La Secretaire Du Ministère

Je suis le grand chef du service: après 40 ans, je le mérite bien. En somme je suis sous la coupe du conseiller du ministre: belle avancée. Par contre j’ai quitté mes collègues dont certains sont jaloux. Surtout une jeune femme de 35 ans qui comptait bien sur la place. Tant pis; je n’ai rien fait que mon job alors qu’il se murmure qu’elle a joué de ses fesses pour y arriver. La promotion canapé ne marche jamais. Elle est jolie, bien fichue, très sexy. Quand elle me voit elle fait la gueule: je la comprends un peu. Elle pensait sans doute le mériter et les bruits qui courent sur elle sont sans doute fantaisistes. Je tiens à en avoir le cœur net: je vais la voir dans son bureau. Elle est étonnée de me voir chez elle sans demander l’autorisation je m’assois. Je demande une simple mise au point d’abord en précisant certains points:
- Je n’ai jamais rien fait pour avoir le place où je suis: on a dit que vous étiez jalouse ? Est-ce vrai ?
- A dire vrai, un peu, je comptais sur cette place pour faire mon trou. C’est vous qui l’avez , tant mieux pour vous, tant pis pour moi.
- Est ce que je peux me faire pardonner ?
- Je pense que oui !!!
- En faisant quoi, par exemple ?
- D’abord en me considérant comme une employée modèle.
- Et ensuite ?
- En m’invitant au restaurant.
- C’est tout, alors d’accord, mais quand ?
- Ce soir par exemple que j’ai le temps de me faire une beauté.
- Vous n’en avez pas besoins, vous êtes belle comme ça, au naturel: je ne mens pas: c’est la vérité.
- Vous me flattez beaucoup? Rendez vous où vous voulez à l’heure qui vous conviendra.
Je fixe rendez vous dans un restaurant réputé, vers 20 heures 30.
Je retourne à mon travail. Je ne sais pour elle en tout cas la journée passe très vite. Je sors du ministère à 19 heures. J’ai largement le temps de me changer, de me faire beau !!!!! J’arrive au restaurant vers 20 heure moins 5, le temps de choisir la table: une réservation émanant du ministère est toujours réservée quelle que soit l’heure.

Elle arrive pile à l’heure: un bon, point pour elle. En homme bien élevé je lui fait un baise main. Il fait croire que c’est le premier de sa vie. Elle en rougi légèrement: elle devient adorable, surtout habillée comme elle est: robe noire ouverte très largement sur le dos, presque à la naissance des fesses. Le décolleté est même un peu audacieux. Bref à sa beauté naturelle s’ajoute le port de ces habits. Elle ne porte aucun bijou On nous porte les menus, sans prix pour le sien. Nous passons la commande et en attendant nous parlons boutique. Le début su repas est silencieux: rien ne me met en boule qu’un repas de monastère.
- Vous vivez seules ?
- Hélas, je suis toujours célibataire.
- Nous sommes deux: j’ai divorcé il y a peu..
- Moi, non, j’avais un ami qui est parti un jour sans rien dire.
- C’est dur de vivre seule, non ?
- Ho, je m’y suis faite et je m’arrange autrement, j’ai quelques amis avec qui je peux bavarder ou sortir.
- Si nous nous appelions par nos prénoms ce serait plus détendu, non .
- Bien sur si vous, pardon si tu veux.
- On ne parle plus de cette affaire de promotion, juré !
- Oui, juré, d’autant plus que si j’espérais la place je n’y croyais pas trop. C’est toi qui l’occupe, tant mieux pour toi.
- De mauvaises langues disent que tu avait couché pour obtenir ce poste.
- Moi coucher pour l’avancement: c’est idiot. Je ne l’ai jamais fait et ne le ferai jamais
Je change de sujet, puisque je considère qu’il est clos. J’essaye d’avoir quelque détails sur sa vie intime. Elle se tait un moment pour finir pas me dire que l’absence d’un homme est lourde à porter.
- J’aimais me réveiller avec mon ami à côté, m’endormir aussi ainsi, après………..
Elle ne dis pas ce qu’est l’après. Je le devine bien, elle est en manque d’amour. Je complète mi même
- Tu es en manque de sexe, Non.
- Oui, un peu. J’essaye bien de me contenter seule, mais ce n’est pas si bon.
- Tu trouvera bien un homme qui te plaise et à qui tu plaira.
Comme tu me plais maintenant que je te connais mieux.
- Non, arrêtes. Tu me donne de faux espoirs.
- Mais c’est vrai que tu me plais. Je peux même te dire que j’ai envie de toi.
Elle éclate en sanglots. Je me demande ce qui se passe: elle relève la tête, les yeux brillants pour finis par me dire
- Toi aussi tu me plais, j’ai aussi envie de toi.
- Pourquoi ces pleurs ?
- Je suis heureuse de ce que tu m’a dit.
Si nous nous plaisons, pourquoi ne pas finir la nuit ensemble. En sortant je lui prend le bras et c’est elle qui me guide chez elle. Il ne s’ait rien passé entre nous. En rentrant je la prend dans mes bras et pose ma bouche sur la sienne. J’ai posé mon bras sur l’arrière de sa robe; je lui caresse le dos. Elle ne peut pas porter se sous vêtement j’en profite pour chercher un sein. J’arrive facilement sur un sein que je caresse à ma façon, sans brutalité ni pinçon. Elle vient encore plus contre moi. Elle appuie son bas ventre contre moi pour me faire bander. Elle y arrive facilement et j’en suis un peu confus. J’arrive à faire sortir une épaule de sa robe. Elle se laisse faire sans rien dire/ Je défait l’autre coté. La robe tombe facilement: elle est nue.
Un rien de pudeur lui fait mettre une main sur son sexe. Je lui embrasse la poitrine, surtout les mamelons que je suce et lèche sans arrêt. Elle prend ma tête entre ses mains comme pour me guider. Je ne suis plus marié et j’ai quand même eu pas mal de femmes dans ma vie pour que mes couilles soient moins pleines. J’accepte ce qu’elle me fait avec plaisir. Elle lâche ma tête pout sortir mon gourdin. Elle le caresse sans le branler, comme l’aurai fait pas mal de femmes. Maintenant qu’elle est nue, je me déshabille rapidement. Elle me tient par la queue pour que je la suive dans sa chambre: nous y seront bien mieux que plantés debout. Elle se couche en m’entraine près d’elle. Nous commençons un concours de langue dans la bouche de l’autre. Nous nous en sortons à égalité.
Je reprends mes suçons sur ses mamelons. Elle fait descendre ma tête tout en bas. J’arrive sur son sexe qui sens bien bon: elle a du y mettre un parfum. Je suis près de son sexe et ma bouche va s’y poser. Elle me demande de me retourner: elle aussi veux son sexe dans sa bouche. Je me couche sur le dos, elle m’enjambe pour venir prendre ma bite. Elle commence une fellation comme j’en ai rarement connue. Pour ma part je cherche partout dans sa fente ce qui peut l’intéresser. Je commence pat le plus simple: son clitoris. Il est assez gros, je peux lui faire ce que j’aime: je l’aspire dans ma bouche, pour le relâcher et recommencer. Je met deux doigts dans son vagin et le pouce dans son petit trou. Elle réagit en jouissant. A chaque jouissance elle me mord la bite, pas très fort. Quand à moi je suis sur une pente descendante: sa bouche fait des merveilles sir ma queue, elle alterne les lents mouvements avec des rapidement coups de langue. Elle me maintien entre jouissance et simple plaisir.
Ma langue va replacer mon pouce dans son cul. Je peux y entrer la moitié de la langue: elle en jouit.
C’est à mon tour: je vais jouir: je le lui dit, elle ne bouge pas d’un brin, ma pine est dans sa bouche, j’y jouirai. Quand le premier jet sort, elle avale immédiatement, elle garde dans sa bouche le reste de ma semence. Elle se relève pour me montrer le sperme dans sa bouche qu’elle ouvre. Mon sperme me parait plus blanc dans sa bouche gluante. Et à petite gorgée elle avale tout.
Je suis tombé sur un bon numéro pour la baise. Malheureusement je débande. Elle reprend la bite dans la bouche, aspire comme si elle pouvait faire revenir le sans dans mon corps caverneux. Ayant échoué à me faire bander, elle employé les grands moyens: elle se retourne pour s’assoir sur mon vengre, les jambes de chaque cotés. Se surélève un peu me montre toute sa fente, avec ses lèvres grandes et petites pour se décider enfin à se branler devant moi. L’effet est presque immédiat
Je bande qans doute plus fort que la première fois.
Bandant bien maintenant je veux la baiser: elle en a envie plus que moi, certainement. Dès que ma bite est près de son vagin elle donne un coup de rein. Je me trouve complètement dans vagin, dans tout ce qu’il a de profond. Elle en jouit vite encore. Je vais et viens dans son ventre. Nous nous embrassons toujours et à chaque orgasme elle me mordille la langue. Je me garde bien de jouir, je veux aller plus loin dans nos échanges.
Je sors de son con pour changer d’orifice: je ose ma queue bien mouillée à l’entrée de son anus. Elle écarte simplement les fesses. Je la tiens comme un chat quand il couvre une chatte: je lui mord la nuque.
Quand elle sens que je suis au fond de son cul elle recommence à jouir. Je l’encule jusqu’au moment ù nous jouissons ensemble.
A ministère nous nous vouvoyons toujours, par contre soit chez moi, soit chez elle nous parlons peu: nous baisons.

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