Mon Coiffeur

Hier après-midi j'avais rendez-vous chez mon coiffeur. Evidemment comme tous les vendredis, les voitures n'avançaient pas et j'ai dû finir le trajet à pied. Décidément ce n'était pas le jour. Mon coiffeur habituel, ne me voyant pas arrivé, avait pris un autre client.
- J'ai Hervé qui travaille très bien. Il est disponible dans la cabine 4.
- Bon ok c'est de ma faute. Il est seul?
- Oui, allez-y je le préviens.
Il avait déjà le téléphone à la main. J'ai poussé la porte de la 4. Il était au téléphone, me détaillant d'un sourire.
- Oui ok Mr. Il aura les mêmes services.
Il a raccroché et en tapotant sur la table à coté du fauteuil.
- Aller! Mets-toi à l'aise, vire tout
- Mais pas nu! Pas ici.
- Regarde au-dessus, les point rouges. On a enregistré chacun de tes passages et il y a du corsé! Alors tu vires tout en garçon obéissant. Je connaissais ton cul bien avant.
J'avais commencé à me dévêtir lentement trop lentement à son goût. Il a découpé un coté du slip avec son ciseau. J'ai baissé l'autre côté rapidement.
- Tu vois quand tu veux.
Il a pincé mon prépuce.
- On va commencer par raser le devant. Allonges-toi sur la table. Garde bien les cuisses grandes ouvertes.
J'ai senti le froid de la mousse qu'il étalait jusqu'à sous mes couilles.
- C'était il y a 3 semaines la dernière fois?
J'ai hoché la tête. J'allais me réveiller de ce cauchemar.
- Bon ben la repousse est normale. Il faut juste rafraîchir ce rasage. Je crois que ton mec aime le rasage à blanc et je suis spécialiste pour raser les petites lopettes comme toi. Ne bouge plus, j'attaque.
J'ai fermé les yeux mais il disait vrai. Le rasoir passait sur la peau sans irriter.
- Hé, ça te fait bander. T'es vraiment spécial toi.
Il s'est un peu appuyé sur mon bras en rasant et j'ai senti un beau membre sur lequel je me suis un peu plus appuyé.
- Ne soit pas impatient, tu l'auras dans tes trous de petit mec.

Tous tes trous. On voit bien que t'aimes la queue sur les vidéos. Et la mienne, disons que je trouve rarement un beau trou qui l'accepte entièrement.
Il a donné un coup sur mes couilles.
- Tu te retournes, que je te fasses la raie et le dos.
Cette fois, j'n'ai pas hésité et j'ai écarté les fesses. Montrant ce que la pudeur des vieilles rombières appelle mon cul. Ce petit con m'excitait.
C'est vrai que j'étais une salope. Et sur le ventre, cuisses ouvertes, on ne pouvait pas rater ma queue qui se gonflait.
- Hé ben dis donc, Eric avait raison, t'es bien monté et en vrai c'est plus joli. Bon je vais d'abord raser tes fesses avant d'aller passer le rasoir sur ton trou pour qu'on ne voie que lui. Je suis sûr qu'il doit servir souvent.
Il a barbouillé mes fesses de mousse avant de les raser puis après m'avoir essuyé, il m'a fait écarter les fesses.
- Vraiment jolie petite fente. Il y a peu de poils mais c'est la consigne que ton mec a laissée. Ecarte et ne bouge plus.
Il a là encore été très doux.
- Bon une chose de faite. Va sur le fauteuil et penche la tête en arrière pour le shampoing.
Après, il m'a mouillé les cheveux que je portais long sur la nuque et a mis un produit qu'il a lissé au peigne.
- C'est pour donner un peu de gonflant. T'as de superbes cheveux. Tu gardes le produit 10 minutes, je reviens.
Il est sorti sans attendre, laissant la porte entrouverte. Il était gonflé. Je n'ignorais pas qu'il y avait du passage et j'ai décidé de fermer les yeux.
J'ai entendu des rires dans le couloir. J'avais mis les mains en coquille sur mon sexe. Il est revenu tout sourire.
- Voilà. Pas trop long?
Il a cette fois brossé mes cheveux, leur donnant du gonflant au sèche cheveux.
- Cette fois même ton coiffeur habituel n'aurais pas fait mieux. C'est fini tu peux te rhabiller. Ha non, pas ces vêtements-là. Ceux-ci qu'il a choisi lui-même.
Il y avait un short de jogging noir dont le slip intérieur avait été découpé, un débardeur et des baskets.
- Il est fou, je vais avoir l'air d'une pute avec ça.
- Il a dit que vous vous cachiez ça mais qu'en fantasmes vous en rêviez. La preuve!
C'est vrai que je bandais comme un âne. Le salaud me connaissait bien. J'ai enfilé le marcel mais il ne descendait pas plus qu'au nombril et avec le short de jogging tendu par mon sexe j'étais indécent. J'ai enfilé les baskets.
- Bon t'es le dernier client. Je ferme derrière toi. Va sur le trottoir, j'ai appelé un taxi pour toi.
Le salaud avait tout prévu pour m'humilier et je suis sorti juste sous la devanture guettant le taxi. J'ai reçu des regards lourds de désir, les mecs plus hardis s'approchaient quand le taxi est arrivé. Le mec m'a détaillé.
- Ouai, ça doit être toi. On m'a dit de prendre une salope devant le salon de coiffure. Installe-toi derrière au centre, tu as une ceinture. Et je pourrais te voir en roulant.
Il a démarré sans me demander où aller. Il a roulé vers le périph puis obliqué sur l'A1 . Il jetait de petits coups d’œil dans le rétro.
- T'as quoi sous le short? Rien comme une vraie pute?
J'ai pas répondu.
- Ecarte-le du côté où je vois une banane.
J'ai obéi. Ce genre de situation m'excitait malgré moi et j'ai fait jaillir mon sexe en pleine forme.
- Comme ça vous avez la réponse?
- Oui merci joli morceau.
Il a tourné direction Le Bourget. J'étais déjà passé par là et il y avait pas mal de blacks et de beurs. Je flippais vraiment quand il s'est arrêté devant un restaurant fermé.
- Terminus pour moi, la salope tu descends ici. Tu vois sur la droite du resto le couloir? Tu rentres là. Une fois à l'intérieur, moi je repars.
Je suis descendu, cette fois la banane avait tourné à la crevette. Molle dans sa peau. Je suis rentré dans le couloir, la porte s'est fermée derrière moi. J'ai entendu le taxi repartir puis on m'a poussé dans le dos.
- Ouvre la porte en face et entre.
J'avais une boule au ventre mais une fois la porte franchie la Lumière s'est allumée, et j'ai compris que mon pote avait tout manigancé. Il était là face à moi, son beau sourire plus rigolard que d'habitude.
- Bon anniversaire mon chéri.
Je ne savais plus si je devais rire ou pleurer après ces émotions. Il s'est collé à moi, rassurant.
- Tu avais oublié que ça fait 5 ans qu'on est ensemble? Regarde, tous nos amis sont là.
Tout le personnel du salon de coiffure était là ainsi que tous nos potes de rencontres.
- Tu y as cru vraiment?
- Oui, mais il y a vraiment des caméras dans les cabines?
- Tu rêves, de simples leds. Mais Hervé m'a dit que tu avais apprécié le rasage. Il vient juste d'arriver. Ce soir on fête nos 5 ans de vie commune mais toi comme invité d'honneur tu te fous nu qu'il n'y ait pas qu'Hervé à avoir profité du spectacle.
Bah ils m'avaient tous vus nu et je ne me suis pas fait prier.
Voilà l'histoire d'un anniversaire que je voulais partager avec vous.