savez ce petit mot en 7 lettres qui commence par un « B » et se termine par un « R ». Un petit mot auquel je tiens beaucoup justement et qui sert à commencer une conversation la première fois où quiconque s’adresse à quelqu’un d’autre.
- Oui, j’vous ai entendu. J’suis pas sourde moi !
- Vous n’êtes peut-être pas sourde, Mademoiselle, mais visiblement vous êtes bien mal élevée. Vous deviez me répondre à minima « Bonjour » et au mieux « Bonjour, Monsieur le Marquis d’Evans »
- Bon, d’accord, « j’m’excuse ». Vous voyez que j’suis pas si mal élevée qu’ça, j’sais déjà ce que ma mère m’disait toujours avant de mourir, qu’on dit pas « tu » à quelqu’un avec qui on « na » pas gardé les cochons ensemble.
- Désolée, Mademoiselle, mais je vais devoir vous contredire, outre le fait que je ne passe pas mon temps à aller garder les cochons en compagnie des filles de ferme. On ne dit pas « je m’excuse » car on ne s’excuse jamais à soi-même, on dit « Je Vous prie de m’excuser » ou encore « Je Vous présente toutes mes excuses ». Mais cela est peut-être trop complexe pour votre petite et jeune cervelle.

Le Marquis d’Evans excédé, mais quand même intrigué par cette personne manquant de la plus élémentaire éducation semble-t-il, cherche à en savoir plus.

- Et puis à qui ai-je l’honneur, s’il vous plait ?
- Comment c’eti qui cause celui là !
- Mademoiselle, je vous prierais de noter que je ne « cause » pas et surtout que je ne vous ai même pas encore autorisé à m’adresser la parole, et ce qui plus est en écorchant la langue de Molière à laquelle je tiens profondément et en des termes bien peu discourtois et désobligeants eu égard à Ma Noble personne et à Mon rang.

Le Châtelain dévisage la jeune fille qui semble avoir à peine 18 ou 19 ans, mais guère plus de maturité. Son regard froid et Directif de Maître D/s est imposant, si bien que la jeune ingénue est malgré tout impressionnée par la stature de cet homme mûr et puissant.
Elle affiche un sourire d’une naïveté naturelle qui en serait presque attendrissant, mais le Maître des Lieux ne peut s’en tenir là de l’offense personnelle.

- En outre, Je vous prie de noter, Mademoiselle, que vous ne m’avez pas été présentée à l’arrivée et que vous ne faites pas partie de Mes invités personnels que je connais tous de longue date.
- Mais si que j’suis invitée ! Pour cause que je suis là … « t’ein pardi ! ». J’suis pas tombée du ciel et j’suis pas plus arrivée dans un paquet comme bonus (son jeune âge ne lui a pas permis de connaître l’heureuse époque des premiers cadeaux disséminés dans les paquets lessive ce qui a donné lieu à la véritable expression française maintenant reconnue comme telle de « cadeau bonux »)
- Permettez-moi de douter encore que vous puissiez faire partie de la liste de mes invités ! Nous ne sommes d’ailleurs pas le premier Avril, et je ne pense pas que Mon Majordome ait voulu me faire une farce du plus mauvais goût. Et donc pour aller droit au fait, vous êtes qui précisément, Mademoiselle, vous qui vous trouvez dans Ma Noble Demeure ?

D’un air à la fois naïf et impertinent, avec toute l’arrogance de sa jeunesse, la jeune fille, presque fière de son tout nouveau « titre » dont elle se glorifie, annonce :

- J’suis « la stagiaire ».
- Pardon ! Je crois que je n’ai pas très bien entendu.
- Ah Oui, c’est vrai que vous devez être un peu sourd avec l’âge. J’suis « la stagiaire ».
- Mademoiselle, je ne vous permettrais pas d’être plus longtemps insolente avec moi. Je suis loin d’être sourd et en ce jour anniversaire, je pense que même si j’ai un an de plus que l’an dernier, je suis encore loin d’avoir atteint l’âge canonique. D’ailleurs, je n’ai aucune stagiaire à mon service, et je ne pense pas que vous auriez pu obtenir une telle place sous Mes ordres.
- Ah, mais non que j’suis pas à votre service ! J’suis la stagiaire de « Monsieur ».
- Et de quel « Monsieur » précisément s’agit-il ?
- J’sais pas. Il m’a demandé de l’appeler « Monsieur », c’est tout ce que je sais. Moi, « y’a » personne d’autre que j’appelle ainsi. C’est le patron de loulou, mon p’titlapinou d’amour, qui l’appelle aussi « Monsieur ».
- De mieux en mieux ! Je doute d’en savoir plus. Mais est-il possible au moins de savoir en quoi consiste votre stage ?
- Je fais un stage pour savoir si je peux être soumise, si cela me plaît. De toute manière, ce sera mieux que de retourner travailler à la chaîne à l’usine.
- Devenir une soumise n’est pas un métier en soi, Mademoiselle, c’est une manière de se comporter envers un Maître. Il faut de réelles dispositions à la soumission et accepter un dressage de qualité qui s’avère parfois difficile à supporter pour pouvoir évoluer aux pieds du Dominant.
- Pour l’instant, j’ai vu qu’il suffit de dire toujours Oui et d’écarter les cuisses, les fesses ou la bouche à chaque fois que le mec a envie de tirer un coup ou de se faire sucer.
- Ce n’est peut-être pas la définition que j’utiliserais pour décrire un ou une soumise D/s, une personne digne de respect en tant qu’être humain, même si parfois Je la transforme en chienne en chaleur lubrique, une dominée qui fait de son mieux pour parfaire son éducation et satisfaire le Dominant devant lequel elle s’est courbée volontairement pour le servir et lui obéir en tous points.

Sur ces entrefaites, Monsieur Here arrive, tirant par l’oreille sa soumise slavina courbée en deux. Il s’approche du Châtelain qu’il trouve en grande discussion, hésitant presque à le déranger mais se devant d’intervenir pour faire cesser au plus tôt ce qu’il peut imaginer du quiproquo et de la méprise qui n’a dû que trop durer, au vu de la mine plus que courroucée qu’affiche le Noble.

- Très cher Monsieur le Marquis d’Evans, je viens Vous présenter mes plus plates excuses pour tout ce qu’à pu Vous déblatérer cette jeune personne qui n’a encore reçu aucune éducation et qui est bien loin de savoir comment on se doit de s’exprimer et de se comporter devant quelqu’un de Votre qualité. Il me semble que je Vous dois quelques éclaircissements en sus de tous mes regrets les plus sincères.

Le Dominant incline respectueusement la tête devant le Châtelain et de la main, il écarte la jeune fille pour la placer derrière lui.

- Cher Monsieur Here, aurais-je enfin quelques explications sur ce qui se passe ici. Seriez-vous le « Monsieur » sans nom dont parle celle qui s’est présentée à moi comme « la stagiaire », mais qui a été incapable de me dire pourquoi elle venait s’adresser à moi de la manière la plus étrange qui soit, en me hélant de dos à travers toute la salle. Cette demoiselle est-elle donc venue avec vous à la soirée ?

- Oui, très cher et respectueux Hôte, c’est bien avec moi qu’elle est arrivée et j’en assume la pleine et entière responsabilité, en espérant cependant que Vous ne m’en tiendrez pas rigueur au point de ne plus me permettre à l’avenir de franchir les portes de cette sublime demeure et pouvoir paraître devant Vous. Je ne peux pas encore dire qu’elle soit même une soumise en devenir, c’est pour cela que je lui ai donné le nom de « stagiaire » en attendant son consentement à la soumission en toute connaissance de cause.
- Très cher, avez-vous donc décidé de faire dans l’humanitaire, le sauveteur des causes perdues d’avance ? Quant à moi, je reconnais que tous les esclaves que j’accepte à mes pieds sont triés sur le volet en amont, ce qui ne veut pas dire qu’ils ou elles ne sont pas la plupart du temps totalement novices, mais je m’assure d’un minimum de qualités et de savoir-vivre et aussi d’un désir de soumission déjà ancré dans la nature même du dominé(e), même si lui ou elle n’en a pas encore pleinement conscience, car c’est une prédisposition que je décèle très vite chez quelqu’un. Votre future protégée à l’air si mal dégrossie que je vous souhaite bien du courage pour pouvoir lui inculquer tout ce qu’il faudra avant d’en faire une femme respectable et une soumise accomplie.
- A vrai dire, Monsieur le Marquis d’Evans, c’est un pari que j’ai fait avec Maître D’Oz et Maître Kas qui m’ont mis au défi de pouvoir la transformer du tout au tout, pour son bien en premier pour compenser ce que la vie ne lui a pas apportée, mais aussi parce que cela va être un vrai plaisir de la voir évoluer.
- Alors, j’espère que Vous me tiendrez au courant des progrès dans son éducation qui devra démarrer ras les pâquerettes, en commençant par lui apprendre à s’exprimer ou à se taire, car elle a été des plus offensantes à mon égard, mais j’ai décidé dans ma grande mansuétude d’oublier l’impertinence de cette petite sauvageonne, qui n’a donc à ce jour si je comprends bien pas encore prononcer ses vœux d’allégeance.
- Monsieur Le Marquis d’Evans, soyez certain que je suis vraiment désolé à cet instant d’avoir cru pouvoir l’amener avec moi, car bien que cela fût indirectement causé, je me sens seul responsable de l’affront fait à Votre personne et j’ai bien du mal à me pardonner cette bavure. C’était vraiment trop tôt et trop risqué de la laisser paraître en ce respectable lieu, elle n’est arrivé chez moi que depuis hier, et je n’ai pu lui transmettre que quelques maigres rudiments. Mais, je dois avouer que j’ai craint de laisser seule à la maison cette maladroite. Alors, je lui avais fait promettre de ne pas ouvrir la bouche pendant toute la soirée et de rester à mes côtés sans bouger et sans rien faire de sa propre initiative.
- Aurait-elle déjà en elle une grande tendance à la désobéissance ? Alors, Je Vous souhaite bien du plaisir pour la dresser.
- Très Cher Marquis, sur ce point je vais me permettre de la dédouaner. Son obéissance est sans faille malgré parfois de grandes maladresses par incompréhension de ce que je peux exiger. En réalité, la vraie coupable est là entre mes mains.

Monsieur Here, qui tient toujours slavina par l’oreille courbée en deux, l’oblige à s’agenouiller devant Le Marquis d’Evans. La soumise fautive est tremblante, mais inconsciemment, elle est plutôt contente que l’on s’intéresse enfin à elle, même si cela doit lui valoir une punition, car tel une ainée qui voit débarquer à la maison un nouveau bébé puinée, elle a eu le sentiment d’être abandonnée par le Maître qui avant n’avait qu’elle comme esclave à ses pieds dont il avait à s’occuper, alors que depuis 2 jours, il était sans cesse obligé de se consacrer à la petite dernière arrivée, qui captivait son attention par la nouveauté de la situation et l’étrangeté de cette indomptée, alors que l’esclave en titre n’avait rien de plus à lui offrir que ce que le Dominant connaissait déjà que trop bien depuis 2 ans qu’elle était sa soumise docile.

- Monsieur le Marquis d’Evans, ma soumise slavina m’a tout avoué à mon retour, lorsque je me suis mis en colère de la trouver seule, alors que je lui avais fait promettre en m’éloignant de surveiller en mes lieu et place ma jeune protégée. En réalité, elle a profité du fait que je me sois éloigné quelques secondes pour saluer un ami commun, et elle n’a pas trouvé mieux que de lui suggérer de partir Vous chercher et de Vous demander de venir me rejoindre, prétextant que c’était l’ordre que j’aurais donné et qu’elle se devait d’exécuter cet ordre sans tarder si elle ne voulait pas être punie à mon retour.
- Il ne m’appartient pas de décider à Votre place et de me faire juge de ce qui s’est passé, mais Vous ne pouvez laisser passer une telle faute qui semble avoir été volontairement commise, ce qui est intolérable de la part d’une soumise aguerrie.
- En effet, Cher Marquis d’Evans, je suis conscient que Slavina ne pouvait ignorer ce qui risquait de se passer et elle a agi en toute connaissance de cause ce qui aggrave à mes yeux son forfait. Elle va devoir me le payer durement, car j’en ai plus qu’assez de ses crises de jalousie inconsidérées depuis 48h, qui ne sont pas dignes de l’esclave servile que j’ai eu à mes pieds pendant deux ans. Pourriez-Vous m’aider, Monsieur le Marquis d’Evans, à trouver le châtiment le plus adapté pour sévir contre Slavina ? Je voudrais qu’elle puisse en tirer une bonne leçon qui la fera réfléchir à l’avenir avant d’agir et de risquer de me porter préjudice, puisqu’in fine c’est moi qui me sens responsable vis-à-vis de Vous de tout ce qui est arrivé. Et puis, c’est aussi Vous le premier offensé, alors il me semble normal que Vous puissiez décider de ce que Vous exigez en réparation de l’affront. Vous êtes un Dominant D/s reconnu de tous pour Sa sagesse et Sa parfaite Maîtrise, je Vous fais confiance et Vous laisse carte blanche pour agir comme il Vous plaira.
- Et bien soit !

Le Marquis d’Evans réfléchit quelques instants avant d’annoncer.

- slavina, tu viens d’entendre notre conversation avec Monsieur Here, le Maître auquel tu appartiens de ton plein gré. Avant de t’annoncer la punition que je vais t’infliger, j’exige d’entendre de ta propre bouche ta confession. … A genoux, bien droite, la tête basse et les mains jointes, et tout de suite, J’ai dit !...

(A suivre …)

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